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Cet homme a blasphémé !

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Le directeur des "Petits Riens" s'est demandé s'il était encore loisible à quelqu'un de penser que l'homosexualité puisse être une "maladie". Encore ne prenait-il pas cette supputation à son propre compte mais il posait simplement la question de savoir si l'on était libre ou non d'y réfléchir en ces termes. Toutefois, c'était suffisant pour susciter un tollé : le secrétaire d'Etat à l'égalité des chances a immédiatement réagi en affirmant : «  Chacun peut avoir son opinion, c’est vrai. On peut être contre l’homosexualité. Mais dire que c’est une maladie, c’est tout autre chose  ! ». Actiris, une asbl liée aux "Petits Riens" a suspendu sa collaboration avec eux tant que leur directeur n'aura pas clarifié sa position. Reconnaissons par ailleurs que ce dernier a commis effectivement un éditorial assez maladroit et doit à présent s'en mordre les doigts. Il faut croire qu'il n'avait pas pris la mesure de l'offensive que mènent actuellement les lobbies LGBT. D'ailleurs, il s'empresse à présent de préciser qu'il ne pense pas personnellement qu'il s'agisse d'une maladie. Toujours est-il qu'il a commis un véritable crime en osant imaginer que quelqu'un puisse être laissé tranquille dans le cas où il viendrait à se demander si l'homosexualité pourrait bien constituer un trouble par rapport à une hétérosexualité qu'il privilégierait éhontément. On peut bien sûr blasphémer quand il s'agit des religions, et d'ailleurs on ne s'en prive pas; mais s'il s'agit des "avancées sociétales" et particulièrement du dogme selon lequel l'homosexualité constitue une forme de sexualité qui mérite autant de considération et de droits que l'hétérosexualité, tout blasphème constitue un crime irrémissible qui sera aussitôt sanctionné par la censure médiatique et verra bientôt son auteur traîné devant cours et tribunaux. Il est d'ailleurs étonnant que le Secrétaire d'Etat ait affirmé que "l'on peut être contre l'homosexualité". C'est une hardiesse au sujet de laquelle on l'interpellera sans doute.

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P.S. : Définition de la maladie : "Altération de l'état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non, correspondant à des troubles généraux ou localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des causes internes ou externes et comportant une évolution." (source)

Commentaires

  • Ce pays devient vraiment une dictature, où le César veut imposer sa pensée unique et ses idoles païennes à vénérer par tous.

    Il n'y a dans l'espèce humaine qu'une et une seule sexualité, comme dans toutes les espèces vivantes sexuées. Et cette sexualité n'a qu'une et une seule finalité naturelle, celle de la conservation et de la bonne évolution de l'espèce humaine. Toute autre utilisation de ses organes génitaux à d'autres fins, ne répond pas à cette finalité naturelle. Autrement dit, toute autre pratique sexuelle, que celle entre deux adultes consentants, de sexes différents et en âge de procréer, n'est qu'une invention de l'imagination humaine très fertile. Car il n'y a pas que l'homophilie qui ait été inventée par l'homme, mais bien d'autres '-philies'.

    On peut ajouter à cela qu'il est tout aussi naturel, ou en tout cas très raisonnable, que les parents s'engagent à assurer, dans un cadre stable et sécurisé, l'éducation et l'épanouissement de leur progéniture, ce qui, comme chacun sait, demande des années de patience et d'efforts dans l'espèce humaine.

    Bref, l'homophilie est non naturelle, et le fait de 'marier' deux personnes de même sexe n'a rien de raisonnable. Nous sommes donc entrés dans une période de grand obscurantisme, en Belgique comme ailleurs en Occident. Nous sommes entrés dans l'ère des idéologies en tout genre, dans la fuite devant la réalité et dans la négation ou le refus de la raison d'être naturelle des choses. L'artificiel, l'inventé et créé par l'homme, cherche à s'imposer à la réalité naturelle de notre monde, comme si c'était la nouvelle réalité, à imposer à tous de gré ou de force

    Mais bon, ces tentatives d'idolâtrie du « créé par l'homme » ont bien sûr existé de tout temps. L'imagination de l'homme l'a entraîné dans pas mal de fantasmes et de créations d'idoles tout au long de son histoire. L'homme veut toujours se créer un monde bien à lui, selon ses pensées, pour pouvoir mieux refuser le monde créé par Dieu et donc pour pouvoir mieux évacuer Dieu Lui-même.

    Ce qui est inacceptable, c'est quand ces fantasmes ou idoles sont imposés comme une réalité que l'on ne pourrait plus critiquer ou blasphémer. Faire introduire ainsi de purs fantasmes dans la législation humaine est le comble des fantasmes idéologiques. Et le plus grave, c'est de l'imposer sans vergogne au mépris des droits de l'homme, en déniant la liberté de pensée et d'expression des citoyens. La Belgique est devenue un pays qui s'assied sur les droits de l'homme, ou qui a réécrit ses propres droits de l'homme pour y introduire ses fantasmes idéologiques, ses propres idoles païennes que nul ne peut blasphémer impunément.

  • Les commentaires signés "Pauvre Job" sont toujours impeccables et honorent vraiment leur auteur. A celui-ci je ne vois rien à ajouter, rien à retrancher; tout y est dit clairement avec une justese de pensée qui enchante, surtout de nos jours. L'auteur a bien choisi son pseudonyme. Que Dieu le garde.

  • Ces commentaires dénoncent effectivement un nouvelle sorte de totalitarisme intellectuel qui veut détruire toutes les valeurs spirituelles pour en arriver à une vision collectivement acceptable de nos pulsions primitives. C'est ce qui rend actuellement les médias si insipides, on n'y trouve plus guère d'opinions originales façonnées par une recherche personnelle profonde et sincère.

  • Quel est le lien logique entre le bon travail des "Petits Riens" et l'homosexualité ?
    Pourquoi un éditorial à ce sujet ?
    Y a-t-il de la diversification dans l'air ?

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