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  • Damase : une librairie catholique

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    Librairie Damase
    Kraanstraat 48
    B-1761 Borchtlombeek
  • Bruxelles (Jette), 18 novembre : «AMORIS LAETITIA», LA CORRECTION FRATERNELLE ET LES DUBIAS

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    Bruxelles (Jette), Prieuré Sainte Marie-Madeleine

    SAMEDI 18 NOVEMBRE 2017 DÈS 14H

    «AMORIS LAETITIA»,

    LA 'CORRECTION FRATERNELLE' ET LES 'DUBIAS'

    par le Père Marie-Jacques, Prieur de la Congrégation des Frères de Saint-Jean est Prêtre et Docteur en philosophie, chroniqueur sur RCF. 

    Au cours de l'après-midi et de la soirée (de 14h00 à 21h30), il donnera trois conférences et répondra aux questions du public.

    Informations pratiques :

    LIEU : Prieuré Sainte Marie-Madeleine, au 225 avenue de Jette, à 1090 Jette. 

    (infos sur les frères et le prieuré sur leur site : http://www.stjean-bruxelles.com)

    PARKING : on peut ranger sa voiture dans l'enceinte du prieuré (infos sur le site).

    PRIX : Le prix de la journée est de 15 €. Ceci tient lieu d'inscription pour la totalité de la journée : coût de réservation de la salle, du goûter, et du souper. Il est aussi possible de prendre son pique-nique. Sans le souper, le prix revient alors à 7€ (à régler sur place).

    La rémunération du conférencier est libre.

    Inscriptions souhaitées avant le mercredi soir 15 novembre via celichtus@gmail.com 

    Toutes les informations utiles complémentaires vous seront données par réponse à votre courrier.

    HORAIRE :

    14h00 Conférence 1 (pause 10 à 14h50')

    15h00 Conférence 2 16h00 Goûter 16h15 Réponses aux questions

    17h Adoration

    18h00 Messe

    19h00 Vêpres / Temps libre

    19h30 Repas

    20h30 Conférence 3"

  • Ce "petit gris" qui tend la main aux musulmans de Jette

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    De Louis Colart sur le site de la RTBF :

    Noir Jaune Blues et après: ce "petit gris" qui tend la main aux musulmans de Jette

    pfe.jpgIl se mérite, en période de travaux, le prieuré Sainte Marie-Madeleine de Jette. L’imposant édifice centenaire est aujourd’hui séparé de la place du Miroir par les travaux du tram 9, qui va passer juste devant sa façade. C’est là que nous reçoit le père François-Emmanuel. "Avec mes six frères, nous sommes de nouveaux Jettois. La communauté de Saint-Jean, à laquelle j’appartiens, a repris le couvent en 2010", raconte le moine français de 60 ans.

    Un Belge, un Autrichien et pour le reste, des Français occupent aujourd’hui les lieux; organisent trois messes par jour, planifient des conférences et s’investissent dans la commune pour "aider les pauvres". "Nous avons été très bien accueillis à Bruxelles, se remémore François-Emmanuel. Mieux - même! - qu’à Marseille, où j’ai vécu un temps. Ce qui frappe chez les Belges, c’est la simplicité de l’accueil." En tant qu’homme d’Eglise, ce "petit gris" (le surnom des frères de Saint-Jean, en rapport avec leur habit) est aux premières loges pour observer la commune et ses fidèles: "Les Jettois ont les préoccupations de tout un chacun (le logement, le coût de la vie...). C’est une commune très mixte. Nous avons parfois deux tiers d’Africains ou de Belges d’origine africaine à nos messes. Bruxelles est un brassage de populations."

    L’enquête Noir Jaune Blues, publiée en début d’année, a montré une crispation autour de l’islam et des musulmans. "Tous les musulmans que je rencontre, ce sont des Belges. Ils le sont complètement, martèle François-Emmanuel. Ils vivent comme n’importe qui, ils aspirent à vivre comme tout le monde." Pourtant, il ne nie pas la difficulté de briser les murs entre communautés. "Les tensions, voire les guerres, partent du manque de dialogue. Il ne faut pas avoir peur d’aller vers les gens, de frapper à la porte, se parler." C’est l’objectif du groupe islamo-chrétien auquel il participe environ une fois par mois: cinq chrétiens et cinq musulmans se réunissent pour discuter d’un thème religieux, prier ensemble et partager un bon repas. "Il faut aller au cœur des gens. Le but, c’est d’écouter. Et parfois, sur certains points, nous nous retrouvons", s’enthousiasme le catholique. "Au fond il y a une seule question à se poser: cette diversité de Bruxelles, on l’accepte? Il y a plein de choses à faire ensemble!"

  • Tout a commencé avec « l’esprit du Concile »...

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    Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso, traduit sur le site diakonos.be :

    Tout a commencé avec « l’esprit du Concile ». La « Correctio » expliquée par Pietro De Marco

    Je publie cet article que l’on m’a envoyé. L’auteur a enseigné à l’université d’état de Florence et à la Faculté théologique pontificale d’Italie centrale.

    *

    L’arrière-plan hérétique de tant de pratiques pastorales actuelles

    par  Pietro De Marco

    Ce qui m’a convaincu à signer la « Correctio », c’est son noyau doctrinal, c’est-à-dire la mise en évidence des « propositions fausses et hérétiques propagées dans l’Eglise » notamment par le pape François. Les propositions censurées ont au moins le mérite de plonger au cœur des opinions et des postures intellectuelles théologiques et dogmatiques répandues depuis plusieurs décennies par la « koinè » intellectuelle catholique.

    Le pape Jorge Mario Bergoglio participe spontanément d’une telle « koinè ». Il s’agit d’un héritage de ce que l’appelle actuellement « l’esprit du Concile », c’est-à-dire du Concile construit par l’intelligentsia en marge des salles du Concile et qui s’est affirmé dans les années qui l’ont suivi.  Des générations entières, en particulier les plus anciennes aujourd’hui, en sont imprégnées et s’en font les hérauts sans autocritique, comme si l’Eglise n’avait pas traversé plus d’un demi-siècle de tourments à cause des erreurs et des effets pervers précisément causés par cet « esprit ».

    Avec le pontificat actuel, une vision « conciliaire » faite de quelques formules, pour la plupart visant à liquider ce qui fait l’essence du catholicisme – la raison et l’institution, le dogme et la liturgie, les sacrements et la morale – se répand et s’impose comme étant l’opinion publique de l’Eglise, forte de l’appui personnel du pape, pleine de certitudes, sans discernement des implications et non sans suffisance et mépris envers ses détracteurs : exactement comme pour toute idéologie.

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  • Les évêques français approuvent l’ouverture de la cause de Madame Elisabeth

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    De zenit.org :

    France: les évêques approuvent l’ouverture de la cause de Madame Elisabeth de France

    «Le peuple l’admire et ne l’insulte point »

    Elisabeth de France par Élisabeth Vigée Le Brun @ wikimedia

    Elisabeth De France Par Élisabeth Vigée Le Brun @ Wikimedia

    L ’ouverture de la cause en vue d’une éventuelle béatification de Madame Elisabeth de France (1764-1794) a été approuvée par l’Assemblée plénière des évêques de France qui s’est achevée à Lourdes ce 7 novembre 2017, indique le communiqué final des évêques.

    Si l’enquête diocésaine était concluante le dossier serait communiqué à Rome.

    Madame Élisabeth de France, sœur célibataire du roi Louis XVI, a été guillotinée, à l’âge de 30 ans, le 10 mai 1794.

    Dominique Sabourdin-Perrin a résumé son histoire pour France Catholique en avril dernier.

    La princesse Élisabeth, Philippine, Marie, Hélène, fille du Dauphin Louis-Ferdinand et de Marie-Josèphe de Saxe, est née à Versailles, le 3 mai 1764 et elle a été baptisée le jour même. Elle devient, avec ses 4 frères et soeur orpheline de père 1765, et de mèredeux ans plus tard: elle n’a pas trois ans.

    Elle est élevée par la gouvernante des Enfants de France et les sous-gouvernantes et “fait preuve d’un caractère rebelle”. Elle reçoit “une instruction très sérieuse prodiguée par des savants” et devient “une excellente mathématicienne”: “ses tables de logarithmes ont été publiées et utilisées”. Elle reçoit la confirmation le 11 août 1775, et elle communie deux jours après.

    Le mercredi 16 mai 1770, la famille accueille la jeune archiduchesse Marie-Antoinette d’Autriche, épouse du Dauphin/ Celle-ci écrit à sa mère : «  C’est une charmante enfant qui a de l’esprit, du caractère et beaucoup de grâce.  »

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  • Le pape François entame un nouveau cycle de catéchèses sur l’Eucharistie

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    D'Hélène Ginabat sur zenit.org :

    Audience : redécouvrir la beauté de la messe (Traduction intégrale)

    Le pape François entame un nouveau cycle de catéchèses sur l’Eucharistie

    « Redécouvrir (…) la beauté cachée dans la célébration eucharistique et qui, une fois dévoilée, donne un sens plein à la vie de chacun », et participer à « la formation liturgique des fidèles, indispensable pour un véritable renouveau », tels sont les objectifs, annoncés par le pape François, du cycle de catéchèses qui ont commencé ce jour.

    Le pape François a entamé un nouveau cycle de catéchèses sur l’Eucharistie, à l’occasion de l’Audience générale qui s’est tenue ce mercredi matin 8 novembre 2017, sur la Place Saint-Pierre, où brillait le soleil.

    Il a invité à tourner son regard « vers le “cœur” de l’Église, c’est-à-dire l’Eucharistie » afin de « redécouvrir, ou découvrir combien resplendit l’amour de Dieu à travers ce mystère de la foi. » « Pour nous chrétiens, a-t-il ajouté, il est fondamental de bien comprendre la valeur et la signification de la sainte messe, pour vivre toujours plus pleinement notre relation à Dieu ».

    Voici notre traduction de la catéchèse prononcée en italien par le pape François.

    HG

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Nous commençons aujourd’hui une nouvelle série de catéchèses qui tournera notre regard vers le « cœur » de l’Église, c’est-à-dire l’Eucharistie. Pour nous chrétiens, il est fondamental de bien comprendre la valeur et la signification de la sainte messe, pour vivre toujours plus pleinement notre relation à Dieu.

    Nous ne pouvons pas oublier le grand nombre des chrétiens qui, dans le monde entier, pendant deux mille ans d’histoire, ont résisté jusqu’à la mort pour défendre l’Eucharistie ; et combien, aujourd’hui encore, risquent leur vie pour participer à la messe dominicale. En 304, pendant les persécutions de Dioclétien, un groupe de chrétiens du nord de l’Afrique furent surpris pendant qu’ils célébraient la messe dans une maison et ils furent arrêtés. Le proconsul romain, dans l’interrogatoire, leur demanda pourquoi ils avaient fait cela, sachant que c’était absolument interdit. Et ils répondirent : « Sans le dimanche, nous ne pouvons pas vivre », ce qui voulait dire : si nous ne pouvons pas célébrer l’Eucharistie, nous ne pouvons pas vivre, notre vie chrétienne mourrait.

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