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Fin de vie : et si nous parlions des nouveaux défis éthiques ? Une conférence de François-Xavier Putallaz à Bruxelles le 14 février

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Une invitation de l'Institut Européen de Bioéthique :

GPA

Invitation « Convergence soignants » 

ce mercredi 14 février à 19h30

Un orateur de qualité puisque nous avons la joie d’accueillir : 

François-Xavier PUTALLAZ

Professeur de philosophie à l’Université de Fribourg,

Membre du Comité national d’Ethique Suisse et

Membre du Comité International de Bioéthique de l’UNESCO à Paris. 

Fin de vie : 

et si nous parlions des nouveaux défis éthiques ?

Une collation vous sera proposée.

Votre inscription est attendue dès que possible en complétant ceci :

http://www.ieb-eib.org/fr/inscription-questions-fin-vie.php 

Lieu : BLSI  (Brussels Life Science Incubator) -

Chapelle aux Champs - 1200 Bruxelles - (À proximité des Cliniques St Luc)

PAF : 15 euros/soirée

Tarif étudiant : 7 euros/soirée

Commentaires

  • D'après l'académie française
    HOMICIDE n. m. « meurtre, assassinat », composé à partir de homo, « homme », et caedere, « tuer ». Action de tuer un être humain.
    http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/generic/cherche.exe?15;s=3793579410;;
    MEURTRE n. m. Homicide volontaire ; mort infligée délibérément à un être humain.
    http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/generic/cherche.exe?15;s=3793579410;;
    ASSASSINAT n. m. Homicide volontaire commis avec préméditation ou guet-apens.
    http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/generic/cherche.exe?15;s=3793579410;;

    Un vieillard grabataire, un malade terminal, un dément (ou un embryon) sont-ils des « êtres humains » vivants ? Si oui les supprimer n'est-ce pas toujours un meurtre ou un assassinat ? Un acte intrinsèquement mauvais ?
    Tout autre langage est mensonger et relève de l'excuse, de la déculpabilisation. Le déni d'une réalité n'aide jamais personne. Le vérité doit toujours être dite, à temps et à contretemps.

    Mais il faut toujours distinguer l'acte de celui qui le commet. Personne ne se réduit à ses actes. Et si tout meurtrier ou assassin a droit à un nouveau départ, il n'est au pouvoir de personne de faire en sorte qu'il ne porte pas avec lui le souvenir de ses actes. Un grand pécheur peut devenir un grand saint, un grand voleur un grand justicier.

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