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  • A l'abbaye Notre-Dame de Randol : « l’unique nécessaire »

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    Via ce site, nous découvrons cette video consacrée à l'abbaye de Randol :

    Pour l’Année de la Vie Consacrée, le diocèse de Clermond-Ferrand propose un reportage sur l’Abbaye Notre-Dame de Randol et interroge Dom Bertrand de Hédouville, Père abbé de Randol, le RP Georges Rétoré, moine de Randol et Monsieur Paul Monnoyeur,architecte associé de l’abbaye.

  • Liturgie : d'après le pape François, on ne peut pas revenir en arrière

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    D'IMedia :

    En matière de réforme liturgique, on ne peut “revenir en arrière“, assure le pape François

    “On ne peut revenir en arrière, nous devons toujours aller de l’avant, toujours en avant, et celui qui revient en arrière se trompe“. C’est ce qu’a soutenu le pape François, dans la soirée du 7 mars 2015, à la sortie de la messe commémorative qu’il présidait 50 ans après la première messe en langue vernaculaire célébrée par Paul VI (1963-1978), à l’église romaine de ‘Tous les saints’.

    Si au cours de cette messe anniversaire le pape François s’était limité à insister sur la cohérence entre la liturgie et la vie quotidienne des fidèles, c’est en quittant la paroisse romaine qu’il a évoqué la réforme liturgique issue du Concile Vatican II (1962-1965). “Ce fut vraiment un geste courageux de l’Eglise de se rapprocher du peuple de Dieu pour qu’il puisse bien comprendre ce qu’elle fait“, a-t-il affirmé devant les fidèles de la paroisse, comme l’a rapporté le lendemain le Bureau de presse du Saint-Siège. “C’est important pour nous, de suivre la messe ainsi“, a-t-il ajouté, après avoir invité à remercier “le Seigneur pour ce qu’il a fait dans son Eglise pendant ces 50 années de réforme liturgique“.

    Le 7 mars 1965, Paul VI avait ainsi célébré la première messe en langue vernaculaire, mettant en application la Constitution conciliaire Sacrosanctum concilium du 4 décembre 1963. Cette constitution accordait “une place plus large“ aux langues nationales, en particulier lors des lectures et prières. Ces dernières étaient traditionnellement prononcées en latin depuis le 3e siècle dans l’Eglise d’Occident.

    A n’en point douter, ces propos seront particulièrement mal reçus par les fidèles attachés à l’ancien rite - dit de saint Pie V - dont l’usage avait été libéralisé en juillet 2007 par Benoît XVI (2005-2013) avec la publication du Motu Proprio Summorum Pontificum. Durant l’été 2013, dans une interview accordée aux revues jésuites, le pape François avait qualifié l’ancienne messe de “Vetus Ordo“ (vieille messe), et mis en avant le “risque d’idéologisation“ de ce rite ainsi que celui de “son instrumentalisation“. Peu tourné vers la tradition mais pétri de piété populaire, le pape François a cependant nommé en novembre dernier à la tête de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements le cardinal guinéen Robert Sarah, un prélat inquiet devant le risque de dérives liturgiques dans l’Eglise.

  • Le tabou des ex-musulmans

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    http://www.rtbf.be/video/detail_le-doc-de-7-a-la-une-le-tabou-des-ex-musulmans?id=1998480

  • Les soixante ans de Communion et Libération

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    De Radio Vatican :

    La place Saint-Pierre était noire de monde samedi matin : quelque 80'000 personnes, venues d’une cinquantaine de pays, ont participé à la rencontre du Pape François avec les membres du mouvement ecclésial Communion et Libération qui célèbre ses soixante ans d’existence et qui commémore le dixième anniversaire de la mort de son fondateur, le prêtre italien Luigi Giussani.

    Prières, lectures, projections et chants ont rythmé la rencontre jusqu’à l’arrivée du Saint-Père, accueilli avec affection et un enthousiasme débordant. Pour pouvoir saluer toute la foule, le Pape François a dû franchir les limites du Vatican, sortir de la place Saint-Pierre et parcourir à bord de sa voiture découverte une partie de l’avenue de la Conciliazione, sous les ovations. Dans l’assemblée se trouvaient le cardinal de Milan Angelo Scola, des délégués anglicans, orthodoxes et musulmans, ainsi qu’un groupe de détenus italiens.

    Dans son discours, le Souverain Pontife a livré quelques recommandations aux adhérents de ce mouvement catholique, en les mettant notamment en garde contre le risque de se figer dans une attitude de défense et de repli identitaire. Pour François, la morale chrétienne n’est pas l’effort de volonté titanesque de ceux qui décident d’être cohérents, une sorte de défi solitaire face au monde. La morale chrétienne est au contraire une réponse émue devant une miséricorde surprenante, imprévisible, voire même injuste selon les critères humains, de la part de Celui qui nous aime malgré nos trahisons. La morale chrétienne ne veut pas dire ne jamais tomber, mais se relever toujours, grâce à la main que Jésus nous tend. De la même manière, le rôle de l’Eglise n’est pas de condamner éternellement mais de répandre la miséricorde de Dieu sur toutes les personnes qui la demandent avec un cœur sincère.

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  • Les cinquante ans de la réforme liturgique

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    Paolo-VI-Ognissanti.jpgLu sur Riposte Catholique :

    En ce jour anniversaire, l’abbé Claude Barthe nous a adressé un article très intéressant sur le début de la réforme liturgique et sur le début, aussi, de la contestation de cette réforme…

    Ce 7 mars 2015, à 18 h, le Pape François a célébré une messe dans l’église de Tous les Saints, sur la via Appia Nuova, à Rome, en souvenir de celle qu’avait célébrée en la même église, Paul VI, le 7 mars 1965.

    Le Concile n’était pas encore achevé, mais la réforme liturgique qu’il avait décidée était lancée. Le 25 janvier 1964, PaulVI avait institué un Consilium, une Commission pour l’Application de la constitution sur la liturgie, d’une ampleur démesurée : 250 experts, sans compter les cardinaux et les évêques. À partir de la session d’octobre 1966, cinq, puis six observateurs protestants assistèrent aux assemblées de ce Consilium. Paul VI lui avait donné pour président le très progressiste cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne. Le secrétaire en était le lazariste Annibale Bugnini.

    Dès lors, de 1964 à 1968, se déroula une première période de réforme, période de transition, comme le notait un article de Riposte catholique, qui sera suivie, à partir de la publication de trois nouvelles prières eucharistiques et de huit nouvelles préfaces, le 23 mai 1968, de la phase de promulgation définitive de la nouvelle liturgie conciliaire. Cette deuxième période durera jusqu’en 1984, date de l’édition typique du nouveau Cérémonial des évêques.

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  • Il n'est de richesses que de femmes

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    D'Elisabeth de Baudoüin, sur Aleteia.org :

    Pape François : il n’est de richesses que de femmes

    Le discours engagé de François en faveur des femmes, si souvent exploitées, mais irremplaçables et précieuses dans de nombreux domaines.

    Le samedi 7 janvier 2015, le pape François a reçu en audience les participants à l’assemblée plénière du Conseil pontifical pour la culture qui concluait ce jour ses travaux sur le thème : « Les cultures féminines, égalité et différence ». Dans le discours qu’il leur a adressé, le Pape, qui a rappelé une nouvelle fois que l’Église elle-même « est femme » – parce qu’on ne dit pas « le » mais « la » Église –, a insisté sur le bien fondé de la complémentarité homme-femme et la beauté de la maternité, qui dépasse la seule transmission et protection de la vie. Il a également une nouvelle fois encouragé à la lutte contre les violences faites aux femmes et leur exploitation et à donner davantage de place aux femmes dans l’Église et la « sphère publique ». Tout en rappelant sa place irremplaçable dans la famille. Extraits.

    Égalité et différence homme/femme : le ni-ni de la subordination et de la parité. Place à un nouveau paradigme

    « Cet aspect ne doit pas être abordé idéologiquement parce que la lorgnette de l'idéologie empêche de bien voir la réalité. L'égalité et la différence hommes-femmes, se perçoivent mieux dans la perspective de l'avec, de la relation, que dans celle du contre. Depuis longtemps, nous avons laissé derrière nous, du moins dans la société occidentale, le modèle de la subordination sociale de la femme par rapport à l’homme ; un modèle séculaire qui n’a jamais totalement épuisé ses effets négatifs. Nous avons également dépassé un second modèle, celui de la pure et simple parité, appliquée mécaniquement, et de l’égalité absolue. Un nouveau paradigme a été ainsi configuré : celui de la réciprocité dans l’équivalence et la différence. La relation homme- femme devrait [plutôt] reconnaître que tous deux sont nécessaires en ce qu’ils possèdent, oui, une même nature, mais avec des modalités propres. L’une est nécessaire à l’autre, et vice versa, pour que s’accomplisse vraiment la plénitude de la personne.

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  • Paris: "Nouvelle évangélisation et liturgie", conférence du cardinal Sarah à l’église Saint-Eugène

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    Lu sur le site "riposte catholique":

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    "Il y avait plus de 200 personnes à l'église Saint-Eugène, pour écouter le cardinal Sarah, dont la conférence (jeudi soir) a surtout été l’expression d’un émouvant témoignage personnel. Dans la cadre de la présentation de son livre d’entretiens avec Nicolas Diat, Dieu ou rien(Fayard, 2015), le cardinal a parlé de sa foi et de son parcours, de la place de Dieu dans la vie du chrétien, de la liturgie et du mystère, de l’Église persécutée, mais aussi de la nécessaire réconciliation entre les catholiques… Ce compte-rendu ne prétend pas être exhaustif, mais essaye de restituer la tonalité de cette conférence intéressante.

    Le cardinal a d’abord rappelé sa jeunesse de chrétien en Guinée. Il a ainsi parlé avec attachement des missionnaires, de ces hommes qui lui ont transmis la foi. Il a souligné la régularité avec laquelle les spiritains fréquentaient Dieu (vie d’oraison, importance du bréviaire, etc.). « Dieu était vraiment au cœur de leur vie ». C’est grâce à eux que le cardinal a fait part de sa vocation sacerdotale. On sait que les spiritains jouèrent un grand rôle en Afrique; peut-être s’agit-il d’un clin d’œil du cardinal à d’éminentes figures de cette congrégation missionnaire…

    Le cardinal Sarah est allé au séminaire en Côte d’Ivoire, puis s’est rendu en France et eu Sénégal. Il a été ordonné prêtre le 20 juillet 1969. Il a été nommé évêque de Conakry par le pape Paul VI, ce qui fut l’occasion d’un long bras de fer entre le Saint-Siège et le gouvernement guinéen (le gouvernement étant communiste, et on se souviendra des persécutions de Sékou Touré). Les autorités guinéennes finirent par céder et Jean-Paul II confirma Mgr Sarah dans sa fonction épiscopale. Il a été secrétaire de la Congrégation pour l’Évangélisation des peuples, ce qui lui permit de voir évoluer l’Église, dans différents lieux et contextes.

     Le cardinal a rappelé l’importance des persécutions : « c’est quand l’Eglise est persécutée que l’Eglise vit son printemps. » Il a rappelé ces déportations, ces persécutions qui apparaissent déjà dans l’Ancien testament (déportation ordonnée par Nabuchodonosor). « C’est quand l’Église souffre qu’elle est belle. » Mais le cardinal constate que Dieu n’a plus sa place dans nos sociétés. Comme l’exprimait Nietzsche, Dieu est mort.

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  • BXL, 15 mars : Manifestation "Together in Peace"

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    Communiqué de presse

     Marche nationale

    « Together in Peace – Liberté et respect »

    Dimanche 15 mars 2015

    Dans une démarche de coopération unique, plus de 50 associations et institutions dans tout le pays se sont déjà déclarées partenaires de la marche nationale ‘Together in Peace’ qui se déroulera le dimanche 15 mars 2015.

    Cette marche est une réaction au climat de peur et de méfiance qui se développe en Belgique et en Europe suite aux attentats terroristes à Bruxelles, Paris et Copenhague et aux événements de Verviers.

    Pour la première fois à cette échelle en Belgique, les représentants officiels des différents cultes et de la laïcité ont mis en commun leurs forces pour organiser une action commune.

    Ensemble, ils appellent à une marche nationale à Bruxelles autour du slogan « Together in Peace – Liberté et Respect » le dimanche 15 mars 2015 à 14h.

    Cette initiative se veut une réaction citoyenne, un moment rassembleur pour toutes les personnes de bonne volonté, quelle que soit leur religion ou leur conviction. Ensemble, nous voulons dire ‘oui’ au vivre ensemble en paix, ‘oui’ à la liberté d’expression, de pensée, de conscience et de religion et ‘oui’ au respect de chaque personne quelle que soit sa croyance ou conviction.

    Le rassemblement se fera au ‘Mégaphone’, avenue de Stalingrad (près de la Gare du Midi) à 13h30. La marche débutera à 14h et passera devant différents lieux de cultes et de la laïcité qui symbolisent le pluralisme des convictions et des religions dans notre pays et en Europe. Elle se terminera à 16h30.

    Le Comité organisateur est composé de représentants officiels du christianisme, de l’islam, du judaïsme et de la laïcité. 

    Le secrétariat et la coordination pratique de l’événement sont assurés par la Communauté de Sant’Egidio, qui en septembre dernier avait organisé à Anvers la rencontre internationale ‘Peace is the Future’.

    Site internet: www.togetherinpeace.be

    Facebook: www.facebook.com/togetherinpeace2015

    Twitter: Hashtag #TogetherinPeace

  • Une lettre de Dieu aux fiancés (et aux fiancées)

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    topic (20).jpgDans le mariage, c’est le Christ Lui-même qui prend l’initiative, qui appelle le couple. A titre d’illustration de l’un des propos de Mgr Léonard dans la riche conférence qu’il a donnée à l’Université de Liège le 28 janvier dernier (même si la communication informatique appartient au monde de l’instantané, prenez la peine de la lire ici : Monseigneur Léonard à l'Université de Liège: enjeux des synodes sur la famille) voici un texte écrit dans la même ligne par le Padre Giordano Muraro (traduction adaptée à partir de l’italien par Elisabeth de Lavigne (sur le site « aleteia »)

     La femme qui sera à tes côtés, tout émue, revêtue de sa robe blanche de mariée, est mienne. Je l'ai créée. Je l'ai aimée depuis toujours ; avant même que toi tu ne l'aimes, encore plus que toi. Pour elle, je n'ai pas hésité à donner ma vie. J'ai de grands projets pour elle. Je te la confie. Tu la prendras de mes mains et en deviendras responsable.

    Quand tu l'as rencontrée, tu l'as trouvée belle et tu es tombé amoureux. Ce sont mes mains qui ont façonné sa beauté, c'est mon cœur qui a mis en toi la tendresse et l'amour, c'est ma sagesse qui a forgé sa sensibilité et son intelligence et toutes les belles qualités que tu as trouvées en elle.

    Mais il ne suffit pas que tu sois charmé. Tu dois t'appliquer à répondre à ses besoins, à ses désirs. Tu te rendras compte qu'elle a besoin de tant de choses : elle a besoin d'une maison, de vêtements, de sérénité, de joie, d'équilibre psychique, de rapports humains, d'affection et de tendresse, de plaisir et de divertissement, de présence humaine et de dialogue, de relations sociales et familiales, de satisfactions dans le travail et de bien d'autres choses.

    Mais tu dois comprendre qu'elle a surtout besoin de Moi, et de tout ce qui contribue et encourage cette rencontre avec Moi : la paix du cœur, la pureté d'esprit, la prière, la Parole, le pardon, l'espérance et la confiance en Moi, ma vie. C'est Moi, et non toi, le commencement, la fin, la destinée de toute sa vie. 

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  • Quand le Parlement européen va voter sur le "droit à l'avortement", je fais entendre ma voix

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    Le Parlement européen va voter sur le "droit à l'avortement

    200.000
    145.445
     
    145.445 personnes ont signé. Aidez-nous à augmenter ce nombre jusqu'à 200.000 signatures.

    Cette campagne est la suite de la campagne ouverte le 15 janvier contre le rapport Tarabella, qui a déjà récolté 60 413 signatures.

    Le Parlement européen s’apprête à se prononcer et à voter sur deux rapports qui contiennent des paragraphes favorisant un prétendu « droit à l'avortement ». Si ces paragraphes sont adoptés, le Parlement européen pourrait à la fois exprimer son soutien à l'avortement au nom de l'UE et outrepasser les compétences de l'UE, piétinant ainsi le principe de subsidiarité.

    Le 10 Décembre 2013, le Parlement européen a rejeté le rapport Estrela sur la « santé sexuelle et reproductive et les droits génésiques » (SDSR). A sa place, les membres du Parlement européen ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et clairement déclaré que « la formulation et la mise en œuvre des politiques sur la SDSR et sur l'éducation sexuelle dans les écoles est une compétence des États membres ».

    Le message est clair : l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement ou l'éducation sexuelle dans les écoles. Ce sont des compétences nationales et, en aucun cas, des questions qui doivent être arrêtées à Bruxelles.

    Des centaines de milliers de citoyens se sont opposés au Rapport Estrela en 2013 ! Une victoire importante en faveur de la dignité humaine, de la subsidiarité et de l'expression populaire !

    Un pas important a été remporté par cette victoire : grâce à la mobilisation des citoyens à travers le continent européen, le Parlement européen a rejeté une tentative majeure de promotion d’un « droit à l'avortement » au niveau de l'UE.

    Cependant, deux rapports contestent actuellement le principe de subsidiarité en ce qui concerne « la SDSR » en poussant l'un des principaux points du rapport Estrela, à savoir un « droit à l'avortement ».

    Le « Rapport Tarabella » : M. Tarabella est le rapporteur du rapport annuel du Parlement européen sur l'égalité entre les femmes et les hommes dans l'Union européenne. Un rapport annuel similaire a été rejeté en 2014, alors connu comme le « rapport Zuber ». Ce rapport : « Maintient que les femmes doivent avoir le contrôle sur leur santé et les droits sexuels et reproductifs, notamment en ayant un accès facile à la contraception et à l'avortement » (paragraphe 45).

    Le geste de M. Tarabella est incohérent car le Parlement européen a déjà statué qu'il n’y a pas compétence de l'UE sur la question de l'avortement. Néanmoins, au cours des réunions du Parlement européen sur les droits de la femme et de l'égalité entre les sexes, il a déclaré sa détermination à promouvoir un « droit à l'avortement ». Il est donc nécessaire de réaffirmer ce que le Parlement européen a déclaré le 10 Décembre 2013.

    Le « Rapport Panzeri » : le rapport annuel sur les droits humains et la démocratie dans le monde en 2013 et la politique de l'Union européenne sur la question, présenté par l'eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri du groupe S & D, « demande à l'UE et ses États membres de reconnaître (...) le droit d'accéder à laplanification familiale volontaire et à l'avortement sans risque et légal » (paragraphe 136).

    Une fois de plus les citoyens de l'UE doivent faire entendre leur voix pour sauvegarder le principe de subsidiarité et empêcher le Parlement européen nouvellement élu d'adopter non pas un, mais deux rapports qui incluraient un « droit à l'avortement ».

    Ne laissez pas l'UE  soutenir l'avortement !

    La FAFCE vous invite à signer cette pétition pour envoyer un signal fort et uni des citoyens au Parlement européen avant les votes qui auront lieu au cours de la plénière du Parlement européen à Strasbourg les 10 et 12 Mars.

    Le texte intégral du rapport Tarabella

    Le texte intégral du rapport Panzeri

    Consultez notre première campagne contre le rapport Tarabella

     

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  • La Fraternité Saint-Pie X rouvre l'église Saint-Joseph à Bruxelles

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    Church-Saint-Joseph.JPGBelgique : Réouverture de l’église saint-Joseph (19 mars 2015)

    Construite dès 1840 par la volonté du roi Léopold Ier, consacrée par le nonce apostolique Mgr Cattani le 24 juin 1874, sanctuaire national dédié à saint Joseph (patron de la Belgique depuis 1679), desservie par la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X depuis 2001, l’église Saint-Joseph, après 10 mois de travaux, rouvrira ses portes en sa fête patronale, le jeudi 19 mars 2015.

    A cette occasion, son grand orgue construit en 1858 par Hippolyte Loret de Bruxelles, transformé en 1953, repris dans l’inventaire du « Patrimoine immobilier remarquable », et à ce jour entièrement restauré par la maison Delmotte de Tournai, sera solennellement béni au cours d’une messe pontificale selon le rite traditionnel, à 18h30.

    Square Frère Orban – 1000 Bruxelles – Métro Arts-Loi.

    (Source : FSSPX)

  • Quand on voudrait interdire aux parents d'administrer la fessée

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    Une opinion de Joseph Junker, ingénieur civil, père de trois enfants, publiée sur le site de laLibre.be : 

    Interdire la fessée: Est-il encore permis d’éduquer ses enfants en paix?

    Il serait inexact de dire que l’évocation des fessées que j’ai reçues dans ma jeunesse soit un souvenir ému de piété filiale… pas plus d’ailleurs qu’elle n’est un cuisant et douloureux épisode de mon enfance. J’ai le souvenir de mon vénérable papa qui, suite à une bonne douzaine de « derniers avertissements » et au succès indéniable de mes efforts frénétiques à trouver une limite et de m’empresser de la franchir, finissait à contrecœur par se lever pour m’administrer le juste châtiment que je n’attendais plus à force d’en entendre la promesse. S’ensuivait une scène digne de Pagnol, une course-poursuite à travers les 3 étages de notre maison et un petit combat de catch où mon pauvre papa sacrifiait les restes de sa 4ème lombaire pour maîtriser son petit galopin et gratifier son séant de la correction que son inconduite exigeait.

    Bien entendu, je hurlais de douleur pour la forme à ces tapes inoffensives, mais surtout à la perspective terrifiante du pontifiant et lénifiant discours paternel que je n’allais pas manquer de subir ; exposé moral et eschatologique du plus bel effet sur ma conscience mais que je tenais pour une punition bien plus atroce que la plus acérée des taloches. Comble de l’horreur, il était souvent assorti d’une vraie punition m’obligeant à méditer sur les conséquences de mes actes et parfois même (ô rage, ô désespoir !) à présenter mes excuses. Traumatisme dont je ne me suis jamais remis et dont je porte encore aujourd’hui les stigmates en me comportant de manière civilisée avec le reste de l’humanité.

    Lire la suite sur le site de laLibre.be