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  • Cinq raisons majeures de s'opposer à l'euthanasie

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    CINQ ARGUMENTS CONTRE L'EUTHANASIE ?

    synthèse de presse bioéthique de genethique.org

    Des médecins et bioéthiciens ont publié dans le Journal of Palliative Care une analyse détaillant cinq raisons majeures de s'opposer à l'euthanasie. Parmi eux, Daniel Sulmasy[1], de l'Université de Georgetown, qui a siégé à la Commission pour l'étude des questions de bioéthique du président Obama, Margaret Somerville[2], l'une des adversaires les plus virulentes de la légalisation de l'euthanasie au Canada et Lukas Radbruch[3], spécialiste des soins palliatifs.

    Ils estiment que l’euthanasie est :

    1/ une « pente glissante » : les auteurs affirment que malgré les conditions d’accès strictes aux Pays-Bas et en Belgique, la loi est inefficace et régulièrement violée. « Permettre l'euthanasie volontaire a conduit à l'euthanasie non volontaire ».

    2/ un « manque d’auto-détermination » : l’expression d'un désir de mort ne signifie pas toujours qu'un patient souhaite effectivement l'euthanasie ou le suicide assisté.

    3/ des « soins palliatifs inadéquats », qui sont « l'obligation éthique la plus urgente des juridictions dans le monde », bien plus que l’euthanasie.

    4/ un risque pour le « professionnalisme médical », car l’euthanasie menace l’ « intégrité morale » de la médecine.

    5/ une « différence entre les moyens et les objectifs » à prendre en compte : l’euthanasie confond le problème de la souffrance avec la vie des personnes elles-mêmes. « C’est la douleur et la souffrance que nous devons tuer, pas la personne avec sa douleur et sa souffrance ». 


    Sources: BioEdge, Xavier Symons (09/06/2018)
  • La politique familiale hongroise porte ses fruits

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    EN HONGRIE, L'AVORTEMENT EST EN RECUL

     de genethique.org

    La politique familiale hongroise porte ses fruits, a déclaré un des ministres lors d’une conférence internationale à Rome sur la famille et la vie, le 21 mai dernier.

    Le nombre des mariages est en nette augmentation. Il est passé de 35 520 en 2010, à 50 600 en 2017.

    Le nombre de divorces a diminué. De 23 873 en 2010, il s’est réduit à 18 600 en 2017.

    Enfin, le soutien de l’Etat aux familles a fait baisser le nombre d’avortements de plus d’un tiers par rapport aux chiffres de 2010 : de 40 449, il n’est plus en 2017 que de 28 500.

    Sources: Agenda Europe (09/06/2018)

  • Le pape accepte la démission de trois évêques chiliens dont celle de son ex-protégé Juan Barros

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    Lu sur le site de 7sur7.be :

    Le pape lâche trois évêques chiliens dont son ex-protégé Juan Barros

    PÉDOPHILIE Le pape François a accepté la démission de trois évêques chiliens, dont le controversé Mgr Juan Barros qu'il avait d'abord défendu, sanctionnant ainsi une hiérarchie de l'Eglise accusée d'omerta par des victimes de prêtres pédophiles.

    L'ensemble de l'épiscopat chilien avait présenté sa démission en bloc le 18 mai dernier après une série de dures rencontres avec le pape argentin au Vatican, une démarche inédite dans l'histoire récente de l'Eglise catholique. L'annonce lundi de l'éviction de Mgr Juan Barros constitue une marche arrière radicale du pape François, qui avait lui-même nommé cet évêque dans le diocèse d'Osorno (sud du Chili) en janvier 2015.

    A l'époque, Juan Barros était déjà montré du doigt pour avoir potentiellement caché les actes de pédophilie du prêtre chilien Fernando Karadima (reconnu coupable en 2011 par un tribunal du Vatican d'avoir commis des actes de pédophilie dans les années 1980 et 1990).

    "C'est un nouveau jour pour l'Eglise catholique du Chili! Trois évêques corrompus s'en vont", a réagi lundi Juan Carlos Cruz, une victime de Karadima qui accusait précisément Barros d'avoir été témoin de ses agressions sexuelles. Il a aussi rendu hommage à la population d'Osorno qui a lutté pour évincer cet évêque.

    Juan Carlos Cruz avait été longuement reçu début mai dans la résidence du pape dans les jardins du Vatican, en compagnie de deux autres victimes chiliennes du père Karadima. Les trois hommes avaient ensuite dénoncé en termes forts devant la presse le silence criminel d'une partie de la haute hiérarchie de l'Église du Chili.

    En janvier, l'opinion publique chilienne avait été scandalisée par l'omniprésence de Mgr Barros dans les messes célébrées par le pape François au Chili. "Le jour où vous m'apportez une preuve contre l'évêque Barros, je vous parlerai. Il n'y a pas une seule preuve contre lui. Tout est calomnie", avait aussi lancé abruptement le pontife argentin, apostrophé par des journalistes au Chili.

    Dans l'avion qui le ramenait à Rome, le pape François avait dû présenter "des excuses" aux victimes d'abus sexuels pour ses propos maladroits. Il s'était toutefois encore déclaré "convaincu" de l'innocence de l'évêque d'Osorno. Selon lui, le Vatican avait enquêté sur Mgr Barros sans trouver "d'élément pour le condamner".

    "De graves erreurs"

    Après ce fiasco médiatique, le pape avait diligenté une enquête. Et à la lecture en avril des conclusions de 2.300 pages, comprenant 64 témoignages recueillis au Chili et aux États-Unis, le souverain pontife avait finalement reconnu avoir commis de "graves erreurs" d'appréciation et parlé d'un "manque d'informations véridiques et équilibrées".

    Le pape avait distribué une lettre cinglante aux 34 évêques chiliens convoqués à Rome en mai, au premier jour de leurs rencontres. Trois jours plus tard, ils avaient présenté leur démission collective. Dans cette missive, théoriquement confidentielle mais divulguée par une télévision chilienne, François avait évoqué des "crimes" et "le douloureux et honteux constat d'abus sexuels sur mineurs, d'abus de pouvoir et de conscience d'une partie du clergé de l'Eglise" catholique.

    L'enquête diligentée par le pape a abouti à soupçonner des membres de la hiérarchie de l'Eglise chilienne d'avoir détruit des preuves dans des cas d'abus sexuels. Et certains membres du clergé ayant eu un comportement immoral auraient été transférés dans d'autres diocèses, après des tentatives pour "minimiser" leurs actions.

    Outre Mgr Barros, le pape François a accepté lundi la démission de deux évêques de 75 ans, âge théorique de la retraite. Il s'agit de Mgr Cristián Caro Cordero, évêque de Puerto Montt (sud du Chili) et Mgr Gonzalo Duarte García de Cortázar, évêque de Valparaiso (ville portuaire près de Santiago).

    En 2012, ce dernier avait lui-même été accusé par un ancien séminariste d'avoir commis des abus sexuels, mais la plainte devant la justice civile n'avait pas abouti. Le pape a pour l'instant remplacé les trois évêques démissionnaires par des "administrateurs apostoliques". François, qui a reçu débût juin un groupe de cinq prêtres chiliens, victimes d'abus du père Karadima, a décidé de renvoyer ses deux enquêteurs au Chili pour compléter leur travail.

     
  • France : Mgr Aupetit alerte le gouvernement sur les bouleversements engendrés par une révision des lois de bioéthique

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    De Camille Lecuit sur le site du Point.fr :

    PMA : « La question de la filiation est essentielle pour l'avenir de notre civilisation »

    Le nouvel archevêque de Paris, monseigneur Aupetit, alerte le gouvernement sur les bouleversements engendrés par une révision des lois de bioéthique.

    Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) a remis mardi 5 juin son rapport de synthèse à la suite des états généraux de la bioéthique. Un appel à la participation citoyenne lancé en janvier dernier, auquel les catholiques ont largement répondu. Le nouvel archevêque de Pariset ancien médecin, monseigneur Aupetit, a été consulté, notamment lors d'un dîner à l'Élysée sur la question de la fin de vie. Il rappelle que sur tous ces sujets l'Église doit s'exprimer avec des arguments « fondés en raison ». Et non pas sur le seule base de la foi.

    Le Point.fr : Alors que le CCNE vient de remettre sa synthèse des états généraux de la bioéthique, quelles conclusions tirez-vous de cette phase de consultation nationale ?

    Monseigneur Aupetit : La dernière loi de bioéthique de 2011 prévoyait une réévaluation au bout de sept ans sans qu'il s'agisse nécessairement d'une révision. Le gouvernement a voulu une large consultation de l'ensemble des Français par des états généraux. La question posée m'apparaît très importante, car elle situe exactement les enjeux : « quelle société voulons-nous » ? Il me semble très heureux que tout le monde ait pu s'exprimer, car les décisions qui seront prises vont avoir des conséquences durables sur nos façons de vivre et les valeurs qui les sous-tendent. Nous sommes, en effet, à la croisée des chemins entre deux visions sociétales. D'un côté, une société basée sur la fraternité où la personne est qualifiée par les relations qu'elle entretient avec autrui. Dans cette situation, la loi protège les plus vulnérables. D'un autre côté, une société individualiste où chacun revendique une autonomie. Dans ce cas, la loi s'ajuste au désir individuel avec le risque de revenir au droit du plus fort, du plus riche ou du plus puissant. Bien sûr, nous défendons une société fraternelle qui constitue encore l'humus de notre civilisation. Les débats ont été très ardents même si l'on peut regretter que l'ensemble de nos concitoyens n'ait pas mesuré l'importance des enjeux.

    Si la synthèse du CCNE laisse apparaître que la PMA ne fait pas l'unanimité, plusieurs indices peuvent laisser présager l'intention du gouvernement de l'ouvrir à toutes les femmes, conformément au programme du président de la République. Quelles conclusions cela vous inspire-t-il ?

    Il n'y a aucun consensus et d'importantes réserves ont été émises. Nombreux sont ceux qui se sont exprimés et il serait dommage de réduire la parole d'un si grand nombre à une simple mobilisation de « militants ». Lorsqu'il n'y a aucun consensus, ne faut-il pas adopter un principe de précaution ? Le président de la République a dit ne pas vouloir avancer en force, j'espère que le gouvernement et le Parlement sauront entendre les vives réserves qui se sont exprimées. Nous continuerons de faire entendre notre voix pour que notre société ne soit pas fondée sur la somme de désirs individuels, mais sur le bien commun. Et la question de la filiation est essentielle pour l'avenir de notre civilisation.

    Vous étiez présent lors du dîner organisé en février dernier à l'Élysée, au sujet de la fin de vie. Dans quel climat celui-ci s'est-il déroulé ? Ces échanges ont-ils été fructueux ?

    Le climat était tout à fait cordial entre les personnes présentes, pourtant d'opinions diamétralement opposées. Le président de la République a interrogé successivement chacun des convives, qui ont eu largement le temps de s'exprimer. Tout d'abord, les médecins et les personnels soignants en charge des malades en fin de vie. Puis, la parole fut donnée aux philosophes pour terminer par les représentants des religions. Il est difficile d'évaluer le fruit de cette consultation et l'impact les différents arguments sur nos gouvernants.

    Lors de ce dîner, vous êtes-vous exprimé davantage en tant que médecin ou en tant qu'archevêque de Paris, représentant de l'institution religieuse catholique ?

    Je me suis exprimé avec des arguments fondés en raison, seule façon de toucher l'intelligence et le cœur. J'ai insisté sur l'extraordinaire amélioration des fins de vie en France. Dans les années 1970, lorsque j'étais étudiant dans les hôpitaux, les patients qui ne pouvaient plus être accessibles à la thérapie étaient souvent abandonnés avec des antalgiques mineurs et des soins minimums. La formidable extension des soins palliatifs a permis une véritable réponse à la douleur de ces patients et une réelle prise en charge de la fin de vie. Contrairement à ce que l'on entend, on meurt beaucoup mieux en France aujourd'hui qu'il y a 40 ans. Ensuite, je me suis exprimé sur le plan philosophique en montrant que la dignité humaine tient à sa nature propre, comme l'affirme la Déclaration universelle des droits de l'homme. Elle ne dépend pas de son état de dépendance ou de fragilité. On meurt toujours dans la dignité quand la société est capable de vous accompagner parce que vous êtes précieux à ses yeux. À tout cela, l'archevêque de Paris ajouterait seulement que la dignité tient aussi à la transcendance qui habite la conscience de l'humanité depuis toujours.

    Le président de la République vous semble-t-il à l'écoute de l'Église ? Et de ses arguments concernant les questions bioéthiques ?

    Le président écoute chacun de nos arguments avec sérieux. Cela est vrai aussi de ceux qui ne pensent pas comme nous. Son discours au collège des Bernardins a montré qu'il ne considérait pas l'Église comme une quantité négligeable et qu'il reconnaissait son œuvre civilisatrice pour la France au cours des siècles.

    Sur les questions de PMA et fin de vie, qui préoccupent particulièrement les Français, son avis vous paraît-il tranché ?

    Je n'ai pas la faculté de lire dans les consciences, aussi je ne pourrais pas dire s'il a un avis tranché. Dans son programme présidentiel, il avait bien programmé le vote de la PMA qui ne serait pas seulement destinée aux personnes atteintes d'infertilité, mais qui répondrait également un « désir sociétal d'enfant ». La question qui se pose alors est celle-ci : « le désir d'enfant est-il plus important que le droit de l'enfant » ? La Déclaration des droits de l'enfant à l'ONU a déjà répondu non à cette question. Sur la fin de vie, qui ne faisait pas partie du programme des états généraux, le président m'a paru très prudent.

    Vous avez rencontré le Premier ministre Édouard Philippe, le 18 avril dernier. Que retirez-vous de cet échange ?

    Nous n'avons pas parlé que de bioéthique. Sur ce sujet, le Premier ministre m'a semblé en retrait sur la question de la fin de vie, malgré la pression de certains députés de sa majorité. Pour les autres questions, il m'a écouté avec bienveillance, mais je ne suis pas sûr de l'avoir convaincu.

    L'engagement de l'Église dans le cadre de la révision des lois de bioéthique s'est-il arrêté en même temps que la phase de consultation générale menée par le CCNE ? Sinon, comment se poursuivra-t-il ?

    Les chrétiens en général et les catholiques en particulier n'ont pas attendu les états généraux pour s'exprimer sur ce sujet crucial. À l'occasion de ces états généraux, nous avons voulu participer largement au débat et donner un argumentaire sérieux aux fidèles et à toutes les personnes de bonne volonté. La diffusion de plus de 100 000 petits livrets sur le diocèse de Paris et le travail fait par la Conférence des évêques qui publiera un livre en juin participent de ce dialogue. À Paris, nous continuons les soirées d'information où nous faisons intervenir des personnes spécialisées dans ce domaine. Ce travail, bien sûr, ne s'arrêtera pas avec la fin de la consultation. Il continuera même après le vote des lois, car, si nous obéissons aux lois de notre pays, nous devons toujours continuer d'éclairer les consciences de nos concitoyens.

  • Inquisition : la réalité historique ne correspond pas à la légende noire

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    Du site aleteia.org :

    « Les images d’un tribunal de l’Inquisition allant à la chasse aux sorcières sont caricaturales »

    Vingt ans après l’ouverture des archives de la Congrégation pour la doctrine de la foi, contenant notamment les documents historiques de l’Inquisition romaine, Mgr Alejandro Cifres, leur responsable, explique comment elles montrent que l’Inquisition ne correspond pas à sa "légende noire". Ces archives en 4 500 volumes, s'étalant de 1542 à 1903, retracent quatre siècles d'histoire de l'Église, même si une grande partie a aujourd'hui disparu.

    Aleteia : Que révèlent ces archives sur l’Inquisition ?

    Mgr Alejandro Cifres : Les archives montrent que la réalité est différente de l’image habituelle de l’Inquisition. La légende noire est une légende, comme les légendes « roses » qui tentent de tout justifier. Je dis toujours qu’il n’y a aucun chercheur qui vienne voir nos archives pour la première fois et qui en reparte avec une image de l’Inquisition encore plus mauvaise ! Ces archives mettent en évidence que l’Inquisition est une institution faite par des hommes, selon de critères différents des nôtres, mais qui cherchaient à appliquer des normes et des règles avec rigueur et sérieux. Surtout, l’Inquisition n’a pas seulement été un tribunal qui jugeait et condamnait – et bien souvent absolvait : ­c’était avant tout un lieu de discussion où les idées étaient étudiées, où les doctrines étaient expliquées. Les images d’un tribunal allant à la chasse aux sorcières sont caricaturales, et qui vient aux archives le sait. L’historiographie sérieuse n’a d’ailleurs pas attendu leur ouverture pour s’en rendre compte.

    Qu’est-ce que l’Inquisition ?

    Il faut tout d’abord savoir qu’il y a trois inquisitions différentes. Tout d’abord, l’inquisition médiévale, qui était une prérogative des évêques ou de délégués papaux pour des cas particuliers. L’épisode le plus connu est la croisade contre les Albigeois au XIIIe siècle. Puis, il y a les inquisitions espagnole et portugaise, qui sont les premières à être centralisées au niveau d’un pays. Enfin, il y a l’Inquisition romaine, fondée en 1542 par Paul III pour être un organisme central du Saint-Siège pour le contrôle de la dissidence religieuse. Puisque pontificale, elle avait compétence universelle, c’est-à-dire sur le monde entier. Dans les faits, elle n’agissait pas sur le territoire des inquisitions espagnole et portugaise, et donc pas non plus aux Amériques. En 1908, l’Inquisition romaine a laissé place au Saint-Office, lui-même ancêtre de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

    Lire aussi : L’Inquisition : perversion de la mission de l’Église ?

    Pourquoi le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation et futur pape Benoît XVI, a-t-il voulu ouvrir ces archives ?

    Jusqu’il y a encore 20 ans, nos archives restaient encore largement fermées à la consultation. Il s’agissait du dernier secteur d’archives du Vatican à n’avoir jamais été ouvert, la plupart l’ayant été à la fin du XIXe siècle. En 1998, le cardinal Ratzinger, après plusieurs sollicitations, a décidé que les temps étaient mûrs pour les ouvrir aux chercheurs. Toute personne qui a un diplôme le reconnaissant capable de lire ces documents — et pas simplement mû par la curiosité — peut venir consulter les archives. Il n’y a aucune discrimination d’idéologie, de religion ou de nationalité. En tant qu’archiviste, je peux dire que le bilan est très positif, surtout pour le climat de collaboration qui s’est créé entre l’institution et le monde des études.