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Il n'y a aucun "droit à l'avortement" en droit international

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Une tribune de Nicolas Bauer sur le site aleteia.org :

L’adhésion au « droit à l’avortement » est-elle devenue obligatoire ?

Comme chaque année le 28 septembre, le ministère des Solidarités et de la Santé célèbre la « Journée mondiale du droit à l’avortement ». Le saviez-vous ? Cette journée « mondiale » est une invention du gouvernement français, sous la présidence de François Hollande. Elle ne fait donc pas partie des plus de 140 « Journées mondiales » des Nations unies ; ainsi, le 28 septembre, il existe deux (vraies) Journées mondiales : l’une contre la rage et l’autre pour l’accès universel à l’information.

Aucun « droit à l’avortement » en droit international

Pourquoi aucune « Journée du droit à l’avortement » n’est-elle célébrée par les Nations unies ? Si le rôle de l’ONU est, entre autres, de promouvoir les droits de l’homme, l’avortement n’est pas considéré comme un droit par le droit international. Dans les deux Pactes internationaux de 1966, principaux traités de droit international des droits de l’homme, il existe un « droit à la vie », un « droit de se marier et de fonder une famille » ou encore une protection spéciale accordée aux mères « avant et après la naissance des enfants ». En revanche, aucun « droit à l’avortement » n’est mentionné. Un tel droit ne figure ni dans la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW), ni dans la récente convention d’Istanbul. Dix-neuf États, dont la Russie, les États-Unis, le Brésil, la Pologne ou encore la Hongrie, ont d’ailleurs rappelé le 23 septembre dans une déclaration en marge du Sommet pour le climat à l’ONU qu’il n’existait pas de « droit à l’avortement » en droit international.

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