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  • KTO actualité du livre religieux: le tiercé de Jean-Marie Guénois

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    Trois essais, trois débats dirigés par Jean-Marie Guénois : avec Jean Mercier (rédacteur et chef adjoint de « La Vie », auteur de « Célibat des prêtres, la règle de l’Eglise doit-elle changer ?» (DDB) ;  Denis Moreau, professeur de philosophie à l’Université de Nantes, auteur de : « Pour la vie ? Court traité du mariage et des séparations » (Seuil) ; Yann Raison du Cleuziou, maître de conférences à l’Université de Bordeaux, auteur de « Qui sont les cathos aujourd'hui ?: sociologie d'un monde divisé » (DDB avec  Confrontation)

    JPSC

  • Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, à Vézelay pour le pèlerinage des routiers scouts d'Europe

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    Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, était à Vézelay pour le pèlerinage des routiers scouts d'Europe. Il a présidé la veillée d'adoration du samedi 1er novembre et célébré l'Eucharistie du dimanche 2 novembre.

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    https://www.facebook.com/video.php?v=10152813819342103

  • Rome : nouveau souffle et nouvelle lumière sur la chapelle Sixtine

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    topic (17).jpgVingt ans après sa grande restauration, la chapelle Sixtine dévoile ses tout nouveaux systèmes d’aération et d’éclairage, pour une expérience artistique inédite. Lu sur le site « aleteia » :

    Le lieu que le directeur des musées du Vatican, Antonio Paolucci, aime à surnommer « Somme théologique du christianisme », vient de faire peau neuve, après trois années de recherches et de travaux rigoureux.

    Comme celui-ci l’annonçait cet été à Aleteia, un colloque intitulé « la Chapelle Sixtine vingt ans après, nouveau souffle, nouvelle lumière » s’est tenu au Vatican les 30 et 31 octobre. L’événement était organisé à l’occasion du double anniversaire des 450 ans de la disparition de Michel-Ange et des 20 ans de la fin des travaux de restauration des fresques de l’artiste, par Fabrizio Mancinelli et Gianluigi Colalucci.   

    Antonio Paolucci a présenté aux journalistes du monde entier les nouveaux dispositifs permettant une meilleure préservation et une perspective magnifiée de ce grand symbole de la Renaissance et de la dévotion chrétienne, inauguré en 1512 par le pape Jules II.  

    L’inestimable Jugement dernier pourra désormais respirer grâce à un système de climatisation en mesure de protéger, contrôler et réguler aussi bien la température que l’humidité, et ce quelles que soient les conditions météorologiques. Des caméras compteront automatiquement le nombre de personnes présentes dans la pièce de façon à ce que la température soit maintenue en permanence entre 20 et 25 degrés, et le taux d’humidité entre 50 et 60 %,rapporte l’agence italienne ANSA. Ces mesures étaient devenues une absolue nécessité, dans un contexte de tourisme de masse. Rien qu’en 2013, la chapelle dans laquelle les cardinaux élisent les papes a accueilli quelque 6 millions de visiteurs, un chiffre en constante augmentation.
     
    Mais ces fabuleux progrès techniques n’ont pas uniquement profité à la longévité de l’un des principaux trésor des musées du Vatican, ils en ont également rehaussé la beauté, offrant aux visiteurs une perspective sans précédent de son plafond. Les visiteurs se tenant debout au sol pourront désormais avoir une perception des fresques en trois dimensions. Le nouveau système d'éclairage ultrasophistiqué est constitué de 7000 lampes LED, qui fournissent un éclairage à la fois intense et discret. Elles permettent la mise au jour de détails et personnages jusqu’alors dissimulés par des zones d’obscurité, tout en garantissant une économie d’énergie de plus de 60% par rapport à l’ancien système. Une véritable révolution, pour un coût total de 3 millions d’euros, financés à hauteur de 870 000 euros, d’après La Repubblica, dans le cadre d’un projet de l’Union européenne.
    Outre le chef-d’œuvre de Michel-Ange, ce sont les grands classiques de ses contemporains qui retrouvent pour l’occasion toute leur splendeur : La Tentation du Christ de Botticelli, Le voyage de Moïse et Le Baptême du Christ par Le Pérugin, ou encore La Cène et La Résurrection de Ghirlandaio.   

    Ref. Rome : nouveau souffle et nouvelle lumière sur la chapelle Sixtine

    JPSC

  • Fabrice Hadjadj et l'art contemporain

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    Lu sur FigaroVox (Paul Piccarreta) :

    FIAC, McCarthy... L'oeil de Fabrice Hadjadj sur l'art contemporain

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Quelques jours après la clôture de l'édition 2014 de la FIAC, le philosophe Fabrice Hadjadj revient pour FigaroVox sur sa vision de l'art contemporain, ses beautés et ses dérives.

    Fabrice Hadjadj est directeur de l'institut européen d'études anthropologiques Philanthropos à Fribourg. Il est écrivain et philosophe. Son dernier ouvrage «Qu'est-ce qu'une famille? suivi de La Transcendance en culottes», est paru en septembre aux Editions Salvator (249 p., 20 €). Il avait publié auparavant un essai «Puisque tout est en voie de destruction», (Le Passeur Éditeur, avril 2014).

    FigaroVox: La FIAC (Foire Internationale de l'art contemporain) s'est terminée le week-end dernier. Comme chaque année, la polémique enfle. D'un côté, les laudateurs, de l'autre les contestataires. En ce qui vous concerne, vous passez régulièrement pour un défenseur de la création contemporaine. Et pourtant, vous écrivez aussi contre la modernité. Comment tenez-vous les deux bouts?

    Fabrice HADJADJ: Toutes les époques, il y a eu des nuls et des imposteurs. Mais le nom de FIAC m'a toujours indisposé: les acronymes sont déjà des échecs artistiques et n'augurent rien de bon, d'autant que mon oreille tend à n'y entendre que le mot-valise de la «fiente en frac». Cela foire, effectivement. Aujourd'hui chacun sait qu'il n'y a rien de plus ringard que de militer sous la bannière des avant-gardes. Quant aux partis-âneries, comme vous dites, elles tombent toujours dans les affirmations massives: l'accueil en masse ou la condamnation en bloc. On veut s'épargner un vrai travail de discernement, quelque chose qui ne soit pas que de l'adhésion mondaine ou du rejet épidermique, mais qui se pense à partir de la considération des recherches formelles et d'une mise en perspective dans l'histoire de l'art. Parmi les contemporains, il y a des charlatans, certes, mais il y a aussi de vrais artistes, dignes des grands de jadis. Je pense à Gerhard Richter, à Bill Viola, à James Turell, à Yuri Ancarani, à Rineke Dijkstra et tant d'autres. Tous ceux-là ne prétendent pas à un avant-gardisme en complète rupture avec le passé. Ils entendent au contraire s'inscrire dans la plus pure tradition, revendiquant même un lien avec le Quattrocento ou le Moyen-Âge.

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  • L'évêque de Liège en pèlerinage à l'Enfant Jésus de Prague

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    Visite de Mgr Delville (39).JPGMonsieur l'abbé Kokot, curé de Horion-Hozémont, nous communique cette information:

    Monseigneur J.P. Delville en pèlerinage à l’Enfant Jésus de Prague

    Le 19 octobre 2014, Monseigneur J.P. Delville, évêque de Liège, a présidé le pèlerinage à Horion-Hozémont. Devant une foule de 500 pèlerins, il a prononcé une allocution sur la dévotion à l’Enfant Jésus, sur la démarche de pèlerinage et à encouragé ce sanctuaire naissant. Ensuite, en présence de nombreux prêtres, dont M. l’abbé P. Petit, ancien doyen de Horion-Hozémont, Monseigneur s’est consacré à l’Enfant Jésus de Prague. Les nombreux pèlerins ont alors eu la grâce de recevoir des mains de notre évêque la bénédiction avec l’huile de l’Enfant Jésus de Prague.

    De retour à la sacristie, Monseigneur m’a dit qu’il avait été impressionné Visite de Mgr Delville (14).JPGpar la ferveur des pèlerins et par la présence dans l’assemblée de nombreuses familles, d’enfants et d’adolescents. Comme Curé de la paroisse et initiateur de ce pèlerinage, je remercie humblement notre évêque pour son soutien et son encouragement.

    Abbé P. Kokot