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  • L'Eglise progresse mais manque de vocations religieuses

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    De Radio Vatican :

    L’Église catholique est en progression dans le monde, mais manque de vocations religieuses : c’est ce qui ressort des statistiques annuelles de l’Église pour l’année 2013, qui viennent d’être révisées et actualisées. Un article publié par le Catholic News Service met en évidence une dynamique contrastée mais plutôt positive.

    Premier élément intéressant mis en évidence par cet article : le nombre de prêtres et de diacres progresse fortement. L’augmentation est continue depuis l’an 2000, alors que une diminution régulière avait été observée sur le dernier tiers du XXème siècle. Le Vietnam et le continent africain sont souvent cités comme des modèles de floraison vocationnelle, mais des pays sécularisés enregistrent eux aussi – ce qui peut sembler paradoxal – un rebond du nombre d’ordinations. C’est le cas aux Etats-Unis.

    À l’échelle mondiale, au 31 décembre 2013, l’Église comptait 1000 prêtres et 1000 diacres en plus par rapport au 31 décembre 2012. Un nombre qui pourrait toutefois se tasser dans les années à venir. Fin 2013, les inscriptions en séminaire enregistraient un léger déclin, avec 118'000 séminaristes recensés contre 120'000 deux ans plus tôt.

    L’annuaire met aussi en évidence le diminution du nombre de religieux,surtout concernant les branches féminines. En cinq ans, le nombre de religieuses s’est effondré de 17% en Amérique du Nord et de 13% en Europe. Les grandes congrégations féminines sont donc contraintes à des restructurations parfois douloureuses. Fin 2013, l’Église catholique ne comptait plus que 693'000 sœurs, contre plus de 800'000 une décennie plus tôt. Mais l’organisation d’une Année de la Vie consacrée montre la volonté du Saint-Siège de mettre en valeur de nouveaux modèles d’engagement religieux diversifiés et compréhensibles pour les jeunes générations.

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  • 40 Days for Life : plus de 400 enfants à naître sauvés de l'avortement

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    Lu sur Riposte Catholique :

    40-days-logo.jpg.jpg40 Days : plus de 400 enfants à naître sauvés de l’avortement !

    La campagne de Carême des 40 Days for Life, commencée le mercredi des Cendres 18 février, vient de s’achever ce dimanche des Rameaux (29 mars). La coordination des 40 Days for Life a annoncé ce lundi 30 mars que, pendant ces quarante jours, au moins 402 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement. Et ce nombre devrait croître dans les jours à venir au fur et à mesure que les informations remonteront à la coordination. (...)

  • Création d'une instance pour le cours de religion catholique (dans l'enseignement officiel)

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    On trouvera ci-dessous le communiqué annonçant la création d'une instance pour le cours de religion catholique dans l'enseignement officiel qui - rappelons le - scolarise moins de 50% de la population scolaire de la Communauté Wallonie-Bruxelles. L'enseignement libre catholique n'est donc pas concerné par la réforme annoncée qui prévoit de réduire le cours "confessionnel" à une heure par semaine, l'autre heure étant dévolue à un "cours de citoyenneté". Les inspecteurs et professeurs concernés sont donc invités à faire des propositions et à partager leurs réactions. Il est vrai que la situation est assez particulière : les professeurs de religion, "libérés" de la moitié de leur enseignement confessionnel, devront se reconvertir pour donner un cours de citoyenneté dont les ambitions sont très larges. Le cours confessionnel, réduit de moitié, devra-t-il se focaliser davantage sur le contenu de la religion concernée ? Quant au professeur de religion ou de morale reconverti en professeur de citoyenneté, il devra faire preuve d'expertise dans des domaines aussi divers que ceux des sciences sociales, politiques, juridiques et environnementales pour répondre aux exigences des programmes en gestation.

     

    Communiqué de l’instance pour le cours de religion catholique 30/03/15

    Aux inspectrices et inspecteurs pour le cours de religion catholique, 
    Aux professeurs de religion catholique de l’enseignement officiel,

    Madame, Monsieur,

    A la demande de Monseigneur Harpigny, agissant au nom des évêques de Wallonie-Bruxelles, une instance a été créée pour le cours de religion catholique. Trois missions lui ont été dévolues : la recherche, la communication et – s’il échet – la négociation au sujet des cours de religion catholique, de l’enseignement primaire et secondaire.

    Cette instance est constituée des vicaires ou délégués de chaque diocèse belge francophone (J. Piton pour le diocèse de Tournai, M. Vincent pour le diocèse de Namur, M. Deltour pour le diocèse de Liège et C. Gillard pour le diocèse de Malines-Bruxelles) et du délégué de l’évêque référendaire pour le cours de religion catholique auprès du Cabinet de la Ministre de l’Enseignement obligatoire (M. Desmedt). Cette instance bénéficie de l’expertise de deux professeurs de l’UCL (Professeurs Christians et Derroitte) et assurera aussi la consultation d’invités externes. La présidence de cette instance est assurée par C. Gillard. Monseigneur Harpigny y est invité permanent.

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  • Le parcours étonnant d'un hérault de l'Eucharistie et de l'Eglise

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    De KTO :

    UN COEUR QUI éCOUTE
    Père Nicolas Buttet - Un hérault de l'Eucharistie et de l'Eglise au parcours étonnant

    Engagé très tôt en politique (à l'âge de 17 ans), Nicolas Buttet est élu député-suppléant dans le canton du Valais en Suisse à 23 ans. Menant sa vie " à toute allure " et de façon un peu débridée, le jeune avocat va littéralement se convertir quand un ami l'invite à passer Noël au Cottolengo près de Turin : au cours d'une nuit sur place, n'ayant d'autre choix que celui de laver des personnes handicapées souillées par leurs excréments, il se rend compte que " Dieu rend possible les choses impossibles ". Désormais il consacrera sa vie à Jésus dans le pauvre. Fondateur de la Fraternité Eucharistein, centrée sur l'Eucharistie, le père Nicolas Buttet revient sur son parcours étonnant et propose des conseils pour bien vivre cette Semaine sainte à l'approche de Pâques.

  • Deux chemins de croix pour vivre la Semaine Sainte avec les chrétiens d'Orient

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    Du site de l'Oeuvre d'Orient :

    Vivre la Semaine Sainte avec les chrétiens d’Orient

    Cette semaine nous vous proposons deux chemins de croix à méditer en communion avec nos frères d'Irak et de Syrie

     

     » Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, le royaume des cieux est à eux.  » Mt 5,10

    Le 1er chemin de croix a été rédigé par Mgr Samir Nassar, médité par des familles syriennes, réfugiées et sinistrées.

    PREMIÈRE STATION : JÉSUS CONDAMNE A MORT :
    « Pilate livra Jésus pour qu’il soit crucifié» Mt 15, 12-13.
    Un innocent condamné à mort. Quelle justice !
    Seigneur, nos familles se sentent, dans leurs souffrances, bien proches de toi, victimes innocentes à ton image. Forcées par la violence et la persécution de quitter : maisons, écoles, paroisses, villages, voisins, amis, cimetières ;
    pour vivre dans des camps de réfugiés dans la misère et l’indifférence.
    Pilate est toujours là à nourrir l’injustice.
    Seigneur, éclaire l’esprit de ces  » juges » et fais de nous des messagers de
    Justice… Amen. 

    >>Lire la totalité du chemin de croix

    Pour télécharger ce chemin de croix cliquez ici 2015 Chemin de Croix -- Syrie -- Mgr Nassar

    Ce deuxième chemin de croix a été rédigé par Mgr Mouché, archevêque syriaque catholique de Mossoul

    Chemin-de-Croix-775x1024.jpg6éme STATION : VÉRONIQUE ESSUIE LE VISAGE DE JÉSUS :
    « C’est ta face, Seigneur, que je cherche, ne me cache pas ta face. »
    Ps 27,8-9
    Véronique effectue un geste symbolique très fort. Elle vient essuyer la douleur de ton visage. Un geste de foi qui exprime son amour pour toi.
    Ce visage reste imprimé dans la tradition chrétienne.
    Qui va essuyer les visages blessés de nos frères, de nos mamans qui pleurent leurs enfants et leur détresse ?
    Donne-nous, Seigneur, à voir ta face dans celui des pauvres persécutés
    et des victimes innocentes des violences et des injustices. Amen..>>Lire la totalité du chemin de croix

    Pour télécharger ce chemin de croix cliquez ici 2015 Chemin de Croix -- Irak -- Mgr Mouche

  • Transmettre la culture de la vie

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    Les « marches » et autres manifestations « pour la vie » se succèdent,  avec des succès divers. La Belgique n’est pas, pour l'instant, à la pointe du succès sur ce point. Quoi qu’il en soit, dans la promotion de la culture de la vie, il est fondamental de ne pas abandonner la bataille de l’opinion publique. Sur le site "Didoc", Lucia Martinez Alcade nous rappelle quelques clés utiles pour réussir à transmettre le message:

    « Cela s’est vérifié aux Etats-Unis : bien que les médias les plus importants y soient pro choice (« pour le choix », c'est-à-dire en faveur de l’avortement), les pro life (« pour la vie ») ont réussi à entretenir le débat social jusqu’à obtenir un soutien majoritaire dans l’opinion publique.

    Avec une majorité de médias pro choice, 48% de la population des États-Unis se déclare pro life, face à 45% qui se déclarent en faveur de l’avortement, d’après l’enquête Gallup réalisée en mai 2013. Il a fallu quarante ans pour obtenir ce revirement de l’opinion publique, depuis que le Tribunal Suprême a éliminé les restrictions à l’avortement en 1973. Cela n’a été possible que grâce au dynamisme de la société nord-américaine.

    Avec ce panorama, comment communiquer la culture de la vie de façon efficace ? María Martínez Orbegozo propose six clés, qui tiennent compte des années de pratique de l’avortement dans la société occidentale et des différentes campagnes réalisées autour du sujet.

    Communication positive

    Dans des enquêtes réalisées auprès de femmes en âge de procréer et susceptibles d’affronter des situations induisant à avorter, on a constaté que les campagnes pro life négatives (par exemple, des photos de fœtus avortés) provoquaient un rejet. Il n’en va pas de même avec d’autres types de campagnes centrant leur message sur la femme, sur la valeur positive de la maternité, sur des clips mettant en scène des filles courageuses qui décident de garder leur enfant…

    « Les messages positifs t’inclinent à dire “oui” à ce qu’on te propose », signale María Martínez Orbegozo. Elle ajoute que les manifestations pro life produisent le même effet : on y voit de la joie, des familles, on y entend de la musique ; tout le contraire de l’attitude de féministes radicales qui manifestent de façon violente, en proférant des insultes et en posant des gestes grossiers.

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  • Au Moyen-Orient : "une entreprise barbare et systématique d'éradication ethnique et religieuse"

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    De l'orient le jour.com :

    « Je vais être clair : au Moyen-Orient, nous faisons face à une entreprise barbare et systématique d'éradication ethnique et religieuse... Les communautés non musulmanes constituent des cibles privilégiées. Elles incarnent cette diversité que Daech veut faire disparaître. Les chrétiens, les yazédis, les Turkmènes, les Kurdes, les Shabaks, tous sont menacés par ce que j'appelle le triangle de l'horreur : l'exil forcé, l'asservissement, la mort. » C'est ce qu'a déclaré, vendredi soir, à New York, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, à l'occasion d'un débat public au Conseil de sécurité, consacré aux « victimes d'attaques et d'exactions ethniques ou religieuses au Moyen-Orient ». Ce fut aussi l'occasion pour le chef du Quai d'Orsay d'appeler le Liban « modèle de coexistence entre les communautés – établi par la Constitution, le pacte national et l'accord de Taëf – et fragilisé par la paralysie institutionnelle à élire, dans les meilleurs délais possibles, un président qui garantisse la pérennité de ce modèle ».

    Lire tout l'article : "Fabius presse le Liban d'élire un président 'qui garantisse la pérennité du modèle de coexistence'"

    Lire aussi le discours à l'ONU du patriarche des Chaldéens, Mgr Sako

  • Crise ukrainienne : quand les Etats de l'Union Européenne ont tout faux

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    Du lieutenant-général e.r. Francis Briquemont, en opinion, dans lalibre.be :

    ... c’est l’année où toute l’Europe commémorait le début de la guerre 1914-1918 en clamant “vive la paix” que la crise ukrainienne a éclaté, il y a un peu plus d’un an.

    C’est une crise qu’il était possible d’éviter et qu’il est un peu trop facile de rejeter automatiquement sur V. Poutine alors que les Européens ont démontré toute l’étendue de leur faiblesse politique au sein de l’UE et leur “ignorance” (voulue  ?) de la géographie. Les querelles se sont envenimées à un point tel qu’il y a un mois la situation tournait à la guerre totale entre les communautés ukrainiennes. C’est alors, avec un an de retard, que le tandem A. Merkel/F. Hollande est intervenu pour arracher l’accord de Minsk qui a mis fin (provisoirement  !) aux combats.

    Mais que d’erreurs ont été commises  : par les révolutionnaires d’abord. Naïveté politique surprenante en croyant qu’il suffisait de crier “vive l’Europe” et “à bas Poutine” pour réussir la révolution. Réactions incompréhensibles ensuite (stupides  !)  : en abolissant d’emblée l’usage de la langue russe, ils ont permis à V. Poutine de récupérer sans effort la Crimée et surtout la base militaire lui donnant accès aux mers du Sud – une obsession russe depuis des siècles; autre erreur majeure des nouveaux dirigeants ukrainiens  : avoir voulu récupérer par la force la région du Donbass russophone tout en lui coupant totalement les vivres. Quand le sang a coulé entre deux communautés d’un Etat – j’ai connu cela en Bosnie – il est bien difficile d’apaiser les esprits. Enfin, les Ukrainiens ont-ils cru que les Européens ou l’Otan allaient se précipiter à leur secours et déclencher une guerre en Europe  ?

    Et comment ne pas évoquer une fois de plus les erreurs des Etats de l’UE. Comment les dirigeants occidentaux ont-ils pu imaginer que l’UE pouvait signer un pacte d’association avec l’Ukraine en “snobant”V. Poutine. Comment ont-ils (du moins certains) pu laisser croire aux rebelles ukrainiens que leur pays pouvait se rapprocher de l’UE et de l’Otan sans que la Russie soit directement concernée. Il y a un an, le couple franco-allemand aurait dû oser organiser un sommet avec V. Poutine sur l’avenir d’une Europe stable et associée de l’Atlantique à l’Oural. Est-ce encore possible  ? J’en doute car je ne crois pas que la France et l’Allemagne puissent, aujourd’hui, imposer un tel projet au sein d’une Otan dominée par les Etats-Unis, car de cette Europe-là, les Etats-Unis n’en veulent pas. Lisez R. Kaplan, il nous explique pourquoi. Espérons quand même que l’UE puisse rétablir des relations stables avec la Russie, au moins sur le plan économique, même si cela ne plaît pas aux Ukrainiens et à quelques va-t’en “crise”… En fait, il y a un an, les Européens ont oublié cette réflexion de Napoléon  : “Regardez la carte d’un Etat et vous connaîtrez sa politique étrangère.”

    Lire tout l'article : "La revanche de la géographie et le conflit ukrainien"

  • Mettre le couvert à l'église pour la messe du Jeudi-Saint ?

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    Lu sur le site « Pro Liturgia »

    0704_jeudiSaint003 (1).jpgDans un certain nombre de paroisses, l’habitude a été prise de célébrer la Messe du Jeudi-Saint sur une table dressée dans la nef centrale de l’église. La Congrégation pour le Culte divin a eu l’occasion de dire plusieurs fois que cette pratique n’était pas licite et devait être abandonnée là où elle subsiste encore.

    Explication : « Les normes liturgiques actuelles insistent sur l’importance qui doit être donnée à l’autel dont la position doit permettre d’attirer l’attention des fidèles : “L’autel, où le sacrifice de la croix est rendu présent sous les signes sacramentels, est aussi la table du Seigneur à laquelle, dans la messe, le peuple de Dieu est invité à participer ; il est aussi le centre de l’action de grâce qui s’accomplit pleinement par l’Eucharistie. Dans un lieu destiné au culte, la célébration de l’Eucharistie doit s’accomplir sur un autel (...). Il convient que dans toutes les églises il y ait un autel fixe qui signifie, de manière claire permanente le Christ Jésus, Pierre vivante (1P 2, 4 ; cf. Ep 2, 20). (...) 
    Ainsi donc, l’usage de dresser une table au milieu de la nef pour célébrer la dernière Cène (Jeudi-saint) ou la Messe de Première Communion des enfants relève d'une pratique dont le symbolisme ainsi que la valeur éducative et pastorale est incohérente : cette façon de faire détourne l’attention des fidèles de l’autel, perturbe le sens premier de la liturgie et, contrairement à ce que l’on croit, ne favorise pas la participation des fidèles à ce que représente réellement l’Eucharistie. » (Source : Notitiae, Vol. 38, p. 492) » 

    http://www.proliturgia.org/

     « La forme fondamentale [de la messe] est la prière d’action de grâce sur le pain et le vin. C’est de la prière d’action de grâce, après le banquet  du dernier soir que la liturgie de la messe a commencé, et non du banquet lui-même. Ce dernier était considéré aussi peu essentiel et aussi facilement séparable  que déjà dans l’Eglise primitive il était omis… Ce que l’Eglise célèbre dans la messe  n’est pas la dernière Cène  mais ce que le Seigneur, durant la dernière Cène, a institué et confié à l’Eglise : la mémoire de sa mort sacrificielle » ( Josef Andreas Jungmann, cité par Benoît XVI dans ses Opera Omnia, tome «  Jésus de Nazareth, » p. 495).

    C’est ce que les paroles du rituel de la sainte messe nous rappellent d’ailleurs clairement au moment de la consécration : "pridie quam pateretur", "postquam cenatum est", le jour avant de souffrir, après avoir soupé… 

    JPSC

  • Douze cents participants à la Marche pour la Vie malgré le vent et la pluie

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    Plusieurs rassemblements avaient lieu simultanément ce dimanche 29 mars dont la Manifestation pour la Vie et un grand Chemin de Croix réunissant de très nombreux fidèles à la Basilique de Koekelberg. Cela explique sans doute, en dehors des mauvaises conditions climatiques, pourquoi les participants à la Marche pour la Vie se sont retrouvés en effectifs limités.

    "Espérance Nouvelle" rend compte de cette manifestation; c'est à lire ICI

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    ... et, du Salon Beige : Marche pour la vie à Bruxelles

    Aujourd'hui, sous la pluie, plus d'un millier de Belges se sont mobilisés pour défendre la vie depuis sa conception :

    Bxl-pro-vie-2015-1-225x300Présence de Polonais :

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    L'an prochain, la Marche pour la vie de Bruxelles aura lieu le 19 avril.

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  • La lettre du pape pour le 500e anniversaire de la naissance de sainte Thérèse d'Avila

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    santa-teresa-de-jesus.jpgLettre du Pape François au Préposé général de l'Ordre des Carmes Déchaux pour le 500e anniversaire de la naissance de Sainte Thérèse de Jésus (source)

    Le Pape François a écrit une lettre au Préposé Général des Carmes Déchaux, le Père Saverio Cannistrà, à l'occasion du cinquième centenaire de la naissance de Sainte Thérèse d'Avila. Le 26 mars au petit matin, le Père Cannistrà avait participé à la Messe matinale présidée par le Pape François dans la chapelle de la résidence Sainte-Marthe, pour marquer symboliquement le début de trois jours de prière pour la paix.

    Dans cette lettre qui s'adresse plus largement à « toute la famille thérésienne », le Pape s'unit « à l'action de grâce de toute la famille carmélitaine, religieuses, religieux et séculiers, pour le charisme de cette femme exceptionnelle. » Faisant remarquer que cette anniversaire coïncide avec l'Année de la Vie consacrée, il présente Thérèse d'Avila comme « une guide sûre et un modèle séduisant de don total à Dieu. » Il appelle à redécouvrir « l'étincelle inspiratrice » qui a donné l'impulsion décisive pour la fondation des premières communautés carmélites inspirées par la mystique espagnole, réformatrice d'un Ordre dont les origines remontent au XIIIe siècle en Palestine, lorsque des frères avaient fondé sur le Mont Carmel une communauté d'ermites.

    « Le témoignage de sa consécration, née directement de la rencontre avec la Christ, son expérience de prière, comme dialogue continu avec Dieu, et sa vie communautaire enracinée dans la maternité de l'Église, continuent à nous faire tellement de bien ! » s'enthousiasme le Pape François. 

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  • Sommes-nous en train de vivre la fin de notre civilisation ?

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    Du blog de François-Xavier Bellamy :

    Vivons-nous la fin de notre civilisation ?

    Entretien avec Michel Onfray et François-Xavier Bellamy, paru dans le Figaro du 25 mars 2015. Propos recueillis par Vincent Tremolet de Villers et Alexandre Devecchio.

    LE FIGARO – Michel Onfray, dans Cosmos, le premier volume de votre triptyque philosophique, vous rappelez la beauté du monde. Nous ne la voyons plus ?

    Michel ONFRAY – Nous avons perdu l’émerveillement. De Virgile jusqu’à la naissance du moteur, il nous habitait. Mais depuis, nous avons changé de civilisation : de leur naissance à leur mort, certains individus n’auront vécu que dans le béton, le bitume, le gaz carbonique. Des saisons, ils ne connaîtront que les feuilles qui tombent des quelques arbres qui restent dans leur rue. Il s’agit d’une véritable rupture anthropologique et ontologique : la fin des campagnes, la mort de la province et de la paysannerie au profit d’une hyper cérébralisation. Le vrai problème n’est pas l’oubli de l’être, comme disait Heidegger, mais l’oubli des étants qui constituent le Cosmos.

    François-Xavier BELLAMY – Il faut aller plus loin encore : l’homme n’est plus en contact avec la nature qui l’environne, ni surtout avec la nature dont il se reçoit… Nous avons perdu le sens des saisons, mais aussi celui du rythme naturel de notre propre vie. Le citoyen est devenu citadin, et il a oublié que l’homme ne se construit pas ex nihilo, qu’il n’est pas un produit parmi d’autres, artificiel et transformable, dans la société de consommation. Cette négation du vivant va jusqu’au déni de sa propre mort. Prenez la loi sur la fin de vie : le fait de transformer la mort en sédation, en un simple sommeil, par le prodige de la technique, est une façon pour l’homme d’écarter tout ce qui fait sa condition naturelle.

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