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  • Des questions sur la vie après la mort ?

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    Des questions sur la vie après la mort ? un site pour y répondre

    A la Toussaint, 70% des Français (mais pas que...) se rendront au cimetière : sur un thème qui suscite interrogations, peurs et peine, lavieapreslamort.com apporte un éclairage approfondi. Plus d’une centaine de sujets de fond, mais aussi une dizaine de vidéos de prêtres, des interviews et des quizz, répondent aux questions les plus souvent posées.

    Parmi les questions traitées, la question de l’au-delà, du deuil, des funérailles, mais aussi les expériences de mort imminente, avec par exemple une interview du Dr. Patrick Theillier, ancien permanent du bureau médical du sanctuaire de Lourdes, auteur d’un livre à succès sur le sujet.

    Un live chat’ (dialogue instantané) permet également aux internautes des discussions avec des e-missionnaires, afin d’évangéliser en direct.

    Enfin, s’ils le souhaitent, les internautes pourront, par le site, faire allumer un cierge pour un proche défunt à l’église de l’Ile-Bouchard en Touraine, où la Sainte Vierge a promis de donner « du bonheur dans les familles ».

    www.lavieapreslamort.com

     

  • "Episcopalis communio" : la nouvelle constitution apostolique pour le synode des évêques

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    Du Père Cédric Burgun sur le site "Droit canonique" :

    Une nouvelle constitution apostolique pour le synode des évêques

    Alors que l’ouverture du prochain synode sur les jeunes est prévue le 3 octobre prochain, le pape François vient de promulguer, ce mardi 18 septembre 2018, la nouvelle constitution apostolique Episcopalis communio, qui vient préciser la structure des assemblées synodales. Le synode des évêques avait été annoncé par Paul VI le 14 septembre 1965, dans le discours d’ouverture à la 4e session du concile, puis institué par le Motu proprio Apostolica sollicitudo qui en donnait le fonctionnement général.

    Le site www.droitcanonique.fr s'est voulu réactif : c'est pourquoi, nous vous proposons également une traduction française inédite et provisoire en attendant une traduction officielle, effectuée par le Doyen de la Faculté de droit canonique, l'abbé Ludovic Danto. Cette traduction est en ligne, disponible en cliquant ici.

    Les évêques aident le Souverain Pontife de multiples manières, et le synode des évêques est un instrument privilégié de cette aide. Si le Pape François avait insisté, lors du dernier synode, pour comprendre qu’il est non seulement un chemin pour l’Église, mais aussi pour l’humanité, cette nouvelle constitution le confirme bien en insistant dès son préambule sur la nouvelle étape d’évangélisation dans laquelle entre l’Église, souhaitant que le synode devienne de plus en plus « une mise en œuvre effective du soin de tous les évêques pour toutes les églises »(§4).

    Certes, l’Église est « multiple », notamment en ses églises particulières, mais la synodalité est essentielle à la vie de celle-ci, car elle est peut-être un témoignage d’unité dans la diversité pour un monde plus fragmenté encore qu’elle, et le pape d’insister : le synode peut à la fois permettre de nouveaux développements de dialogue et de collaboration entre tous les évêques et l’évêque de Rome, et en même temps être un lieu privilégié pour « écouter le Peuple de Dieu » (§5), afin que le Synode ne soit pas comme « séparé du reste des fidèles » (§6). Il doit être, au contraire, toujours selon les mots du Pape, « un instrument approprié pour donner la parole à tout le Peuple de Dieu et précisément à travers les évêques » (§6). Depuis le Concile Vatican II notamment, on a l’habitude de parler du sensus fidei fidelium(le sens de la foi des fidèles) afin de souligner cette participation de l’ensemble du peuple de Dieu au discernement ecclésial.

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  • Comment notre monde a cessé d'être chrétien; retour sur un livre décisif

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    Lu en éditorial sur le site "Canal Académie" (Les Académes et l'Institut de France sur Internet) :

    Chers amis, chers auditeurs,

    En juin dernier, le Prix d’histoire des religions de la Fondation “Les amis de Pierre-Antoine Bernheim”, décerné par l’Académie des inscriptions et belles-lettres, a été remis à Guillaume Cuchet pour son livre Comment notre monde a cessé d’être chrétien. Anatomie d’un effondrement, publié au Seuil (1). 

    Comme il l’explique dans l’entretien qu’il nous a accordé, cet ouvrage propose une nouvelle interprétation des causes du très vif recul religieux survenu en France dans les années 1960. En effet, alors que ce phénomène est généralement expliqué par des causes essentiellement sociologiques se confondant peu ou prou avec l’irruption de ce que l’on appellera ensuite la postmodernité, Guillaume Cuchet estime, lui, que “les phénomènes religieux ont aussi des causes religieuses”. 

    Plus précisément, en s’appuyant sur de nombreuses données chiffrées, notamment issues des travaux du chanoine Boulard, auteur de la célèbre Carte religieuse de la France rurale, il estime que, loin de résulter seulement de mai 1968 ou de l’encyclique Humanae vitae par laquelle l’Église réaffirmait son opposition à la contraception, cet effondrement trouve son élément déclencheur dans l’effet profondément déstabilisant sur le clergé et les fidèles de la réforme de Vatican II. 

    Afin de poursuivre la réflexion sur cette profonde mutation, ses multiples causes et conséquences, nous vous proposons cette semaine, une programmation entièrement consacrée à la place de la religion et de la foi dans nos sociétés. Vous y reconnaîtrez notamment les voix d’Alain Besançon, Rémi Brague, Mgr Claude Dagens, André Damien, François Gros, Philippe Levillain et Jean-Luc Marion, ainsi que des évocations des cardinaux et académiciens Eugène Tisserant et Henri de Lubac

    Bonne écoute !

    Jean-Robert PITTE
    Président de Canal Académie
    (1) Comment notre monde a cessé d’être chrétien. Anatomie d’un effondrement, par Guillaume Cuchet, Editions du Seuil, février 2018, 276 p., 21 euros

    Anatomie d’un effondrement religieux

    « Le recul du catholicisme en France depuis les années 1960 est un des faits les plus marquants et pourtant les moins expliqués de notre histoire contemporaine. S’il reste la première religion des Français, le changement est spectaculaire : au milieu des années 1960, 94 % de la génération en France étaient baptisés et 25% allaient à la messe tous les dimanches ; de nos jours, la pratique dominicale tourne autour de 2% et les baptisés avant l’âge de 7 ans ne sont plus que 30%. Comment a-t-on pu en arriver là ? Au seuil des années 1960 encore, le chanoine Boulard, qui était dans l’Église le grand spécialiste de ces questions, avait conclu à la stabilité globale des taux dans la longue durée. Or, au moment même où prévalaient ces conclusions rassurantes et où s’achevait cette vaste entreprise de modernisation de la religion que fut le concile Vatican II (1962-1965), il a commencé à voir remonter des diocèses, avec une insistance croissante, la rumeur inquiétante du plongeon des courbes.

    Guillaume Cuchet a repris l’ensemble du dossier : il propose l’une des premières analyses de sociologie historique approfondie de cette grande rupture religieuse, identifie le rôle déclencheur de Vatican II dans ces évolutions et les situe dans le temps long de la déchristianisation et dans le contexte des évolutions démographiques, sociales et culturelles des décennies d’après-guerre. »

    Présentation par l’éditeur de Comment notre monde a cessé d’être chrétien. Anatomie d’un effondrement, par Guillaume Cuchet, Editions du Seuil, février 2018, 276 p., 21 euros

  • Les carmélites quittent Louvain-La-Neuve

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    La présence carmélitaine se délite dans notre pays : après le départ des Pères carmes de Chèvremont et des Soeurs carmelites de Cornillon (Liège), c'est à présent le tour du carmel de Louvain-la-Neuve :

    Lu dans l'édition de ce jour de "La Capitale Brabant-Wallon", p. 8 : 

    Court-Saint-Étienne : Le carmel va fermer ! 

    Nous l’avons appris hier : le carmel de Louvain situé à Court-Saint-Étienne mais tout près de Louvain-la-Neuve va fermer ! « Il y a 45 ans, la communauté des carmélites de Louvain, fondée en 1607 à Leuven, quittait cette ville pour poursuivre sa vie de prière et d’intercession à Court-Saint-Etienne, à proximité de la nouvelle université et ville de Louvain-la-Neuve » , expliquent les carmélites dans un communiqué. « Aujourd’hui, à l’écoute des signes des temps et des interpellations de l’Eglise relayées par le Père Général de l’Ordre du Carmel, notre communauté a décidé de réfléchir sur sa situation concrète actuelle. En l’absence de nouvelles vocations depuis 17 ans, nous sommes en petit nombre dans un bâtiment prévu pour deux fois plus de sœurs. Nous avons décidé de quitter notre monastère de Louvain-la-Neuve pour poursuivre un chemin de vie ailleurs : nous rejoindrons d’autres carmels, chacune étant libre de choisir sa nouvelle communauté. Une page se tourne, non sans peine » .

  • Non au business de la gestation pour autrui (GPA) "Men having babies"

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    De Michel Ghins, en opinion sur le site de La Libre :

    Un salon pour la gestation pour autrui (GPA) commerciale à Bruxelles ce week-end? Non!

    Au salon "Men having babies", des firmes proposent sur catalogue un éventail de mères porteuses potentielles qui acceptent - moyennant salaire - de porter un enfant. Le prix global d’un enfant - réduit à une marchandise- se situe entre 95 000 et 160 000 dollars. Comment est-il possible que le bourgmestre de Bruxelles, M. Philippe Close (PS), tolére un tel événement qui encourage impunément la location d’utérus et le trafic d’enfants ?

    Par Michel Ghins, co-responsable de Initiative citoyenne pour l’abolition de la GPA

    Ce weekend des 22 et 23 septembre au Hilton, l’organisation américaine Men having babies revient pour la quatrième fois à Bruxelles pour y faire la promotion de la gestation pour autrui (GPA) résolument commerciale. Au travers d’une série de conférences et de rencontres, cette organisation mettra en contact des personnes qui souhaitent avoir un enfant avec des firmes américaines ou canadiennes spécialisées dans la production de bébés sur commande. « Notre annuaire comprend la description détaillée (avec vidéos) de plus de 100 fournisseurs de GPA, et nous présentons les évaluations, les analyses et les coûts concernant des douzaines de sociétés et de cliniques qui pratiquent la GPA », lit-on sur le site de Men having babies. Ces firmes proposent sur catalogue un éventail de mères porteuses potentielles qui acceptent - moyennant salaire - de porter un enfant.

    Tout est prévu : l’accompagnement psychologique, l’assistance juridique, la fourniture de gamètes (ovules, sperme), la formulation du contrat entre la mère porteuse et les commanditaires etc. Le prix global d’un enfant se situe entre 95 000 et 160 000 dollars. A la naissance, la mère doit abandonner son enfant pour le livrer aux personnes commanditaires.

    L'enfant est réduit à une marchandise qui s’achète et qui se vend

    Comment est-il possible que le bourgmestre de Bruxelles, M. Philippe Close (PS), continue à tolérer année après année un événement qui encourage impunément la location d’utérus et le trafic d’enfants ? On répliquera que la GPA n’est pas formellement interdite en Belgique. Certes. Mais les contrats de gestation pour autrui n’y ont aucune valeur légale. De plus, en 2015 le Parlement européen a condamné sans ambiguïté la pratique de la GPA sous toutes ses formes comme allant à l’encontre de la dignité de la femme. Toujours en 2015, la Commission des affaires institutionnelles du Sénat s’est prononcée à l’unanimité contre toute pratique commerciale de la GPA.

    En outre, la Belgique est signataire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de 1989 qui stipule que "tout enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux". Or, la GPA consiste à produire intentionnellement un enfant qui dans la plupart des cas ne connaîtra jamais sa mère et ne sera certainement pas élevé par elle. De plus, la GPA implique qu’un enfant soit l’objet d’un contrat auquel il ne peut évidemment pas donner son consentement. LaConvention requiert également que les Etats signataires prennent "toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher l’enlèvement, la vente ou la traite d’enfants à quelque fin que ce soit et sous quelque forme que ce soit." Or, dans le cadre d’un contrat de GPA, l’enfant est réduit à une marchandise qui s’achète et qui se vend.

    Une technique d’élevage dégradante pour les femmes 

    De nombreuses organisations féministes, à gauche comme à droite, tant en Belgique qu’à l’étranger, sont opposées à la légalisation de contrats de GPA car ceux-ci imposent des contraintes dégradantes pour la mère porteuse. Ces contrats régimentent la vie de la mère porteuse tout au long de sa grossesse en lui interdisant par exemple de fumer, de faire certains sports, de consommer certains aliments… La femme est ainsi réduite à un pur instrument biologique de procréation. On pourra même parfois l’obliger à avorter en cas de malformation du fœtus. On répondra que la mère porteuse est censée consentir librement aux termes du contrat. Mais ce consentement est souvent dicté par des conditions économiques difficiles. Peut-on alors parler de liberté ? Même si la décision est libre, peut-on décemment permettre que des femmes soient soumises à des conditions qui ressemblent furieusement à des techniques d’élevage ?

    Il faut interdire la pratique de la gestation pour autrui en Belgique

    Interdire la GPA commerciale et encadrer légalement la GPA non-commerciale n’est pas une solution. La distinction entre ces deux types de GPA est floue et impossible à vérifier dans les faits. Mais plus fondamentalement la GPA non-commerciale ne saurait en aucune manière être qualifiée d’"éthique". Un contrat de gestation pour autrui viole toujours les droits fondamentaux des femmes et des enfants car il les traite nécessairement comme des objets de transaction faisant intervenir un échange d’argent, que ce soit sous forme de salaire ou d’indemnités pour la mère porteuse.

    Face à cette situation, les politiques devraient avoir le courage d’interdire purement et simplement la pratique de la gestation pour autrui en Belgique, comme c’est le cas dans la plupart des pays. Une telle interdiction serait en accord avec les grandes conventions internationales et le respect intégral des femmes et des enfants. Elle permettrait d’interdire, sans discussion aucune, la tenue d’événements comme la bourse aux femmes et aux enfants de "Men having babies".

  • Bruxelles, 9 octobre : l'embryon : sujet ou objet ? Soirée de la Bioéthique avec le Professeur Emmanuel SAPIN

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    Embryon: sujet ou objet? Avec le Professeur Sapin

    · Organisé par Les Soirées de la Bioéthique
    (RDVS à l'Institut Marie Haps avec un paf de 3€ - pas d'inscription nécessaire)

    Pour entamer une nouvelle année de Soirées de la bioéthique, nous aurons la chance d'accueillir le mardi 9 octobre prochain le Professeur Emmanuel Sapin

    Pour entamer une nouvelle année de Soirées de la bioéthique, nous aurons la chance d'accueillir le mardi 9 octobre prochain le Professeur Emmanuel Sapin, Chef de service en Chirurgie Pédiatrique et Néonatale au CHU de Dijon, et Professeur à la Faculté de Médecine, qui a participé aux premières interventions chirurgicales fœtales, et s'est fortement intéressé aux questions éthiques relatives à la recherche scientifique anténatale; comme celles-ci :

    • L'embryon, lorsqu'il est sujet de recherche scientifique, est-il sujet ou objet de cette recherche?
    • Qu'est-on avant notre naissance?
    • A partir de quel moment un embryon peut-il être considéré comme pleinement humain, et quelle dignité lui accorder alors?
    • Quel statut est réservé aux embryons dans le cadre des recherches scientifiques ?
    • Peut-on l'utiliser comme un objet pour la cause de la science, particulièrement lorsqu'elle a une visée thérapeutique?
    • La société partage-t-elle la même vision de l'embryon?
    • Quel impact cela a-t-il sur notre perception du commencement de la vie humaine?
    • Quel impact sur notre perception de l'homme?
    • Nos semblables peuvent-ils être mis à notre service pendant leur vie anténatale?
    • Peut-on créer des embryons de laboratoire?

    C'est en tant que médecin-chercheur spécialisé que le Professeur Sapin creusera ces questions, afin de nous offrir un regard à la fois scientifique et éthique sur cette réalité qu'est la recherche sur les embryons humains.

    Nous vous attendons nombreux pour cette première conférence de l'année, qui sera suivie du traditionnel petit verre collectif !

    Des livres écrits par nos conférenciers vous seront proposés à des prix démocratiques dans notre librairie.

  • Le Dalaï Lama et les agressions sexuelles dans la communauté bouddhiste

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    Lu sur "Ouest France" :

    Bouddhisme. Le Dalaï Lama « avait connaissance » d’agressions sexuelles

    Des enseignants bouddhistes auraient agressé sexuellement dans les années 1990 des élèves. Le chef spirituel tibétain, le Dalaï Lama a affirmé qu’il était au courant.

    Le Dalaï Lama a affirmé samedi à la télévision publique néerlandaise avoir eu connaissance depuis les années 1990 d’agressions sexuelles présumées commises par des enseignants bouddhistes.

    Le chef spirituel tibétain effectuait une visite de quatre jours aux Pays-Bas où il a rencontré vendredi des victimes d’agressions sexuelles présumées commises par des enseignants bouddhistes. Il répondait ainsi à l’appel de douze d’entre elles qui avaient lancé une pétition afin qu’une réunion soit organisée.

    « Je savais déjà ces choses-là »

    Les auteurs de la pétition lancée lundi souhaitaient rencontrer le Dalaï Lama, en pleine tournée européenne, afin de lui faire part de leurs expériences. « Je savais déjà ces choses là, rien de nouveau », a déclaré le Dalaï Lama samedi soir auprès de la télévision publique néerlandaise NOS.

    Lors d’une conférence de leaders bouddhistes occidentaux en 1993 à Dharamsala, un village dans le nord de l’Inde, « quelqu’un a mentionné un problème d’allégations sexuelles », a-t-il indiqué dans une interview en anglais.

    « Nous avons trouvé refuge dans le bouddhisme avec un esprit et un cœur ouverts, jusqu’à ce que nous soyons violés en son nom », ont dénoncé les victimes dans leur pétition, qui a reçu un millier de signatures.

    « Un tel comportement est intolérable »

    Les personnes qui commettent des agressions sexuelles ne se soucient pas de l’enseignement du Bouddha, a poursuivi le leader spirituel, ajoutant que les coupables présumés devraient avoir « honte ».

    Le Dalaï Lama, 83 ans, a toujours dénoncé un tel comportement irresponsable et contraire à l’éthique, a écrit aux victimes Tseten Samdup Chhoekyapa, membre officiel du bureau du chef spirituel. « Il a recommandé d’avertir les enseignants qu’un tel comportement est intolérable et doit cesser », a-t-il expliqué dans sa lettre en amont de la réunion de vendredi.

    Une nouvelle rencontre est prévue en novembre entre tous les leaders spirituels tibétains à Dharamsala, où « ils devraient parler » des allégations d’agressions sexuelles, a suggéré le Dalaï Lama. « Les leaders religieux devraient être plus attentifs » à cette problématique, a-t-il conclu.

  • Abus sexuels dans l'Eglise : un débat sans langue de bois sur le plateau de KTO (Deo et Débats)

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    Vu sur KTO :

    Les invités de Deo et Débats ce mois-ci partagent le trouble de beaucoup de catholiques devant les scandales d’abus sexuels dans l’Eglise à travers le monde. Sur le plateau, la tonalité des échanges, franche et amicale, permet de se confronter à ces scandales, de réfléchir aux failles qu’ils révèlent et à la nécessité de vérité et de justice. Ils saluent aussi les prêtres sur qui pèse un soupçon et les remercient pour le don de leur vie.

    Avec Jean-Marie Andrès, Tugdual Derville, Erwan le Morhedec, Dominique Quinio et Jean-Louis Schlegel, animé par Philippine de Saint Pierre.

  • L'intégralité de l'interview du docteur Bertrand de Rochambeau, gynécologue qui refuse de pratiquer des IVG

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    L’interview en intégralité du docteur Bertrand de Rochambeau, gynécologue qui refuse de pratiquer des IVG (source)

    Le mardi 11 septembre, Valentine Oberti interrogeait le docteur Bertrand de Rochambeau, président du syndicat des gynécologues (Syngof) qui ne pratique plus d’IVG. Dans le journal Le Monde, il estimait qu’il « y a eu manipulation » de ce qu’il a dit « pour faire le buzz ». Voici donc l’interview en intégralité, sans montage, pour vous faire votre opinion.

    La liberté de conscience des médecins remise en cause