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Qui est Monseigneur Schneider ?

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bishop_athanasius_schneider-ab78a.jpg Le site de« L’Homme Nouveau »  signale que dans le dernier numéro de son journal bimensuel, qui vient de paraître,  il publie en exclusivité le texte intégral d'une communication faite par l'évêque missionnaire Mgr Athanasius Schneider sur le thème "Nouvelle évangélisation et liturgie» au mois de janvier dernier, dans le cadre du symposium Reunicatho.

Nous en avions rendu compte ici :  Les 5 plaies de la liturgie, obstacles à la nouvelle évangélisation  Dans ce texte d'une grande force, le prélat  lance un vibrant appel à un renouveau dans le sillage de Benoît XVI. Un numéro exceptionnel à commander auprès des bureaux du journal "L'Homme Nouveau" (10, rue Rosenwald, 75015 Paris, tél. : 01 53 68 99 77) ou en version numérique ici : Journal n°1511 du 11-02-2012

 Mais qui est Mgr Schneider ? Voici le portrait qu’en donne notre confrère parisien (Extraits) : «  Pour le célèbre vaticaniste Sandro Magister, Mgr Athanasius Schneider est avec le cardinal Ranjith (cf. notre entretien dans L'H.N. n° 1500) le meilleur élève de Benoît XVI. Un élève qui l'est non seulement par les idées qu'il défend, mais aussi par le style qu'il affiche. Loin d'être un prélat médiatique, c'est un homme doux et bon, qui respire une foi profonde et tranquille. Il est né le 7 avril 1961 au sein d'une famille allemande (mais originaire d'Alsace) déportée par Staline et dont un des grands-pères fut fusillé en 1936 parce qu'il était considéré comme « koulak » (riche paysan propriétaire, en Russie). En 1973, sa famille a pu partir pour l'Allemagne où le jeune garçon qui ne parlait que russe a dû se mettre à l'allemand et suivre le cycle scolaire auprès d'institutions religieuses. Il est entré par la suite dans la Congrégation des Chanoines réguliers de la Sainte-Croix et il a été ordonné prêtre le 25 mars 1990. Lors de la préparation de son doctorat en théologie patristique à Rome, le futur Mgr Schneider a rencontré un prêtre du Kazakhstan qui l’a invité à venir enseigner dans le premier séminaire de ce pays. Finalement, l’archevêque de Karaganda, Mgr Jan Pawel Lenga, lui a demandé de rester dans ce pays pour l’aider à la reconstruction de l’Église. D’abord directeur spirituel du séminaire, Athanasius Schneider est devenu chancelier de la curie épiscopale de Karaganda, rédacteur en chef du journal catholique en langue russe Credo. Il a également fondé trois paroisses, avant d’être ordonné évêque à Rome le 2 juin 2006. (…) Évêque missionnaire dans un pays où les catholiques sont en minorité, profondément charitable et attaché au bien des personnes, Mgr Schneider est aussi un homme de convictions, lesquelles sont enracinées dans une vraie vie de prière et dans une formation théologique de premier ordre. Lors de la rencontre de Reunicatho, en janvier dernier, dans une salle paroissiale de l’église Notre-Dame de Grâce à Paris, il a fait un véritable tabac, notamment auprès du jeune clergé diocésain, par ses propos fermes prononcés avec une grande douceur. »  

 Référence :  Mgr Schneider : un missionnaire à la parole libre

 « L’Homme Nouveau » signale aussi que Mgr Schneider est l’auteur d’un petit livre intitulé : Dominus est – Pour comprendre le rite de communion pratiqué par Benoît XVI (Tempora, 2008) (…).. Selon Sandro Magister, « Quand Benoît XVI a lu le manuscrit de Mgr Schneider, en 2008, il a tout de suite ordonné aux éditions du Vatican (Libreria Editrice Vaticana) de le publier. ». Le compte rendu que nous  avions fait de ce livre sur Belgicatho, ici :  La communion « dans la main », une fausse restauration liturgique ? avait suscité des commentaires abondants et contrastés.

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