Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Egypte : une embellie pour les Coptes

    IMPRIMER

    Le nombre de Coptes est l'un des secrets les mieux gardés en Égypte. On admet un chiffre moyen qui tourne autour de 10 % de la population (estimée à 85 millions d’habitants)ce qui en fait la plus importante minorité chrétienne dans le Proche-Orient arabe.

    Depuis l’élimination  du Président  Mohamed Morsi, issu de la Confrérie des Frères Musulmans et renversé  le 3 juillet 2013 par un coup d'État militaire organisé à la suite d'un vaste mouvement populaire protestataire, les chrétiens respirent mieux dans ce vaste pays. Dans le mensuel  « La Nef » de ce mois de décembre 2014, Annie Laurent fait le point sur leur situation (JPSC):

    1173880_10152327350420409_6857836207141729937_n.jpg«Les coptes aiment le maréchal Sissi », me confiait cet automne une amie française établie depuis des années au Caire. Il est vrai que les chrétiens d’Égypte se sentent mieux depuis l’arrivée à la tête de l’État de l’ancien ministre de la Défense, Abdel-Fatah El-Sissi, plébiscité lors de l’élection présidentielle du 28 mai 2014, après avoir renversé, le 3 juillet 2013, le président Mohamed Morsi, membre de la confrérie islamiste des Frères musulmans, qui avait été élu un an auparavant. Ce changement a été cautionné par l’Église au plus haut niveau, notamment par le patriarche des coptes-orthodoxes, Théodore II.

    Le président Sissi, qui se montre bienveillant envers le primat de la principale Église d’Égypte, a visiblement l’intention d’œuvrer à la pacification des relations entre les diverses communautés qui composent la nation. Plusieurs initiatives récentes illustrent aussi sa volonté de considérer les coptes comme des citoyens de plein droit.

    Le 11 octobre, le Premier ministre, Ibrahim Mahlab, a participé à une cérémonie marquant la fin des travaux de restauration d’une église historique, appelée communément « la Suspendue », à laquelle les coptes sont très attachés. Situé dans le quartier du Vieux-Caire, ce très ancien édifice, bâti au Ve siècle, doit son surnom à son impressionnante élévation. L’église a en effet été construite à dix mètres au-dessus du niveau du sol, sur les tours d’une antique forteresse, dite de Babylone, érigée là au temps de l’Empire romain. Selon la tradition copte, la Sainte Famille, fuyant les persécutions d’Hérode, aurait fait halte en cet endroit. L’achèvement du chantier était donc très attendu. Au cours de l’inauguration, le Premier ministre, qui est musulman, a tenu à reconnaître le patriotisme des coptes en citant une parole du défunt Chenouda III, prédécesseur de Théodore II : « L’Égypte n’est pas un État où nous vivons, mais un pays qui vit dans notre âme. »

    Lire la suite

  • Noël représente une fête religieuse pour seulement 15 % des Français

    IMPRIMER

    Lu sur le site du journal « La Croix » :

    « Un sondage CSA réalisé pour le journal Direct Matin et publié mardi 2 décembre pose la question de la signification deNoël aux 1 007 personnes interrogées. Chacune pouvait citer 3 mots se rapprochant le plus du sens de Noël parmi 6 proposés.

     D’après ce sondage, la dimension religieuse de Noël n’est citée que par 15 % des personnes interrogées. Pour 81 % des sondés, le mot « famille » correspond le plus à la signification qu’ils accordent à Noël. Viennent ensuite les mots « cadeaux » (68 %), « bon repas » (53 %) et « dépenses » (30 %). Seul le mot « corvée » (12 %) est moins cité que « religion ».

    La religion est plus souvent mise en avant par les personnes âgées de plus de 65 ans (22 %) que chez les plus jeunes (6 % des personnes âgées de 18 à 24 ans ; 10 % des personnes âgées de 25 à 34 ans ; 14 % des personnes âgées de 35 à 49 ans ; 18 % des personnes âgées de 50 à 64 ans).

    Le mot « famille » se retrouve de manière quasiment équivalente chez les différentes tranches d’âges (82 % pour les personnes âgées de 25 à 34 ans et de 50 ans et plus ; 80 % chez les personnes âgées de 35 à 49 ans ; 79 % chez les personnes âgées de 18 à 24 ans). En revanche, les cadeaux sont plébiscités par les 18 à 24 ans (80 %), alors que les plus de 65 ans ne sont que 58 % à les associer à Noël. Le « bon repas » signifie davantage Noël chez les 18 à 24 ans (65 %) et les 25 à 24 ans (67 %) que chez les plus de 65 ans (36 %).

    Les personnes âgées de plus de 65 ans sont également les plus nombreuses (16 %) à associer la fête de Noël à une « corvée » que les plus jeunes (10 % pour les 18 à 49 ans ; 11 % pour les 50 à 64 ans).

    Enfin, ce sont les retraités qui citent le plus volontiers la « religion » (21 %), devant les cadres supérieurs (14 %) et les catégories populaires (11 %). La « famille » est plus associée à Noël chez les cadres supérieurs (85 %) et chez les retraités (83 %) que chez les catégories populaires (78 %).

    Clémence Houdaille »

    Réf. Noël représente une fête religieuse pour seulement 15 % des Français

    JPSC

  • Réforme de la curie romaine : plus de responsabilités pour les femmes et les laïcs

    IMPRIMER

    C’est confirmé : la réforme en cours de la curie va donner naissance à deux nouvelles congrégations pontificales, qui regrouperont chacune plusieurs conseils pontificaux existants, autour de deux pôles : les laïcs et la charité. C’est ce qu’a affirmé au site italien Vatican Insider le cardinal Oscar Maradiaga, coordinateur du C9, le conseil qui aide le pape François à réorganiser les dicastères du Vatican.

    Favoriser la collégialité

     Les dicastères concernés, a précisé le cardinal sud-américain, sont ceux consacrés à la famille, aux laïcs, à la pastorale des migrants et des personnes en déplacement, à celle des services de santé, aux conseils pontificaux Cor Unum et Justice et Paix. Le but de ces regroupements est de rationaliser et simplifier, pour favoriser la consultation et donc la collégialité, a expliqué le cardinal.

    Traditionnellement, les congrégations ou conseils pontificaux sont dirigés par un cardinal ou un évêque. Mais ces deux nouveaux pôles pourraient déroger à la règle, a avancé le cardinal Maradiaga : le pôle laïc-famille pourrait être placé sous la responsabilité d’un couple, tandis qu’une religieuse pourrait diriger la pastorale des migrants ; par exemple, une sœur de la Congrégation des missionnaires de Saint-Charles Borromée (scalabriniane), qui ont une compétence en la matière, a-t-il souligné.

    Postes clefs pour les laïcs et les femmes

    Un couple de laïcs et une religieuse à la tête d’un dicastère de la curie : si cela venait à se confirmer, ce serait du jamais vu dans l’histoire de l’Église et l’annonce d’une nouvelle page qui s’ouvre, où les laïcs et les femmes occuperaient désormais des postes clefs, au plus haut niveau de la hiérarchie de l’Église. Mais cela n’aurait rien d’étonnant car comme on le sait, c’est le souhait du Pape actuel. La Secrétairerie d’État fera elle aussi l’objet d’une réforme, a annoncé Oscar Maradiaga. Le cardinal Parolin devrait en présenter un projet lors de la prochaine réunion du C9.

    sources: VATICAN INSIDER

    Ref. Vatican : un couple à la tête du nouveau pôle laïcs-famille ?

    JPSC

  • Le pape émérite Benoît XVI prend la parole sur l’interdiction de communier imposée aux divorcés remariés

    IMPRIMER

    Le pape émérite Benoît XVI n’a pas attendu le prochain synode sur la famille (octobre 2015) pour réaffirmer et expliciter l’interdiction de communier imposée aux divorcés remariés. Lu sur le site web « Chiesa » de Sandro Magister (extraits) :

    « Dans ses Opera Omnia, Ratzinger est en train de publier à nouveau – avec l’aide du préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, Gerhard Ludwig Müller – tous les textes théologiques qu’il a écrits, regroupés par thèmes. Dans le dernier des neuf volumes publiés jusqu’à ce jour en allemand par l’éditeur Herder – il compte près de 1 000 pages et est intitulé "Introduction au christianisme. Profession, baptême, vie religieuse" – on trouve un article de 1972, relatif à la question de l'indissolubilité du mariage, publié cette année-là en Allemagne dans un livre à plusieurs auteurs consacré au mariage et au divorce.

    Cet article publié par Ratzinger en 1972 a été exhumé par le cardinal Walter Kasper qui l’a utilisé, au mois de février dernier, dans le discours qu’il a prononcé pour ouvrir le consistoire des cardinaux convoqué par le pape François afin de débattre sur le thème de la famille en vue du synode des évêques programmé pour le mois d’octobre […]  En effet, dans cet article de 1972, Ratzinger, alors âgé de quarante-cinq ans et professeur de théologie à Ratisbonne, affirmait que le fait de donner la communion aux divorcés remariés apparaissait, si l’on respectait certaines conditions particulières, comme étant "tout à fait en ligne avec la tradition de l’Église" et en particulier avec "ce type d’indulgence que l’on voit apparaître dans l’œuvre de Basile, selon qui, après une période prolongée de pénitence, le "digamus" (c’est-à-dire celui qui vit en secondes noces) se voit concéder l’accès à la communion sans que son second mariage ait été annulé : dans la confiance en la miséricorde de Dieu, qui ne laisse pas sans réponse la pénitence".

    Cet article de 1972 a été la première et la dernière manifestation par Ratzinger d’une "ouverture" à l’accès des divorcés remariés à la communion. Par la suite, en effet, non seulement il a pleinement adhéré à la position rigoriste, consistant à leur interdire de communier, qui a été réaffirmée par le magistère de l’Église au cours du pontificat de Jean-Paul II, mais il a également, en tant que préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, contribué dans une mesure déterminante à l'argumentation déployée en faveur de cette interdiction. 

    Lire la suite

  • Couples lesbiens : le lien de filiation de la coparente sera désormais automatique

    IMPRIMER

    Le n'importe quoi à la belge franchit une nouvelle étape comme on peut le découvrir sur le site de la RTBF (Daphné Van Ossel) :

    "Une bonne nouvelle pour la communauté lesbienne. La coparente, c'est-à-dire la mère qui ne porte pas le bébé, ne devra plus passer par l'adoption pour établir un lien de filiation avec son enfant. Une nouvelle loi entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Les parlementaires fédéraux ont apporté hier la dernière touche. Le lien de filiation sera désormais automatique.

    Jusqu'à présent, ces "co-mères", ces mères qui ne portent pas l'enfant doivent passer par l'adoption intrafamiliale : elles doivent adopter leur propre enfant. La  procédure implique des formations, une enquête, des rencontres avec un psychologue, etc... Cette procédure peut être longue. (...)

    Les mêmes droits que les pères hétérosexuels

    Ce ne sera plus possible avec la nouvelle loi qui entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Si une coparente est mariée à la mère biologique, elle sera automatiquement considérées comme la mère de l'enfant. C'est ce qu'on appelle la "présomption de maternité", à l'image de la "présomption de paternité" (on suppose que le mari de la mère est le père). Si la coparente n'est pas mariée, c'est comme pour les hétéros : il faudra simplement aller reconnaître l'enfant à la commune avec l'accord de la mère biologique.

    Lire la suite

  • Avortement : le Grand-Duché passe à la vitesse supérieure

    IMPRIMER

    Lu ICI :

    "Une femme pourra maintenant avorter jusqu'à la 14e semaine de grossesse, sans devoir déclarer une raison déterminée pour ce faire.

    Que signifie concrètement cette légalisation de l'avortement jusqu'à 3 mois de grossesse? Lors du briefing qui a suivi le conseil des ministres vendredi, le ministre de la Justice, Felix Braz, a présenté le plan pour cette nouvelle loi sur l'avortement: une femme pourra interrompre sa grossesse jusqu'à la 14e semaine sans devoir fournir une raison ou démontrer une détresse.

    Et Daniele Ignite, la présidente du Planning familial, trouve cela très positif. C'est précisément ce que souhaitait le Planning. La pré-consultation a également été supprimée, ce qui est une bonne chose: la femme va enfin pouvoir décider seule de ce qu'elle fait avec son corps. En d'autres termes, le femme n'aura plus besoin d'un certificat d'un médecin qui autorise un avortement pour des raisons psychologiques ou sociales." (...)

  • Le sort des chrétiens au Moyen-Orient n'a intéressé personne en Occident

    IMPRIMER

    De Zenit.org (Anita Bourdin) :

    Le sort des chrétiens au Moyen-Orient n'a intéressé personne en Occident, dénonce Marc Fromager

    "Comprendre ce qui se passe au Moyen-Orient et les différents enjeux qui en forment la trame", c'est l'objectif d'un colloque organisé par l'AED-France vendredi prochain, 5 décembre, à Paris, sur ce thème: "Vers un nouveau Moyen-Orient" et avec cette question: "la fin des chrétiens?" Le directeur de l'AED-France, Marc Fromager, déplore que le sort des chrétiens au Moyen-Orient n'ait intéressé personne.

    Zenit - Marc Fromager, vous organisez un colloque intitulé "vers un nouveau Moyen Orient":
quel est votre objectif?

    Marc Fromager - L'objectif est assez simple. Il consiste à essayer de comprendre l'inextricable chaos qui règne au Moyen-Orient. Cela peut paraître ambitieux mais il nous semble qu'il doit être possible de démêler un tant soit peu l'enchevêtrement des différentes causes de cette situation. Prétexter la profonde complexité de la région - et nous ne la nions pas - pour s'abstenir d'y voir un peu plus clair ne nous satisfait pas. C'est la raison pour laquelle nous réunissons des experts à la fois géopolitiques et religieux pour nous aider à comprendre ce qui se passe au Moyen-Orient et les différents enjeuxqui en forment la trame.

    Comme vous le savez, l'AED a une triple mission, l'information, la prière et l'aide concrète. Concernant l'aide apportée, je rappelle que l'AED vient de débloquer un programme exceptionnel de 4 millions d'euros pour les réfugiés chrétiens au nord de l'Irak, qui s'ajoutent aux 3,5 millions d'euros apportés depuis trois ans aux réfugiés
chrétiens de Syrie. Pour en revenir au Colloque, il s'agit bien sûr de notre mission d'information. Comme pour chacun de nos colloques, nous en publierons les Actes dans un souci de diffuser les différents
points qui auront été développés au cours de la journée.

    Lire la suite

  • France : le Parti Républicain Chrétien dresse le bilan de la Loi Veil

    IMPRIMER

    Quel bilan dresser de la loi Veil, 40 ans après ? (source)

    A l’heure du 40 ème anniversaire de la loi Veil du 26 novembre 1974, quel bilan faire du recours  à l’IVG ?

    La loi Veil a légalisé  l’interruption volontaire de grossesse afin de répondre à la situation de détresse (article 4*) dans laquelle se trouvaient certaines femmes socialement défavorisées qui n’avaient pas accès à la contraception, et qui faute de pouvoir assumer l’éducation de leur enfant, pratiquaient cet acte parfois dans les pires conditions.

    Dans l’esprit de cette loi, qui se voulait protectrice des personnes défavorisées, avorter restait une exception au principe du respect de tout être humain dès le commencement de la vie. C’est ainsi que l’article 1 de la loi rappelait qu’il  « ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la loi. »

    40 ans après, alors que la contraception est banalisée, il est légitime de nous demander si la mise en œuvre de cette loi a vraiment bénéficié aux personnes socialement défavorisées et si l’IVG est restée une exception au principe du respect de la vie.

    En France, le nombre d’avortements ne diminue pas. Il a même augmenté en 2013

    Depuis ces dix dernières années, il existe en moyenne  200 000 avortements par an. Ce chiffre est passé  à 217 000 en 2013 selon un rapport de la Direction des Etudes et Statistiques du ministère de la Santé (Drees) publié en juin. Cette situation s’explique par le fait que  l’IVG est remboursée à 100% par la sécurité sociale, alors que les pilules ne le sont pas, ce qui en fait un moyen de contraception plus accessible pour toutes les femmes. 

    Lire la suite

  • Bientôt Noël : affichons-le à nos fenêtres

    IMPRIMER

    1124708970230.jpgDe l'Aide à l'Eglise en Détresse (Belgique) :

    Alors ce n’est que cela, Noël ? Une maison et un jardin pleins de lumières clignotantes, des sapins décorés dans les étalages des magasins, des boules de Noël à profusion et des cadeaux hors de prix qui allègent inutilement le portefeuille, ou des Pères Noël qui grimpent le long des façades et n’ont rien d’autre à dire que « Ho, ho, ho » ?

    Non, c’est tellement plus que cela, Noël ! Noël est le jour où nous sommes reconnaissants parce que Jésus, notre Sauveur et Rédempteur, est venu au monde, dans une modeste étable, parmi des gens qui n’avaient pas voix au chapitre dans la société.

    Il nous apporte la Bonne Nouvelle, nous dit que Dieu aime tout le monde et veut être présent parmi nous.

    C’est pourquoi Église en Détresse s’associe à l’asbl Herbronnen pour diffuser, à travers ces affiches de Noël, le vrai message de Noël. Accrochez-les à vos fenêtres et mettez ainsi l’accent sur la « véritable » essence de la fête de Noël. Commandez vos affiches gratuites ici : http://www.kircheinnot.be/FR/Produit/affiche_de_noel/default.aspx

  • Le djihad du sexe

    IMPRIMER

    Lu sur Oasiscenter.eu (Chiara Pellegrino) :

    L’appel au djihad du sexe

    Le jihad du sexe est présenté non sans succès par des sites internet et social networks qui offrent aux femmes la possibilité de se marier avec les combattants en Syrie et en Iraq. Certaines fatwa le soutiennent, d’autres le condamnent. Voici un tableau synthétique de la manière dont les médias arabes le présentent.

    Les militants de Daesh, le sigle arabe pour désigner l’EILL, ont lancé une véritable campagne médiatique pour recruter des femmes à la cause du jihad. On trouve sur le web des account Twitter et des pages de Facebook de plus en plus nombreux, en arabe mais aussi en anglais, qui invitent les musulmanes (et pas elles seulement) à entreprendre ce que l’on appelle le « jihâd al-nikâh », le jihâd du sexe. Jihad Matchmakers est l’une des nombreuses adresses Twitter qui se proposent « d’aider les frères et les sœurs qui vivent en Syrie à trouver l’épouse halâl [en arabe, licite] ». Ouvert le 4 septembre dernier, il a atteint en très peu de temps plus de 300 followers. « Veux-tu épouser un jihadiste en Syrie? Veux-tu épouser une femme-martyre ? Écris-nous en précisant ton âge, ta langue et ton état-civil, et puis invoque le Clément. Dieu est le plus généreux ! » peut-on lire sur l’un des accounts.

    Lire la suite sur le site d'Oasis