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  • Quand le PVDA (PTB) mobilise pour éviter qu'une église de Gand soit transformée en supermarché

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    Peut-être l'extrême-gauche sera-t-elle plus efficace pour protéger le patrimoine religieux que ne l'est l'autorité ecclésiastique ? 

    TEKEN DE PETITIE: SINT-ANNA IS VAN ONS!

    Het Gentse stadsbestuur wil de bekende Sint-Annakerk omvormen tot een Delhaize. Wij aanvaarden niet dat Gent waardevol historisch erfgoed te grabbel gooit. Wij vragen dat het stadsbestuur haar belofte nakomt en de beschermde Sint-Annakerk een culturele of gemeenschapsfunctie geeft, in overleg met de buurt. Gent is geen supermarkt, Gent is van ons.

    Deze actie werd al door 1,472 mensen ondertekend.

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  • Royaume-Uni : la pratique de l'avortement atteint des sommets

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    AVORTEMENT AU ROYAUME-UNI : DES CHIFFRES ALARMANTS

     de genethique.org

    Près de 200 000 avortements ont été pratiqués en Angleterre et au Pays de Galles en 2017, selon le ministère de la santé qui publie ces chiffres chaque année. Un taux à son plus haut niveau depuis 10 ans, et en augmentation de 4% par rapport à 2016. Selon les experts, les femmes avortent par manque de moyens pour garder leur enfant, en partie à cause du plafonnement des allocations familiales, un engrenage « cruel ».

    Parmi ces 197 533 avortements, 98% ont été financés par le NHS. Près de 5000 avortements ont été réalisés par des femmes ne résidant pas en Angleterre ou au Pays de Galles, majoritairement pour des femmes venant d’Irlande et d’Irlande du Nord. Neuf avortements sur dix ont été pratiqués avant la 13ème semaine de grossesse. Plus de 3000 avortements ont été pratiqués car l’enfant à naitre était susceptible d’être « gravement handicapé ».

    En parallèle le nombre de naissances a diminué de 2,5%, un chiffre au plus bas depuis 2006.

    Philippa Taylor, de l’organisation Chritian Medical Fellowship regroupant plus de 4000 médecins britanniques, a déclaré : « Ces chiffres sont alarmants. Près de 200 000 avortements par an, cela signifie que près d’une grossesse sur cinq au Royaume Uni se termine par un avortement. (…)Les femmes doivent comprendre que l’avortement n’est pas sans risque, qu’il peut y avoir de graves complications médicales et des problèmes psychologiques par la suite. (…) Les conséquences à long terme sur la santé d’une femme sont mal connues. Au lieu d'essayer de faciliter l'avortement, en supprimant les garanties médicales, le gouvernement devrait chercher un moyen de réduire cette épidémie ».

    Sources: Daily mail, Sam Blanchard (11/12/2018)

  • Les enfants nés sans vie pourront être reconnus : la loi est adoptée !

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    Du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Une belle victoire ! Loi adoptée les enfants nés sans vie pourront être reconnus

    Ce tableau offre une mise en perspective de la reconnaissance des enfants nés sans vie avant et après la nouvelle loi.

    La Chambre des Représentants a voté aujourd'hui (12 décembre), le projet de loi concernant l’acte d’enfant sans vie.

    Dorénavant, il sera possible pour les parents dont l’enfant décède entre 4 mois ½ (140 jours) et 6 mois (180 jours) après sa conception, d’enregistrer une déclaration d’enfant sans vie à l’état civil en mentionnant le prénom de leur enfant. Une reconnaissance symbolique et non pas juridique, mais importante pour aider certains parents à faire le deuil de leur enfant. Jusqu’à présent, l’inscription du nom et du prénom de l’enfant né sans vie n’était possible qu’après 6 mois de grossesse.

    Le Parlement vient enfin de valider un dossier négocié par le ministre de la Justice Koen Geens dans l’accord du gouvernement, mais pour lequel certains députés se sont investis depuis plus de 10 ans.

    Les opposants à la loi voient dans la possibilité d’inscrire l’enfant né sans vie à l’état civil et dans la reconnaissance symbolique de ces enfants, une menace contre l’avortement.

    Cette étape s’inscrit dans une trilogie de lois concernant les enfants à naître et leurs parents, qui aura décidément marqué la législature en cours : la reconnaissance de paternité à tout moment de la grossesse en février 2017, la sortie de l’avortement du Code pénal en octobre 2018, la possibilité d’inscrire plus tôt l’enfant né sans vie en décembre 2018.

    La loi laisse cependant perplexe devant l’ambivalence de la considération accordée à l’enfant à naître qui, entre 140 et 180 jours, ne pourra être inscrit que sous son prénom, alors qu’il pourra l’être avec son nom de famille aussi, au-delà des 180 jours. On peut se demander ce qui, scientifiquement et psychologiquement, justifie une telle différence.

  • Aider les séminaristes du Cameroun

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    Du site belge de l'Aide à l'Eglise en Détresse :

    Cameroun : Aide à la formation pour les séminaristes d’un diocèse affecté par le terrorisme de Boko Haram

    Le Nigeria n’est pas le seul pays terrorisé par Boko Haram. Le nord du Cameroun, frontalier du Nigeria, est également frappé par la violence de cette organisation terroriste islamiste. Alors que les attaques armées de Boko Haram ont diminué grâce à une offensive militaire conjointe de plusieurs pays africains, les attentats-suicides, les assassinats et les enlèvements continuent. Les gens vivent dans la peur.

    Le diocèse catholique de Maroua-Mokolo fait face à des défis majeurs : non seulement il est situé dans l’une des régions les plus pauvres du pays, mais il doit aussi accueillir un grand nombre de réfugiés nigérians et de déplacés internes camerounais.

    Toutefois, il y a aussi des nouvelles positives, car la foi des gens est intacte, et en dépit des craintes d’attaques, les fidèles affluent vers les églises. En même temps, le nombre de vocations est également en augmentation. Au séminaire, 32 séminaristes se préparent actuellement à être ordonnés prêtres. Il y a par ailleurs 18 garçons au « petit séminaire », et quatre autres qui suivent leur année de propédeutique en vue d’entrer au séminaire. Ces chiffres sont étonnamment élevés si on les compare au nombre de catholiques, qui ne sont qu’environ 84.000. Mgr Bruno Ateba Edo se réjouit de ces vocations, mais il a besoin d’aide pour pouvoir bien former ces jeunes. Il a demandé de l’aide à l’Aide à l’Église en Détresse et nous aimerions l’aider à hauteur de 27.000 euros.

    Votre don bénéficiera à ce projet ou à un projet similaire, et permettra le travail pastoral de l’Aide à l’Église en Détresse. Communication sur votre virement : 113-04-79 Cameroun

    Ensemble, avec vous, nous aidons ceux qui sont dans le besoin. Grâce à vous, l’Aide à l’Église en Détresse apporte un soutien aux fidèles partout où ils sont persécutés, opprimés ou en détresse, à travers des informations, des prières et des actions.

    Vous pouvez nous soutenir par :

    • un don pour un projet pastoral au numéro de compte :-

    - Belgique : IBAN : BE25 1960 0933 4182 et BIC : CREGBEBB (Aide à l’Église en Détresse a.s.b.l. sans attestation fiscale). En vertu de la loi Belge, les projets pastoraux ne sont pas admissibles à l’octroi d’une attestation fiscale.

    - Luxembourg : IBAN : LU66 1111 0261 9404 0000 et BIC : CCPLLULL

    • un don pour un projet social au numéro de compte IBAN : BE72 1960 1357 6116 et BIC : CREGBEBB (Aide et Espoir a.s.b.l. – avec attestation fiscale à partir de € 40,00). Ceux qui, au cours de l’année, ont fait un don de € 40,00 ou plus pour un projet social, reçoivent automatiquement une attestation fiscale l’année qui suit.

    Merci pour votre soutien !