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Pédophilie : à quand la réponse appropriée ?

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Une nouvelle affaire de pédophilie vient, une fois de plus, plomber le ciel de l’Eglise catholique de Belgique. Ces ecclésiastiques dévoyés qui ont abusé d’enfants innocents nous écœurent profondément. A chaque fois nous reviennent en mémoire les terribles paroles du Christ condamnant ceux qui scandalisent un seul de ces petits. Leurs crimes nous éclaboussent du fait que nous appartenons à la communauté catholique dont ils sont des représentants. Nous ne pouvons pas faire comme si cela ne nous touchait pas, nous ne pouvons pas nier ou minimiser ce scandale en recourant à des arguments qui en relativiseraient la gravité. Nous avons mal, à quoi bon le cacher, et cela nous donne envie de vomir ou de pleurer quand cela n’incite pas certains d’entre nous à quitter le bateau d’une Eglise à ce point compromise. Ces hommes d’Eglise ont commis le crime irréparable de violer l’innocence en même temps qu’ils offraient à nos adversaires les armes qui serviraient à nous déstabiliser et à nous discréditer. Suffit-il de proposer aux victimes des indemnités ? Nos évêques savent-ils à quel point nous sommes désemparés, exposés comme nous le sommes à la réprobation et à l’indignation générales ? Manquent-ils à ce point d’inspiration pour nous adresser un message à la hauteur de la situation et pour nous inviter à une mobilisation spirituelle qui réponde à l’ampleur de ce drame ? N'est-il pas temps de s’approprier le message adressé à l’Eglise d’Irlande par Benoît XVI :

« Pour ma part, compte tenu de la gravité de ces fautes, et de la réponse souvent inadéquate qui leur a été réservée de la part des autorités ecclésiastiques dans votre pays, j'ai décidé d'écrire cette Lettre pastorale pour vous exprimer ma proximité et vous proposer un chemin de guérison, de renouveau et de réparation.

En réalité, comme de nombreuses personnes dans votre pays l'ont observé, le problème de l'abus des mineurs n'est pas propre à l'Irlande, ni à l'Eglise. Toutefois, le devoir qui se présente désormais à vous est celui d'affronter le problème des abus qui ont lieu au sein de la communauté catholique irlandaise et de le faire avec courage et détermination. Personne ne peut imaginer que cette situation douloureuse sera résolue dans de brefs délais. Des progrès positifs ont été accomplis, mais il reste encore beaucoup à faire. La persévérance et la prière sont nécessaires, ainsi qu'une grande confiance dans la force de guérison de la grâce de Dieu.

Dans le même temps, je dois également exprimer ma conviction que, pour se reprendre de cette blessure douloureuse, l'Eglise qui est en Irlande doit en premier lieu reconnaître devant le Seigneur et devant les autres, les graves péchés commis contre des enfants sans défense. Une telle reconnaissance, accompagnée par une douleur sincère pour les préjudices portés à ces victimes et à leurs familles, doit conduire à un effort concerté afin d'assurer la protection des enfants contre de tels crimes à l'avenir.

Tandis que vous affrontez les défis de ce moment, je vous demande de vous rappeler du «rocher d'où l'on vous a taillés» (Is 51, 1). Réfléchissez aux contributions généreuses, souvent héroïques, offertes à l'Eglise et à l'humanité tout entière par les générations passées d'hommes et de femmes irlandais, et faites en sorte que cela constitue un élan pour un examen de conscience honnête et un programme de renouveau ecclésial et personnel convaincu. Je prie pour que, assistée par l'intercession de ses nombreux saints et purifiée par la pénitence, l'Eglise en Irlande surmonte la crise présente et redevienne un témoin convaincu de la vérité et de la bonté de Dieu tout-puissant, manifestées dans son Fils Jésus Christ. »

(Lire ou relire l’entièreté de cette lettre ici : http://www.vatican.va/)

On nous dit que nos évêques sont « groggy » à la suite de toutes ces révélations et que cela les rend muets. Nous sommes en attente de tout autre chose. Nous sommes en attente de messages forts et qu’un chemin de guérison, de renouveau et de réparation nous soit proposé. Dès que possible car il y a plus qu’une urgence.

Commentaires

  • Il faut quand même prendre acte de l'acharnement particulier contre l'Église catholique dans ces dossiers d'actes de pédophilie. Il est certain que le problème est beaucoup plus largement répandu dans d'autres milieux, où ni la Justice ni la Presse n'enquêtent avec le même zèle.

    Par exemple, en Belgique, des centaines de mineures avortent ou accouchent chaque année. Or, il n'y a aucune recherche de ceux qui ont abusé d'elles, et ils peuvent donc continuer leurs méfaits tranquillement. Et la seule réaction de la société belge est de distribuer des moyens contraceptifs aux mineures, pour que ce problème des avortements ou accouchements de mineures ne soit plus trop visible.

    Il faut donc bien admettre que l'intégrité sexuelle des mineur(e)s ne tracasse pas beaucoup, ni la Justice ni la Presse, dans notre pays. Et que par conséquent, c'est bien l'Église catholique qui est attaquée, dans ce domaine-là comme dans bien d'autres. Mais ce domaine-là est évidemment particulièrement douloureux pour la communauté catholique belge, où tous les ecclésiastiques en deviennent des suspects, si pas des coupables désignés et à lyncher.

    Depuis mai 68, la pédophilie fut érigée dans nos pays occidentaux en comportement normal, voire bénéfique pour l'éducation et l'épanouissement sexuel de l'enfant. En fait, tout comportement sexuel anormal fut déclaré licite, il était interdit de les interdire. Des personnalités célébrèrent la pédophilie, et leurs expériences pédophiles. La Justice classant sans suite les rares cas signalés. Un livre faisant l'apologie de ces comportements reçut même le Prix Médicis en France.

    Et aujourd'hui encore, des associations font du lobbying pour dépénaliser la pédophilie, au même titre que d'autres l'ont fait pour l'homophilie. Avec les mêmes arguments, qui sont de considérer que nul n'est responsable de penchants sexuels l'attirant vers telle ou telle catégorie de personnes.

    Pourquoi donc la Presse belge ne nous parle-t-elle pas de la pédophilie dans tous ses développements de plus en plus inquiétants (prostitution enfantine, pédopornographie, tourisme sexuel, lobby pédophile) et se contente-t-elle d'en parler largement lorsqu'il est question d'un prêtre ?

    Et pourquoi l'Église catholique est-elle la seule à prendre ce problème au sérieux, à prendre des mesures, et à indemniser des victimes ? Les autres pans de la société belge ont-ils peur de s'attaquer à ce problème en leur sein ? Bref, pourquoi constate-t-on cette sorte d'omerta en Belgique sur la pédophilie, la prostitution enfantine, la pédopornographie, les avortements ou accouchements de mineures, etc... Sauf bien sûr lorsqu'il s'agit de faits touchant de près ou de loin l'Église catholique.

  • S'INSPIRER DE BENOIT XVI.
    Les évêques de Belgique pourraient écrire une lettre aux catholiques de Belgique aussi puissante que celle de Benoît XVI aux catholiques d'Irlande (s'ils le peuvent!) et la faire lire par chaque curé, en chaire, à la fin d'une messe dominicale.D'ailleurs, comme le Pape, ils pourraient rappeler aux Belges l'époque héroïque où ils envoyaient de saints missionnaires dans le monde entier... En étant un peu optimiste, on pourrait penser que cette lettre (au mois des extraits) serait publiée par la presse et connue du grand public, qui croit encore que l'Eglise ne fait rien!

    Ou bien, ils pourraient faire lire, de la même façon, celle de Benoît XVI, en supprimant les passages propres à l'Irlande. Je suis souvent surprise de voir que de nombreux catholiques ignorent cette initiative du Pape (la lettre est disponible en entier sur le site du Vatican). La presse est friande de scandales mais elle n'informe pas sur les très nombreuses mesures prises par l'Eglise et qui sont résumées sur le site du Vatican (Vatican.va,the Holy See), sans compter les initiatives propres à chaque évêque.

    Dans cette crise, l'exemple vient de notre courageux Pape bien-aimé!

    Certes, la société est encore plus gangrénée que certains milieux de l'Eglise et elle devrait se remettre en question (pédopornographie, sanctions légères, yeux fermés etc...) mais, malheureusement, l'Eglise est en mauvaise posture pour s'ériger en prophète. On voit ainsi le poids terrible du péché de quelques-uns non seulement sur les victimes directes mais sur toute la communauté!
    Lucie S.

  • Un ami très cher nous rappelle que nos évêques ont adressé une lettre pastorale en mai 2010 à ce sujet. Disons tout net que nous n'y trouvons pas la "réponse appropriée" à la gravité de la situation et nous n'y voyons pas proposé un chemin de guérison, de renouveau et de réparation; voici le texte de cette lettre :

    Lettre pastorale des évêques et administrateurs diocésains de Belgique

    Frères et sœurs en Christ,

    De retour de Rome au terme de notre visite “Ad Limina”, nous nous adressons à vous. Pareille visite se déroule tous les cinq ans et est un pèlerinage aux tombes des apôtres Pierre et Paul. Il s’agit également d’une rencontre avec l’évêque de Rome, le Pape Benoît XVI. Nous avons tous pu le rencontrer personnellement. En tant que successeur de l’apôtre Pierre, il a pour mission de veiller à l’unité de l’Eglise et à affermir ses frères et sœurs dans la foi. Au cours de cette semaine, des échanges ont eu lieu avec les différents responsables de la Curie romaine. Ce fut l’occasion de mettre en avant tout le bien qui se fait dans l’Eglise de Belgique, ainsi que l’engagement généreux de tant de collaborateurs. Nous avons aussi abordé les lacunes et les dossiers sensibles. Ainsi et surtout, la raison de la récente démission de l’évêque de Bruges, causant une onde de choc dans l’Eglise de Belgique. La confiance des fidèles dans leurs pasteurs en est sérieusement entamée. C’est la raison pour laquelle ensemble, nous voulons adresser cette lettre aux membres de la communauté catholique de notre pays.

    Ce qui doit prendre le pas sur toute autre considération, est la sécurité et la protection des enfants. Sur ce point, il n’y a pas à tergiverser. Nous reconnaissons que des responsables d’Eglise n’ont pas suffisamment pris la mesure du drame de l’abus sexuel sur mineurs et de l’étendue de ses séquelles. A cause de ce silence, c’est la réputation de l’institution ecclésiale et de ses ministres qui prima par rapport à la dignité des jeunes victimes. Des abuseurs ont reçu une nouvelle chance, tandis que des victimes portaient en leur chair des blessures qui ne se cicatrisaient pas ou peu. A toutes les victimes d’abus sexuels nous demandons pardon, tant pour l’agression que pour le traitement inadéquat de celle-ci. Nous demandons également pardon aux proches des victimes et à la société pour les séquelles humaines causées par ces abus. Nous exprimons avec modestie l’espoir qu’un chemin de réconciliation reste ouvert. Nous remercions les victimes qui trouvent le courage de briser le mur du silence en racontant ce qui leur est arrivé. Nous espérons que leur parole contribue à ce qu’elles obtiennent la reconnaissance et la guérison auxquelles elles aspirent. En s’exprimant, elles rendent en outre possible un chemin de purification et de conversion au sein de l’Eglise. Notre reconnaissance va, enfin, aux membres de la commission pour le traitement des abus sexuels dans le cadre d’une relation pastorale. Ils contribuent à instaurer une culture de la vérité et de la justice.

    Cette crise oblige les responsables d’Eglise à regarder les problèmes bien en face, à les appeler par leur nom et à mieux les résoudre en collaboration avec des personnes compétentes provenant de différents horizons professionnels. Avec le soutien du Pape Benoît XVI, nous allons prendre des mesures concrètes. Là où cela s’avère nécessaire, nous appliquerons encore plus sévèrement les critères de sélection et d’admission à l’ordination ou à toute autre responsabilité au sein de l’Eglise. Nous nous engageons, en outre, à mettre sur pied une supervision et un accompagnement plus efficaces pour tout agent pastoral. Nous allons également rédiger un code déontologique à l’attention de tous ceux qui œuvrent avec des enfants, des adolescents ou des adultes fragilisés. Nous ne voulons pas ignorer, non plus, que la racine de ces abus ne se réduit pas à des individus problématiques. La question des abus dans l’Eglise touche également au mode d’exercice de l’autorité. Voilà pourquoi, l’Eglise doit entreprendre un examen de conscience afin de faire évoluer ces formes d’exercice de l’autorité qui peuvent conduire à des abus de pouvoir sur mineurs. Cela va requérir courage et humilité, surtout de la part des évêques et autres responsables de la communauté ecclésiale.

    Fort heureusement, il y a aussi de bonnes nouvelles. Il se passe tant de belles choses dans l’Eglise, souvent sans qu’on s’en aperçoive. Par cette lettre pastorale, nous voulons dès lors exprimer notre profonde reconnaissance à tous ces chrétiens qui bâtissent jour après jour un monde plus humain et plus juste, qui proclament l’Evangile et qui contribuent à l’édification d’une Eglise porteuse d’avenir. Nous pensons ici, entre autres, à l’investissement des parents pour l’éducation de leur enfant, aux efforts déployés par les enseignants pour une école de qualité, au zèle des professeurs de religion pour donner un cours à la fois substantiel et proche de la vie, au rayonnement de nos universités et écoles supérieures, au dynamisme dont beaucoup d’entre vous font preuve quand ils s’engagent dans la vie politique, économique ou sociale, au dévouement de tous ceux qui soignent les plus faibles dans le secteur médical et paramédical, au soin apporté aux personnes en marge de la société. Nous exprimons ici une reconnaissance plus particulière à tous ceux et celles qui s’investissent dans la vie paroissiale avec ses multiples facettes. Le dévouement des prêtres, diacres, religieux, assistants et assistantes paroissiaux, sans oublier l’apport de milliers de bénévoles, sont le trésor et la colonne vertébrale de notre Eglise. Pour toutes ces collaborations, nous rendons grâce à Dieu, qui en est la source première.

    Frères et sœurs, nous vos évêques, vous invitons à être des pierres vivantes dans l’édification de l’Eglise du Christ et à prendre pleinement votre place de chrétien dans la société. Ensemble, cheminons comme peuple de Dieu à travers les joies et les épreuves. Prions les uns pour les autres, afin de discerner et de mettre en œuvre ce que le Seigneur Jésus réclame de nous aujourd’hui. Dans quelques jours, nous fêterons la Pentecôte. Prions l’Esprit Saint, afin qu’il nous donne assez de sagesse et de courage pour édifier une Eglise qui soit le reflet authentique de l’amour de Dieu pour les hommes.

    Les évêques et administrateurs diocésains de Belgique

    Le 19 mai 2010

  • "Prions l’Esprit Saint, afin qu’il nous donne assez de sagesse et de courage pour édifier une Eglise qui soit le reflet authentique de l’amour de Dieu pour les hommes."

    Pour édifier telle Eglise, il est impératif que les évêques, prêtres, diacres, manifestent leur humble soumission personnelle à Dieu, en créant la concorde entre eux et notre Pape; Représentant suprême de l'Eglise de Dieu.

    Le reflet authentique de l'amour de Dieu pour les hommes ne pourra passer qu'en priant pour tous ces FILS DE PREDILECTION DE MARIE et de JESUS, (les prêtres), afin que s'arrêtent leurs révoltes (pour un nombre de plus en plus manifeste) contre les appels de la conscience et les résistences dans le coeur aux suggestions du Divin, qui parle au travers des écrits ou discours du Notre Pape Benoît XVI.

    De plus, notre église ne sera le reflet authentique de l’amour de Dieu pour les hommes que si ses représentants acceptent également de se baser avec confiance sur tout ce que les évangélistes disent dans les évangiles, sans rien en transformer, modifier, supprimer, ou édulcorer.

  • Prions aussi pour les prêtres fidèles à leur mission : pour qu'ils soient véritablement soutenus par leurs supérieurs hiérarchiques dans l'Eglise de Bruxelles. Il y a parmi eux des prêtres littéralement victimes de harcèlement.
    Comment les chrétiens pourraient-ils accepter cela alors que des prêtres malheureusement moins fidèles (pédophiles et autres comme le montre tristement l'affaire de Dinant) n'ont apparemment aucun problème ?
    Prions pour les prêtres remarquables que nous avons la chance de rencontrer !

  • Notez que, d'après Christian Laporte, qui y consacre une page dans "La Libre" d'hier, une dame, dont le nom et la photo sont étalés dans le journal, publiera le 12 janvier prochain le récit des abus sexuels qu'un curé de paroisse infligea jadis à cette malheureuse personne, aujourd'hui mère et grand'mère. Selon M. Laporte, l'idée de ces révélations publiques, confiées à une grande maison d'édition, lui serait venue lors de l'affaire Vangheluwe, en prenant connaissance "avec colère" du discours des autres évêques. Cela s'intitule "Personne ne me croira". Rien à voir hélàs avec les contes d'une grand'mère de la comtesse de Ségur. Et devinez qui signe la préface ? Non pas Voltaire (c'est trop tard) mais l'oracle de Malèves Sainte-Marie lui même: Gabriel Ringlet. M. Laporte l'avait déjà signalé avant-hier dans sa gazette, il y est largement revenu hier. Nul doute qu'il y reviendra aussitôt le livre sorti de presse. A bientôt!

  • J'achêterai scurupuleusement la Libre-Belgique du 12 janvier, afin d'éventuellement répondre et défendre nos prêtres, l'Eglise, ...
    J'invite vraiment le plus de personnes possibles, qui en on la force, de lutter par écrit, oralement ou par actions contre la christianophobie qui envahi les scènes du monde!
    Pour agir pour épauler au maximum les saints-prêtres que nous avons. Il y en a! Soyons en certains. Ils ont besoin de nous.

    Disons-nous bien comme Padre PIo, que tant que le Malin attaque c'est qu'il ne nous a pas à sa merci! Sinon il nous laisserait bien tranquillos!

    Une autre histoire que j'ai entendu concernant les prêtres. Un rêve.

    Quelqu'un rêvait qu'il était dans une église. Il y était en tant que fidèle. Les rangées de gauche et de droite étaient remplies de personnes priantes attendant le début de l'eucharistie qui allait avoir lieu.
    Tandis que le prêtre s'avançait, du fond de l'Eglise vers le choeur, un serpent "serpentait" derrière lui, de façon menaçante. Dès que le prêtre monta les marches vers le choeur, subitement le serpent se paralysa, incapable d'avancer plus en avant!

    Cela me semble clair comme rêve! Le prêtre est protégé lorsqu'il célèbre et consacre l'Eucharistie. Par les milliers d'anges qui veillent. Quand il est dans le monde, il est en danger, comme chacun d'entre nous, pauvres hères que nous sommes. :-)
    C'est dire la menace du "serpent" sur les fidèles, et combien le Malin sait que s'il atteind le prêtre, c'est tout un peuple qui croûle!!!
    Je trouve ce rêve ... à méditer.
    Soyons bien aux côtés de nos prêtres. Aimons-les et respectons-les comme des êtres humains comme nous! Ce ne sont pas des dieux.

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