Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quand l'affaire de l'orphelinat de Tuam refait surface

IMPRIMER

Les médias reviennent sur cette affaire. Nous reprenons les réflexions - toujours d'actualité - d'un ami historien que nous avions publiées en juin 2014 au sujet des informations et de l'exploitation médiatique concernant la découverte de 800 cadavres d'enfants en bas âge dans la fosse septique d'un couvent en Irlande:

"Je n'ai évidemment pas les moyens d'investiguer à propos de cette affaire, mais je vous fais part ici de quelques réflexions sur ce qui en est paru avec les commentaire habituels sur "le catholicisme ultra" qui sévissait en Irlande (RTBF ce matin) ou sur le "délire psychotique catholique" des religieuses (Catherine Maignant, professeur d'études irlandaises à l'Université de Lille, dans "La Libre" d'aujourd'hui (5/6) (entre parenthèses, si quelqu'un, dans un autre contexte, se hasardait à parler d'un "délire psychotique juif", il est à peu près certain qu'un tel propos haineux ne serait pas publié).

D'abord, que faut-il croire quand on lit, sur la même page d'un journal  (La Libre, 5 juin, p. 16) des affirmations totalement contradictoires ? A savoir:

- Sonia Delesalle-Stolper, correspondante à Londres de "Libération": les enfants de filles mères "se voyaient refuser le baptême et, s'ils venaient à mourir, une vraie sépulture"

- Catherine Maignant, Université de Lille: les enfants nés d'une relation "diabolique" "étaient quand même élevés en bons catholiques".

Ensuite, de l'article de la correspondante de "Libération" à Londres, repris dans La Libre, on peut déduire un certain nombre d'éléments qui, à tout le moins, nuancent l'impression générale désastreuse que les premières dépêches d'agence ont données. Or, "Libération" est tout sauf un journal catho. Ainsi:

- la soi-disant "fosse septique" avait été en réalité transformée pour être une fosse commune, solution peu heureuse certes, mais courante dans des pays très pauvres comme l'était l'Irlande au milieu du siècle dernier. Les cadavres n'étaient pas "jetés" mais enveloppés dans un drap;

- la même extrême pauvreté, avec les manques en matière de nutrition et d'hygiène qu'elle engendrait, explique la plupart des décès (alors qu'on nous a d'abord parlé de mauvais traitements ou de délaissement): tuberculose, rougeole… , l'Irlande connaissait alors "le taux de mortalité infantile le plus élevé d'Europe"

- les décès (jusqu'à deux par semaine à certaines époques) ont été dûment enregistrés.

De tout ce qu'on a lu et entendu, sous réserve de vérifications factuelles ultérieures, que reste-t-il alors ? Sans nul doute, qu'il y avait chez les religieuses et dans la société en général un déficit de charité dans la manière de traiter les filles mères. Mais cela n'a rien de spécifiquement catholique. La situation n'était pas plus heureuse dans la très puritaine Angleterre. Et les bourgeois anticléricaux n'étaient pas moins rigoristes moralement.

Il y a cependant une tendance à la victimisation systématique des filles mères (le film Philomena de Stephen Frears est symptomatique à cet égard), qui passe à côté d'autres réalités. S'il est vrai que certaines d'entre elles peuvent être considérées comme des victimes, on sait que bien d'autres étaient trop heureuses de se débarrasser, dans un couvent ou ailleurs, de leur encombrante progéniture. Ce problème, qui submergea les religieuses et qu'elles ne purent gérer convenablement, a cessé de se poser à notre époque: on a trouvé des moyens plus expéditifs pour le résoudre...

Voilà, me semble-t-il, ce que l'on peut dire actuellement, pour garder la tête un peu hors de l'eau dans ce déluge médiatique."

Commentaires

  • Je ne suis pas vraiment certain qu'il faille cier au scandale.
    On parle de 800 enfants sur 40 ans soit 20 par an.
    Pensons aux centaines de milliers d'enfants avortés chaque année en France, par exemple.
    Je pense qu'il s'agit, d'abord, d'une propagande anti-catholique.

  • Ayant travaillé dans un service de presse, celui de la Défense nationale, je suis bien placé pour affirmer que les journalistes écrivent n'importe quoi. Etant à cette époque à la source des informations, je lisais bien les déformations ou contre vérités qui étaient publiées. Et souvent leur documentation sur des sujets très précis en matière de défense était lacunaires. Alors qu'un simple coup de fil...Donc dans les matières où je suis incompétent, que ne doit-il pas y avoir de mensonges.

  • Ce 'travail' de Catherine Corless n'est pas un travail d'historienne, mais un travail d'idéologue anticléricale militante.
    .
    Le vrai scandale, qu'il aurait fallu dénoncer, provient des malfaisants qui séduisaient des filles, en abusaient, les mettaient enceintes, puis les laissaient tomber, avec leur enfant, livrées à elles-mêmes. S'en prendre à celles qui essayaient ensuite de les aider, avec leurs pauvres moyens, c'est aberrant et très idéologiquement grand orienté. Pourquoi ce 'travail' n'évoque-t-il pas le comportement immoral des hommes responsables de ces situations ? Parce que la société actuelle ne stigmatise plus du tout ces comportements, et que cette Mme Corless est payée pour stigmatiser la « société d'avant » et idéaliser celle d'aujourd'hui.
    .
    Et pourquoi ce 'travail' n'explique-t-il pas qu'aucune société se disant civilisée ne peut apprécier que des filles tombent enceintes, tout en étant célibataires ? Et cela dans l'intérêt supérieur des enfants, qui sont l'avenir de toute société. Dans n'importe quelle société, une jeune mère seule a les pires difficultés du monde à s'en sortir. Les familles monoparentales aujourd'hui sont toujours la source des pires précarités et des pires drames, pour l'enfant, pour la mère et pour la société elle-même.
    .
    Évidemment, le monde moderne, encore davantage drogué au sexe et aux abus sexuels en tout genre, a pondu une solution plus radicale. Le sinistre 'planning familial' incite aujourd'hui les filles mères à tuer l'enfant, ni vu ni connu. Notre société 'planifie' les éliminations d'enfants 'non désirés'.
    .
    Et l'on a des avortements à la chaîne, par milliers. La mise à mort est exécutée par des médecins, obligatoirement financés par tous les citoyens, même ceux qui ne sont pas d'accord. Et comme cela, les abuseurs en tout genre peuvent proliférer librement, on ne les recherche même pas. Et il n'y a jamais eu autant de filles mères ou avortées qu'aujourd'hui, et souvent très jeunes (dès douze ans). Il n'y a jamais eu autant de mères célibataires qu'aujourd'hui. Il n'y a jamais eu autant d'enfants placés qu'aujourd'hui. Il n'y a jamais eu autant d'enfants maltraités ou tués en bas âge qu'aujourd'hui.
    .
    Les anticléricaux pavoisent sur un monde en décadence et en déliquescence, en faisant croire aux gens que « le monde d'avant » ce n'était pas bien, et que aujourd'hui c'est bien mieux. La seule chose qui fonctionne bien aujourd'hui, c'est la propagande anticléricale, à l'aide des médias.
    .
    La question à se poser : jusque quand et jusque où les gens se laisseront-ils ainsi endoctriner par cette propagande ? Quand on sait combien de temps a duré et jusqu'où a été une propagande contre une autre communauté au siècle dernier, on peut être inquiet de cette propagande-ci, contre la communauté catholique, encore plus virulente peut-être.

  • Excellente et nécessaire mise au point.

  • Si dans l'imaginaire journalistique anticatho une "fosse commune" est transformée en "fosse septique" c'est peut-être que certains avorteurs (et peut-être même la journaliste) ne se sentent pas à l'aise de faire avorter dans des toilettes avec du mifégyne (RU486)et de tirer la chasse sans donner de sépulture. A vrai dire tout cet article semble plus exprimer un malaise vis à vis de l'avortement que l'on résout en accusant un autre. La paille et la poutre.
    Mentez, mentez, plus c'est gros mieux c'est, il en restera toujours quelque chose.

  • Vous avez peur de la vérité ! Comme toujours !
    Pour vous, l'Eglise n'a pu commettre aucun méfait!
    On rejoue la pièce de la pédophilie pratiquée par des prêtres et religieux : "Oh si peu de chose si on considère que ... et que ..."
    Ce n'est pas ainsi que l'on pourra "avancer" !

  • Je remarque, cher Monsieur Delen, que vous n'êtes pas très ouvert à un examen critique à l'égard d'informations (très partielles) qui nous sont assénées par des médias ouvertement anti-catholiques. Cette hargne à l'égard de l'Eglise ne semble pas vous contrarier. Au contraire, vous vous hâtez de faire vôtres toutes les attaques dont elle est l'objet, confondant l'Eglise avec certains de ses membres qui, comme vous et moi, sont évidemment capables du pire (comme du meilleur). Vous reconnaissez-vous dans la terminologie habituelle qui fait de l'Eglise notre Mère, celle qui nous a enfantés dans la foi et par laquelle nous espérons parvenir au salut? Cela ne semble pas évident car, lorsqu'on aime sa mère, on ne peut guère se résoudre facilement à la voir insultée et traînée dans la boue; or cela ne semble pas vous inquiéter. En réalité, j'ai l'impression que vous ne l'aimez pas et que votre coeur incline vers tous ceux qui la combattent et s'efforcent de la détruire.

  • Quand j'évoque ici l'Eglise, vous avez raison, je dois bien distinguer l'Eglise et l'Institutionnel (Magistère, ...).

    Merci de me faire une fois de plus la remontrance en me disant que je n'aime pas l'Eglise ! Vous jugez !

    Une "Mère" a aussi comme mission de répéter à ses enfants leurs droits et leurs devoirs.

    Il est vrai que si je dénonce les abus, j'aurais dû aussi signaler que, par la voie des Ordres et Congrégations religieux, notre société a pu largement bénéficier des bienfaits de leurs apports positifs. L'histoire nous l'a assez démontré ... Mais l'histoire nous montre aussi bien des lacunes, sévices ... commis par des chrétiens. Nier cela c'est nier l'histoire !

  • je voudrais juste ici apporter une expérience particulière. Certes limitée, dont on pourra invoquer les importants biais de recrutement, mais je n'en ai pas d'autre.
    En plus de trente années de pratique comme médecin, neuro-psychiatre, psychothérapeute et sexologue, j'ai rencontré un certain nombre de situations de pédosexualité. (je fais la différence entre pédophilie (attirance) et passage à l'acte plus ou moins fréquent; je distingue aussi entre pédosexualité et éphébosexualité)
    Aucune des situations que j'ai eu à connaître dans la réalité n'étaient le fait de clercs. Toutes celles que j'ai connues l'ont été dans des milieux laïques, voire farouchement anti-catholique. Je dois bien à la vérité de dire qu'un certain nombre étaient le fait de membres de sociétés dites discrètes ou secrètes. Une majorité étaient aussi intrafamiliales, soit dans la relation père-fils, ou père fille soit dans une relation oncle à neveux ou beau-père à beau-fils ou fille. .
    Il faut bien constater aussi que le « tourisme pédosexuel » est rarement le fait de clercs. Et les situations de tourisme pédosexuel asiatiques que j'ai connues étaient liées à l'homosexualité. Il faut bien constater aussi que les professeurs et entraîneurs sportifs, peut-être plus exposés, ne sont pas à l'abri de tels comportements.

    Il faut fuir comme la peste les généralisations hasardeuses ou abusives et je me garderai de tirer quelque conclusion générale que ce soit de mon expérience professionnelle. Mais je suis lassé du battage abusif que l'on fait autour de cas particuliers de membres du clergé.
    Je ne doute pas que certains aient difficile à respecter les engagement qu'ils ont librement choisi. Je ne doute pas que quelque rares prêtres vivent en concubinage. Je ne doute pas que certains, plus rare encore soient homosexuels. Je ne doute pas que certains se soient laissé aller à des relations avec des enfants ou plus souvent avec de jeunes adolescents. Mais ces personnes ne représentent pas, dans mon expérience, la majorité des cas. Ils ne sont à l'évidence qu'une très petite minorité de clercs.
    Le catho-bashing, cela suffit !!

    Il ne faudrait pas prétendre enlever la paille dans l’œil du voisin.
    La pédosexualité, l'éphébosexualité, l'homosexualité semblent surtout le fait d'une classe bourgeoise aisée de gauche. Les errances sexuelles sont souvent onéreuses, et par ailleurs leurs condamnations sans ambiguïté par les trois principaux monothéisme ont plutôt un effet de garde fou. La religion est bien plus souvent une voie de sortie de ces errances qu'une voie d'entrée, et je ne connais pas de religion qui défendent la pédosexualité ou d'autres sexualité perverses.

    Les ministres et les hommes politiques, les fonctionnaires européens et internationaux, ainsi que j'ai pu le constater, ne sont pas protégés de tels errances et fourvoiements. Pas plus que les personnels des moyens de communication ou les artistes, les enseignants, les médecins ou les avocats. Il n'est pas nécessaire de répéter ici les noms évoqués dans la presse pour en être convaincu.

    Pour certains, être « progressiste » se résume à être pour « une sexualité libérée » et au rejet de toute pudeur (forcément rétrograde et conservatrice), c'est être pour la pornographie et la multiplication sans limite des expériences sexuelles. C'est souvent aussi être victime d'une sexomanie obsessionnelle compulsive qui comme toutes les manies mobilisent toutes les ressources en temps et en argent de la personne.

    Un errance est un errance. « Va et ne te fourvoie plus ». Il n'y a pas mort d'homme. Mais un certain nombre de « hauts » fonctionnaires « internationaux », européens ou d'état, un certain nombre de parlementaires (hommes et femmes), de ministres s'égarent dans leur sexualité au point de vouloir la mort de l'enfant conçu. Et là, il y a mort d'homme.

  • J’ai bien saisi votre message. Je ne tenterai pas de rivaliser avec vous dans le domaine qui est votre spécialité.

    Je retire seulement un extrait de votre réponse :

    « Pour certains, être ‘progressiste’ se résume à être pour ‘une sexualité libérée’ et au rejet de toute pudeur (forcément rétrograde et conservatrice), c'est être pour la pornographie et la multiplication sans limite des expériences sexuelles. C'est souvent aussi être victime d'une sexomanie obsessionnelle compulsive qui comme toutes les manies mobilisent toutes les ressources en temps et en argent de la personne … »

    Vous dites bien, je pense :
    « pour certains … être progressiste … »
    Mais, sans vous faire un procès, je suppose que vous mettez dans le terme « certains » : « beaucoup » en ce qui concerne les « progressistes », cette dernière expression qui passe très mal chez ceux qui se veulent traditionnalistes !

    Peu de chrétiens (et en particulier faisant partie soit du clergé, soit d’Instituts religieux) commettent la « faute de la pédophilie » ? Je peux vous rejoindre en ceci : cela reste une minorité parmi l’ensemble de ces hommes qui ont consacré leur vie à Dieu !

    MAIS justement, ces derniers n’ont-ils pas à être des
    « phares » pour les autres ?
    D’autant que je parle d’expérience (ayant été moi-même « Sali » par un religieux : et j’en reste marqué plus de cinquante ans après) !

    Comment comprendre que ces « fautifs » peuvent prétendre continuer à « faire la morale », y compris à ceux qu’ils ont sali, comment peuvent-ils continuer à « faire oraison » ? Comment peuvent-ils continuer à oser dire, au cours de la messe : « Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang » ? Comment osent-ils dire : « Si tu parles, gare à toi ! »

    Osons avouer, nous chrétiens, que le Magistère de notre Eglise, trop souvent, beaucoup trop souvent, a nié cela, a minimisé la porté de tels actes, a tout fait pour qu’en n’en parle pas ? …

    J’ai vécu durant deux ans, en « formation religieuse » deux années complètes avec cinq irlandais (et nous étions cinq belges). Ces frères irlandais étaient bien sympathiques, sauf si l’on abordait certains sujets ! Cela n’a pas empêché que deux d’entre eux ne terminèrent pas la formation avec nous : renvoyés pour cause de …. (Je vous laisse deviner)!

    Mon souhait ? Que l’Eglise mette en valeur tout ce que le christianisme a apporté de positif, de très positif ! Mais que, dans le même temps, il ose être très clair sur la manière dont on doit à présent aborder ces sujets liés à la sexualité et dénoncer tout ce qui salit ses côtés harmonieux ! La sexualité bien comprise est un don de Dieu !

    Je pense que le pape François ose aborder, sainement, tout cela !

    Puisions-nous ne plus à devoir nous trier entre ‘progressistes’ et ‘conservateurs’, mais à nous situer en tant que porteurs de la « Bonne Nouvelle de Jésus » ! Pour le bien de notre religion, pour le bien de l’ensemble de notre société et de notre humanité !

  • @ jacques d ... Il est très triste de lire que « cinquante ans après » vous n'avez pas encore su pardonner ces offenses à celui qui vous a offensé. Car c'est celui qui ne sait pas pardonner qui en souffre le plus. Il porte en lui le désir permanent de punir celui qui l'a offensé et il n'a pas de repos de l'âme tant que cette punition n'aura pas eu lieu. Et si celui qui l'a offensé n'est pas puni par une autorité humaine, il cherche à le punir lui-même, en actes ou en paroles. Le pardon des offenses n'est pas toujours une chose facile, pour personne. Mais vous devriez essayer, comme Jésus nous y invite tous, pour notre bien à tous, et comme Lui nous pardonne nos propres offenses. Les martyrs chrétiens cherchaient à pardonner à leurs bourreaux, comme le fit Jésus sur la Croix. Nous avons tellement d'occasions dans nos vies de suivre leur exemple.

  • Pauvre Job !Ah vous restez identique à vous-même : donneur de leçon !

    "Il est triste de lire que "cinquante ans après vous n'avez pas encore su pardonner ! ". Mais PARDONNER, je l'ai fait depuis très longtemps ! Mon cœur est en paix !
    Je voulais signifier qu'il y a une différence entre "pardonner" et "en garder le souvenir" ! Et certains "souvenirs" peuvent toujours faire bien mal longtemps après l'événement !

    En 2011, tout est "remonté" en moi ! Car enfin ON osait parler de ces méfaits de la pédophilie ! Et que ceux et celles qui en avaient été victimes étaient enfin reconnus. Durant tant et tant d'années, il a fallu garder cela en soi !

    Mais j'arrête ici ma plaidoirie ! Vous trouverez bien dans ma réponse un mot ou l'autre que vous ne pouvez comprendre !

  • @ schlomo ... Une question que je me pose : les psychothérapeutes et sexologues ont-ils l'obligation de dénoncer à la Justice des crimes sexuels dont ils auraient pris connaissance dans l'exercice de leur profession ? Et la Justice fait-elle parfois des descentes dans leurs cabinets, pour mettre la main sur les dossiers de personnes suspectées de tels crimes ?

Les commentaires sont fermés.