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  • Ce Mercredi Saint, à 18H30, sur KTO : Messe chrismale célébrée par Mgr Aupetit

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    Ce soir, mercredi 8 avril à 18h30, la messe chrismale présidée par Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, sera diffusée en direct sur

    et

  • La Passion selon Charles Péguy

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    Samir et le Théâtre en Partance ont passé des heures à enregistrer, préparer, mettre en scène ce texte que vous écoutez. Si vous le voulez bien vous pouvez les soutenir en donnant ce qui vous semble juste ici: https://www.leetchi.com/c/soutenir-la... ou si vous le préférez via paypal https://www.paypal.me/theatreenpartance Le cadeau qu'il nous font n'a pas de prix, ayons la simplicité de soutenir le travail de ceux qui donnent tant. La vidéo restera en ligne jusqu'à la Veillée pascale. P. David Lerouge

  • Semaine Sainte en confinement; feuillet du Mercredi Saint (8 avril)

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  • Covid-19 : les chrétiens évangéliques de Mulhouse ont servi de bouc émissaire

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    De Paul Sugy sur le site du Figaro Vox :

    Jean-Pierre Denis: «Les évangéliques de Mulhouse ont servi de bouc-émissaire»

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le directeur de l’hebdomadaire La Vie estime que le procès intenté aux participants du rassemblement chrétien à Mulhouse, notamment par Jean-Luc Mélenchon dimanche, est injustifié, car dans le même temps les élections municipales ou les matchs de football étaient maintenus eux-aussi.

    7 avril 2020

    Jean-Pierre Denis est directeur de l’hebdomadaire La Vie et auteur d’Un catholique s’est échappé, paru aux éditions du Cerf.

    FIGAROVOX.- Peut-on rapprocher, comme l’a fait Jean-Luc Mélenchon dans l’émission «Le Grand Jury» dimanche, l’attaque de Romans et le rassemblement évangélique de Mulhouse, qui a sans doute contribué à répandre le virus en Alsace?

    Jean-Pierre DENIS.- La réponse se trouve dans la vidéo de l’émission. Quand on la regarde attentivement, on y voit un Jean-Luc Mélenchon curieusement déstabilisé par la question de Guillaume Roquette. Il semble s’embarrasser dans les ficelles de sa propre réponse, sentant bien qu’elle n’a aucun sens. Et elle en a d’autant moins qu’il confond encore une fois les «évanglistes», auteurs il y a deux mille ans des quatre évangiles, et les «évangéliques», une branche du protestantisme contemporain. Mais c’est troublant surtout pour qui croyait que Jean-Luc Mélenchon était de gauche. Si c’est toujours le cas, quitte à chercher des boucs-émissaires, il en trouverait de bien meilleurs parmi les élites qui se sont mis au vert ou au bleu après nous avoir invités à la distanciation sociale et au civisme. Le Guardian, par exemple, a publié une enquête montrant comment le rassemblement des hyper-riches dans le club le plus sélect du Brésil a diffusé le virus dans tout le pays. Voilà une info de gauche!

    Plusieurs commentateurs moquent avec mépris les responsables religieux qui voient dans cette épidémie un «signe de Dieu». Vous êtes un journaliste et essayiste catholique: jugez-vous, pour votre part, que l’on peut avoir une lecture spirituelle de la crise actuelle? Peut-on concilier cette approche avec une attitude raisonnable à l’égard des recommandations scientifiques?

    Penser que la science et la foi s’opposent, c’est insulter la mémoire de Louis Pasteur, ce fervent catholique qui, me semble-t-il, s’y connaissait vaguement en épidémies et même en vaccins. Et quant à se demander s’il s’agit d’un signe de Dieu… comment en douter, si l’on est croyant? Comment penser que le Dieu qui s’est fait homme puisse se désintéresser de l’homme? Le Deutéronome, les psaumes, les prophètes, la Bible entière ne parlent que de cela, jusqu’aux événements qui accompagnent la mort de Jésus, que commémorera cette semaine le Vendredi Saint. «L’Église a le devoir, à tout moment, de scruter les signes des temps, et de les interpréter à la lumière de l’Évangile», disait encore le concile Vatican II, en 1965. Ce qui était vrai en une ère gentiment optimiste ne peut pas l’être pas moins dans une épreuve comme celle que nous traversons.

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  • USA : vers une crise sociale et économique comparable à celle de 1929

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    De Vatican News :

    États-Unis: vers une crise sociale et économique comparable à celle de 1929

    Les États-Unis sont le nouvel épicentre de la pandémie. De Los Angeles à Miami essaiment un peu partout des hôpitaux de campagne. L’État de New York concentre le plus de malades, tandis qu’à Las Vegas, des parkings sont transformés en refuge pour sans-abris. Les trois quarts des Américains sont pour l’instant enfermés chez eux, annonçant une crise économique profonde, sertie d’un chômage galopant.

    Entretien réalisé par Delphine Allaire – Cité du Vatican

    Le confinement de la première puissance économique de la planète va engendrer un choc économique et social sans précédent. Le chômage, à 3% avant l’irruption de la pandémie, promet d’atteindre les 30 % pendant la crise, avance la politologue Nicole Bacharan, chercheuse associée à Sciences Po.

    De fait, en une semaine, 6,6 millions de nouvelles personnes se sont inscrites au chômage la dernière semaine de mars aux Etats-Unis, a annoncé le département du Travail. Le double de la semaine précédente - 3,3 millions d’inscriptions entre le 14 et le 21 mars (contre 282 000 la semaine d’avant). 

     Les faillites d’entreprises vont se succéder, et le colossal plan de stabilisation de Donald Trump à 2 000 milliards de dollars «ne suffira pas» selon elle. 

    Dans ce contexte,  le système de santé américain soumis «à un stress extrême» révèle au grand jour tous ses dysfonctionnements. Le bilan quotidien des victimes bat en effet des records jour après jour. 

    Nicole Bacharan , politologue franco-américaine, chercheuse à Sciences Po, décrypte les conséquences mondiales d’un effondrement américain, et compare la gravité de la crise à celle de 1929.  

    Entretien avec Nicole Bacharan

  • Invoquer le nom de Jésus pour obtenir la régression du covid-19 à Pâques

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    LE PROJET

    « NOTRE SECOURS EST DANS LE NOM DU SEIGNEUR... » PSAUME 123, 8

    Mouvement international de prière :

    Pâques approche et nous ne pourrons nous rassembler dans les églises ou temples à cause du Covid-19.

    En réponse à cela, nous appelons tous les chrétiens du monde entier, dans l'unité, à invoquer pendant 3 jours (Jeudi 9, Vendredi 10, Samedi 11 avril) le Nom de Jésus, à 15h, pendant 1 minute, afin de demander la délivrance de nos pays et une régression significative du Covid-19 à Pâques.

    Oui, « Notre secours est dans le Nom du Seigneur... » Psaume 123, 8.

    Nous croyons ! Pourquoi 15h ? C’est à 15h que Jésus rendit l’Esprit. Alors unissons nos voix, au dernier cri de Jésus sur la Croix.

  • Epidémie : pourquoi la Médaille miraculeuse de la Rue du Bac ?

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    Nous l'avions suggéré dès le 14 mars; Thérèse Puppinck y revient de façon plus approfondie sur Aleteia.org :

    La médaille miraculeuse, remède à une épidémie ?

    Depuis le début de l’épidémie, les Filles de la Charité et les pères lazaristes se dévouent sans relâche pour soigner les malades et assister les mourants. Quelques mois auparavant, une jeune novice, sœur Catherine Labouré, a reçu la grâce merveilleuse de voir la Sainte Vierge Marie, qui lui a confié une importante mission : répandre la dévotion à l’Immaculée Conception par l’intermédiaire d’une médaille. Celle-ci est frappée pour la première fois durant le mois de mai 1832 ; elle est distribuée par les Filles de la Charité, dans la région parisienne, dès la reprise du choléra. Les grâces sont immédiates et l’on constate plusieurs cas de guérisons inexpliquées, mais aussi des protections miraculeuses pour des personnes en contact direct avec les malades, ainsi que de spectaculaires conversions.

    Des guérisons corporelles et spirituelles

    Impossible de comptabiliser le nombre de miracles : les lettres de reconnaissance ne cessent d’affluer rue du Bac, lieu des apparitions. Dès le début de l’année 1833, la médaille est connue comme la « médaille qui guérit » ou « médaille miraculeuse de Marie conçue sans péché », ou tout simplement « médaille miraculeuse ». Les faveurs extraordinaires accordées par la médaille se propagent à une rapidité rarement égalée. Ces faveurs concernent des guérisons corporelles mais aussi de très nombreuses guérisons spirituelles. La diffusion si rapide de cette médaille est elle aussi proprement miraculeuse puisqu’à l’automne 1834, pas moins de 500.000 médailles ont déjà été frappées. En dix ans, entre 1832 et 1842, 320 millions de médailles miraculeuses sont distribuées dans le monde.

    La croix n’est jamais donnée sans le Christ, la difficulté n’est jamais donnée sans la grâce. Il a plu à Dieu d’utiliser l’épidémie de choléra pour diffuser, par l’intermédiaire de la médaille miraculeuse, un grand nombre de grâces, et pour faire grandir la foi en l’Immaculée Conception. La prière inscrite sur le revers de la médaille en témoigne : « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous ». Les grâces envoyées aux hommes sont symbolisées par les rayons qui sortent des mains de la Vierge représentée sur l’avers de la médaille. De toute épreuve librement acceptée et offerte, un grand bien spirituel peut sortir. Invoquée avec amour et confiance, la Sainte Vierge Marie est heureuse de répondre à l’appel de ses enfants. Plus que jamais, aujourd’hui, il est bon de se souvenir de l’efficacité de la médaille miraculeuse, quand elle est portée ou donnée avec une foi profonde, dans un esprit d’abandon et de confiance en l’amour et la bienveillance absolus de notre Mère du Ciel.

  • L'acquittement du cardinal Pell : analyse

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    De Jeanne Smits sur son blog :

    Le cardinal Pell acquitté à l’unanimité par la Haute Cour d’Australie, il est libre ! (Analyse)

    Le cardinal George Pell a enfin obtenu justice. Après 14 mois passés en prison à Melbourne, Australie, il a été immédiatement libéré à 12 h 30, heure locale, et conduit dans une maison religieuse, visiblement fatigué, les traits marqués. Les sept juges de la Haute Cour d’Australie – sise à Canberra – ont jugé à l’unanimité que le cardinal George Pell n’aurait pas dû être condamné pour agressions sexuelles sur mineurs sur la foi des témoignages qui ont conduit aux verdicts de culpabilité à son égard.

    Le communiqué de la Haute Cour indique que le jury de la cour d’appel de Melbourne aurait dû, en « agissant rationnellement au vu de l’ensemble des preuves », retenir le doute quant aux accusations. La Haute Cour a « ordonné que les condamnations soient annulées et que des verdicts d’acquittement soient prononcés à leur place »

    La décision, extraordinaire au vu de la pratique judiciaire australienne, témoigne dans sa radicalité de la mesure de l’injustice dont le cardinal Pell fut victime. On savait depuis le début de cette affaire que les accusations le concernant étaient des plus invraisemblables. Il s’est trouvé pris dans les filets d’une sorte de machination appuyée sur la mécanique d’un appareil judiciaire avide de le condamner.

    Il est rare qu’une affaire criminelle passe la barre du réexamen par la Haute Cour. en matière d’agression sexuelle sur mineur, il est même rarissime que celle-ci accepte de se pencher sur une condamnation par les juridictions inférieures. La Haute cour de Melbourne l’a pourtant fait. Elle aurait pu dès lors décider que le droit avait été bien appliqué, en rejetant la demande du cardinal. Elle aurait pu aussi renvoyer l’affaire devant une autre cour d’appel. Mais elle a choisi, et ce en un mois à peine après avoir entendu les arguments de la défense, de l’acquitter purement et simplement. Un tel désaveu de l’ensemble des juridictions inférieures, nous disait-on avant l’annonce de sa décision, serait inouï. Mais voilà : c’est fait.

    Et l’Alléluia que lancera le cardinal en cette nuit de Pâques qui approche sera sans aucun doute le plus beau de sa vie, lui qui depuis des mois est privé même de la possibilité de célébrer la messe.

    Le jugement de la Haute Cour expose l’ensemble de l’affaire en  rappelant d’emblée qu’elle reposait sur le témoignage de deux enfants de chœur qui affirmaient avoir été sexuellement agressés  à une date indéterminée entre le 1er juillet et le 31 décembre 1996. Il rappelle que l’un des accusateurs est mort avant que l’affaire ne vienne devant la justice mais qu’il avait eu le temps de répondre à sa mère n’avoir jamais en réalité été victime d’attouchements de la part du prélat.

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  • Jeudi Saint : Monseigneur Aupetit bénira la ville de Paris

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    De sur Riposte catholique :

    Jeudi saint, Mgr Michel Aupetit bénira la ville de Paris

  • Messes et célébrations (radio, TV, Internet) pour ce Mercredi Saint

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    C'est ICI : https://www.egliseinfo.be/horaires/%2523internet%20all-celebration

  • Ave Regina caelorum

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    Ave Regina est une prière catholique dédiée à la Vierge Marie, de Ave, « Salut », et Regina, « reine ». L'Ave Maria est beaucoup plus courant. C'est une des quatre antiennes mariales chantées dans l'office divin pendant toute l'année. Clément VI, pape de 1342 à 1352, l'y a ajoutée, en pensant à saint Éphrem et à Saint Jérôme. Elle est surtout priée de la fête de la présentation de Jésus le , jusqu'avant le jeudi saint. On lui donne une importance spéciale pendant le septuagésime, le carême et le temps de la passion. Son titre s'écrit parfois Ave Regina Cœlorum ou Ave Regina Cælorum en latin, ce qui signifie Salut, Reine des Cieux en français.

    Ses origines sont mystérieuses et son auteur est inconnu. On pense qu'elle remonte probablement au xiie siècle et certains disent que Bernard de Clairvaux ou Herman de Reichenau auraient pu la composer. Plus anciennement, c'était ce que l'on appelait une antienne de procession. Elle est mentionnée dans le Psautier de Saint-Alban. Le vers Dignare me laudare est particulièrement ancien. On l'a comparée à l'Akathistos, un hymne oriental. (source)

    Ave, Regina Caelórum
    Ave, Dómina angelórum,
    Salve, radix, salve, porta
    Ex qua mundo lux est orta.

    Gaude, Virgo gloriósa,
    Super omnes speciósa ;
    Vale, o valde decóra
    Et pro nobis Christum exóra.

    Salut, Reine des cieux !
    Salut, Reine des Anges !
    Salut, tige féconde !
    Salut, porte du Ciel !
    Par toi la lumière s’est levée sur le monde.

    Réjouis-toi, Vierge glorieuse,
    Belle entre toutes les femmes !
    Salut, splendeur radieuse,
    Implore le Christ pour nous.