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Migrants : ni murs ni ponts mais des portes à ouvrir et fermer avec discernement

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Du site "diakonos.be" qui donne la traduction d'un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso :

Ni murs ni ponts pour les migrants mais des portes. Pour les ouvrir et les fermer, avec discernement

« La plus grande tragédie depuis la seconde guerre mondiale »: c’est ainsi que le pape François définissait il y a quelques jours le phénomène des migrations qui lui tient extraordinairement à cœur et sur lequel il revient sans relâche. »

L’accueil est son dogme, même si cet accueil doit pour lui être proportionné aux « capacités » de chaque pays à pouvoir « intégrer » les nouveaux venus.  Et « ne construisons pas de murs mais des ponts » est devenu un mantra qu’il répète à l’envi, comme un rappel à l’ordre adressé à l’Eglise et aux Etats.

Mais cette image, pour suggestive qu’elle soit, que vaut-elle?  Le moine Giulio Meiattini, de l’ordre de Saint Benoît, affirme qu’une autre image, celle de la porte, serait plus appropriée pour mieux exprimer quoi faire avec les migrants.

Il a publié ses réflexions dans le dernier numéro de la revue « La Scala », le bulletin de spiritualité trimestriel de l’Abbaye Notre-Dame de la Scala, à Noci, dont il fait partie.

Dom Meiattini est également professeur à la Faculté théologique des Pouilles et à l’Athénée Pontifical Saint-Anselme de Rome.  Les lecteurs de Settimo Cielo se rappelleront de son analyse critique du premier des quatre postulats desquels le Pape François s’inspire, celui selon lequel « le temps est supérieur à l’espace »:

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