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  • Le passeur de Dieu, un roman du Père Zanotti-Sorkine

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    Le passeur de Dieu

    Présentation de l'éditeur :

    Xavier, trente-deux ans, journaliste à Paris, ne supporte plus la vie qu'il mène. Usé par son rythme trépidant, lassé des amours éphémères, déçu par la médiocrité des liens, vidé de tout élan et ne sachant plus où trouver de la force pour éclairer sa vie, il décide, sur un coup de tête, de passer quelques jours dans un ermitage auprès d'un vieux moine, haut en couleur, à la stature spirituelle et humaine hors du commun. Il s'installe au creux d'un monastère perdu dans la montagne. Partageant la vie de prières et les travaux des moines, il dort dans une cellule et prend un repas par jour. Sa cure de silence est entrecoupée par des conversations à la fois chaleureuses et exigeantes menées souvent par le père supérieur et parfois avec les autres moines dont les différentes personnalités le surprennent, mais moins toutefois que le bonheur qu'ils respirent. À la fin de sa retraite, il remonte à Paris en partie lavé de son mal-être et rencontre une jeune femme. Un voyage initiatique aussi dense qu'inattendu, ponctué de dialogues revigorants, riche de sagesse et de bon sens, plein d'émotion et parfois d'humour où la source du christianisme jaillit comme un leçon de vie.

    Voir également : le-passeur-de-dieu-ou-linvitation-au-ciel-du-pere-zanotti-sorkine

  • BXL 28 mars : Ne désacralisons pas nos églises par Véronique Hargot-Deltenre

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    Conférence 

       le 28/03/2014 à 18.30H

     

    Ne désacralisons pas nos églises

     

    Véronique Hargot-Deltenre

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    UOPC

    Avenue Gustave Debroux 14-16

    1160 Bruxelles

     

    Entrée gratuite

    Réservation souhaitée

  • Faire confiance à la Providence (8e dimanche du temps ordinaire)

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    Vivre de la Providence

    homélie de l'abbé Christophe Cossement pour le 8e dimanche A, 2 mars 2014

    « Le Seigneur m’a abandonnée, le Seigneur m’a oubliée ». Ce cri du peuple de Dieu devient un jour ou l’autre le nôtre, jaillissant du plus profond de notre détresse. Alors les paroles de Jésus nous arrivent comme une provocation  : ne vous faites pas tant de souci pour votre vie ! Dieu ne fera-t-il pas bien davantage pour vous que pour les oiseaux du ciel qu’il nourrit ou l’herbe des champs qu’il habille ? Dans toutes nos détresses et devant tout ce qui nous menace il nous est donné une présence, celle de Dieu, qui veille.

    Cette présence n’est pas très facile à percevoir, et l’être humain voudrait une assurance plus concrète devant tout ce qui le menace — par exemple la possibilité de ne plus compter aux yeux des autres, ou une maladie grave ; toutes ces situations où nous rejoignons la condition humaine dans sa fragilité, dans le fait d’être « chair » comme dit la Bible. Où trouver une sorte d’assurance vie contre tout ce qui est inquiétant ? Lorsqu’on cherche une assurance plus concrète que l’amour de Dieu et de nos proches, inévitablement on tombe sur l’argent. L’argent comme source de paix et de confort, est-ce plausible ?

    Beaucoup de gens entretiennent un rapport à l’argent où ils sont captifs. S’ils disent que l’argent ne fait pas le bonheur, ils ajoutent aussitôt  : mais il y contribue. Et ainsi, d’une certaine façon, ils placent leur espérance dans l’argent. Or l’argent a sa propre logique, qui engendre la crainte de ne plus en avoir, qui nous engage dans des démarches pour avoir plus d’argent, sans trop regarder si les placements offerts par la banque font prospérer l’économie des hommes ou seulement les marchés financiers. La logique de l’argent est opposée à celle du cœur, et elle ferme le cœur. Elle fait regarder les pauvres non comme des frères mais comme des personnes encombrantes qui en veulent plus ou moins à notre argent. Elle fait fuir dans un travail qui absorbe toute notre énergie et toutes nos capacités relationnelles, de sorte qu’on rentre à la maison avec de quoi bien vivre mais aussi tendu et refermé, exigeant et insatisfait. Promettre le bonheur et rendre insatisfait, entraînant dans une course en avant vers les plaisirs, c’est la logique de l’argent.

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  • Adapter la déclaration universelle des droits de l'homme aux "nouvelles réalités familiales" ?

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes diplomates d’Obama tentent d’effacer une partie de la déclaration universelle

    NEW YORK, 28 février (C-FAM) Déçus de ne pas être parvenus à intégrer une définition de la famille compatible avec l’homosexualité, l’administration Obama a tenté de retirer des références à la Déclaration universelle des droits de l’homme, des termes consacrés par les fondateurs de l’Onu, et auxquels tous les documents officiels de l’Onu font référence depuis lors.

    Ces dernières décennies, le terme « famille » est régulièrement l’objet de polémiques. En cause, l’échange de passes entre ceux qui souhaitent la reconnaissance de « diverses formes de famille », et ceux qui pensent que la famille est « l'élément naturel et fondamental de la société », comme l’affirme la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH).

    C’est à huis clos que les négociateurs américains ont mis sur table leur demande de remplacement de la traditionnelle définition de la famille, celle de la DUDH, par une nouvelle description des familles, qui ont « diverses formes et fonctions » et expriment la « diversité des préférences individuelles. »

    La définition proposée exclut la notion de famille naturelle, reposant sur l’union d’un homme et d’une femme, comme le cadre normal de procréation et d’éducation des enfants. La proposition américaine a finalement été rejetée par les Etats membres de l’Onu.

    Cet événement met les Etats-Unis dans une position délicate.

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  • BXL, vendredis de Carême : chemin de croix à l'église de La Viale Europe

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  • Le financement de la recherche sur l'embryon à l'ordre du jour de la Commission européenne

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    Lu sur La Croix (Marianne Meunier) :

    Le financement de la recherche sur l’embryon examiné par la Commission européenne

    Une proposition d’interdiction du financement de la recherche sur l’embryon a reçu le soutien de plus d’un million d’Européens.

    Elle a été déposée auprès de la Commission, qui doit donner une réponse dans les trois mois.

    L’initiative citoyenne européenne (ICE) « Un de nous » vient de franchir une nouvelle étape. Ce projet, qui vise à faire interdire le financement par l’Union européenne (UE) de la recherche impliquant la destruction de l’embryon humain, a été officiellement validé par la Commission européenne vendredi 28 février. 

    Il a rempli les conditions prévues dans le « mode d’emploi » de l’ICE, un outil en vigueur depuis avril 2012 censé rapprocher l’UE du citoyen en lui offrant l’occasion de solliciter l’exécutif communautaire sur un sujet donné. En retour, celui-ci peut décider, ou non, d’apporter une réponse législative.

    PLUS D’UN MILLION DE SIGNATURES

    Lancée en mai 2012 sur l’idée de l’eurodéputé italien Carlo Casini (membre du Parti populaire européen, de centre droit), « Un de nous » a recueilli 1,7 million de signatures dans 19 pays de l’UE – un minimum d’un million de signatures, collectées dans au moins sept pays de l’UE, avec un seuil par pays, est prévu par le règlement.

    « C’est très représentatif d’une préoccupation partagée en Europe », estime Gregor Puppinck, juriste, directeur du European Centre for Law and Justice et co-initiateur de « Un de nous » en France, où le projet est soutenu par la Fondation Jérôme Lejeune, le Comité protestant pour la dignité humaine et les Associations Familiales Catholiques.

    INTERDIRE LE FINANCEMENT

    La bioéthique ne relève pas du champ de compétences de l’UE. Les promoteurs de « Un de nous » se fondent néanmoins sur un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), rendu en octobre 2011, qui avait interdit de breveter une invention « qui requiert la destruction préalable d’embryons humains ou leur utilisation comme matériau de départ ». 

    De leur point de vue, les fonds européens finançant la recherche sur l’embryon entrent en contradiction avec les principes affirmés par ce texte. Débloqués dans le cadre de divers programmes, ils se seraient élevés à 50 millions d’euros sur la période 2007-2013.

    Dans la proposition de « Un de nous », l’interdiction doit porter sur trois domaines : le budget de l’UE en général, le financement des programmes de recherche et l’aide au développement, qui peut, selon les défenseurs de l’initiative, soutenir indirectement des programmes d’avortement. 

    « On attend un engagement formel de la part de la Commission européenne de ne plus financer l’avortement dans le monde, indique Gregor Puppinck. Et si la Commission dit qu’elle ne le finance pas, nous attendons que cette abstention soit couchée par écrit. Et nous attendons la même chose pour la recherche sur l’embryon. »

    PROCHAINES ETAPES

    Les membres du comité ayant promu l’initiative doivent être reçus par le Parlement et la Commission pour une audition commune courant avril. D’ici au 28 mai (soit dans les trois mois suivant la validation de l’initiative), la Commission doit présenter une « communication publique » expliquant si elle donne suite, ou non, à l’initiative. Dans un cas comme dans l’autre, sa position doit être argumentée.

  • Fabrice Hadjadj : "il n'y a avait pas plus antichrétien que moi"

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    Philosophe, auteur de pièces de théâtre et écrivain français – Fabrice Hadjadj a reçu l’an dernier le prix « Spiritualités d’aujourd’hui » pour son livre Comment parler de Dieu aujourd’hui : Anti-manuel d'évangélisation; il enseigne également la philosophie au Collège St-Michel (Fribourg). Il se confie à l’Apic à l’occasion du 10e anniversaire de cet Institut qui accueille en ce moment 51 étudiants venus de divers pays européens.

    Lire cette interview sur Apic

  • Vous avez dit "famille" ?

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    De Gregor Puppinck sur Liberté Politique :

    Europe : la famille diluée dans les droits de l'homme

    Dans un arrêt rendu le 7 novembre 2013, la CEDH a estimé que deux hommes adultes vivant séparément devaient bénéficier de la protection accordée aux familles dans le cas particulier où ils entretiennent une relation homosexuelle stable. Selon cette nouvelle conception du droit, ce n’est plus la famille qui précède l’État, mais la famille qui procède de l’État*.

    La Cour européenne des droits de l'homme (la cour) affirme dans l'arrêt Vallianatos et autres c. Grèce (n° 29381/09 et 32684/09) que, dorénavant, lorsqu’un État européen légifère en matière de famille, il « doit choisir les mesures [...] en tenant compte de l’évolution de la société ainsi que des changements qui se font jour dans la manière de percevoir les questions de société, d’état civil et celles d’ordre relationnel, notamment de l’idée selon laquelle il y a plus d’une voie ou d’un choix possibles en ce qui concerne la façon de mener une vie privée et familiale » (§ 84).

    La Cour veille ainsi à ce que les États européens adaptent leur législation à (sa propre perception de) l’évolution des mœurs. Cet arrêt marque une étape nouvelle dans la dissolution accélérée de la définition juridique de la famille qui, de réalité biologique et institutionnelle, est devenue une notion extensible jusqu’à l’incohérence.

    La famille constituée par le mariage ou/et les enfants

    La Convention européenne des droits de l’homme (la Convention) protège « la vie privée et familiale » dans une même disposition (art. 8), avec le domicile et la correspondance, mais la Cour a progressivement distingué la protection de la vie privée de celle de la vie familiale. La vie privée est un concept large qui ne se prête pas à une définition exhaustive. Sa protection a essentiellement pour objet de prémunir l’individu contre les ingérences arbitraires des pouvoirs publics et peut engendrer de surcroît des obligations positives inhérentes à un « respect » effectif de la vie privée (Olsson c. Suède, n° 10465/83, 24.03.1988).

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  • Google, fer de lance de la révolution transhumaniste

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    "Tuer la mort et rendre l'homme immortel", tel serait le projet de google.

    Le 26 février, les stratégies de Google a été le thème abordé par Laurent Alexandre, président de DNAVision, dans Good Morning Business, avec Stéphane Soumier, sur BFM Business.

  • L'Eglise, des frères qui s'aiment malgré les différences

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    D’Anita Kurian sur le site Zenit.org à propos de la rencontre des évêques amis du Mouvement des Focolari :

    « Le pape a rencontré les évêques amis du mouvement des « Focolari », le 27 février 2014, au Vatican.

    Saluant le thème de leur congrès annuel – « La réciprocité de l’amour entre les disciples du Christ » – qui « rappelle le commandement nouveau donné par Jésus à ses disciples », le pape s’est réjoui de « cette occasion de partage fraternel des expériences spirituelles et pastorales dans la perspective du charisme de l’unité ».

    « La société d’aujourd’hui a grand besoin du témoignage d’un style de vie d’où transparaît la nouveauté donnée par le Seigneur Jésus : des frères qui s’aiment malgré les différences de caractère, de provenance, d’âge… Ce témoignage fait naître le désir d’être impliqués dans la grande parabole de communion qu’est l’Eglise », a-t-il ajouté.

    En effet, a poursuivi le pape, « quand une personne ressent que “la réciprocité de l’amour entre les disciples du Christ” est possible et est capable de transformer la qualité des relations interpersonnelles, elle se sent appelée à découvrir ou à redécouvrir le Christ, elle s’ouvre à la rencontre avec Lui, vivant et à l’oeuvre, elle est encouragée à sortir d’elle-même pour aller vers les autres et répandre l’espérance qu’elle a reçue en don ».

    Citant Jean Paul II dans sa Lettre apostolique Novo millennio ineunte, le pape François a donné pour mission de « faire de l'Église la maison et l'école de la communion » (n. 43) : cela est « fondamental pour l’efficacité de tout engagement dans l’évangélisation », a-t-il insisté.

    « Faire de l'Église la maison et l'école de la communion » révèle « le désir profond du Père que tous ses enfants vivent en frères ; la volonté du cœur du Christ que "tous soient un" (Jn 17,21); le dynamisme de l’Esprit-Saint, sa force d’attraction libre et libératrice ».

    « Cultiver la spiritualité de communion rend capable de vivre le chemin œcuménique et le dialogue interreligieux », a estimé le pape.

    Les remerciant de leur visite, il a souhaité, avant de les bénir, que ce congrès soit « une occasion de grandir dans l’esprit de la collégialité, et de tirer de l’amour réciproque un motif d’encouragement et d’espérance renouvelée ».

    Comme évêques, leur a-t-il rappelé, « vous êtes appelés à apporter à ces rencontres le large souffle de l’Eglise, et à faire bénéficier toute l’Eglise de ce que vous recevez ».

    JPSC

  • Quand le pape évoque la beauté du mariage et ceux qui connaissent l'échec de leur amour

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    Sur Radio Vatican :

    Ne pas condamner ceux qui font l'expérience de l'échec de leur propre amour

    (RV) Derrière la casuistique, il y a toujours un piège dressé contre nous et contre Dieu. C’est ce qu’a affirmé ce vendredi matin le Pape François lors de la messe célébrée en la chapelle de la maison Sainte-Marthe. Le Pape, en commentant l’Évangile du jour, s’est arrêté sur la beauté du mariage et a prévenu qu’il faut accompagner et non pas condamner ceux qui connaissent l’échec de leur propre amour. Il a répété que le Christ est l’époux de l’Église et que donc, on ne peut pas comprendre l’un sans l’autre.

    Les docteurs de la loi cherchent à piéger Jésus pour « lui enlever l’autorité morale ». Le Pape François a pris appui sur l’Évangile du jour pour offrir une catéchèse sur la beauté du mariage. Les pharisiens, a-t-il observé, se présentent chez Jésus avec le problème du divorce. Leur style, a-t-il relevé, est toujours le même : « La casuistique ». Est-ce licite ou pas ? »

    Derrière la casuistique se trouve toujours un piège

    « C’est toujours une petite affaire. Et c’est le piège : derrière la casuistique, derrière la pensée casuistique, il y a toujours un piège. Toujours ! Contre les gens, contre nous et contre Dieu, toujours ! Mais est-ce licite de faire ceci ? Répudier sa propre femme ? Et Jésus répondit, en leur demandant ce que disait la loi et en expliquant pourquoi Moise a établi cette loi ainsi. La référence au Seigneur est tellement belle : 'depuis le début de la création, Dieu les fit homme et femme, pour cela, l’homme quittera son père et sa mère et s’unira à sa femme et ils deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne seront plus deux mais une seule chair ' ».

    Le Seigneur, a poursuivi le Pape, « se réfère au chef d’œuvre de la Création » qui sont l’homme et la femme. Et Dieu, a-t-il dit « ne voulait pas seulement l’homme, il le voulait » avec sa « compagne de vie ». C’est un moment poétique, a-t-il observé, lorsque Adam rencontre Ève : « C’est le début de l’amour : allez ensemble dans une seule chair ». Le Seigneur, a-t-il donc répété, « prend toujours cette pensée casuistique et l’amène au début de la révélation ». D’un autre coté, a-t-il expliqué, « ce chef d’œuvre du Seigneur ne s’est pas fini là, pendant les jours de la Création car le Seigneur a choisi cette icône pour expliquer l’amour qu’il porte envers son peuple ». Au point que, a-t-il rappelé, « lorsque le peuple n’est pas fidèle, il lui parle avec des paroles d’amour » :

    Nous devons écouter la douleur de l'échec, et accompagner

    « Le Seigneur prend cet amour du chef d’œuvre de la Création pour expliquer l’amour qu’il porte à son peuple. Et un passage en plus : lorsque Paul a besoin d’expliquer le mystère du Christ, il le fait aussi en rapport, en référence à son épouse : car le Christ est marié, le Christ était marié, il s’était marié avec l’Église, avec son peuple. Comme le Père s’était marié avec le Peuple d’Israël, le Christ épousa son peuple. C’est l’histoire d’amour, c’est l’histoire du chef d’œuvre de la Création ! Et devant ce parcours d’amour, cette icône , la casuistique tombe et devient douleur. Mais quand on laisse son père et sa mère pour s’unir à une femme, ne faire qu’une seule chair et aller de l’avant et que cet amour échoue, nous devons écouter la douleur de l’échec, accompagner ces personnes qui ont subi cet échec de leur propre amour. Ne pas condamner ! Marcher de l’avant avec eux ! Et ne pas faire de casuistique avec leur situation ».

    Le mariage est beau, la famille est belle

    Lorsque quelqu’un lit ceci, « il pense à ce dessin d’amour, à ce chemin d’amour du mariage chrétien, que Dieu a bénit dans le chef d’œuvre de sa Création ». Une « bénédiction- a-t-il averti- qui n’a jamais été enlevée. » Même le péché originel ne l’a pas détruite ! Donc, lorsque quelqu’un pense à cela, « il voit combien l’amour est beau, combien le mariage est beau, combien la famille est belle, combien ce chemin est beau et à quel point nous devons être proches des frères et des sœurs qui dans leur vie, ont subi la disgrâce d’un échec dans l’amour ». Reprenant ainsi Saint-Paul, le Pape François a souligné la beauté « de l’amour que le Christ porte à son épouse, l’Église ! » :

    « Ici aussi nous devons être attentifs à ce que l’amour ne soit pas un échec ! Parler d’un Christ trop célibataire : le Christ a épousé l’Église ! On ne peut pas comprendre le Christ sans l’Église et l’on ne peut pas comprendre l’Église sans le Christ. C’est le grand mystère du chef d’œuvre de la Création. Que le Seigneur nous donne à tous la grâce de le comprendre et la grâce de ne jamais tomber dans ces comportements casuistiques des pharisiens, des docteurs de la loi ».

  • Belgique : les dhimmis veulent discuter

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    De l'abbé Eric de Beukelaer sur son "minisite":

    « Dans mon post précédent, je suggérais que l’enseignement pourrait être le prochain grand chantier porté par le Centre d’Action Laïque (CAL) en Belgique. En entendant l’interview de Pierre Galand ce matin sur la radio Première (RTBF), je me dis que j’ai eu du flair. Au nom d’une salutaire modernisation du système scolaire, le président sortant du Centre d’Action Laïque (CAL) en appelle à – je le cite : « donner un coup de canif dans le pacte scolaire »pour aboutir à un seul réseau – public et sans cours philosophiquement engagés s’entend (cours de religion et de morale laïque, remplacés par des cours de philosophie et de citoyenneté).

    Dans le quotidien « le Soir » de ce jour (p.8), l’enjeu s’élargit avec l’intervention du très laïque député socialiste (et médecin) Philippe Mahoux. Ce dernier propose de faire voter une loi, obligeant les établissements de soins (hôpitaux, maisons de repos) subsidiés par l’état à pratiquer des euthanasies. Je le cite : « Aux élus du peuple de trancher ? Soit. Le fait que, pour être agréés, des hôpitaux ou des maisons de repos doivent effectivement appliquer la loi sera clairement inscrit dans une proposition de loi au programme du PS pour la prochaine législature. C’est une question de respect de droit du patient ».

    Ces deux prises de position ont le mérité de la cohérence : En finir avec un réseau scolaire philosophiquement situé et avec des institutions de soin ayant une éthique particulière. Face à cela, que va faire l’opinion catholique ?

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