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  • Non au "Salon du bébé-GPA" !

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    CZZ5AeFWAAA4u29.pngUne opinion d'Alain Tiri - enseignant, informaticien et jeune cdH - sur le site du Vif :

    Salon de l'auto, oui, salon du bébé-GPA non !

    Cette semaine à lieu à Bruxelles le salon de l'auto où les plus grandes marques afficheront leurs belles mécaniques. ET pour la deuxième année consécutive, il se tient également à Bruxelles le 29 et 30 janvier 2016, un autre type de salon commercial organisé par Baby Bloom. Ce salon est très particulier, car il consiste à acheter un enfant, conçu par une mère qui va l'abandonner, par l'intermédiaire d'une société américaine. Cette société n'hésite pas à afficher en option qu'il est possible de choisir le sexe de l'enfant, après le tri des embryons.

    Que penser de cette pratique des mères porteuses ? Dans un sondage récent, 57 % des belges sont contre le principe de mère porteuse (la Gestation pour autrui, GPA). Les tribunes de féministes en France et en Belgique se multiplient pour demander l'abolition de la GPA , comme par exemple : "GPA trafic d'enfant ", "La GPA est aussi une affaire de Femme ".

    Le citoyen sait qu'une femme n'est pas un objet. Comment pourrait-elle dès lors faire l'objet d'un contrat ? La femme qui accouche, accouche d'un être humain et non d'une chose. Le remettrait-elle par convention à la naissance à des adultes ? Et de façon plus simple : peut-on donner un être humain ?

    Pourtant, la majorité des partis politiques en Belgique continuent à défendre un projet de légalisation de la GPA. La lecture du rapport de la commission des Affaires Institutionnelles du Sénat belge révèle l'aveuglement idéologique de ses défenseurs. Un exemple ? Plusieurs avocats auditionnés sont en conflit d'intérêt, car ils sont rémunérés par des candidats à la GPA. Et pourtant, ceux-ci n'ont pu faire autrement que de noter les nombreuses incohérences insolubles par un éventuel texte de loi qui essayerait d'aménager un cadre pour une GPA "altruiste" qui la rendrait éthique. Le citoyen sait qu'une femme n'est pas un objet. Comment pourrait-elle dès lors faire l'objet d'un contrat ? La femme qui accouche, accouche d'un être humain et non d'une chose. Le remettrait-elle par convention à la naissance à des adultes ? Et de façon plus simple : peut-on donner un être humain ?

    Plusieurs psychologues et médecins recommandent d'obliger le soutien psychologique avant et après une GPA. Ne serait-ce pas reconnaître ainsi l'existence de traumatismes infligés ? Une experte en psycho-généalogie auditionnée au Sénat a mis en garde contre les dégâts prévisibles de l'abandon de l'enfant lors de la GPA. Les mamans savent combien la relation intra-utérine est constitutive pour l'équilibre du futur adulte. Affirmer que cela ne pèsera pas sur l'enfant, c'est piétiner 50 ans de progrès et d'études des relations mères-enfants pendant la grossesse.

    Les associations d'adoption sont aussi en première ligne, car une adoption, n'est-ce pas proposer un foyer après un abandon accidentel de la vie, alors que la GPA c'est marchander un abandon programmé, en violation de tous les traités de l'adoption. Des juristes la comparent à de la traite des êtres humains.

    Comment en est-on arrivé à ce point d'aveuglement inhumain ? Est-il possible que notre démocratie soit tellement dominée par des groupes de pression, qui manipulent dans l'ombre nos dirigeants que nous, citoyens, nous ne percevions plus les dégâts de la GPA dans le monde ? Nous avons tous en tête le scandale de Gammy en Thaïlande : ce couple Australien qui a adopté la fille en bonne santé et laissé à la mère porteuse son frère jumeau atteint de trisomie. Sans aucune gêne, ils ont même demandé un remboursement partiel. Ou bien de cette mère porteuse enceinte de triplés, dont les parents commanditaires ont demandé l'avortement d'un bébé, car ils ne voulaient que deux enfants et pas trois ?

    Une Maserati ou une Dacia, on peut se saigner pour l'acquérir. Par contre, un enfant, ne s'achète pas, un enfant ne peut faire l'objet d'un contrat. Jamais. Il n'existe pas de droit à avoir un enfant. La non-marchandisation de l'humain est gage de notre degré de civilisation.

    Les masques sont en train de tomber. Les mécanismes sous-tendant la pratique honteuse des mères porteuses apparaissent au grand jour aux intelligences honnêtes : qui peut nier que le corps de la femme et son intimité ne peuvent pas faire l'objet d'un contrat ? Dira-t-on que concevoir un être humain pour le négocier, l'acheter et l'abandonner constitue un progrès pour notre société occidentale ? La GPA éthique est un mythe, tout comme la GPA altruiste puisque nombreux sont les intermédiaires en tirent profit. La gratuité pour qui, quand ce sont les femmes et enfants qui paient de leur personne à vie ? Ces partis politiques pro-GPA défendent-ils encore la dignité des êtres humains ? Manqueraient-ils de cohérence et d'intelligence puisque par ailleurs, certains textes de loi interdisent la vente de bébés en Belgique ?

    Et d'ailleurs, les pays comme l'Inde, la Thaïlande, le Népal, le Canada font marche arrière devant les abus de ce marché financier. Le Parlement européen a voté un texte le 17 décembre 2015 : il indique à l'article 115 : "qu'il condamne la pratique de la gestation pour autrui qui va à l'encontre de la dignité humaine de la femme, ..., qu'elle doit être interdite et qu'elle doit être examinée en priorité dans le cadre des instruments de défense des droits de l'homme".

    S'opposer fermement à la GPA et de travailler à son abolition en Belgique et dans le monde est aussi important que l'abolition de l'esclavage. Sylviane Agasinski philosophe et femme de Lionel Jospin rappelle dans une lettre ouverte : "Interdire la GPA : c'est la défense des femmes et des enfants qui est en jeu, nous vous demandons également de renforcer le dispositif législatif de lutte contre la prospection de clients par les agences étrangères de mères porteuses et de porter un projet de convention internationale visant à prohiber la pratique des mères porteuses ".

    Salon de l'auto, oui ! Salon du bébé-GPA non !

  • Le pape a réaffirmé qu'il ne peut y avoir de confusion entre la famille voulue par Dieu et tout autre type d’union

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    De zenit.org :

    La famille « rêve de Dieu » pour le salut du monde (texte complet)

    « Il ne peut y avoir de confusion entre la famille voulue par Dieu et tout autre type d’union », recommande le pape François.

    Le pape a reçu en audience les prélats auditeurs, les officiels et les avocats du Tribunal de la Rote romaine, à l’occasion de l’inauguration solennelle de l’Année judiciaire, ce vendredi 22 janvier, en la salle Clémentine du palais apostolique du Vatican.

    Après les salutations du doyen, Mgr Pio Vito Pinto, le pape a évoqué la mission de la Rote, au service de la famille et du mariage.

    Le pape indique comme un des fruits des synodes sur la famille ce témoignage rendu par l’Eglise au mariage chrétien: « L’Église a, entre autres, indiqué au monde qu’il ne peut y avoir de confusion entre la famille voulue par Dieu et tout autre type d’union. »

    La famille, c’est le « rêve de Dieu », pour le salut du monde, explique le pape : « La famille, fondée sur le mariage indissoluble, unitif et procréatif, appartient au « rêve » de Dieu et de son Église pour le salut de l’humanité. »

    Il exhorte le tribunal à allier miséricorde et vérité : « L’Église peut montrer l’indéfectible amour miséricordieux de Dieu pour les familles, en particulier celles qui sont blessées par le péché et par les épreuves de la vie, en proclamant en même temps la vérité incontournable du mariage selon le dessein de Dieu. Ce service est confié avant tout au pape et aux évêques. »

    Il le redit autrement : « Quand l’Église, à travers votre service, se propose de déclarer la vérité sur le mariage dans un cas concret, pour le bien des fidèles, elle garde présent à l’esprit, en même temps, que ceux qui, par un choix libre ou en raison de circonstances malheureuses de la vie, vivent dans un état objectif d’erreur, continuent d’être l’objet de l’amour miséricordieux du Christ et donc de l’Église elle-même. »

    A.B.

    Discours du pape François

    Chers frères,

    Je vous souhaite une cordiale bienvenue et je remercie le Doyen pour les paroles avec lesquelles il a introduit notre rencontre.

    Le ministère du Tribunal apostolique de la Rote romaine est depuis toujours une aide pour le Successeur de Pierre, afin que l’Église, indissolublement liée à la famille, continue de proclamer le dessein de Dieu, Créateur et Rédempteur, sur la sacralité et la beauté de l’institution familiale. Une mission toujours actuelle, mais qui revêt une importance particulière à notre époque.

    À côté de la définition de la Rote romaine, en tant que Tribunal de la famille [i], je voudrais mettre en relief son autre prérogative, à savoir qu’elle est le Tribunal de la vérité du lien sacré. Et ces deux aspects sont complémentaires.

    En effet, l’Église peut montrer l’indéfectible amour miséricordieux de Dieu pour les familles, en particulier celles qui sont blessées par le péché et par les épreuves de la vie, en proclamant en même temps la vérité incontournable du mariage selon le dessein de Dieu. Ce service est confié avant tout au pape et aux évêques.

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  • Le grand rabbin de Rome dit non au pape François

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    jpg_1351214.jpgLe 17 janvier dernier, le grand rabbin de Rome a dit "non", au cours de sa rencontre avec le pape François à la synagogue. : il s’agit d’un refus de "discuter de théologie" avec l’Église catholique. Est-ce parce que les juifs ont peur que l’on ne distingue plus ce qui les différencie des chrétiens? Sur son site « chiesa », Sandro Magister commente (extraits) :

    ROME, le 23 janvier 2016 – Du côté catholique, presque personne ne l’a remarqué ni fait remarquer. Mais, du côté juif, si. Il s’agit de ce "non" sec que le grand rabbin de Rome, Riccardo Di Segni, a dit au pape François venu en visite à la synagogue, le dimanche 17 janvier :

    "Nous n’accueillons pas le pape pour discuter de théologie. Chaque système est autonome, la foi n’est pas un objet d’échange et de négociations politiques".

    C’était un "non" préventif. Parce que, tout de suite après, François a pris la parole. Et c’est en vain que, dans son discours, le pape a proposé aux juifs de procéder ensemble à un approfondissement théologique du rapport entre le judaïsme et l’Église. Cette proposition que le rabbin Di Segni avait déjà refusée.

    Afin de motiver sa proposition de dialogue théologique François a cité deux documents.

    Le premier est la déclaration "Nostra ætate" du concile Vatican II, qui – a-t-il dit – "a défini théologiquement pour la première fois, de manière explicite, les relations de l’Église catholique avec le judaïsme", sans, bien évidemment, résoudre tous les problèmes mais en "fournissant une stimulation très importante pour des réflexions supplémentaires nécessaires".

    Le second est le document publié le 15 décembre 2015 par la commission vaticane pour les relations religieuses avec le judaïsme, document qui – a déclaré le pape  – "aborde les questions théologiques ayant émergé au cours des décennies qui ont suivi la promulgation de 'Nostra ætate'".

    Et François a poursuivi de la manière suivante :"La dimension théologique du dialogue entre juifs et catholiques mérite d’être toujours plus approfondie, et je désire encourager tous ceux qui sont engagés dans ce dialogue à continuer dans ce sens, avec discernement et persévérance. D’un point de vue théologique, précisément, le lien indéfectible qui unit les chrétiens et les juifs apparaît clairement. Les chrétiens, pour se comprendre eux-mêmes, ne peuvent pas ne pas faire référence aux racines juives, et l’Église, bien que professant le salut à travers la foi en Jésus-Christ, reconnaît l’irrévocabilité de l’Ancienne Alliance et l’amour constant et fidèle de Dieu pour Israël".


    En s’exprimant de cette façon, le pape Jorge Mario Bergoglio s’est placé pleinement dans la continuité de ses prédécesseurs, en particulier Benoît XVI. Ce dernier a certes refusé de faire de la foi un objet de dialogue entre le christianisme et les autres religions, mais il a toujours reconnu qu’il y a, entre le christianisme et le judaïsme, une relation unique, très spéciale, qui rend non seulement possible mais même nécessaire un dialogue commun, y compris au plan théologique. [...] Mais alors, si la qualité du dialogue théologique que le pape François a proposé une nouvelle fois aux juifs atteint ce niveau, pourquoi le rabbin Di Segni a-t-il dit "non" ?[...] 

    À la suite de sa rencontre avec le pape à la synagogue, Di Segni lui-même a donné une première explication de sa pensée dans le cadre d’une interview qu’il a accordée au vaticaniste Andrea Gagliarducci et qui a été publiée, le 21 janvier, par l’agence de presse ACI Stampa:

    "J’ai toujours affirmé que, en tant que juifs, nous devions réfléchir à nos relations avec le christianisme, y compris au point de vue théologique. Cependant ces réflexions ne se développent pas au sein du judaïsme de la même manière que dans un organisme tel que l’Église, qui dispose d’un important système doctrinal, d’une hiérarchie, et d’un chef qui peut organiser ces choses-là. Chez nous, les manières d’agir et les moments pour le faire sont différents. Il est certes important de prêter attention à ce que disent les autres, mais la théologie est un domaine interne à chaque religion. Chaque foi et surtout ces thèmes-là ne sont pas des sujets de discussion politique  ; par conséquent il faut laisser du temps et de l’espace à l'évolution des réflexion de chacun".

    Ref. Ce "non" du grand rabbin de Rome à François

    Quoi qu'il en soit de la place privilégiée du judaïsme dans l'économie chrétienne du salut, rappelons aussi, pour mémoire, ce qu'énoncait Benoît XVI dans la préface du livre  «Il cristianesimo, chance dell’Europa» de son ami le sénateur italien Pera: "le dialogue interreligieux au sens étroit du terme n'est pas possible, alors que le dialogue interculturel qui approfondit les conséquences culturelles de la décision religieuse de fond s'avère urgent. Tandis que sur cette dernière,un vrai dialogue n'est pas possible sans mettre sa foi entre parenthèse, il est nécessaire d'affronter dans le débat public les conséquences culturelles des décisions religieuses de fond. Ici, le dialogue et une mutuelle correction, sont un enrichissement réciroque et sont possibles et nécessaires". 

    JPSC

  • Etats-Unis : la grande "March for Life" a bravé le blizzard à Washington

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    P1020790.jpgLes photos et le détail se trouvent sur ce site : https://www.lifesitenews.com/news/2016-march-for-life-heats-up-blizzard-stricken-washington

    De "RadinRue" :

    Les mouvements pro-life se rassemblent à Washington pour leur rendez-vous annuel depuis 1974. Il s’agit d’une marche pour défendre la vie, organisée chaque année dans la capitale américaine et soutenue par la conférence épiscopale du pays, lors de la Journée de prière pour la vie naissante.

    Le thème de cette journée est « pro women, pro life », en faveur des femmes, en faveur de la vie, pour souligner que l’avortement n’est pas seulement la fin d’une vie naissante, mais également « une blessure indélébile pour la femme qui le pratique », explique à l’agence CNS la présidente de la marche pour la vie, Jeanne Monahan-Mancini. L’idée est également de montrer que la lutte contre l’avortement n’est pas une révolte contre les femmes.

    Année après année, le nombre de personnes ayant pris part à cette marche a augmenté. En 2010, plus de 300.000 personnes y ont participé. Malgré cette présence croissante, le soutien à la légalisation de l’avortement reste élevé dans le pays. Selon un sondage d’Associated Press, réalisé après une fusillade en novembre dans une clinique pratiquant des avortements à Colorado Springs, 58% des Américains estiment que l’interruption volontaire de grossesse doit être admise dans pratiquement tous les cas.

  • La foi de la mère de Benoît Poelvoorde, une foi "comme une cathédrale"

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    Lu sur cathobel.be (Angélique Tasiaux) :

    Bien-vieillir-Affiche-343x500.jpgLa foi inébranlable de Jacqueline

    Personnage populaire du Namurois, la commerçante Jacqueline Pappaert prête son visage à une campagne de récolte de fonds pour mieux vieillir. A ses côtés, son fils et acteur belge bien connu…

    C’est en partie par altruisme que Jacqueline s’est lancée dans l’aventure du « Bien vieillir ». Puis, « pour faire plaisir aux facultés, parce qu’ils ont été chouette avec mes enfants. » Elle se souvient encore avec émotion du verre de l’amitié offert à ses clients lors de la fermeture de son magasin.

    On l’ignore souvent, mais la mère de Benoît fut une habituée des planches, régulièrement invitée à participer aux revues estudiantines des facultés de droit et de sciences économiques. Pas dupe pour un sou, elle sait qu’ils la tournaient en bourrique. « Ils se fichaient de ma tête. » A ses enfants récalcitrants ou fâchés, elle répondait qu’il y allait de sa publicité! Ainsi, sous ses abords enjoués, avait-elle le sens du commerce! Maman de trois enfants, elle s’est retrouvée veuve à l’âge de 28 ans, à la suite d’un accident. Pour faire bouillir la marmite, elle a alors travaillé « comme une dingue » dans l’épicerie de sa marraine, reprise ensuite à son compte. Et par facilité, Jacqueline s’installe sur place, dans le grenier, sans salle de bain, avec des chambres non chauffées… « Les enfants n’ont pas été gâtés », observe-t-elle.

    Un personnage de roman

    Phobique des animaux, elle prend le taureau par les cornes et achète une ferme, où elle aura un nombre incroyable d’animaux. Dans l’arche de Noé à Sart-Saint-Laurent, on trouve des vaches, 22 moutons, des poules, des canards, des oies, des paons, des lapins, des chats… Et aujourd’hui, dans sa maison, quelques animaux en tissu ou en plastique sont là pour rappeler l’épisode de la ferme. Car depuis 10 ans, elle l’a quittée pour revenir à Namur, dans sa maison natale, où elle dort dans sa chambre d’enfant.

    Une foi viscérale

    Autour de son cou, Jacqueline arbore une croix et des médailles de saint Benoît et de la Vierge. C’est qu’elle a la foi du charbonnier et est habitée par celle-ci. « Moi, j’aime beaucoup les gens, je suis très catholique et pratiquante. Je crois fermement. J’ai la foi qui soulève les montagnes, j’ai une foi comme une cathédrale. Je crois en Dieu et tous les problèmes que j’ai, je les mets dans ses mains. J’aime mon prochain. J’embrasse tout le monde. Mes allers-retours, c’est toujours en bus, alors je parle avec les gens. Tout ce qui me sauve, c’est de dire mes prières. Je n’ai jamais d’ennui, parce que j’ai le Bon Dieu avec moi. Je m’en remets à Lui, je dis mes prières et ça passe. » A Bomel, elle fait partie de la chorale, où elle retrouve Jeannette, Gaston… « Quand il pleut, c’est que j’ai mal chanté! »
    C’est un événement particulier qui suscite sa foi, lorsqu’une cliente lui demande de prier pour elle et l’un de ses petits-enfants: « Je sais que tes prières seront meilleures que les miennes. » « Cette personne-là a déclenché ma foi, parce que la foi c’est un déclic. » (…)

    Angélique Tasiaux

    Lire la suite de l’article dans le journal Dimanche n° 3 (édition du 24 janvier)

  • Les premières victimes du transhumanisme

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    Du site de la Fondation Lejeune :


    VisuelLivreFb1eresVictimesTranshumanisme_JMLM.jpgLes premières victimes du transhumanisme
    [Livre]

    « Depuis vingt ans je l’ai dit, je l’ai écrit et je l’ai combattu. Aujourd’hui, la quasi-totalité d’une population triée sur le critère de son génome imparfait a disparu. L’extinction de cette partie de l’humanité est le fait d’un eugénisme efficace vendu par des marchands, acheté par l’Etat et mis en œuvre par la médecine. Dans l’histoire, c’est un événement sans précédent. De guerre lasse, j’étais prêt à entendre ceux qui me conseillaient de déposer les armes ».

    Des faits inattendus ont pourtant incité Jean-Marie Le Méné à reprendre la plume. La période s’y prête. Ne pas dénoncer aujourd’hui cette marchandisation du vivant aurait été une capitulation.

    « Nous avons besoin d’une Politique, ou mieux encore d’un Régime politique qui – par principe - ne tient pas la vie humaine pour un hasardeux foisonnement du vivant, ne l’utilise pas comme banc d’essai pour la technoscience et ne l’asservit pas à des finalités lucratives ».

    Un livre décapant plus que jamais d’actualité ! Un signal d’alarme qui ne peut laisser personne indifférent.

  • Islamisme 2016 : parler avec les extrémistes ?

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    Du Père Edouard-Marie Gallez sur Eecho.fr :

    Islamisme 2016 : parler avec les extrémistes ?

    P. Edouard-M. Gallez

    Tandis qu’en ce début d’année 2016, on commémore les effroyables attentats de Paris de l’année 2015, en janvier et novembre, les réactions officielles semblent montrer bien davantage une politique fondée sur l’émotionnel que l’analyse froide et rationnelle des faits et de leurs causes. Elles reflètent toutes cette peur qui paralyse l’intelligence, qu’il s’agisse de celle qui affecte tout un chacun ou d’un calcul consistant à jouer sur l’effroi de la population.

    Les manipulations de la peur

         Le comble de la manipulation revient sans aucun doute aux nouveaux collaborateurs de Charlie Hebdo : la caricature de couverture du numéro du mois de janvier montre le Dieu des chrétiens en terroriste armé d’une kalachnikov – comme s’il était le responsable des attentats. La dénonciation de l’islamisme est devenue le prétexte d’un anti-christianisme primaire qui, il est vrai, constitue le commerce de fonds de cet hebdomadaire précédemment confidentiel mais aujourd’hui très médiatisé – et subventionné. Il est vrai aussi qu’ecclésiastiques et quantité de médiatiques « experts en religions » n’ont cessé de répéter au long de 2015 que le Dieu des chrétiens et celui des musulmans est le même. Il y a de quoi excuser la confusion d’esprit d’une large partie de la population.

         Plus encore que la haine, la peur et l’ignorance font dire, faire et accepter n’importe quoi. La peur est précisément ce que le terrorisme veut susciter dans une population. Or, comment ne pas voir que ce qui s’est passé après les attentats du 13 novembre dernier relève d’une telle volonté – à ceci près qu’elle procède directement de nos régimes en place ? Pourquoi susciter et entretenir un psychodrame médiatique durant des semaines en France… et en Belgique où Bruxelles fut même à moitié paralysée durant quatre jours, alors qu’il n’y avait là pas la moindre menace d’attentat ? Pourquoi jouer ainsi avec la peur, en recourant à des mesures « sécuritaires » dont tous les vrais spécialistes disent qu’elles sont parfaitement inutiles pour prévenir des actions terroristes ? Était-ce dans le but de les institutionnaliser ? Et également de convaincre la population que ses gouvernants sont « en guerre contre le terrorisme » comme ils le clament dans les médias ?

         De ce dernier point, ceux qui sont encore en état de réfléchir peuvent sérieusement douter. Des questions sérieuses de géostratégie se posent : nous les laissons à d’excellents sites américano-canadiens ou européens qui apportent les éclairages nécessaires sur les énormes ambiguïtés entourant nos régimes que l’on dit démocratiques et qui sont plus que jamais liés aux pourvoyeurs du terrorisme international que sont l’Arabie Saoudite, le Qatar ou la Turquie d’Erdogan [1]. Ce qui nous regarde ici est bien davantage le plan religieux, et en particulier ce qui concerne les représentations religieuses des islamistes.

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  • Cristeros : José Sanchez del Rio martyrisé à 14 ans sera bientôt canonisé

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    De Radio Vatican :

    Le Pape autorise de nouvelles béatifications et canonisations

    Le martyre d’un samouraï japonais converti au christianisme a également été reconnu par le Pape François. Pour rester fidèle à sa religion, Justo Takayama Ukon préféra renoncer à sa terre et à ses propriétés. Expulsé du Japon en 1614, à la suite de l’interdiction du christianisme, il se réfugia à Manille avec 300 chrétiens japonais, mais mourut peu après de maladie.

    Plusieurs autres décrets ont été approuvés ce vendredi par le Souverain pontife. L’un d’eux concerne un miracle attribué à l’intercession d’un prêtre argentin mort de la lèpre en 1914, le Père José Gabriel Brochero, surnommé le curé gaucho. Il a eu notamment la charge à partir de 1869, d’une paroisse immense, de près de 4500 km2, comptant quelque 10 000 habitants dispersés dans les montagnes à plus de 2000 m d’altitude, sans routes ni écoles et vivant dans une grande misère morale et matérielle.

    Le bienheureux Stanislas de Jésus Marie, fondateur de l’Ordre des clercs mariaux de l’Immaculée Conception sera lui aussi bientôt canonisé. Né en 1631 en Pologne, le futur saint est considéré comme un éminent représentant de l’école polonaise de spiritualité. Sensible aux injustices sociales, il fut un pédagogue célèbre, un prédicateur remarquable et un apôtre de l’abstinence de l’alcool. La famille monastique qu’il a fondée a pour mission entre autres de prier pour les âmes du Purgatoire, particulièrement de celles qui ont péri durant les guerres et les épidémies.

    Parmi les décrets approuvés ce vendredi figure enfin la reconnaissance du martyre de Javier Fueyo Castañón et de ses trois compagnons laïcs tués en haine de la foi en 1936, pendant la guerre d’Espagne et la future béatification d’une veuve italienne, Elisabeth Sanna, qui ouvrit les portes de sa maison aux plus pauvres et aux malades.

  • Liège: une visite virtuelle de la cathédrale Saint-Paul

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    http://www.cathedraledeliege.be/visite/

    JPSC

  • Bientôt 2500 signatures sur la pétition en faveur d'Arnaud Dumouch; Mgr Harpigny va-t-il intervenir ?

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    Indignés par l'injuste décision de licenciement qui frappe Arnaud Dumouch (voir ICI et LA), près de 2500 personnes ont signé la pétition qui circule en sa faveur sur quelques réseaux sociaux et tout particulièrement sur belgicatho. On attend maintenant que l'évêque de Tournai intervienne pour mettre un terme aux épreuves endurées par cet enseignant. La lettre suivante a été adressée à Mgr Harpigny : 

    Monseigneur,

    Des milliers de supporters du professeur Arnaud Dumouch attendent dans la prière que vous fassiez cesser ces épreuves inqualifiable et qui ternissent notre Eglise.

    En cette année de la miséricorde et confiant dans votre discernement, nous ne doutons pas que vous ferez preuve à son égard d’une affectueuse compassion et le confirmerez dans sa fonction d’enseignant et lui maintiendrez son visa ecclésiastique d’enseignement.

    Daignez, Votre Excellence, agréer l’expression de nos très respectueuses considérations.

    Le comité de soutien

  • Académie de Chant grégorien à Liège : trois sessions et deux conférences proposées par Marcel Pérès sur le chant de la liturgie liégeoise médiévale

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    2421521009_0331959dac_b.jpgMarcel Pérès
    est directeur de l’Ensemble « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes, fondé à l’abbaye de Moissac). Spécialiste des musiques du moyen âge, il 
    considère la musique comme un outil de réflexion sur l’histoire des mentalités. Il est l’auteur de nombreux enregistrements et publications. Il dirige des sessions de recherche et de formation sur la musique ancienne et sa mise en œuvre dans le monde contemporain..

    Dans la continuité des sessions de chant qu’il anime à Liège depuis 2013, Marcel Pérès propose cette année, à l’abbaye des Bénédictines  (Bd d’Avroy, 54),  trois week-ends consacrées aux

    benedictines liege.jpg

    offices de la liturgie liégeoise médiévale

    Fête-Dieu, Trinité, Saint-Lambert

    • du vendredi 5(17h00) au dimanche 7(17h00) février 2016
    • du vendredi 12 (17h00) au dimanche 14 (17h00) février 2016
    • du vendredi 9 (17h00) au dimanche 11(17h00) septembre 2016

    Ces musiques portent en elles encore beaucoup d’éléments constitués au cours de la renaissance carolingienne et offrent de précieuses indications sur l’art de la scansion du plain-chant.

    Les psaumes et les hymnes seront étudiés selon les techniques de faux-bourdon en usage à l’époque.

    • Deux conférences illustrées par des extraits chantés clôtureront les rencontres : le 14 février (15h30) et le 11 septembre (15h30) ;

    Ces conférences seront données par Marcel Pérès dans l’église de l’abbaye. Elles font partie du cycle mais on peut aussi s’y inscrire indépendamment de celui-ci.

    Les inscriptions sont ouvertes. Ne tardez pas à nous renvoyer votre formule d’inscription, soit par la poste (Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7, 4020 Liège), soit par email : jpschyns@skynet.be. Vous pouvez aussi téléphoner au secrétariat de l’académie à Liège : 04.344.10.89 (depuis l’étranger : +32.4.344.10.89) ou à l’abbaye (demander Sœur Petra) : 04.223.77.20 (depuis l’étranger : +32.4.223.77.20) ou vous inscrire en ligne sur le site http://www.gregorien.com 

    Tous les détails de l’organisation figurent sur la version informatique du dépliant : cliquez ici pour voir ce déplant.

    Inscription en ligne  ►
    Veuillez indiquer en remarque à quel(s) weekend(s) ou conférence(s)vous vous inscrivez

    JPSC

  • Un lynchage post-léonardien pas très catholique au Royaume de Belgique

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    CARTE BLANCHE

    Lynchage post-léonardien pas très catholique au Royaume de Belgique

    Pierre PICCININ da PRATA

     

    L’Église catholique aime se tirer régulièrement une balle dans le pied.

    Cette fois, c’est l’histoire d’un prof’ de religion qui enseignait les Évangiles et la Trinité à ses élèves. Pas normal, tout ça ! C’est en tout cas ainsi qu’en a jugé sa hiérarchie…

    Je l’ai rencontré ; catholique pratiquant et ayant moi-même un long passé d’enseignant, son récit m’a ému, et je voudrais vous raconter cette histoire.

    Elle commence il y a vingt ans, lorsque qu’Arnaud Dumouch, tout jeune professeur de religion catholique, est embauché dans une école libre du diocèse de Tournai. Fidèle à la foi catholique romaine, il enseigne selon le catéchisme de l’Église, le Magistère, et pratique la pastorale impulsée par Vatican II, l’ouverture et l’accueil ; il réconcilie ainsi l’amour et la vérité, que d’autres voudraient opposer.

    Mais il se heurte d’emblée à son supérieur, un prêtre de ce clergé vieillissant imprégné des idéaux de mai ’68, qui prêche la tolérance mais dont le cœur est devenu dur et aigri, à la mesure du bilan de son échec qu’il refuse d’admettre, s’attaquant avec hargne au traditionalisme dès qu’il croit en percevoir la repousse. Inspecteur du cours de religion, le prêtre s’acharne sur le jeune professeur. Arnaud Dumouch est ainsi chassé de son école par le soixante-huitard devenu pharisien à son tour, et il trouve finalement refuge à l’Institut Saint-Joseph, à Châtelet. Les années s’écoulent, heureuses… Il y est nommé à titre définitif, en 2003.

    Tout recommence en 2010 : le prêtre qui lui avait fait la chasse est devenu le vicaire épiscopal en charge de l’enseignement dans le diocèse de Tournai. Il réattaque, et s’ensuivent des inspections à répétition, effectuées par un des Frères des Écoles chrétiennes (de la Congrégation de Saint Jean-Baptiste de La Salle), dont dépend l’institut. Le frère survient régulièrement à l’improviste et s’assoit tout au fond de la salle de cours, sans adresser la parole au professeur ; il s’enfuit avant que la cloche retentisse…

    Jusqu’à ce jour de 2012 où Arnaud Dumouch est convoqué par ses « juges » : dans une salle de l’institut, sa direction l’attend ; le frère est aussi présent. Plus de quatre cents reproches lui sont énoncés. « Comment peut-on encore suivre le Magistère aujourd’hui, après l’affaire Galilée ?! », s’écrie le frère. Le professeur explique que l’affaire Galilée n’engage en rien le Magistère, qui ne concerne que la foi : que la terre soit plate ou ronde n’a rien à voir avec le Magistère.

    « Vous avez enseigné à vos élèves que le Christ est ‘vraiment’ ressuscité ! Mais ce n’est qu’un symbole ! Vous faites dans l’ésotérisme ! », renchérit un autre. Devant de telles aberrations, qui frisent l’hérésie, Arnaud Dumouch croit à un cauchemar, lui qui a publié plusieurs ouvrages de théologie, qui ont tous reçu l’imprimatur de l’archevêché de Paris. Il essaie de se défendre, cite les textes canoniques, mais sa hiérarchie n’écoute pas ; le verdict du « procès » est entendu d’avance. Galilée, face à ses juges…

    « Vous devez vous concentrer uniquement sur des thèmes de société : la tolérance, la citoyenneté, la démocratie ! », renchérit sa direction. « La Trinité et la vie après la mort, le péché et le pardon, c’est ridicule ! Ça n’intéresse personne ! » Il faut donc laïciser le cours de religion, et ne plus y parler de… religion.

    Le prof’ résiste, se référant au programme. Mais les inspections se poursuivent…

    Le 23 août 2013, Mgr Harpigny, évêque de Tournai, reçoit Arnaud Dumouch à la demande du Vatican, du Cardinal Müller, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, favorable au professeur de religion dont Benoît XVI avait cité les travaux, sur lesquels le Pape s’était appuyé pour rédiger son encyclique Spe Salvi.

    Mais rien n’y fait : l’inspection suspend Arnaud Dumouch pour trois mois ; et, à peine rentré, en janvier 2014, les inspections reprennent…

    Il porte alors plainte au bureau de police de Châtelet, pour harcèlement moral, sur les conseils de l’archevêque, Mgr Léonard, Primat de Belgique, qui a été informé des événements. Les inspections cessent et l’année scolaire s’achève dans la paix…

    En septembre 2014, toutefois, c’est la direction de Saint-Joseph qui prend le relais, tentant de multiplier les reproches disciplinaires. Un jour où l’enseignant avait autorisé une de ses élèves, à peine sortie d’une tentative de suicide, à partager un gâteau d’anniversaire avec ses condisciples, le directeur déboule dans la salle de cours : « C’est quoi, ce bazar ?! » La jeune fille lui tend une part du gâteau ; le directeur l’accepte et sort. Mais, pour ces quelques minutes de compassion accordées à une élève fragilisée, un rapport, accablant, tombera quelques jours plus tard.

    Le ministère de l’Enseignement de la Communauté française déclarera tous les reproches disciplinaires absurdes et non-recevables.

    Mais une dernière inspection a lieu, en mars 2015… Les élèves d’Arnaud Dumouch présentent des exposés sur les miracles de Lourdes. L’inspecteur s’insurge : « Les miracles de Lourdes ?! Mais c’est n’importe quoi ! C’est de la magie ! D’ailleurs, citez-moi un seul miracle de l’Évangile qui soit réel ! »

    - La résurrection du Christ, répond le professeur. C’est le miracle des miracles ! Au moins… non ?

    Début juillet 2015, le visa ecclésiastique d’Arnaud Dumouch lui est retiré par les Frères des Écoles chrétiennes ; il ne peut plus enseigner la religion catholique. Le professeur engage un recours auprès de l’évêque de Tournai et de la Chambre des recours de l’enseignement libre confessionnel. Il ne reçoit aucune réponse.

    Six mois plus tard, le 12 décembre 2015, Mgr Léonard quitte l’archevêché ; le Primat de Belgique part à la retraire. Quelques jours plus tard, Arnaud Dumouch est soudainement convoqué par la Chambre des recours, où siège le frère qui l’a harcelé pendant des années.

    Le retrait du visa est confirmé et le professeur apprend peu après, par un sms d’un de ses élèves, que sa direction a pris la décision de le licencier.

    Les élèves d’Arnaud Dumouch n’acceptent pas cette injustice ; ils signent massivement une pétition mise en ligne le 14 janvier 2016. Près de deux-mille de ses élèves et anciens élèves la signent.

    Le 15 janvier 2016, Arnaud Dumouch dépose un recours à Rome, en s’adressant au Nonce apostolique à Bruxelles, Mgr Berloco. Le recours est suspensif et le professeur devrait être ipso facto réintégré à l’Institut Saint-Joseph. Sa direction lui refuse cependant l’entrée…

    Il est étonnant de constater que l’histoire que je vous ai racontée ne fait aucun bruit dans les médias.  Quand, il y a des années, Marcel Penasse avait subi le même sort chez les Sœurs de Beauraing, mais pour avoir ouvertement défendu l'avortement, ce fut un tollé dans tous les quotidiens du Royaume. Arnaud Dumouch, malheureusement pour lui, est catholique ; et prendre sa défense ne fait pas recette.

    Aujourd’hui, Arnaud Dumouch, soutenu par ses élèves, espère simplement un peu de justice et de charité chrétienne, et retrouver son travail pour faire vivre sa famille.

    En outre, il reste convaincu que l’Église de la vérité et celle de l’amour ne font qu’une. Et que le cours de religion ne doit pas devenir la pâle copie du cours de morale laïque…

     Comité de soutien et pétition en faveur d’Arnaud DUMOUCH :

    https://www.change.org/p/comit%C3%A9-de-soutien-%C3%A0-arnaud-dumouch-non-au-retrait-de-visa-eccl%C3%A9siastique-et-au-licenciement-du-professeur-a-dumouchsseur-a-dumouch