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Cette semaine sur EUTHANASIE STOP - 12/06/2013

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Commentaires

  • Tout ça c'est bien gentil, mais un peu de raisonnement mène à la conclusion suivante :
    - à partir du moment où on admet une exception à l'interdiction de tuer, à partir du moment où on admet qu'une caste privilégiée peut s'arroger (bien sûr, au moins au début et officiellement, après avoir soutiré des consentements...) le droit de tuer, le mécanisme est enclenché d'une modification en profondeur de la culture, de la façon d'envisager le métier de médecin, de la relation qu'un patient, même hors de tout danger visible de mort prochaine, a avec son médecin (je dois dire que personnellement je ne peux, même pour l'administration d'un spray banal, faire confiance à une personne qui considère avoir le droit de me tuer), une modification en profondeur de la vision qu'a chacun de la mort, une vision aux antipodes de la si nécessaire préparation de la rencontre avec notre Créateur et juge.

    Donc se battre contre une extension, c'est bien - et probablement indispensable et méritoire -, mais...

    Il faut donc absolument
    1/ maintenir que toute loi autorisant l'euthanasie est infâme et scandaleuse ;
    2/ maintenir que toute euthanasie est un meurtre, que s'en rendre complice est se rendre complice d'un meurtre (ou d'un suicide) ;
    3/ maintenir comme objectif l'abrogation totale de cette loi ;
    4/ puisque cet objectif n'est guère humainement probable, et que vu le changement profond de culture (dix ans après, il y a encore des gens, et notamment des médecins, qui osent dire qu'ils sont contre. Mais dans trente ans ?) cela le deviendra de moins en moins, il faut demander qu'il existe : - la possibilité pour un médecin de prêter le serment d'Hippocrate et non d'hypocrites, non caviardé, donc avec interdiction de l'avortement et de l'euthanasie ; - la possibilité pour un tel médecin d'afficher publiquement qu'il a prêté ce serment, de façon à ce que les patients puissent être en confiance ; - la possibilité pour des hôpitaux ou autres institutions, de proclamer que chez eux, on ne tue pas !

  • Shimon LEVI
    14/06/2013 09h30

    cher Olivier,
    à 150% d'accord avec votre commentaire.
    Toute euthanasie est un meurtre perpétré avec préméditation, éventuellement en bande organisée, avec rétribution, comme tout tueur à gages.
    Tout avortement est également un meurtre.
    Les lois belges sur ce point sont "infâmes et scandaleuses", et les mots sont faibles. L'abrogation totale de telles lois est le seul objectif digne d'un chrétien, mais comme vous le dites bien, humainement peu probable
    Il est certain qu'une clarification des positions de chacun et en particulier des médecins est indispensable. Mais tous les médecins y sont-ils prêts? Prendre position publiquement c'est évidemment s'exposer à des critiques, mais aussi perdre une partie de la patientèle possible; et avec la surpopulation médicale en Belgique ce n'est jamais facile.
    Ceci dit si j’avais la possibilité de choisir, je ferais le même choix que vous. Les médecins courageux doivent être soutenus financièrement, d'autant plus que cela ne me coûte rien.
    Personnellement aussi, je refuse toute euthanasie, tout autant que toute greffe éventuelle.
    Encore merci de votre position sans ambiguïté, non politiquement correcte, que, dans notre démocratie totalitaire, bien peu sont prêts à laisser s'exprimer.
    Shimon LEVI

  • Merci à Shimon Levi de sa réponse. Je suis d'accord avec le constat d'une pente clairement totalitaire de nos sociétés, notre devoir face à cela est clair : ne pas céder à la peur et surtout, se rappeler du mot d'ordre du Soljenitsyne, ce type de régime ne tient que par le mensonge, notre premier devoir est de n'y pas céder.
    Donc, avoir le courage de dire la vérité.

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