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  • Alost : le CPAS veut coupler aide sociale et prise de contraceptifs

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    Le CPAS d'Alost veut coupler l'aide sociale à la prise de contraceptifs.

    Lu dans le Nieuwsblad 

    Peut-on obliger les personnes qui poussent la porte du CPAS d'Alost à utiliser des contraceptifs ? Juridiquement, ce n'est évidemment pas possible, mais la présidente du CPAS (la NVA Sarah Smeyers) veut inclure dans le trajet d'accompagnement la prise volontaire de contraceptifs quand des familles demandent un revenu social d'intégration. Si nécessaire, le CPAS financera les coûts des moyens contraceptifs.

    Interrogée par la télévision locale TVO, la présidente du CPAS va même plus loin encore : 

    Nous avons convenu dans notre accord de majorité que nous ne donnerons que le soutien strictement nécessaire, mais aussi que nous devons oser briser des tabous ; que nous devons oser dire au gens qu'ils doivent prendre temporairement des contraceptifs. (...)

    Confrontée à l'argument juridique et éthique, elle insiste que la prise de contraceptifs se fera sur base volontaire et qu'aucune sanction ne sera appliquée aux familles récalcitrantes, bien que certains ménages auront besoin d'être un peu poussés dans le dos par les lourds et insistants "encouragements" du CPAS et des assistants sociaux.

    Meilleur des mondes, nous voici ! à quand les stérilisations forcées ?
  • Des droits de l'homme devenus fous ?

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    De Gregor Puppinck sur aleteia.org :

    Les droits de l’homme sont-ils devenus fous ?

    Entre les « droits de l’homme islamique », qui refusent toujours la liberté de conscience et l’égalité des sexes, et les « droits de l’homme postmoderne », qui soutiennent des revendications antinaturelles, que reste-il de la Déclaration universelle des droits de l’homme, soixante-dix ans après son adoption ? À l’occasion de cet anniversaire, le Saint-Siège a organisé à l’ONU une conférence sur les Droits de l’homme et la dignité de la vie. Gregor Puppinck y a exposé les fondements éthiques des droits de l’homme : « En tant que source des droits de l’homme, dit-il, la nature humaine doit à la fois être l’origine du contenu des droits et de l’obligation qui y est attachée. »

    Dans la Charte fondatrice des Nations-unies, signée à San Francisco le 26 juin 1945, les « peuples des Nations-unies » se disent « résolus […] à proclamer à nouveau [leur] foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité de droits des hommes et des femmes, ainsi que des nations, grandes et petites ». Dans la Déclaration universelle des droits de l’homme adoptée à Paris le 10 décembre 1948, l’Assemblée générale des États membres affirme que « la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde ».

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  • Le déclin démographique : un nouveau fléau

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    BAISSE DE LA DÉMOGRAPHIE, LE NOUVEAU FLÉAU ?

    synthèse de presse bioéthique de genethique.org 

    Le renouvellement des générations est une question clé pour l’avenir d’un pays. Avec 2,1 enfants par femme, il est assuré. Dans l’Union européenne, le nombre moyen d’enfant par femme est de 1,6. En Serbie, il n’est plus que de 1,5.

    Ces mauvais taux de fécondité altèrent « la structure démographique » : les personnes âgées pèsent de plus en plus sur les jeunes générations : « le coût de la hausse de la longévité en termes de sécurité sociale et de santé publique devient de plus en plus difficile à assumer, la dénatalité entraînant une érosion de la population active, ce qui fragilise la capacité du pays à produire richesse et bien-être ». Avec pour autre conséquence de rendre « de plus en plus difficile », le maintien « des comptes publics eux-mêmes ».

    Certains parlent de mettre en place un « pacte européen » qui « obligerait les États membres à adopter des mesures visant à l'amélioration du taux de fécondité ».

    En Serbie, le gouvernement essaie faire évoluer la tendance et s’engagent dans la construction de logements, les aides, « pouvant aller jusqu'à 250 euros par mois pendant dix ans pour les familles nombreuses, de plus de trois enfants, somme non négligeable quand le salaire moyen est de 400 euros environ », mais la précarité liée au chômage est souvent un obstacle qui est aggravé par l’émigration massive de jeunes en âge de procréer.

    L’Europe n’est pas le seul pays à faire face au déclin de sa population. En Corée du sud, avec un taux de fécondité de 0,95 enfant par femme, la population devrait commencer à décroitre dans 10 ans. « Coût de l'éducation des enfants, longues journées de travail, manque de structures de garde pour la petite enfance, entraves aux carrières des mères qui travaillent, double journée de travail pour les mères », les causes sont nombreuses. Depuis 2005 et malgré les sommes dépensées, 136 000 milliards de wons (107 milliards d’euros), la tendance ne s’inverse pas.

    De nouvelles annonces ont été faites vendredi : élargissement des droits aux allocations familiales, construction de crèches, les parents dont les enfants ont moins de huit ans pourront travailler une heure de moins par jour tandis que les congés paternité seront portés de trois à 10 jours… Des mesures qui se heurtent aux craintes des sud-coréens qui redoutent « que leur entreprise ne considère qu'ils manquent de motivation ».

    Sources: Afp, Katarina SUBASIC (10/12/2018 ; Afp (07/12/2018) ; Le Figaro, Alessandro Rosina (09/12/2018)

  • L'Eglise et les droits de l'homme

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    On fête les 70 ans de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Comment l'Eglise se situe-t-elle à l'égard de cette proclamation ? Du site ICHTUS.fr, cette synthèse qui, publiée en 2012, conserve toute son actualité :

    L’Eglise et les droits de l’homme

    Fondements des droits de l’homme

    Les droits de la personne humaine sont par là-même antérieurs à la société et à l’Etat qui ont l’obligation de les reconnaître. C’est une idée sur laquelle Jean Paul II insiste également dans son livre “Entrez dans l’espérance”, où il écrit : “Les droits de l’homme ont été inscrits dans l’ordre de la création par le créateur lui-même. On ne peut parler ici de concession faite par des institutions humaines, gouvernements ou organisations internationales, ces institutions n’expriment que ce que Dieu a inscrit dans l’ordre qu’il a lui-même créé”. Autrement dit, aucun Etat, aucune institution, ne peut décréter les droits de l’homme, ils ne peuvent que les entériner, ces droits étant inscrits dans l’ordre que Dieu a lui-même créé.

    Plus récemment, Jean-Paul II est revenu sur cette idée à propos des cinquante ans de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 en disant, dans son message du ler janvier 1999, qu'”elle est claire parce qu’elle reconnaît les droits qu’elle proclame, elle ne le confère pas”.

    L’erreur tragique de notre siècle consiste précisément à considérer que les droits de la personne humaine dépendent de la volonté collective des hommes. Car si les droits de l’homme dépendent de la volonté exprimée, à un moment donné, par un Etat ou une institution internationale, alors l’arbitraire est effectivement possible et ces droits peuvent être niés, déformés ou remis en cause à tout moment.

    Or les droits de l’homme sont inscrits dans l’ordre naturel des choses tel que Dieu l’a voulu; les vrais droits de l’homme viennent de Dieu. Peut-il d’ailleurs exister de fondement plus solide et moins incontestable que celui-là ?

    Etienne Gilson, le célèbre philosophe néo-thomiste, attestait de cette évidence lorsqu’il écrivait : “les droits de l’homme nous sont beaucoup plus chers qu’ils ne le sont aux incroyants, car ils ne se fondent pour eux que sur l’homme qui les oublie, au lieu qu’ils se fondent pour nous sur les droits de Dieu qui ne nous permet pas de les oublier”.

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  • La vie après la mort racontée par mon ange gardien

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    Un message d'Arnaud Dumouch :

    La vie après la mort racontée par mon ange gardien, par Stéphane Duté  

    Chers amis,

    Après des dizaines d’années de matérialisme dur et d’athéisme quasi-obligatoire en occident (dans la sphère publique), oser parler de la vie éternelle est souvent considéré par « nos élites » comme une provocation.

    Ou comme une croyance archaïque n’ayant aucun fondement scientifique.

    Ce qui n’a aucun fondement scientifique est précisément l’inverse.

    C’est croire que l’Homme est arrivé sur terre par hasard, et qu’il repart vers le néant à la fin de sa vie…

    Depuis près de 50 ans, avec les progrès de la réanimation, des centaines d’études scientifiques ont été réalisées à travers le monde, sur ce que l’on appelle communément les expériences de mort imminente.

    Et ce phénomène touche des centaines de milliers d’individus. Des millions, peut-être.

    Il s’agit de personnes cliniquement mortes qui reviennent à la vie, grâce au progrès des techniques de réanimation.

    Et ces personnes racontent toutes la même histoire : celle d’une rencontre personnelle, dans un tunnel, avec une ineffable lumière.

    Et cette lumière n’est qu’Amour.

    Une abondante littérature new age surfe, malheureusement, sur cette réalité. Il est heureux, pour une fois, que ce soit un roman en théologie catholique, qui traite de ce sujet.

    Je voudrais, vous présenter « Comme une révélation », le roman de Stéphane Duté.

    unnamed.jpg« A la suite d’un attentat terroriste dans l’église de son village, Elie fait une « expérience de mort imminente ».

    Il est projeté dans un incroyable tunnel du fond duquel jaillit une belle et bien étrange lumière.

    L’aventure s’accélère quand Elie tombe nez à nez sur son ange gardien qui entreprend de lui narrer l’histoire de la création de l’univers ainsi que celle des anges et des êtres humains.

    Simultanément, sur la terre, les terroristes poursuivent leur œuvre criminelle en déployant leur plan d’une diabolique ingéniosité.

    Et c’est ainsi, « coincé entre Terre et Ciel », qu’Elie et le lecteur découvrent, ce qui se passe pour chacun d’entre nous, à l’heure de la mort. »

    Et voilà ce qu’écrit, dans la préface de ce roman, Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon :

    « Comment mêler le drame d’un attentat à la plaisante conversation d’un homme avec son ange gardien ? C’est le pari qu’a fait Stéphane Duté dans ce livre palpitant. Pari réussi puisqu’on passe aisément (presqu’innocemment) d’une discussion théologique à la plus dramatique des réalités. 

    Le livre de l’Apocalypse est le témoin de cette espérance fondamentale pour tout chrétien (…) et c’est à mon sens le message de ce roman : l’Espérance. »

    Ce livre, que je vous conseille vraiment, est sur le site de l’éditeur.

    https://mpluseditions.fr/m-editions/8-stephane-dute-comme-une-revelation-la-vie-apres-la-mort-racontee-par-mon-ange-gardien-.html

    STÉPHANE DUTÉ COMME UNE RÉVÉLATION La vie après la mort racontée par mon ange gardien - mpluseditions.fr

    COMME UNE RÉVÉLATION La vie après la mort racontée par mon ange gardien

    Auteur : Stéphane DUTÉ.

    mpluseditions.fr