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Les 16 lieux d'apparitions mariales reconnus par l'Eglise (dont deux en Belgique); mise à jour : il y en aurait 18

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Du site "Clicanoo" :

16 apparitions de Marie reconnues par l’Eglise

Alors que des milliers d’apparitions de la Vierge Marie ont été signalées à travers le monde en 2000 ans, seules 16 ont été officiellement reconnues par l’Eglise. On parle de véritable apparition et non d’images ou de silhouettes.

Laus (France, 1664 -1718) : Benoite Rencurel, une bergère illettrée de 16 ans s’est trouvée à de nombreuses reprises en présence "d’une belle dame au visage resplendissant tenant un enfant par la main et portant une couronne" dans une petite grotte du vallon des Fours dans les Hautes Alpes.

Rome (Italie 1842) : Alphonse Ratisbonne, un riche homme, d’origine juive, se moquant des pratiques catholiques se rend un jour dans la basilique Sant’Andrea delle Fratte. Une lumière éblouissante lui apparaît au-dessus de l’autel. Il la décrira plus tard comme la Vierge "telle qu’elle figure sur la Médaille miraculeuse". Même si l’apparition ne lui a rien dit, sa vie en fut bouleversée.

La Salette (France, 1846) : alors qu’ils font paître leur troupeau dans les alpages du village de La Salette en Isère, deux bergers de 15 et 11 ans, Mélanie Calvat et Maximin Giraud, aperçoivent une lumière éblouissante, qui laisse progressivement apparaître une dame. Ils la reconnaissent comme étant la Vierge Marie.

Lourdes (France, 1858) : Bernadette Soubirous n’a que 14 ans quand une belle Dame vêtue de blanc se présente à elle dans la partie supérieure d’une grotte dans les Hautes-Pyrénées. En six mois, cette jeune fille simple et de santé fragile assistera à 18 apparitions.

Champion (Etats-Unis, 1859) : A l’issue d’une messe, une jeune femme confie à son confesseur avoir vu une femme dans une tenue d’un blanc éblouissant, une couronne d’étoiles sur la tête. Sur les encouragements du prêtre, elle demande à la dame son identité lorsqu’elle la revoit. Celle-ci lui répond : "Je suis la reine du Ciel qui prie pour la conversion des pêcheurs et je désire que tu fasses comme moi".

Pontmain (France, 1871) : Alors que l’armée prussienne s’approche de cette ville dans le nord de la France, Eugène Barbedette, un fils de paysan de 13 ans, voit une dame vêtue d’une robe bleue parsemée d’étoiles d’or et portant une couronne sur la tête lui sourire depuis le toit d’une maison voisine. Trois autres enfants verront simultanément l’apparition : Joseph Barbedette, Françoise Richer et Jeanne-Marie Lebossé.

Gietrzwald (Pologne, 1877) : la Vierge Marie est apparue à 160 reprises à deux adolescentes de 12 et 13 ans, Barbara Samulowska et Justyna Szafrynska, pour leur demander de réciter le rosaire tous les jours.

Knock (Irlande, 1879) : Deux femmes se prénommant toutes les deux Mary, l’une âgée de 45 ans, l’autre de 29 ans, aperçoivent des images lumineuses sur la façade de l’église paroissiale de Knock. Il s’agit selon elles de la Vierge Marie, de saint Joseph et de saint Jean l’Evangéliste. Aussitôt, elles avertissent toutes les personnes alentours. 15 témoins assistent à la scène avec elles. Tous parlent d’un autel sur lequel se tiennent un agneau et une croix.

Fatima (Portugal, 1917) : Trois jeunes bergers, Lucia, Francisco et Jacinta, sont en train de réciter leur chapelet pendant qu’ils gardent leur troupeau, quand un éclair les surprend. Craignant un orage, ils s’empressent de rassembler leurs affaires pour rentrer chez eux, quand un autre éclair a lieu. La lumière, éblouissante, laisse place à une dame vêtue d’un blanc étincelant.  

Beauraing (Belgique, 1932-1933) : Fernande (15 ans), Gilberte (13 ans) et Albert Voisin (11 ans) voient apparaître 33 fois une dame qui reste silencieuse. Lorsqu’ils lui demandent si elle est la Vierge Immaculée, elle répond par un signe affirmatif de la tête. Les apparitions ayant lieu le soir, de nombreuses personnes se déplacent dans l’espoir d’assister à une rencontre.

Banneux (Belgique, 1933): De chez elle, une fillette de 11 ans, Mariette Béco, aperçoit un soir une lumière dans le jardin. Apparaît ensuite une dame qui l’invite à se rapprocher. Mariette préfère s’en aller, mais quand elle revient, la dame est encore là. Elle se présente comme la "Vierge des pauvres".

Amsterdam (Pays-Bas, 1945 - 1959) : Une femme, Ida Peerdeman, assistera en 14 ans à 56 apparitions mariales. dans l’un de ses messages, la Vierge Marie lui aurait dit : "Je me tiens sur ce globe terrestre, parce que je veux qu’on m’appelle la Dame de tous les peuples".

Akita (Japon, 1973 - 1981) : Soeur Agnès Sasagawa Katsuko voit un jour sortir des rayons de lumière du tabernacle de la chapelle de son couvent. Quelques jours plus tard, les rayons réapparaissent, plus éblouissants.  Plus tard, une plaie en forme de croix apparaît sur le poignet de sa main gauche… comme sur celui de la main droite de la statue de la Vierge. Le phénomène va se répéter plusieurs fois.

Betania (Venezuela, 1976 - 1988) : Maria Esperanza Medrano est célèbre dans son pays pour avoir eu plusieurs locutions de Marie et de Jésus dans sa jeunesse. Mais la première apparition de la Mère de Dieu a lieu le 25 mars 1976. Elle ne cessera d’apparaître qu’en 1988. De nombreux messages lui ont été adressés pour le monde. Maria Esperanza Medrano était aussi connue pour son don de guérison, ses communions reçues mystérieusement et ses émissions inexplicables de parfums de fleurs.

Kibeho (Rwanda, 1981 - 1986) : la Vierge est apparue à Alphonsine Mumereke, Nathalie Mumuka-mazimepaka et Marie-Claude Mukangango dans le lieu le plus pauvre du Rwanda. Se présentant comme "Notre Dame des Sept Douleurs", en référence aux massacres qui allaient déchirer le pays en 1994, elle a exhorté les trois femmes à la prière, au jeûne, à la repentance et à la conversion.

San Nicolas (Argentine, 1983) : Gladys Quiroga de Motta est une mère de famille ordinaire sans aucune connaissance biblique et théologique majeure. La Vierge lui est apparue pour lui demander de rechercher une image qui avait été bénie par un pape avant d’être oubliée dans une église. On a fini par la retrouver dans l’une des cloches de l’église. Il s’agissait de l’image de la Mère de Dieu avec l’Enfant-Jésus, qui s’est avérée, après enquête, avoir été bénie par le pape Léon XIII.

Lire les commentaires de nos visiteurs (ci-dessous) qui complètent cet article

Commentaires

  • Précieuses apparitions de la Vierge Marie car elles sont des arguments en faveur de l'existence de Dieu, de la vie éternelle et de la véracité du christianisme! C'est le cas de tous les phénomènes attribués au surnaturels. Figurez-vous que ces jours-ci, j'ai beaucoup repensé à la bien mystérieuse "apparition" d'un visage rappelant clairement celui du Christ sur la façade d'une maison à Sierck-les-bains (département de la moselle). Inchangé depuis 1985 et non fait de main d'homme, celui-ci regarde en direction d'un chemin de croix situé à deux kilomètres de là et qui a la particularité de comporter des personnages...sans visage! Ceux à qui j'en ai parlé et qui sont allés le voir ont été très interpellés. Mais si ne voulez pas faire le trajet jusque là tapez sur you tube visage sierck-les-bains ou demandez-moi (gratuitement) ma brochure en vente à l'office du tourisme de Sierck, jeanpierresnyers@gmail.com

  • 15 des 16 apparitions reconnues datent du 19 ou 20eme siècle. Auparavant l'Église ne reconnaissait pas les apparitions ?

  • @L.W.

    Il faut aussi noter que, depuis le 19e siècle, plus aucun pays ne fonde ses lois sur le Décalogue et sur les Évangiles. La plupart des pays les fondent sur les droits de l'homme athée et divinisé, qui sont les droits de Satan. Des lois de plus en plus anti Décalogue et anti Évangiles, donc anti droits de Dieu et anti devoirs de l'homme.

    L'Église n'est plus écoutée nulle part. On peut donc supposer que la Sainte Vierge s'en alarme autant que l'Église ? Et que l'Église veuille insister sur l'importance spéciale de ces apparitions en ces temps d’incrédulité et de révolte contre Dieu. C'était sans doute moins nécessaire dans les temps de foi et d'obéissance à Dieu ?

  • Je m'étonnait que l'apparition de Guadaloupe n'est pas incluse dans cette liste. J'ai fait une petite recherche sur l'internet et j'ai rencontré la liste suivante:
    Apparitions avec sanction de l'Église:
    • Banneux
    • Beauraing
    • Fatima
    • Guadalupe
    • Knock
    • La Salette
    • Lourdes
    • Parijs/Rue de Bac
    • Zeitun, Egypte
    Apparitions avec sanction de l'évêque local:
    • Akita
    • Amsterdam
    • Pontmain
    • Kibeho (partiellement, seulement les apparitions du début ont été approuvés)
    Apparations sans approbation définitive:
    • Garabandal
    • Medjugorje
    • Rome (Ratisbonne)

  • merci, Ivo pour ces nuances.

  • Il y en aurait eu une 17ème (La Croix) :

    Lipa, la 17e apparition mariale reconnue dans l’Église catholique
    N. S. , le 15/09/2015
    Les apparitions de Lipa (Philippines) ont été officiellement reconnues, samedi 12 septembre, par l’évêque du lieu.

    L’archevêque de Lipa (Philippines), Mgr Ramon Cabrera Argüelles, a officiellement reconnu, samedi 12 septembre, les apparitions de la Vierge Marie à la jeune religieuse Teresita Castillo, en 1948 au carmel de cette ville au sud de Manille.

    « Les événements et apparitions de 1948, aussi connus comme le phénomène marial de Lipa, et leurs conséquences, même dans les temps récents présentent réellement un caractère surnaturel et sont dignes de foi », affirme l’archevêque dans son décret.

    Du 12 septembre au 12 novembre 1948, la Vierge est apparue à une dizaine de reprises à Teresita Castillo, une novice carmélite de 21 ans, en se présentant comme « Marie Médiatrice de toutes grâces ».

    « Marie Médiatrice »
    En 1951, après une première enquête, l’évêque d’alors, avait conclu à la « non supernaturalité » des apparitions. Mais le dossier avait été rouvert en 2005 par Mgr Cabrera Argüelles, un des évêques philippins qui défendent la dévotion à Marie Médiatrice, très développée aux Philippines. En 2010, à Rome, l’archevêque de Lipa avait proposé que l’Église définisse « Marie Médiatrice » comme cinquième dogme marial.

    L’idée que Marie soit médiatrice est toutefois critiquée dans l’Église catholique. Le décret de Mgr Cabrera Argüelles rappelle toutefois qu’elle s’ancre dans les écrits de saint Louis-Marie Grignion de Montfort et saint Alphonse-Marie de Liguori, et qu’elle a été défendue, au XXe siècle, par le cardinal Mercier, archevêque de Malines-Bruxelles.

    En 1965, dans la constitution dogmatique Lumen gentium, le concile Vatican II avait toutefois reconnu que « la bienheureuse Vierge est invoquée dans l’Église sous les titres d’avocate, auxiliatrice, secourable, médiatrice, tout cela cependant entendu de telle sorte que nulle dérogation, nulle addition n’en résulte quant à la dignité et à l’efficacité de l’unique Médiateur, le Christ ».

    Dix-septième apparition reconnue
    Les apparitions de Lipa sont les dix-septièmes à être reconnues dans l’Église catholique après celles de Guadalupe (Mexique, 1531), Aparecida (Brésil, 1717), de Rome (à Alphonse Ratisbonne en 1842), La Salette (France, 1846), Lourdes (France, 1858), Pontmain (France, 1871), Giertzwald (Pologne, 1877), Fatima (Portugal, 1917), Beauraing (Belgique, 1932), Banneux (Belgique, 1933), Amsterdam (Pays-Bas, 1945), Betania (Venezuela, 1976), Akita (Japon, 1973), Kibeho (Rwanda, 1981), Le Laus (France, 1664) et Champion (États-Unis, 1859).

    La reconnaissance de l’authenticité des apparitions mariales appartient en théorie au Saint-Siège. « Dans la pratique, les papes ont laissé une large initiative aux évêques diocésains. C’est avec le cardinal Ottaviani et surtout le cardinal Ratzinger que le contrôle de Rome s’est précisé », explique le P. René Laurentin (1) qui rappelle que, en 1987, le cardinal Ratzinger avait critiqué l’évêque vénézuélien de Los Teques pour avoir reconnu les apparitions de Betania sans en référer à la Congrégation pour la doctrine de la foi.

    Selon la presse philippine, Mgr Ramon Cabrera Argüelles a procédé à la reconnaissance des apparitions de Lipa après avoir obtenu l’aval de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.

    ... et une 18ème d'après Radio Notre-Dame :

    Une apparition mariale reconnue par l’Eglise en Argentine
    L’évêque de San Nicolás de los Arroyos, Mgr Héctor Cardelli, a reconnu des apparitions de la Vierge Marie survenues entre 1983 et 1990 auprès d’une mère de famille.

    Il s’agit ainsi de la 18ème apparition mariale reconnue par l’Église catholique romaine. Un jour de septembre 1983, quelques chapelets s’illuminent sans explication dans une maison de la ville de San Nicolas de los Arroyos, dans la banlieue de Buenos Aires. Voyant cela, une mère de famille, Gladys Quiroga de Motta, commence à prier la Vierge Marie et cette dernière lui apparut soudainement.

    Sans aucune connaissance biblique et théologique majeure, la voyante est une femme ordinaire, mère de deux filles et grand-mère. Lors des premières apparition, Marie demanda à Gladys Quiroga de Motta de rechercher une image qui avait été bénie par un pape et qui a été oubliée dans une église. L’image en question était celle la Mère de Dieu avec l’Enfant-Jésus dans ses bras, qui avait été bénie par le pape Léon XIII. Il a été constaté, après les instructions de la Vierge, que l’image se trouvait dans une des cloches de l’église en question. L’endroit indiqué par la Vierge devint rapidement un lieu de pèlerinage et une basilique y fut érigée.

    Dès le début, Gladys s’est toujours montrée disponible pour répondre aux questions des autorités ecclésiastiques, dès lors qu’elle avait parlé de la grâce qu’elle avait reçue à l’évêque de son diocèse. Elle a notamment partagée aux fidèles les messages de Notre-Dame, mais également de Jésus-Christ, qu’elle reçue pendant plus de sept ans. Elle vit désormais très pieusement, en gardant toujours un profil bas.

    En accord avec les critères de discernement suggérés par le Saint-Siège et après un long processus de vérification de la véracité des faits, Mgr Cardelli a reconnu « le caractère surnaturel des heureux événements », le 22 mai dernier lors d’un pèlerinage en la basilique.

    Quelques messages de la Vierge Marie à la voyante :
    6 juin 1987 : « En ce moment, il y a une extrême nécessité de prière. En ce jour, le Seigneur va écouter le très saint Rosaire, comme s’il était ma voix. Ma demande, c’est la prière, et je l’adresse à tous les peuples. La prière doit naître dans un cœur bien disposé. Elle doit être fréquente et faite avec amour. Ne la négligez pas… C’est l’arme qui vaincra l’ennemi. »

    27 septembre 1987 : « C’est le Christ qui aime, c’est le Christ qui demande, c’est le Christ qui attend pour agir dans les cœurs pour leur bien. Béni soit le Seigneur qui veut la conversion de son peuple… »

    13 mai 1989 : « Ma fille, comme à Fatima, je reviens sur la terre. Mes visites se prolongent car l’humanité est entré dans une période dramatique. L’homme n’a-t-il pas compris qu’il doit être au service de Dieu ? S’il résiste son âme va se perdre. Beaucoup d’âmes refusent mon invitation à la prière et à la conversion. C’est pourquoi le travail du diable s’accroît et s’étend. Mes chers enfants c’est seulement par la prière et la conversion que vous retournerez à Dieu. Qu’Il ne trouve pas vos cœurs desséchés ».

    Les 17 autres lieux d’apparitions mariales (et les visionnaires) reconnues par l’Eglise :
    – Tepeyrac (Mexique) à Juan Diego Cuauhtlatoatzin en 1531 (reconnu en 1754)

    – Le Laus (France) à Benoîte Rencurel de 1664 à 1718 (reconnu en 2008)

    – Rome (Italie) à Alphonse Ratisbonne en 1842 (reconnu la même année)

    – La Salette-Fallavaux (France) à Maximin Giraud et Mélanie Calvat en 1846 (reconnu en 1851)

    – Lourdes (France) à Bernadette Soubirous en 1858 (reconnu en 1862)

    – Champion (Etats-Unis) à Adèle Brise en 1859 (reconnu en 2010)

    – Pontmain (France) à Eugène Barbedette et son frère Joseph en 1871 (reconnu en 1872)

    – Gietrzwald (Pologne) à Justyna Szafrynska et Barbara Samulowska en 1877 (reconnu en 1977)

    – Fátima (Portugal) à Lúcia de Jesus dos Santos, Francisco Marto et sa sœur Jacinta en 1917 (reconnu en 1930)

    – Beauraing (Belgique) à Fernande, Gilberte et Albert Voisin et Andrée et Gilberte Degeimbre de 1932 à 1933 (reconnu en 1949)

    – Banneux (Belgique) à Mariette Beco en 1933 (reconnu en 1949)

    – Amsterdam (Pays-Bas) à Ida Peerdeman de 1945 à 1959 (reconnu en 2002)

    – L’Île-Bouchard (France) à Jacqueline et Jeanne Aubry, Nicole Robin et Laura Croizon en 1947 (reconnu en 2001)

    – Betenia (Venezuela) à Maria Esperanza Medrano de Bianchini de 1940 à 1950 (reconnu en 1987)

    – Akita (Japon) à Agnes Sasagawa de 1973 à 1981 (reconnu en 1984)

    – Kibeho (Rwanda) à Alphonsine Mumureke, Nathalie Mukamazimpaka et Marie-Claire Mukangango de 1981 à 1989 (reconnu en 2001)

    – Lipa (Philippines) à Teresita Castillo en 1948 (reconnu en 2015)

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