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  • Foliamusica à l’église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132 à Liège) : concert flûte et orgue le dimanche 24 janvier 2016 à 16h30

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    concert Vaillant-Barnabé409.jpg


    st-sacrement.jpgConcert suivi du verre de l'amitié

    Entrée : 9 euros, prévente 6 euros, gratuit pour les enfants de moins de 10 ans.

    Réservations : 0473 32 19 83

    www.foliamusica.be

     

  • Arnaud Dumouch : un torrent de sympathie sur Belgicatho

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    Depuis la parution sur notre blog de l'information concernant le licenciement d'Arnaud Dumouch de son poste de professeur de religion à Châtelet, un flux incessant de visiteurs n'a cessé de grossir, pulvérisant les records de fréquentation de Belgicatho. Nous nous réjouissons de voir s'exprimer ainsi tant de soutiens à son égard : 1295 "like" sur facebook, 1655 signatures sur la pétition, sans compter  de nombreux commentaires sur le blog. La décision inqualifiable des autorités qui ont décidé de l'écarter de sa mission d'enseignant a suscité un courant de solidarité qu'il faut continuer à entretenir. Comment ne pas s'émouvoir de voir écarter un enseignant dont la compétence et les convictions sont indiscutables alors que l'enseignement de la religion est si souvent tombé à un niveau assez déplorable et confié trop fréquemment à des maîtres peu habilités à le délivrer?

  • L'étonnante compassion de Marie à Cana (Jn 2, 1-11); l'homélie du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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    Prédication (20 janvier 2013) par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Jn 2, 1-11) (site Internet : http://www.delamoureneclats.fr et http://www.unfeusurlaterre.org)

    Évangile : Les noces de Cana (Jean 2, 1-11) (http://aelf.org/)

    Il y avait un mariage à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là. Jésus aussi avait été invité au repas de noces avec ses disciples. Or, on manqua de vin ; la mère de Jésus lui dit : « Ils n'ont pas de vin. » Jésus lui répond : « Femme, que me veux-tu ? Mon heure n'est pas encore venue. » Sa mère dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu'il vous dira. » Or, il y avait là six cuves de pierre pour les ablutions rituelles des Juifs ; chacune contenait environ cent litres. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d'eau les cuves. » Et ils les remplirent jusqu'au bord. Il leur dit : « Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent. Le maître du repas goûta l'eau changée en vin. Il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs le savaient, eux qui avaient puisé l'eau. Alors le maître du repas interpelle le marié et lui dit : « Tout le monde sert le bon vin en premier, et, lorsque les gens ont bien bu, on apporte le moins bon. Mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu'à maintenant. » Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit. C'était à Cana en Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui.

  • Le "merci" de Mgr Léonard aux messages de sympathie

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    Merci !

             Comme vous pouvez le deviner, j’ai été ces dernières semaines et suis encore aujourd’hui submergé de messages de sympathie à l’occasion de ma fête patronale (saint André le 30 novembre !), de mes célébrations d’adieu à Malines, Bruxelles et Nivelles et, bien  sûr, de la fête de Noël et la nouvelle année 2016. Cela va des simples cartes de vœux à ce rouleau de 9 mètres de long qui me fut offert à la Cathédrale de Bruxelles, contenant sur trois colonnes des centaines et des centaines de messages, en français et néerlandais, recueillis sur un site « Merci, Monseigneur ! » 

             Il m’est matériellement impossible de répondre à tous ces messages de manière personnalisée. Mais je tiens à vous dire combien ces messages m’ont touché. Je ne suis habituellement ému que lorsqu’il s’agit de l’amour de Dieu pour nous ou de la détresse humaine, très rarement quand il s’agit de moi-même. Mais aujourd’hui je tiens à vous dire que j’ai été souvent bouleversé jusqu’aux larmes en lisant vos mots de gratitude à mon égard. Vous avez si bien compris le fond de mon âme ! Mon attachement à la personne de Jésus en qui se résume tout l’amour de Dieu pour nous. Et comment aimer Jésus sans aimer aussi sa mère et notre mère, la Vierge Marie ? Vous avez vibré à mon grand amour pour la liturgie célébrée avec cœur et respect. Vous avez saisi ma pédagogie de prêtre et d’évêque : ne jamais classer les gens avec des étiquettes, mais toujours leur offrir un avenir par la confiance que nous leur faisons. Vous avez perçu ma prédilection spontanée pour les personnes dont la vie a été blessée ou abîmée. Vous avez compris mon désir obstiné de rencontrer, sur le terrain, le peuple qui m’était confié, spécialement à travers mes longues visites pastorales. Et enfin vous avez sympathisé avec mon effort résolu de donner des prêtres à l’Église. Et le Seigneur m’a exaucé pour votre plus grande joie. 

             Merci d’avoir dit tout cela avec vos mots si simples et si beaux ! 

             Il me reste à vous souhaiter un beau et saint temps de Noël et une heureuse année nouvelle. 

             Je vous bénis de tout cœur.

    Mgr André LÉONARD.

  • Le pape s'est rendu au chevet de malades en état végétatif

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    Lu sur ihsnews.net :

    Le Pape rend visite à des malades en état végétatif

    Le 16/01/2016 Hier le Pape a visité la Casa Iride, une maison de soins dans laquelle sont hospitalisées six personnes en état végétatif, assistées par leurs proches. Cette maison n’est pas organisée comme un hôpital, mais comme une maison familiale, permettant ainsi aux proches des personnes malades de continuer à prendre soin d’eux et de leur préserver une certaine intimité.

    Ce geste manifeste l’opposition du pape aux pratiques médicales visant à abréger la fin de vie, y compris lorsque les personnes sont plongées dans un coma irréversible. Pour le pape, opposé à l’euthanasie, il faut respecter le terme naturel de la vie.

    Cette visite surprise dans un quartier périphérique de Rome est une des initiatives privées que le pape entend prendre, hors caméra, dans le cadre du Jubilé de la miséricorde, mais surtout elle fait bien comprendre combien les paroles de François contre la culture du déchet sont importantes. C’est ce qu’indique le compte Twitter du Jubilé de la Miséricorde, qui précise que cette initiative du Pape s’inscrit dans les signes de charité que le Pape accomplira durant toute la durée du Jubilé un vendredi par mois, comme cela avait été annoncé lors de l’ouverture de la Porte Sainte de la Charité, dans un centre de la Caritas, le 18 décembre dernier. Le pape avait, avant de se rendre auprès de ces malades, d’abord visité la « Casa Bruno Buozzi » où résident 33 personnes âgées, afin de montrer la grande importance et le prix des personnes âgées, des grands-parents, et la valeur et la dignité de la vie dans toute situation.

    Le respect aux personnes âgées est un thème cher au pontife argentin, qui a selon ses biographes toujours effectué de nombreuses visites aux personnes en fin de vie à Buenos Aires. Rappelons que si l’Eglise est favorable aux soins palliatifs et contre l’acharnement thérapeutique, elle s’oppose à toute forme d’euthanasie, sans exception…

    P. M. Astiguerta

  • Des pénitents à foison au confessionnal, cela existe !

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    Le témoignage éloquent d'un prêtre de paroisse paru ICI :

    Depuis que je suis arrivé à Dieppe en septembre 2013, en plus des 2 jours annuels déjà existant de confession sur la journée entière avec les prêtres du doyenné,  j’ai annoncé 4 heures de confession par samedi de l’Avent et du Carême, toutes les soirées de la Semaine Sainte ainsi que toutes les soirées entre le dernier dimanche de l’Avent jusqu’au 24 décembre après la messe du matin. Pas une minute de répit ne m’a été accordée, même pas pour prier un peu le bréviaire ou réciter le chapelet en prenant à mon compte quelques pénitences à la manière du curé d’Ars !

    Si, par grâce pour eux, un certain nombre de pénitents est régulier pour les fêtes – et leur confession est assez rapide -, un grand nombre d’autres se sont présentés à la Miséricorde de Dieu avec une immense espérance.

    Impossible, parce que je n’ai pas compté, de vous dire le nombre d’hommes et femmes qui ne s’étaient pas confessés depuis des décennies et pourtant communiant chaque dimanche !

    Impossible de vous dire le nombre de ceux qui entrant « par hasard » dans l’église ont senti un appel à se confesser !

    Impossible d’entrer dans les détails de l’aveu des fautes, mais je peux vous assurer que le Pape François a aussi de l’influence pour les pénitents, y compris à partir de « qui suis-je pour juger ? » ! En effet, ces fidèles revenant à ce sacrement savaient dire qu’ils s’en remettaient à Dieu par ce sacrement et que si l’Eglise le proposait, c’était bien parce qu’il y avait une raison. Que de larmes, notamment chez beaucoup d’hommes, bouleversés par la vie et heureux de recevoir une parole les remettant debout !

    Permettez-moi encore d’ajouter que si la parole fréquente du curé sur la vie sacramentelle peut avoir un effet, Internet peut en avoir aussi un autre. Ils sont nombreux ceux qui viennent avec un papier dans la main avec l’acte de contrition (« excusez-moi je ne le connais pas !) mais aussi avec une réflexion profonde et particulièrement juste sur leurs péchés, grâce à leurs recherches sur différents sites catholiques. Ils sont nombreux aussi ceux qui découvrent alors qu’ils ne pourront pas recevoir l’absolution sacramentelle mais qui supplient le prêtre de prier pour eux et avec eux, afin qu’ils entendent une parole non-sacramentelle de libération. Ils pleurent de joie et d’émotion ceux qui récitent avec le prêtre : « Notre Père… pardonne-nous nos offenses ».

    Enfin, comment ne pas vous témoigner de l’intensité de la confession des enfants du catéchisme (de l’école catholique ou de la paroisse), dès la première année (et non pas la veille de leur première communion, qui sera souvent la dernière comme la confession). Ils sont honorés de cet entretien privé avec le prêtre. Ils savent particulièrement bien décrire les péchés commis, sans détour ! Ils deviennent ensuite non pas des enfants sages mais des témoins de la miséricorde auprès de leurs amis et parents. Ces derniers me demandent souvent avec un sourire en coin, « ce qu’ils ont bien pu vous dire » !

    Au moment où l’on enterre le vieux prêtre curé du village de mes vacances, qui su jusqu’à ces jours derniers se rendre disponible pour les pénitents, j’espère que d’autres prêtres vont se manifester pour confirmer mon témoignage. Merci d’en rendre compte !

    Geoffroy de la Tousche
    Curé de Dieppe
    Archidiocèse de Rouen, France

  • Royaume-Uni : tout est mis en oeuvre pour détecter les enfants à naître trisomiques et les éliminer

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    De Anne Dolhein sur "reinformation.tv" :

    Royaume-Uni : des centaines de bébés tués chaque année par le dépistage de la trisomie 21

    La découverte en 2008 du test génomique, permet avec une simple prise de sang, de dépister la trisomie en étudiant l’ADN circulant dans le sang maternel.

    Le Telegraph de Londres a choisi un titre énigmatique pour annoncer la nouvelle méthode de dépistage prénatal agréée par l’assurance santé britannique : « Des centaines de bébés pourraient être sauvés depuis que le test sanguin de la trisomie 21 a été approuvée par la NHS. » Naïvement, on pourrait croire qu’un moyen a été trouvé pour venir en aide aux enfants porteurs de la maladie génétique. Mais à la lecture du sous-titre, le rêve s’évanouit : « Les femmes ne s’exposeront plus à la fausse couche du fait de tests invasifs pour dépister la trisomie 21. » Il convient donc d’expliciter le titre, de comprendre ce qu’il affirme en réalité : au Royaume-Uni, des centaines de bébés sont tués – chaque année ! – par le dépistage de la trisomie 21.

    La présentation faite par la presse de ce nouveau test qui nécessite une simple prise de sang est d’un cynisme parfait. Il admet sans critique que l’on ait, pendant de longues années, accepté de tuer des enfants à naître pour être bien sûr de « dépister » les trisomiques pour qui la seule « solution » proposée, hier comme aujourd’hui, reste la solution finale. On ne guérit pas la trisomie 21 et d’ailleurs les seules recherches sur les moyens de le faire reviennent aux institutions privées, comme la Fondation Lejeune… On élimine les bébés porteurs par avortement tardif. En France, 96 % des trisomiques dépistés sont tués. Au Royaume-Uni on a affaire à des statistiques similaires…

    Au Royaume-Uni, le dépistage de la trisomie 21 par amniocentèse, c’est 350 morts par an

    L’article du Telegraph affirme que quelque « 350 bébés sont perdus tous les ans », victimes de l’amniocentèse proposée aux femmes enceintes jugées à risque de donner naissance à un trisomique : « Certains d’entre eux auraient pu naître en bonne santé », observe la journaliste. 350 « bébés » : personne ne doute de ce qu’il s’agisse de bébés, on ne les cache pas sous l’euphémisme « fœtus », ils sont les malheureuses victimes collatérales de procédures inévitables qui – apprend-on – provoquent également un millier d’infections graves par an chez les mamans.
     
    L’amniocentèse implique en effet l’insertion d’une grande aiguille dans l’utérus de la femme enceinte afin de prélever du matériel génétique : une procédure qui comporte un risque statistique d’un sur cent – selon les estimations les plus basses – de se solder par une fausse couche. C’est donc un risque qu’on prend jusqu’à 35.000 fois par an pour être bien sûr de ne pas laisser passer des enfants avec des défauts génétiques entre les mailles : un eugénisme socialement organisé dont on fait porter le poids aux femmes qui le « choisissent ». 

    Les tests sanguins ne provoquent pas de fausses couches mais augmentent le nombre d’avortements

    La NHS vient donc de recommander que les femmes présentant un risque d’un sur 150 ou davantage d’avoir un bébé porteur d’une trisomie 21 puissent « bénéficier » du nouveau test sanguin qui peut détecter dans le sang prélevé sur la mère l’ADN fœtal et donc les anomalies génétiques de l’enfant qu’elle porte.
     
    La belle affaire ! On tuera un peu moins d’enfants « sains », mais davantage de bébés non conformes… Les femmes britanniques ont en effet déjà recours à ces prises de sang, développées il y a plusieurs années, en dehors du circuit de l’assurance santé, payant de leurs deniers pour faire dépister une foultitude d’anomalies. Si bien que le nombre d’avortements dits « médicaux » est à la hausse au Royaume-Uni.
     
    Selon un article du Daily Mail publié en juin dernier, le nombre d’avortements liés à des anomalies génétiques graves a progressé de 34 % entre 2011 et 2014, soit un total de 3.100 avortements en 2014 contre 2.300 trois ans plus tôt. La plupart des 800 « éliminés » supplémentaires étaient porteurs d’une trisomie 21 ; mais on en a également compté 10 qui souffraient simplement d’un bec-de-lièvre, opérable…

    Des centaines de bébés sacrifiés au Royaume-Uni sur l’autel de l’eugénisme

    Si nombre de femmes demandent ces tests sanguins uniquement pour pouvoir se préparer aux difficultés de la naissance d’un enfant handicapé, il ne semble pas qu’elles forment la majorité. Au contraire, les statistiques montrent la progression de l’eugénisme « choisi » et le recours de plus en plus fréquent à l’avortement tardif, au-delà de la viabilité de l’enfant : en 2011, il y a eu 146 avortements médicaux au-delà de la limite légale de 24 semaines, contre 211 en 2014, soit 44 % de plus.
     
    A 500 livres par test, le dépistage sur prise de sang n’est pas à la portée de toutes, mais la tendance est donc clairement à la hausse, avec les avortements correspondants, et une fois la procédure remboursée la boucle sera bouclée.
     
    On s’inquiète aujourd’hui des risques d’erreur liés aux tests sanguins qui peuvent livrer de faux positifs. L’article du Mail en juin dernier affirmait qu’avec une marge d’erreur d’un pourcent, ces tests avaient déjà conduit à des avortements « médicaux » d’enfants sains.

  • Le pape François et le « lobby gay » dans l’Eglise

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    Lu sur le site web de l’hebdomadaire « La Vie », cette interview du cardinal  hondurien Maradiaga, coordinateur du  « C 9 » ( commission de 9 cardinaux nommés par le pape François pour l’aider dans le gouvernement de l’Eglise ) : 

    « Dans une interview accordée au journal hondurien El Heraldo le mardi 12 janvier, l’archevêque de Tegucigalpa reconnaît la présence d'un ”lobby gay” au Vatican, relate l’Apic.

    « Qu'en est-il de l'infiltration de la communauté gay au sein du Vatican ? » A la question du journal hondurien, la réponse du cardinal Oscar Andrés Rodríguez Maradiaga, archevêque de Tegucigalpa, capitale du Honduras, est claire : « Il ne s'agit pas seulement d'une infiltration, le pape François a même parlé d'un lobby en ce sens. Peu à peu, le pape cherche à “purifier” cette situation, poursuit-il. On peut comprendre les homosexuels, et la législation pastorale est là pour les assister, mais ce qui est erroné ne peut pas être la vérité. » 

    D'après le coordinateur du Conseil des cardinaux (C9) pour la réforme de la Curie, certaines personnes ont interprété les paroles du pape François comme signifiant une ouverture de l'Église au mariage de personnes de même sexe. Le cardinal exclut une telle possibilité : « Nous devons comprendre que certaines choses peuvent être réformées et d'autres ne le peuvent pas ». Et d’insister sur le fait que « la loi naturelle ne peut pas être réformée. Dieu a conçu le corps humain, homme et femme, de manière à se compléter mutuellement et transmettre la vie. Le contraire n'est pas dans le plan de la création. Il y a des choses qui ne peuvent pas être modifiées ».

    Un précédent rapport sur le travail du pape pour contrer le “lobby gay” a été largement diffusé, mais sa précision est incertaine, précise l’Apic. Déjà en juin 2013, ainsi que nous le relations alors, le site Reflexión y Liberación avait affirmé que François mentionnait l'existence d'un “lobby gay”, lors d'une rencontre de la Confédération latino-américaine des religieuses et religieux (CLAR). Mais cette dernière a déclaré que l'affirmation rapportée « ne peut pas être attribuée avec certitude au Saint-Père ».

    Le pape avait lui-même clarifié ses propos durant le vol du retour de Rio, le 28 juillet 2013. « On écrit beaucoup sur ce lobby gay, je ne l'ai pas encore rencontré »déclarait alors le pape. « Tous les lobbies sont mauvais. Ils sont ce qu'il y a de plus problématique pour moi ». Citant l'enseignement du Catéchisme, contre la marginalisation des personnes homosexuelles, il ajoutait :« Si une personne est homosexuelle et qu'elle cherche sincèrement le Seigneur, qui suis-je pour la juger ? ».

    Ref. Le cardinal Maradiaga reconnaît l'existence d'un “lobby gay” au Vatican

    Bref, lobby gay ou pas dans l’Eglise, « on peut comprendre les homosexuels, et la législation pastorale est là pour les assister, mais ce qui est erroné ne peut pas être la vérité ».

    Sur son blog "Chiesa", le « vaticaniste » Sandro Magister note, par ailleurs: « Au mois de juin dernier, lors de l’annonce d’un "Family Day" à Rome contre la légalisation des unions homosexuelles, Nunzio Galantino, le secrétaire de la conférence des évêques d’Italie (CEI), qui informe ces évêques de ce que veut le pape, a fait tout ce qui était en son pouvoir pour que le projet à peine conçu soit abandonné. La manifestation a tout de même eu lieu et elle a rassemblé un très grand nombre de participants, mais le pape François s’est bien gardé de lui donner sa bénédiction publiquement. Les fidèles peuvent intervenir également dans le domaine politique, mais il ne faut pas qu’ils pensent qu’ils ont des "évêques-pilotes". C’est ce que le pape a déclaré, par la suite, devant les participants aux états-généraux de l’Église italienne réunis à Florence au mois de novembre ». Voir ici.

    JPSC

  • Messe de la Nativité à Moscou : c’était le 9 janvier dernier, selon le calendrier orthodoxe

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    Vu sur le site du petit Placide :

    Ref. Messe de la Nativité

    Une liturgie qui nous parle. A Poutine aussi, semble-t-il.

    JPSC

  • Mariage gay : la Communion anglicane prend des "sanctions"

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    L’ "Église" épiscopale des États-Unis vient d’être exclue des réunions et événements officiels de la Communion anglicane pour une durée de trois ans. Cette décision collégiale fait suite à des prises de positions contestées sur la question du mariage homosexuel, qu’elle accepte de célébrer depuis un an. Hugues Lefèvre dans « famille chrétienne :

    « Justin Welby, l’archevêque de Cantorbéry, avait annoncé la semaine dernière sur Twitter que la Communion anglicane allait être secouée. Il ne s’est pas trompé. À l’issue d’un sommet rassemblant à huis clos les prélats des trente-huit provinces de la Communion anglicane, l’Église épiscopale – qui représente dans les faits la branche américaine de l’Église anglicane – a été sanctionnée. « Pendant trois ans, l’Église épiscopale ne sera plus considérée comme un de nos membres. […] Ses dirigeants ne prendront plus part aux décisions sur les sujets doctrinaires ou de règlements », peut-on lire dans un communiqué en date du 14 janvier.

    Cette suspension est justifiée par les positions très libérales de l’Église épiscopale sur la question du mariage homosexuel. « En changeant récemment ses règles sur le mariage, l’Église épiscopale a créé une rupture fondamentale sur la foi et l’enseignement de la doctrine du mariage portée par la majorité de nos Provinces », détaille le communiqué.

    L’année dernière, après un vote interne, l’Église épiscopale avait en effet décidé d’autoriser les mariages entre les personnes de même sexe. Elle avait également adopté un nouveau rite afin de pouvoir marier aussi bien les couples hétérosexuels qu’homosexuels. Ces décisions avaient alors choqué certaines Églises de la Communion anglicane, notamment en Afrique.

    Le communiqué stipule également que « la majorité » des prélats rassemblés à Cantorbéry réaffirme que « la doctrine traditionnelle de l’Église en ce qui concerne l’enseignement des écritures considère le mariage comme l’union à vie entre un homme et une femme ».

    Ref. Mariage gay : la Communion anglicane prend des sanctions 

    La communion anglicane est l’équivalent religieux du commonwealth britannique : un club sans portée contraignante autre que celle d’exclure les membres qui contreviennent à son règlement d’ordre intérieur.Comme l’a précisé l’ « archevêque » Welby, primat de l’Eglise anglicane, «  nous n’avons pas le pouvoir de sanctionner une Eglise (sic) dans ses activités, seule sa participation à la vie de communion sera impactée », une  « vie commune » qui représente bien peu de chose…

    JPSC  

  • Un juge confirme la décision prise par un hôpital catholique dans le respect de ses convictions

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    Au moment où, en Belgique, les politiques et les journaleux ne reconnaissent pas aux institutions catholiques le droit de refuser dans leurs murs des pratiques qui controviennent à leur orientation éthique et religieuse, il est intéressant de prendre acte de cette décision d'un juge californien

    De la synthèse de presse bioéthique de genethique.org :

    UN JUGE CALIFORNIEN CONFIRME LA DÉCISION PRISE PAR UN HÔPITAL DANS LE RESPECT DE SES CONVICTIONS

    Un juge de San Francisco a refusé jeudi d’obliger un hôpital catholique à autoriser la stérilisation d’une patiente qui venait d’accouché de son troisième enfant.

    Le juge Ernest Goldsmith a de facto reconnu le droit pour l’hôpital catholique, le Merci Medical Center Redding, de respecter ses positions éthiques et religieuses. « Les tribunaux n’ont pas à interférer avec leurs croyances religieuses ». « Il n’y a pas de loi déclarant que les hôpitaux doivent réaliser des stérilisations » a-t-il déclaré pendant l’audience. Il a en outre précisé que ce refus ne causerait pas de tort à la patiente, mais seulement le désagrément de devoir se déplacer dans un hôpital autorisant la ligature des trompes. 

    La plaignante, Rebecca Chamorro doit accoucher à la fin du mois au Merci Medical Center Reddinget devait être stérilisée par son gynécologue-obstétricien dans la foulée de sa césarienne.

    Sources: SF Gate (14/01/2016) - The Guardian (14/01/2016)

  • Téqui propose des livres pour l'Année de la Miséricorde

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    I-Grande-8010-mon-jubile-de-misericorde-avec-marie.net.jpgMon Jubilé de miséricorde avec Marie

    Père Guénolé Feugang, C.M.
    Recteur de la chapelle de la Médaille miraculeuse

    Le sanctuaire de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse invite à vivre la tendresse de Dieu en contemplant la Vierge Marie, première disciple du Seigneur. Le père Feugang propose un chemin de miséricorde qui guidera le pèlerin pour mieux vivre le sacrement de Réconciliation, en laissant résonner dans son cœur les paroles de l'Écriture sur Marie, Mère de toute miséricorde, et le message du pape François sur l'indulgence.
    Diffusion Téqui 

     

    Le visage de la miséricordeI-Grande-7698-le-visage-de-la-misericorde.net.jpg

    Bulle d'indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde Misericordiæ vultus

    Pape François

    Misericordiæ vultus est la bulle d'indiction proclamant une année sainte extraordinaire, sous le signe d'un jubilé de la Miséricorde. La bulle donne des explications théologiques et spirituelles sur la miséricorde et y souligne le « mystère de la miséricorde ». Elle s'élève ensuite contre la corruption et appelle à la combattre.
    Elle proclame le 8 décembre 2015, jour marquant le 50e anniversaire de la clôture du concile Vatican II comme date d'ouverture de l'Année Sainte car, selon François, « l'Église ressent le besoin de garder vivant cet événement. » 

     

    I-Grande-7531-sainte-faustine-la-messagere-de-jesus-misericordieux.net.jpgSainte Faustine, la messagère de Jésus miséricordieux

    Francine Bay
    illustrations : Anne-Charlotte Larroque

    Hélène doit arrêter l'école pour aider ses parents, qui ont besoin d'argent. Comment fera-t-elle pour leur dire qu'elle aimerait tant suivre Jésus et ne vivre que pour lui ? Comment Jésus l'aidera-t-il et la guidera-t-il dans la grande ville où elle fuira, où tout lui sera inconnu ?
    Album illustré en couleurs - dès 7 ans 

     

     

    I-Grande-7302-c-est-la-misericorde-que-je-veux.net.jpgC'est la miséricorde que je veux !
    Les plus belles citations des papes

    Collectif

    Depuis le Concile Vatican II, les papes n'ont cessé de manifester au monde l'aspect miséricordieux de l'amour de Dieu.
    « L'Église doit être le lieu de la miséricorde gratuite, où tout le monde peut se sentir accueilli, aimé, pardonné et encouragé à vivre selon la bonne vie de l'Évangile. » (Pape François)

     

     

    I-Grande-7638-la-misericorde-divine.net.jpgLa Miséricorde divine
    Ultime planche du Salut

    Nicolas Journé

    Cet ouvrage voudrait contribuer à propager le culte de la Miséricorde tel qu'il a été transmis par Jésus. Dictée par Jésus à sainte Faustine, voici la démarche de prière, composée de cinq points : le Dimanche de la Miséricorde (Neuvaine), la vénération de l'image du Christ, le chapelet, l'heure de la Miséricorde et la propagation de la mission de sainte Faustine
    Éditions Saint-Paul

     

     

     

    I-Grande-1900-la-spiritualite-de-sainte-faustine.net.jpgLa spiritualité de sainte Faustine

    Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde

    Sainte Faustine compte aujourd'hui parmi les saints les plus renommés de l'Église du IIIe millénaire. C'est par son intermédiaire que le Seigneur Jésus transmet au monde le grand message de sa Miséricorde divine.
    Ainsi pouvons-nous, grâce à Sœur Faustine, avoir une confiance d'enfant envers Dieu et un cœur miséricordieux à l'égard de nos proches. Sa spiritualité s'enracine dans la contemplation du mystère de la Miséricorde divine.