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Un épisode peu glorieux du Mouvement wallon pendant la seconde guerre mondiale

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Du site de l'Académie Royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique :

Les séparatistes wallons et le gouvernement de Vichy (1940-1943), un ouvrage d'Hervé Hasquin

L’« Omerta » ou la loi du silence a permis d’occulter pendant plus d’un demi-siècle un épisode peu glorieux du Mouvement wallon pendant la seconde guerre mondiale. Or, une figure emblématique de ce Mouvement, l’imprimeur-éditeur Georges Thone, futur président du Grand Liège et l’un des fondateurs du Rassemblement wallon (1968) fut le chef de file incontesté d’un certain nombre de personnalités réfugiées dans la zone libre et qui de juillet 1940 à janvier-février 1943, ont tenté de négocier le rattachement de la Wallonie à la France.

Dans quelles conditions Thone discutait-il avec l’entourage du Maréchal Pétain et des gouvernements successifs de Vichy ? Qui étaient ces wallons, journalistes, écrivains, hommes politiques qui l’entouraient et recevaient une aide financière du régime ? Qui étaient les « amis liégeois » de Thone pendant cette période ?

Historien, chercheur et docteur en Philosophie et Lettres, Hervé Hasquin enseigna à l’Université libre de Bruxelles à partir de 1970 ; il en fut le recteur (1982-1986) et le président du Conseil d’administration (1986-1995). Parallèlement, il mena une carrière politique (sénateur, député, ministre) entre 1987 et 2007. Il a présidé l’Institut d’étude des religions et de la laïcité de l’ULB pendant de très nombreuses années, ainsi que le Centre de l’égalité des chances et la lutte contre le racisme (2008-2011). Il a été élu Secrétaire perpétuel de l’Académie royale de Belgique à la fin de l’année 2007.

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