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  • Les intentions du pape pour juillet 2012

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    Les INTENTIONS du PAPE pour JUILLET 2012

    Générale :
    Pour que tous puissent avoir un travail et l’effectuer dans des conditions de stabilité et de sécurité.

    Missionnaire :
    Pour que les volontaires chrétiens, présents dans les territoires de mission, sachent témoigner de la charité du Christ.

  • Suisse : Mgr Morerod confie la Basilique de Fribourg à la Fraternité Saint-Pierre

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    Fribourg, 29 juin 2012 (Apic) Mgr Charles Morerod, évêque du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg, a confié dès le 1er septembre 2012 la charge pastorale de la Basilique Notre-Dame, à Fribourg, à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP). La décision a été prise après consultation de ses différents conseils, de la Fondation en charge de la Basilique Notre-Dame et de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre, précise un communiqué de la chancellerie.

    A partir du mois de septembre prochain, la messe dans la forme extraordinaire du rite romain - célébrée jusqu’ici en l’église du Collège Saint-Michel et en d’autres endroits de la ville de Fribourg -, ainsi que toutes les autres activités pastorales assurées par la FSSP à Fribourg, seront transférées à la Basilique Notre-Dame. "Cette décision permettra de mieux répondre aux besoins pastoraux de la communauté des fidèles attachés à cette liturgie de l’Église", précise un communiqué signé de Mgr Alain Chardonnens, vicaire général du diocèse.

    Confier la Basilique Notre-Dame à la FSSP de la mouvance des traditionalistes fidèles à Rome marque à la fois le désir du diocèse de doter la Basilique, récemment restaurée, d’un projet pastoral et la volonté de permettre aux fidèles attachés à la liturgie dans sa forme traditionnelle de trouver une place.

    L’adoration perpétuelle maintenue chez les Cordeliers

    L’église du Collège Saint-Michel, qu’occupait la FSSP jusqu’alors, verra l’arrivée d’autres projets pastoraux, en lien notamment avec les activités de l’aumônerie du Collège ou de la jeunesse.

    En raison des travaux de rénovation de la Basilique Notre-Dame, qui ont pris fin en 2011, l’adoration perpétuelle et la mission linguistique italienne qui se trouvaient auparavant dans ce lieu avaient dû déménager. Aujourd’hui, toutes deux continueront d’être accueillies par le couvent des Cordeliers.

    Une convention sera établie, prochainement, pour coordonner l’utilisation de la Basilique Notre-Dame, en lien notamment avec la congrégation mariale qui lui est attachée. La décision sera communiquée ultérieurement, précise le communiqué daté du 29 juin, solennité des Saints Pierre et Paul.

     

    Ici : La Basilique fribourgeoise est confiée aux traditionalistes de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre   

  • L'Eglise et le SIDA

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    Source : http://www.zenit.org/article-31232?l=french

    Le cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d’Etat au Vatican, s’est exprimé à l’occasion de la VIIIème conférence internationale sur le SIDA, le 22 juin dernier à l’Institut San Gallicano au Trastevere. Nous reprenons ici quelques extraits de son intervention.

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  • Fête des Saints Pierre et Paul: homélie de Benoît XVI

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    Célébrant la traditionnelle messe de remise du pallium aux nouveaux archevêques métropolitains du monde entier, vendredi 29 juin au Vatican, Benoît XVI s’est penché sur « le drame de l’histoire de la papauté », marquée par la «faiblesse humaine ». L’occasion pour le pape de se livrer à une profonde méditation sur le sens du ministère pétrinien.

    L’Église, a expliqué Benoît XVI devant 43 nouveaux archevêques du monde entier et des milliers de fidèles, n’est pas « une communauté de personnes parfaites, mais de pécheurs », bien qu’elle ait reçu du Christ « la lumière » et « la force », a assuré le pape lors de la célébration solennelle qu’il présidait dans la basilique vaticane au jour de la fête des saints Pierre et Paul.

     Source : http://www.zenit.org/article-31285?l=french et http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Rome/Benoit-XVI-explicite-le-sens-du-ministere-du-pape-_NP_-2012-06-29-825135

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  • Université d'été de la Communauté Saint-Jean: "Le libéralisme peut-il encore nous libérer?"

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    Du 18 au 22 juillet, à Saint Jodard, 5 jours de formation philosophique, enseignements, ateliers et tables rondes destinées au étudiants et aux jeunes pros...

    Renseignements et inscriptions sur www.univete.stjean.com

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  • Et l'Enfant Jésus dans tout cela ?

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    L'Unesco a accepté la demande palestinienne de classement en urgence de la basilique de la Nativité à Bethléem au patrimoine mondial de l'humanité. Le vote du comité du patrimoine, vendredi à Saint-Pétersbourg en Russie, a été déploré par Israël et les États-Unis, qui voient la démarche palestinienne obéir à des motivations plus politiques que culturelles. L'Autorité palestinienne s'est félicitée de ce vote, première victoire diplomatique depuis son admission l'an dernier à l'Unesco, la première organisation onusienne à avoir accepté la Palestine en son sein. «C'est une victoire pour notre cause et la justice, a déclaré le porte-parole de Mahmoud Abbas. Cela prouve que l'ensemble de la communauté internationale a l'intention de protéger la Palestine (…) et de s'assurer que l'État Palestinien soit créé dans ses frontières de 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale.»

    Israël, qui ne contestait pas la demande­ de classement, s'opposait en revanche au recours à une mesure d'urgence, d'habitude utilisée pour des sites menacés, au lieu de la procédure classique, longue de 18 mois. Les Palestiniens avaient justifié leur demande par «l'état de délabrement et la dégradation de l'ensemble architectural», notamment du fait des «forces d'occupation israéliennes».

    Les experts du Conseil international des monuments et des sites, chargés d'examiner le dossier, avaient émis un avis défavorable. Selon eux, le dossier palestinien n'avait pas été assez préparé, notamment quant à la délimitation et les exigences de protection et de gestion du monument. Les Églises chrétiennes gardiennes du lieu, Grecs orthodoxes, latins (catholiques) et Arméniens, n'avaient pas non plus appuyé la procédure, craignant que la basilique devienne un symbole politique.

    Deux millions de visiteurs

    La décision de classement n'est guère contestable sur le fond. La basilique, construite par Constantin au IVe siècle au-dessus du lieu de naissance de Jésus, restaurée par Justinien au VIe siècle, est restée depuis pratiquement inchangée. Ce qui en fait l'une des plus anciennes églises du monde, en même temps que l'une des plus belles. Les seuls dégâts récents infligés à la basilique avaient été des tirs israéliens d'armes automatiques essuyés pendant le long siège de 2002, quand des activistes palestiniens s'étaient retranchés dans l'église.

    Le mur de séparation, érigé par Israël à l'entrée de Bethléem, réduit les déplacements des Palestiniens hors de la ville et ralentit la circulation des cars de touristes. Mais il n'empêche pas 2 millions de personnes de visiter chaque année la basilique de la Nativité. La place de la Crèche, devant l'édifice, au centre de la vieille ville de Bethléem, se transforme souvent en parking, avec des véhicules qui se garent pratiquement jusque devant la porte de l'église.

    Référence : L'Unesco classe la basilique de la Nativité

  • Vocations sacerdotales : qui appelle qui ?

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    39a88056-c125-11e1-909a-6257bbac44a3-493x350.jpgLu sur le site du « Figaro » :

    «Stable dans le trop peu», confie le père Bernard Podvin, porte-parole des évêques de France. Il commente, sur fond de «manque chronique de prêtres», le cru 2012 des ordinations de prêtres catholiques.

    Ce week-end ou au cours de cette année, ils seront en effet 96 séminaristes à devenir prêtres. Il y en avait 112 en 2011. Soit une moyenne en France d'une centaine d'ordinations par an depuis une dizaine d'années. Ou un prêtre par diocèse, même si certains n'ont pas eu d'ordination depuis plus de dix ans. Les disparités sont énormes, notamment entre diocèses ruraux et diocèses urbains. Le diocèse de Saint-Flour, dans le Cantal, n'avait pas eu d'ordinations depuis 2004, il aura un nouveau prêtre cette année.

    À cette centaine d'ordinations, il faut ajouter une cinquantaine d'ordinations de prêtre, religieux, appartenant à des congrégations - comme les dominicains, trois cette année - ou à des «communautés nouvelles», comme «l'Emmanuel», d'inspiration charismatique, qui compte cinq nouveaux prêtres.

    Pour l'avenir, on sait déjà que l'année 2013 ne sera pas bonne puisque seulement 76 séminaristes diocésains sont ordonnés diacres en 2012. Le diaconat est la dernière étape avant l'ordination sacerdotale qui intervient un an plus tard.

    La «stabilité» est donc avérée pour les années passées, mais elle n'est pas garantie pour l'avenir. D'autant que la stabilité acquise avant 2000 (autour de 120 ordinations par an) est passée au milieu de la dernière décennie à une centaine. Elle pourrait donc encore franchir un nouveau palier dans la décennie qui vient.(…)

    Il y a encore une dizaine d'années, cette tendance n'inquiétait pas certains évêques. Ils estimaient que «les laïcs allaient prendre le relais» autour de quelques prêtres. Mais il apparaît aujourd'hui, dans les rangs épiscopaux, que «l'on ne se résout plus à ce qu'il n'y ait plus de prêtres», confie un expert du dossier. «Il y a encore quelques résistances, mais le mot “vocation” n'est plus un tabou. On ne peut plus se contenter de rester les bras ballants, il faut maintenant oser proposer aux jeunes ce chemin du sacerdoce», reconnaît-il en demandant de ne pas être cité tant le sujet est douloureux dans les rangs épiscopaux. Plusieurs visions de l'Église s'affrontent sur l'identité du prêtre et sur son rôle.

    Ainsi, ce prélat d'une très importante ville du sud-est de la France qui a refusé, il y a peu, une petite dizaine de candidats qui souhaitaient devenir prêtres. Sans doute ces jeunes, à l'aise avec le col romain et la soutane, ne cadraient pas vraiment avec la «bonne» vision ecclésiale. Le cas n'est pas isolé.

    Car «il ne faut pas se leurrer, continue ce spécialiste, même si aucun évêque n'a de recette miracle, les vocations naissent et se développent essentiellement dans des familles catholiques pratiquantes». Ajoutant que «les entrées au séminaire sont directement corrélées au nombre de pratiquants: sans pratique religieuse vivante, pas de vocation».

    Dernier axiome: «Moins il y a de jeunes… moins il y a de jeunes!», explique cet expert. Il pointe telle communauté, très en vogue il y a encore quinze ans qui l'est moins aujourd'hui. Et telle autre, alors modeste, qui a actuellement le vent en poupe. Ainsi la communauté Saint-Martin: de facture très classique, elle attire beaucoup ».  Ici : L'Église face à la pénurie des prêtres

  • Le retour de la soutane : vintage ?

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    C’est un phénomène qui touche presqu’exclusivement les clercs de la jeune génération. Sur le site “La Vie”, Jean Mercier y va de son analyse (extraits):

    Il y a exactement 50 ans, dès avant le Concile

    les différents diocèses légifèrent sur la question de l'habit ecclésiastique, permettant l'utilisation du clergyman. Jusque là, seule la soutane est autorisée par l 'Eglise, en toutes circonstances. Mais elle est de plus en plus remise en cause, à partir de la fin des années 50, au bénéfice d’un costume jugé plus pratique et plus discret.(…)

    Mon article pourraient se résumer  à deux interrogations :pourquoi l'ont-ils enlevée (en 1962) ? Pourquoi la remettent-ils (en 2012) ? Il me semble qu'en tenant ensemble ces deux interrogations, on peut comprendre beaucoup de choses de l'évolution du monde en l'espace de 50 ans.

    1962 :  cette année là »…

     comme chantait Claude François (...) on est ivre d'avenir et de renouveau, dont la société de consommation est le symbole très concret . Aux Etats Unis, la pilule contraceptive est déjà en vente, et révolutionne les rapports hommes-femmes. Ce n'est qu'une question d’années pour la vieille Europe...Il faut se replonger dans cette ivresse de modernité pour comprendre à quel point l'abrogation de l’obligation de la soutane a été, pour beaucoup de clercs, une bouffée d'oxygène, une façon concrète, notamment pour les jeunes générations de prêtres, d'anticiper l'ouverture du Concile, quelques mois plus tard.(…).

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  • Le baptême est-il un droit ?

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    Question posée par le groupe « Eglise-Wallonie » se référant à un article d’Isabelle de Gaullmyn dans le journal « La Croix » dont voici un extrait :

    « Le baptême est un droit, quelle que soit sa situation, son implication dans la communauté chrétienne : telle est la conviction de ces parents du Doubs, qui,  s’étant vu refuser le baptême pour leur dernier fils, au motif que les autres n’allaient pas au catéchisme, ont décidé de donner un retentissement médiatique à l’affaire.

    Dans les commentaires postés en dessous de l’article, on s’insurge de voir ce « droit » refusé par le prêtre. Oubliant, ou ignorant, au passage, qu’on ne se baptise pas tout seul, mais qu’on le fait dans une communauté, qu’il ne s’agit en aucune manière d’un acte privé, mais d’un sacrement qui engage.

    Ironie de l’histoire, ces revendications pour un « droit au baptême » interviennent au moment même où d’autres demandent un « droit à se faire débaptiser ». Le paradoxe n’est qu’apparent : derrière, c’est la même conception individualiste d’un acte qui n’engage que la personne, et qui peut en faire ce qu’elle veut … ». Voir la suite ici : Droit à se faire baptiser…et se faire débaptiser

    Discussion parfaitement oiseuse : pour rester dans le registre juridique, le baptême est évidemment non pas un droit « a priori » mais une grâce, un don offert par Dieu à chaque être humain, sous la condition propre à toute donation : celle d’être acceptée par le donataire. C’est pourquoi il suppose chez le baptisé la volonté d'accueillir réellement la grâce offerte pour son salut : soit que le baptisé s’y engage lui-même, s’il est capable de raison, soit par la représentation de ceux qui  assument sa responsabilité, s’il en est incapable.

    Le don de Dieu est un acte unilatéral : une fois accepté, il demeure, irréversible et irrévocable, même s’il peut, naturellement, être dilapidé par le donataire ou ses représentants. En termes plus théologiques, on dit qu’il imprime un caractère dans l’âme de son bénéficiaire.

  • Obamacare: une loi qui viole les consciences

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    A la surprise du président américain lui-même, la Cour Suprême des Etats-Unis a validé par 5 voix contre 4 la quasi-totalité de sa réforme de santé. Les chrétiens, eux, restent partagés sur la question. Le site “La Vie” commente (extraits):

    (…) L'Eglise catholique et plusieurs Eglises protestantes, notamment évangéliques, s'étaient dressées contre ce texte: bien que militant de longue date pour l'accès des plus pauvres à la couverture maladie, ces chrétiens s'insurgeaient contre une des mesures de la loi, obligeant les employeurs à offrir à leurs salariés le remboursement des frais de contraception, stérilisation ou avortement, sans exemption possible pour les établissements religieux.(…)
    Selon les  évêques catholiques "la nouvelle loi ne protège pas assez les immigrés et élargit le financement fédéral de l'avortement. Nous continuerons d'être les défenseurs cohérents d'une réforme globale du système de santé, afin d'assurer l'accès à des soins respectueux de la vie à tous, et spécialement aux plus pauvres et aux plus vulnérables". Le feuilleton n'est donc pas terminé: les quelques 23 recours déposés par des organisations chrétiennes devant la Cour suprême pour faire invalider la partie contraignante de la loi vont suivre leur chemin. Selon le Public Religion Research Institute, la majorité des évangéliques blancs souhaitent l'abrogation de cette loi; chez les catholiques, la moitié des fidèles la soutiennent. Ici:  Obama soulagé, les chrétiens divisés

    Le problème de l’objection de conscience dépasse aujourd’hui largement la question du service militaire ou des transfusions sanguines chez les témoins de Jéhovah : il porte sur les fondements mêmes de la morale naturelle 

  • Un "Al Andalous" chimérique

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    Le "politiquement et culturellement correct" qui nous est imposé voudrait que l'Andalousie médiévale constitue un modèle de cohabitation harmonieuse entre les trois monothéismes. Un historien, Serafin Fanjul, qui vient d'être admis à l'Academie d'Histoire espagnole, a consacré une partie de son oeuvre à démontrer qu'il s'agit là d'une vision chimérique, d'une vision idéalisée instrumentalisée par la bienpensance actuelle. Malheureusement, son oeuvre n'est généralement disponible qu'en espagnol.

    Voir la présentation de cet auteur sur wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Seraf%C3%ADn_Fanjul

  • Eugénisme : les trisomiques se rebiffent

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    La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) doit "reconnaître l'humanité et protéger le droit à la vie des personnes trisomiques et handicapées » : réunies au Conseil de l’Europe à Strasbourg, une trentaine d'associations de défense des handicapés, issues de 16 pays ont fait part de leurs inquiétudes concernant une affaire actuellement pendante devant la CEDH :

    Celle-ci concerne une Lettone, Anita Kruzmane, mère d'une fillette trisomique aujourd'hui âgée de 10 ans. Devant les tribunaux de son pays, elle a reproché à ses médecins de ne pas lui avoir proposé de test prénatal, dont elle aurait tiré les conséquences en avortant si elle avait su que son foetus était porteur d'une anomalie génétique.

    La justice lettone lui ayant donné tort, elle s'est tournée vers la CEDH, mettant en avant une violation de son droit à la vie familiale. La Cour européenne devrait se prononcer sur ce dossier sensible d'ici quelques mois.

    "L'élimination de l'enfant à naître, en raison de son patrimoine génétique, est-il un droit?", a demandé jeudi l'Irlandais Patrick Clarke, président de la fédération "Down Syndrome International".

    Pour le Français Jean-Marie Le Mené, président de la Fondation Jérôme Lejeune - qui soutient la recherche sur la trisomie et s'oppose à l'avortement -, cette affaire Kruzmane s'inscrit dans un contexte général où "la liberté de choix des parents" de garder ou non leur enfant trisomique est "menacée par une politique eugénique".

    Cette politique, qui tend à proposer un dépistage quasi-systématique aux familles, se conclut par un avortement dans la quasi totalité des cas où le foetus est diagnostiqué trisomique, a rappelé M. Le Mené.

    Ici : Trisomie: des associations dénoncent un risque de dérive eugénique

     Dépourvus de référence aux invariants du droit naturel ou de  la transcendance, les droits de l’homme s’en vont à la dérive du contrat social…