Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de mon ordination sacerdotale. Je vous demande de prier pour moi et pour tous les prêtres.
via le Salon beige
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Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de mon ordination sacerdotale. Je vous demande de prier pour moi et pour tous les prêtres.
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Nous vous invitons à venir écouter et à chanter avec la chorale et des Paroissiens de Notre-Dame de Stockel, des airs de Noël, le samedi 20 décembre à 10h30, sur la Place Dumon, près de la crèche, à l’occasion du marché.
L’abbé Édouard Marot, soutenu par la chorale paroissiale, est l’initiative de cette joyeuse animation que nous avions déjà faite l’année dernière, pour la grande joie des passants.
(source)
Voir aussi : Le-20-12-2014-Bruxelles-chante
Du site aleteia.org :
Embryon : Le oui à la vie en dix vérités scientifiques
Ces dernières décennies, la connaissance de l'embryon a fait un bond en avant, et les conclusions sont très claires...
1. Au cours des vingt-cinq dernières années, la science moderne nous en a révélé davantage sur notre développement biologique que toutes les recherches menées dans le monde en trois mille ans.
2. On sait aujourd'hui que l'embryon humain est un sujet à part entière, un individu unique, un être vivant doté d'une nature bien définie, et non une partie du corps de la mère ou un appendice de celle-ci.
3. Dès l'union d'un gamète (ou cellule) mâle et d'un gamète femelle, l'embryon possède déjà des caractéristiques structurelles et fonctionnelles distinctes de celles de la mère, que ce soit dans son étape unicellulaire ou dans les diverses étapes de la division cellulaire.
4. Au cours de toutes ces étapes, l'embryon se comporte comme un système organique possédant une identité propre, un métabolisme propre, un système immunologique propre, des acides nucléiques et un groupe sanguin différents de ceux de sa mère, selon un modèle de développement vers des états définis, empiriquement détectables.
5. En tant qu'individu autonome, l'embryon s'auto-organise en vue de son unité, avec une totale autonomie. Toutefois, ce développement, bien qu'autonome, n'est pas indépendant de la mère. Il dépend de son utérus durant un temps variable. Par la suite, à la naissance, l'embryon continuera de dépendre de la mère ou d'autres personnes, pour sa survie, durant un laps de temps plus long, également variable. L'être humain est l'espèce qui prolonge le plus sa dépendance alimentaire. Cependant son état de dépendance intra-utérine n'a rien à voir avec son autonomie et sa condition spécifique.
6. Le développement embryonnaire est donc continu, sans sauts ni ruptures, irréversible et graduel ; il s'opère en vertu de programmations effectuées par le génome pour permettre les étapes successives du développement de l'organisme humain individuel.
7. Par conséquent, il présente au cours de ces différentes étapes le développement de structures reconnues comme préparatoires aux étapes suivantes, celles-ci étant définitives. De sorte que, à dix-huit jours, l'embryon a un cœur qui bat, à vingt jours un système nerveux en croissance constante. À 42 jours il est déjà doté d'un squelette complet et de réflexes. À huit semaines, on peut lui faire un électrocardiogramme, et il est possible d'enregistrer ses battements de cils, ses réactions, ses réponses à des stimuli.
8. Toutes ces structures s'ajoutent, petit à petit, les unes aux autres de façon organisée et dans une unité fonctionnelle, pour aboutir à l'état final, définitif, de développement. C'est pourquoi cet être humain est à la fois un et lui-même, dans le plus strict respect de la connaissance biologique. C'est une seule et même personne, depuis la fécondation jusqu'à la gestation puis l'âge adulte.
9. Pour avoir vieilli, un être humain a dû passer par des étapes : maturité, jeunesse, enfance, mais aussi fœtales et embryonnaires. Au cours de l'ensemble de ce processus continu, ce développement est ni plus ni moins celui d'un être humain, sans sauts ni apparitions mystérieuses d'une condition humaine.
10. Il est scientifiquement inapproprié d'affirmer que c'est seulement quand apparaissent des structures cérébrales et mentales que l'embryon est à proprement parler 'humain', puisque, pour que ces structures cérébrales et mentales apparaissent dans l'embryon, celui-ci possède déjà une condition biologiquement humaine.
Traduit de l'édition hispanophone d'Aleteia par Elisabeth de Lavigne
source: Revista Ser Persona
L'abbé Guillaume de Tanoüarn nous livre son sentiment à propos de ce film :
Lorsque j'ai appris cela, j'ai cru que c'était un gag. Mais voilà que Marc, mon vieil ami, genre cathophile agnostique, me téléphone : "As-tu entendu, vu, que penses-tu de M ou le troisième secret de Fatima ?". Cette fois pas de doute : il y a un cinéaste, Pierre Barnérias, qui a osé faire ce film sur le troisième secret. Ce n'est plus radio-bigote. Ca existe en vrai. Marc est volontaire pour aller le voir une deuxième fois, parce que, me dit-il, "je t'avoue que je n'ai pas tout compris". Rendez-vous est donc pris Rue Saint-André des arts. Deux heures. On voit à peine passer le temps au cours de ce documentaire qui nous emmène aux quatre coins de la Planète, dans une enquête un peu échevelée sur... le surnaturel chrétien, et plus précisément sur le miracle catholique. Tout y passe : les images "interdites" de la messe au cours de laquelle, Mgr Decourtray officiant, l'hostie était restée dix centimètres au dessus de la nappe d'autel pendant un quart d'heure ; les icônes qui suintent de l'huile, non seulement en Syrie mais en banlieue parisienne ; la foudre qui tombe sur le Vatican au moment de la démission de Benoît XVI. Barnerias raconte. Il accumule. A vous de juger, semble-t-il nous dire. Je me tourne vers Marc, optimiste : "D'accord à 80 % - A 60 % tu veux dire". Je ne chipoterais pas : on n'est pas à 20 % près. Je dirais même : s'il n'y avait que 10 % de dur, 10 % d'irréfutable... Cela suffirait ! Je m'abstiens pour l'instant d'expliquer cela à mon voisin : le film n'est pas fini. Ca continue, un peu genre "Des racines et des ailes" me précisera Marc. C'est vrai, c'est du gros cinéma. Mais il y a des trucs... Impossibles!
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Voir aussi la video d'Arnaud Dumouch : http://youtu.be/BkP4wZITB4s dont voici la présentation :
AFRIQUE/KENYA - Demande d’un « effort sérieux » de la part des responsables chrétiens aux musulmans pour bloquer la violence des Shabaabs (source)
Nairobi – « Nous désirons voir un effort sérieux et concerté de la part de nos frères et sœurs musulmans. Ils doivent aller au-delà de la simple condamnation de la vague d’attaques qui ont pris pour cible les non musulmans, pour commencer à entreprendre des initiatives à l’encontre des sympathisants de la terreur en nous aidant à construire des ponts entre fois et communautés » affirment les responsables chrétiens du Kenya dans une déclaration conjointe intitulée « L’Etat de la Nation ».
Selon ce qu’indiquent les Agence catholiques CISA et CANAA, la déclaration, présentée à la presse le 10 décembre, a été signée par les responsables religieux catholiques, anglicans, presbytériens, méthodistes et de l’African Inland church.Les responsables chrétiens affirment avoir « réfléchi profondément et avec un cœur brisé » à l’Etat de la Nation après les dernières attaques perpétrées par les intégristes somaliens d’Al Shabaab. « Les attaques qui ont initialement pris pour cible les lieux de culte chrétiens de Nairobi, Garissa et Mombasa, sont maintenant dirigés contre des chrétiens innocents se trouvant dans les transports publics ou sur leur lieu de travail » affirme la déclaration, faisant référence aux récents massacres des 22 novembre et 2 décembre au sein du comté de Mandera dans le cadre desquels plus de 60 personnes ont trouvé la mort sur la seule base de leur appartenance religieuse .
« Au cours de cette seule année, plus de 20 attaques ont eu lieu, laissant un sillage de mort et de destructions, plus de 200 kenyans ayant perdu la vie dans ce cadre » souligne le document.« La réalité de cette situation nous porte à la conclusion que ces attaques, perpétrées par des personnes qui affirment appartenir à Al Shabaab, ont pris une dimension religieuse » affirment les responsables chrétiens, qui invitent les kenyans « à éviter les déclarations qui incitent ultérieurement à la haine et divisent le pays suivant des lignes de partage religieuses ».
Les chefs des confessions chrétiennes concluent en soulignant la nécessité de surmonter le manque de coordination entre les organes de police et de renseignement, et en rappelant les responsables politiques à leurs responsabilités propres afin qu’ils oeuvrent pour l’unité nationale et ne profitent pas en revanche de l’insécurité pour alimenter de nouvelles divisions à des fins électorales.