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  • Moscou, 30 octobre : commémoration des victimes de la "terreur rouge" et des répressions

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    Lu sur orthodoxie.com :

    Le 30 octobre a lieu la commémoration des victimes de la « terreur rouge » et des répressions au « Polygone de Boutovo » à Moscou

    La manifestation « Voix de la mémoire » se déroule au « Polygone de Boutovo » à Moscou, le 30 octobre, jour de la mémoire des victimes de la « terreur rouge » et des répressions. Un office de requiem est d’abord célébré en l’église des Néomartyrs et Confesseurs de Russie, située sur le « polygone ». La manifestation se déroule ensuite sur le territoire des inhumations. C’est là que sont lus les noms de ceux qui ont péri à Boutovo, ces noms étant conformes aux « listes des fusillés » établies par le NKVD le jour de l’exécution des peines, tandis que les photographies des victimes sont projetées sur un écran. Ceux qui le souhaitent peuvent déposer des fleurs ou allumer des cierges sur les monticules des fosses funéraires. Prennent part à la manifestation les parents des victimes, les représentants des communautés religieuses de Moscou, les organismes publics, des artistes et hommes de science. L’ancien « polygone » du NKVD à Boutovo est connu comme l’un des lieux d’exécutions massives et d’inhumation des victimes des répressions entre 1930 et 1950. Pendant la seule période « de la grande terreur », du mois d’août 1937 jusqu’à octobre 1938, 20.765 personnes ont été fusillées, principalement des habitants de Moscou et de sa banlieue. Ces victimes étaient de 70 nationalités, de toutes les religions et couches sociales, mais leur majorité était constituée d’ouvriers et paysans orthodoxes russes. Le « polygone » de Boutovo est unique en Russie par le nombre de saints canonisés, dont les reliques reposent au même endroit. Actuellement, les noms d’un grand nombre de prêtres et personnes proches de l’Église ont été établis, lesquels ont été fusillés et dont la plupart ont été canonisés. Le métropolite de Saint-Pétersbourg Séraphim a été le premier canonisé par l’Église orthodoxe russe en 1997, et il est le premier saint de la synaxe des Néomartyrs de Boutovo. En 2004 a été posée la première pierre de l’église dédiée aux néomartyrs et confesseurs de Russie. Sa construction a été achevée au printemps de 2007. À la cérémonie de dédicace de l’église prirent part les défunts patriarche Alexis II et le primat de l’Église orthodoxe russe à l’étranger, le métropolite Laur. En 2002, à l’initiative des paroissiens de l’église des Néomartyrs et Confesseurs de Russie à Boutovo, le centre mémorial « Boutovo » a été créé pour coordonner les efforts des organisations gouvernementales, religieuses et autres, afin de créer un complexe mémorial sur ce site.

  • Vente de confessionnaux. L'évêque de Saint-Brieuc réagit

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    La confession tombe en désuétude et les confessionnaux ne sont plus utilisés estime la Ville de Dinan (Bretagne) qui décide de les vendre. Heureuse surprise : l’évêque réagit.

    Lu sur le site du journal « France-Ouest » :

    « La ville de Dinan a décidé de mettre en vente ses confessionnaux. Mgr Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, s'est dit « surpris et choqué ».

    Hier, nous annoncions que la ville de Dinan mettait en vente les confessionnaux de sa basilique. Par un communiqué, Mgr Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, s'est dit « surpris et choqué par cette annonce » et « proteste vigoureusement contre cette vente ».

    L'évêque explique que « le confessionnal n'est pas un meuble ordinaire. Il est le lieu de la célébration d'un sacrement et il ne peut trouver en aucun cas un autre usage. Par ailleurs, cette vente est illégale puisque ce bien communal est protégé de manière permanente par son affectation légale et exclusive au culte. Cela veut dire très clairement que la commune de Dinan ne peut pas vendre ces confessionnaux ».

    Après avoir demandé au maire de Dinan que la vente soit arrêtée, les annonces ont été supprimées du site d'enchères. »

     Ref. Vente de confessionnaux. L'évêque de Saint-Brieuc réagit

     JPSC

  • Fin de vie : un témoignage unique ? Partagez-le !

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    Du site "Euthanasiestop" :

    « Quand on parle de quelqu'un, on raconte toujours les derniers moments de sa vie. Ce sont des jours très précieux, que la personne puisse communiquer ou pas. »

    Bonjour,

    Les envois à partir du site « Euthanasiestop » reprennent et nous voudrions publier VOS témoignages !

    Un témoignage personnel de ce que vous avez vécu dans l'accompagnement d'un proche car ce qui a été révélateur d'humanité pour vous dans ces moments uniques peut aider d'autres qui aujourd'hui vivent quelque chose de semblable.

    Envoyez votre contribution à « contact@euthanasiestop.be »

    Merci!

    P.S. Vous pouvez aussi demander à ce que votre identité ne soit pas diffusée

  • Sédation palliative : le docteur Wim Distelmans veut les voir enregistrées comme les euthanasies

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Que la « sédation palliative » soit une sorte d’euthanasie déguisée, une pratique de « zone grise » où l’intention de tuer est parfois le moteur des décisions prises alors qu’en d’autres occurrences elle vise à soulager des souffrances quitte à abréger un peu la vie, je l’écris ici depuis 2007 (voir ici par exemple). C’était une époque où l’euthanasie était en baisse aux Pays-Bas – elle a fortement progressé depuis – mais où la sédation palliative était déjà de plus en plus fréquente. L’administration poussée de calmants couplée avec l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation peut clairement avoir un objectif euthanasique – nombre de médecins avouaient déjà alors la choisi pour hâter la mort – alors même qu’elle peut être utilisée de manière parfaitement éthique alors que celle-ci est imminente.

    Zone grise, donc, qui a banalisé les gestes médicaux qui provoquent ou qui hâtent la mort : peut-être avons-nous atteint le moment où le lobby de l’euthanasie entend capitaliser sur l’anesthésie des consciences en montrant que la mort est donnée plus souvent qu’on ne le croit.

    C’est en tout cas ce que laisse à penser la dernière initiative du Dr Wim Distelmans en Belgique. Ce spécialiste des soins palliatifs, qui a participé à nombre d’euthanasies très controversées dans le pays, vient de suggérer que les sédations palliatives soient déclarées selon le schéma des euthanasies pour éviter les ratés.

    « On ne peut pas donner aux médecins un chèque en blanc pour hâter la fin de vie sans que le patient n’ait son mot à dire. Sinon nous régresserons vers l’Allemagne nazie », a-t-il déclaré selon le quotidien belge De Morgen.

    Distelmans assure que « une sédation sur dix présente un raté » : oubli de prévenir la famille, administration de sédatifs en quantité insuffisante de telle sorte que le patient se réveilles, « éternisation du processus de mort ».

    L’idée serait de laisser le patient choisir lorsque c’est le cas : « Beaucoup de malades seront d’accord pour passer à l’euthanasie. » Ou bien, lorsque le patient ne s’est pas exprimé, que le médecin puisse prendre une décision d’« urgence » afin d’« abréger les souffrances », pourvu que les proches du malade soient d’accord. Une décision dont ils se méfient, « faute de cadre légal » – et Distelmans approuve ce refus d’agir sans l’accord exprès du patient.

    En faisant enregistrer toutes les sédations palliatives, estime Distelmans, on forcerait les médecins à penser plus souvent à renseigner leurs patients sur l’option euthanasique.

    On comprend que le but est d’utiliser le recours fréquent à la sédation palliative, présentée dans certains cas comme un pis-aller, pour faciliter le recours à l’euthanasie elle-même.

  • Soeur Cristina vers les périphéries

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    5497-sister-soeur-cristina-pochette-premier-album.jpgLu sur le site « aleteia » :

    Pour le premier single de son premier album, elle a osé réinterpréter 'Like a Virgin‘, le tube de Madonna !  Sœur Cristina, phénomène sur les réseaux sociaux depuis sa participation (et sa victoire) à l'édition italienne de ‘The Voice’, fait l’objet de vives critiques dans certains médias catholiques, en particulier italiens, depuis la sortie de son premier single.


    ‘’C'est l’opération commerciale la plus audacieuse dans le panorama musical récent, mais elle nous paraît opportuniste (au niveau discographique s’entend)", estime dans un éditorial l'Agence du Service d’information religieuse (SIR). “De là naissent tout naturellement des doutes quant à l'instrumentalisation de cette religieuse à la voix d’ange, au-delà de sa victoire à la télévision ”, juge sévèrement le SIR. Pour sa part, la revue Famiglia Cristiana, largement diffusée auprès du lectorat catholique en Italie, s’étonne et avertit sœur  Cristina d’être prudente et de ne pas “devenir un personnage ” ou une diva. “Tant qu’elle restera fidèle à elle-même et à sa vocation, elle peut être crédible, même en chantant un tel texte ”, a commenté Don Claudio Burgio, directeur de la chorale du Duomo de Milan, interviewé par la ‘Revista católica’. “L’important, mais on le verra au cours des prochaines années, sera de voir si elle saura surmonter la célébrité et rester fidèle à sa mission.”

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