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  • L'Académie de Chant Grégorien à Liège. Une offre qui s'élargit encore pour un nouveau cycle: de novembre 2018 à mai 2019

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     Encore quelques jours pour s'inscrire !

    église du saint sacrement Liège GOPR0645.JPGL’académie de chant grégorien à Liège organise, du 14 novembre 2018 au 25 mai 2019, un nouveau cycle de cours : une offre dédiée au chant grégorien qui s’élargit à la formation de la voix, à la lecture musicale et à l’initiation à l’orgue liturgique, avec trois professeurs universitaires ou diplômés des conservatoires tant belges qu’étrangers. Encore quelques jours pour s’inscrire !

    Les formations se donnent toutes dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132, 4000 Liège). Elles sont diversifiées et cumulables : chaque élève compose le « menu » de son choix en remplissant le formulaire d’inscription disponible sur simple demande.

    Renseignements : academiedechantgregorienliege@proximus.be, sur le site www.gregorien.be  ou chez Jean-Paul Schyns (secrétariat), tél 04.344.10.89. Pour les inscriptions en ligne : www.gregorien.be

    cliquer sur les images ci-dessous pour les agrandir

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  • RDC-Religion : Mgr Fridolin Ambongo investi archevêque de Kinshasa

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    Lu sur le site web de scoop RDC:

    Mgr-Ambongo3-1-930x530_c.jpg "Dans une annonce faite le jeudi 1ernovembre, le jour de la Toussaint et des morts selon la tradition de l’église catholique romaine, le cardinal et archevêque sortant de Kinshasa Laurent Monsengwo a cédé le bâton de commandement à son successeur nommé coadjuteur il y a de cela cinq mois par le pape François. A 58 ans, il succède donc à l’un de dignes fils de la RDC et d’Afrique Laurent Monsengwo, le seul prélat africain faisant partie de C9, le comité des neuf cardinaux que consulte le pape tous les trois mois pour gouverner l’Église catholique.

    Kinshasa étant un siège cardinalice, tout laisse à penser que Fridolin Ambongo sera élevé, lui aussi, au rang de cardinal. À ce poste, le futur chef des catholiques congolais mettra-t-il de l’eau dans son vin de messe ? Surtout quand on sait que l’homme tout étudiant qu’il fût, résistait déjà à l’injustice et antivaleurs sous la dictature mobutienne, pourtant son frère du terroir. Son passage à la Commission Justice et Paix de la CENCO, sa nomination comme évêque du diocèse de Bokungu-Ikela en remplacement d’un autre grand, feu Mgr Joseph Kumuondala, qu’il assumera par la suite son intérim comme administrateur apostolique à Mbandaka après la disparition de ce dernier, démontre à suffisance son ascension rapide due à ses valeurs non seulement religieuses, mais également intellectuelles et humaines, alors qu’il n’a que 13 ans d’épiscopat.

    Fils d’un saigneur d’arbre à caoutchouc dans une plantation d’hévéa dans le Sud-Ubangui, Mgr Fridolin Ambongo est un passionné des questions de justice, de droits et de dignité de la personne. En août 1988, il est ordonné prêtre à Kinshasa. Puis il part pour Rome, où il soutient une thèse de doctorat intitulée « La réhabilitation de l’humain, base du développement vrai au Zaïre ». L’opinion devra retenir également qu’en dehors de la Commission Justice et Paix de la CENCO, le dialogue de la Saint Sylvestre, Mgr Ambongo  a témoigné à la Haye en faveur de Jean-Pierre Bemba, car à l’époque le prélat travaillait dans la zone occupée militairement par le Mouvement de Libération du Congo (MLC).

    La cérémonie de son investiture est prévue le 25 novembre, à l’occasion de la fête du Christ-Roi.

    Ref. RDC-Religion : Mgr Fridolin Ambongo investi archevêque de Kinshasa

    Les qualités intellectuelles et humaines du nouvel archevêque de Kinshasa  ne font pas de doute.  Aura-t-il le sens naturel de l’autorité qui fit de Mgr Monsengwo un chef spirituel respecté à la tête de l’Eglise et aux yeux de toute la nation congolaise qui en a grand besoin ? L’avenir le dira.

    JPSC

  • Révéler l’humanité, combattre l’inhumanité

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    Du site "Courant pour une écologie humaine" :

    LES TEMPS MODERNES, UN PIÈGE POUR L’HOMME

    Entretien avec Rémi Brague, philosophe français, spécialiste de la philosophie médiévale arabe et juive. Membre de l’Institut de France, Rémi Brague est professeur émérite de l’Université Panthéon-Sorbonne et de l’Université de Munich. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment Europe, la voie romaine (1), Le Règne de l’homme (2), Où va l’histoire ? (3) et, en 2018, Sur la religion (4).

    Cet article est issu de l’ouvrage « Société de Bien Commun vol.2, révéler l’humanité, combattre l’inhumanité ».

    Le thème de ce second volume sur la Société de Bien Commun est Révéler l’humanité, combattre l’inhumanité. Qu’est-ce qui dans la société française, selon votre regard de philosophe, mérite d’être spécifiquement révélé ?

    Ce qui est remarquable, c’est justement qu’il faille expliquer ce qu’est l’homme. Cela ne vaut pas que pour la France, mais pour toutes les sociétés industrielles. L’homme a cessé d’être une évidence paisiblement possédée et mise en œuvre. Il doit désormais être révélé. Et surtout pas défini, car définir, c’est tracer des frontières en deçà desquelles on aurait de l’humain, et au-delà, des ténèbres extérieures. Le christianisme a cette particularité d’avoir fait voir de l’humain, de l’avoir donc « révélé » au sens où, dans la photographie argentique, on révélait l’image qui n’était alors présente qu’en négatif. Il l’a fait justement là où l’on n’en voyait pas jusqu’à présent. Pensez aux trois neutralisations opérées par saint Paul : homme ou femme, maître ou esclave, juif ou païen, cela ne compte pas (5). Les différences naturelle, sociale, religieuse, subsistent, mais elles perdent leur pertinence quant au salut. On pourrait ajouter : enfant ou adulte, fœtus ou nouveau-né, etc. Pour le monde antique, une femme était moins humaine qu’un  18 se situer homme, on pouvait donc la marier sans lui demander son avis ; un esclave était moins humain qu’un citoyen libre, on pouvait donc le vendre; un nouveau-né n’était pas encore humain, on pouvait donc l’exposer; un fœtus non plus, on pouvait donc l’avorter. Les Juifs interdisaient l’avortement et l’exposition, mais considéraient que les « païens » étaient moins humains qu’eux. La révolution chrétienne n’a nullement consisté à « introduire dans le monde une morale », comme dit Monsieur Homais. Comment pourrait-on, d’ailleurs, introduire des règles qui sont déjà, depuis toujours, gravées dans le cœur de l’homme ? Elle a fait à la fois mieux et plus simple : faire voir de l’humain là où l’on n’en voyait pas jusqu’alors. Elle a « révélé », comme vous dites, formule à laquelle je m’associe bien volontiers, que la femme, l’esclave, le païen, selon saint Paul, puis le fœtus ou le nouveau-né étaient aussi pleinement humains que, respectivement, l’homme, le maître, le Juif, et ceux qui ont eu la chance d’avoir été laissés en vie.

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  • Un tiers des médecins irlandais disposé à pratiquer l'avortement

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    25% DES MÉDECINS GÉNÉRALISTES IRLANDAIS REFUSERONT DE PRATIQUER LES AVORTEMENTS

     de genethique.org

    Une consultation en ligne menée par le Collège irlandais général des praticiens[1] révèle qu’un quart des médecins irlandais ne veulent pas assurer les services liés à l’avortement et sont réticents à envoyer les femmes enceintes à un collègue.

    Seuls 32% des 3500 médecins généralistes interrogés sont actuellement disposés et en mesure de fournir ces services. Les 43% restants ont déclaré ne pas pouvoir offrir de tels services pour des raisons de compétences, de ressources ou d’objection de conscience, mais acceptent d’adresser les femmes à un autre praticien.

  • Notre espérance est-elle dans la science ?

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    Notre espérance est-elle dans la science ?

    Dans la médiathèque Domini… Qu’est-ce que le transhumanisme ?

    En ce mois de novembre, nous levons les yeux vers le Ciel et nous ravivons notre espérance… Mais où est notre espérance ? Dans le Christ ou dans la science ? D’où attendons-nous notre Salut ? De nous-mêmes et de la technique ou de Dieu ? Notre session jeunes de Toussaint, qui vient de se terminer, a été l’occasion de nous interroger sur tout cela. Elle avait pour thème « défendre l’homme à l’heure du transhumanisme ». En voici déjà, en avant première, les deux premières conférences, en attendant les suivantes !  

    Sr. Gaëtane – 31 octobre 2018, St Pierre de Colombier

    Fr. Xavier – 31 octobre 2018, St Pierre de Colombier

  • Des maximes pour notre temps tirées des textes de saint Léon le Grand

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    Toute parole de l'Ecriture-Sainte nous convie finalement à la joie dans le Seigneur.

    Vous êtes greffés sur le Seigneur.

    Il y a davantage dans l'âme de chaque fidèle que dans tout le firmament.

    Quiconque reste étranger à la vérité n'est pas miséricordieux, quiconque ignore la bonté est incapable de justice.

    Bénéfique compassion : nous sommes malades avec les malades, nous pleurons avec ceux qui pleurent.

    L'obéissance adoucit le commandement.

    Il faut user convenablement des créatures visibles, tout comme on utilise la terre, la mer, l'eau, les sources et les fleuves.

    Pour le bon ordre : que chacun préfère les autres à soi ; que chacun respecte d'abord les intérêts des autres, avant les siens propres.

    Il faut garder tête solide, au milieu de toutes les girouettes.

    Chrétien, prends conscience de ta dignité. Rappelle-toi toujours de quel Corps tu es membre.

    Devenu temple du Saint-Esprit par ton baptême, ne chasse pas un tel hôte de ton cœur par des actes coupables.

    Les mystères s'accommodent au temps. Par contre, la foi que nous vivons ne saurait changer selon le temps.

    Ne rendre à personne le mal pour le mal : voilà tout le secret de l'ascèse chrétienne.

    Adultes, nous ne sommes pas invités à retourner aux jeux de l'enfance ni à ses débuts imparfaits. Il faut vivre comme il convient à l'âge mûr, quand on l'atteint.

    Peu importe de savoir à partir de quelle nature (divine ou humaine) nous sommes au Christ ! En effet, l'unité de personne demeure intégralement. C'est donc intégralement le même qui est Fils de l'homme en raison de la chair et Fils de Dieu en raison de la divinité, possédée dans l'unité avec le Père.

    Liez société avec : patriarches, prophètes, apôtres et martyrs.

    Toute parole de l'Ecriture-Sainte nous convie finalement à la joie dans le Seigneur.

    Vous êtes greffés sur le Seigneur.

    Il y a davantage dans l'âme de chaque fidèle que dans tout le firmament.

    Il y a des pièges dans l'abondance des riches, il y en a aussi dans la pauvreté. L'opulence rend hautain et vaniteux, le dénuement engendre l'aigreur et l'amertume.

    Ne jugeons pas l'héritage (spécialement chrétien), sur l'indignité des héritiers.

    Ceux qui ne résistent pas à leurs désirs dépravés perdent finalement la paix du cœur.

    C'est une maxime fondamentale du christianisme ; les seules et véritables richesses consistent dans la pauvreté d'esprit : plus on est humble, plus on est grand.

    http://missel.free.fr/Sanctoral/11/10.php

  • La Fraternité Saint-Pierre se porte bien

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    Du site "Riposte catholique" :

    Une belle croissance de la Fraternité Saint-Pierre

    Comme chaque année, début novembre, la Maison Générale de la Fraternité Saint-Pierre à Fribourg a mis en ligne les statistiques annuelles concernant la Fraternité (chiffres complets ici).

    Notre confrère américain, The National Catholic Register (NCR), est revenu sur cette publication en analysant notamment la progression du District nord-américain de la FSSP ces dernières années.

    Entre 2007 et 2017 pour l’Amérique du Nord, la Fraternité, également connue sous le nom de FSSP, est passée de 68 à 104 prêtres et de 48 à 58 paroisses ou autres lieux, selon les données fournies par le bureau provincial. À l’échelle international, le nombre total de prêtres FSSP s’élève à 304, dont 149 ont été ordonnés depuis le début de 2007.

    Ce n’est pas seulement le nombre de prêtres et de paroisses qui augmente. « Dans nos paroisses, nous constatons une augmentation du nombre de fidèles aux messes », a déclaré l’abbé Michael Stinson, nouveau supérieur du district nord-américain de la FSSP. […]

    Une grande partie de l’attrait des paroisses de la FSSP réside dans le fait qu’elles offrent exclusivement la messe en latin. Cela les distingue même des paroisses diocésaines qui l’ont en plus de la forme ordinaire de la messe. En ce qui concerne les paroisses, le FSSP participe à la dynamique de croissance de la messe en latin. En 2014, aux États-Unis, la messe en latin était généralement proposée quotidiennement par 75 paroisses. Sur ce total, 38 étaient gérés par FSSP, 24 par des prêtres diocésains, 13 par l’Institut du Christ Roi et une autre société de la vie apostolique, selon un rapport de la revue Homiletic and Pastoral. Au total, 335 paroisses ont une messe traditionnelle en latin chaque semaine, selon ce rapport.

    Mais l’influence de la FSSP s’étend au-delà de ses paroisses. Après le Motu Proprio, la Fraternité s’est associée à Una Voce pour lancer un programme de formation des prêtres diocésains pour apprendre à célébrer la messe traditionnelle en latin. Au cours de la dernière décennie, environ 200 prêtres ont participé à ce programme, selon l’abbé Berg. La Fraternité a également réalisé des vidéos avec EWTN, propriétaire de NCR, expliquant aussi comment célébrer la messe en latin. Cette série de vidéos a été distribuée aux candidats à la prêtrise au North American College de Rome, a précisé l’abbé Berg.

    Rendons grâce pour cette belle croissance… qui doit aussi amener une croissance pour des grâces pour les âmes.

    Photos FSSP (Une partie des prêtres français lors de la Session des prêtres du District de France de la FSSP à Sées, Octobre 2018)

    NDLR : Nous avons traduit l’expression ‘the latin mass’ par la messe traditionnelle en latin.