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  • Retour sur La Marche pour la Vie du dimanche 24 mars à Bruxelles

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    Message du Comité organisateur :

    "Chers amis de la vie,

    Merci à tous ceux qui, par leur présence, ont contribué à perpétuer cette traditionnelle Marche pour la Vie malgré des informations contradictoires qui avaient circulé et malgré un temps glacial. La cause de la vie doit continuer à nous mobiliser...

  • Le pape : comme il est pénible de voir tant de paroisses fermées

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    Le pape a beaucoup insisté sur  la nécessité de "sortir de soi" pour apporter le Christ aux autres, comme Dieu a su sortir de Lui-même pour aller à la rencontre de l'homme.

    "Je suis heureux de vous accueillir à ma première audience générale", a dit le Pape François aux milliers de fidèles présents place St.Pierre pour participer à la première catéchèse de l'Evêque de Rome. "C'est avec gratitude et vénération -a-t-il poursuivi- que je prends le témoin des mains de mon prédécesseur Benoît XVI. Après Pâques, nous reprendrons les catéchèses de l'Année de la Foi. Aujourd'hui, je voudrais m'arrêter sur la Semaine sainte. Avec le dimanche des Rameaux, nous avons commencé cette semaine, centre de toute l'année liturgique, pendant laquelle nous accompagnons Jésus dans sa Passion, sa mort et sa résurrection".

    "Mais -a demandé le Pape- que signifie vivre la Semaine sainte pour nous? Que signifie suivre JésusSans titre.pngdans son chemin sur le calvaire vers la croix et la résurrection? Dans sa mission terrestre, Jésus a parcouru les routes de Terre sainte; il a appelé douze personnes simples pour qu'elles restent avec lui, qu'elles partagent son chemin et qu'elles continuent sa mission...; il a parlé à tous sans distinction, aux grands et aux humbles..., aux puissants et aux faibles; il a porté la miséricorde et le pardon de Dieu; il a guéri, consolé, compris; il a donné l'espérance; il a porté à tous la présence de Dieu qui s'intéresse à tout homme et toute femme, comme le fait un bon père et une bonne mère envers chacun de ses enfants. Dieu n'attend pas qu'ils viennent à Lui, mais c'est Lui qui est allé vers nous... Jésus a vécu les réalités quotidiennes des gens les plus communs...: il a pleuré devant les souffrances de Marthe et Marie pour la mort de leur frère Lazare...; il a aussi vécu la trahison d'un ami. En Lui, Dieu nous a donné la certitude qu'il est avec nous, au milieu de nous... Jésus n'a pas de maison car sa maison ce sont les gens, c'est nous, sa mission est d'ouvrir à tous les portes de Dieu, d'être la présence d'amour de Dieu".

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  • Une étude scientifique américaine sur les enfants ayant eu un parent homosexuel

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    L’étude de Mark Regnerus (US) sur les enfants ayant eu un parent homosexuel

     
     

    Concernant l’homoparentalité, une nouvelle étude de sociologie américaine nous met en garde contre l’usage abusif des science sociales dans le débat public, tout en offrant un bon aperçu de l’expérience d’avoir eu un parent homosexuel pour la génération aujourd’hui adulte. Cette étude va dans le sens de ce qui a longtemps été une évidence, et qui fait aujourd’hui l’objet de controverses : en moyenne, un enfant s’en sort mieux lorsque son père et sa mère restent mariés.

    Cette étude figure ici, sur le site de l'Alliance Vita

  • La nuit du pécheur et la douceur du pardon

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    Qu’il est beau d’être pardonnés

    Le Pape François a célébré dans la matinée du mardi 26 mars la Messe dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae. (...)

    En commentant brièvement le passage de l’Evangile de Jean (13,21 – 33.36 – 38) où Jésus parle de la trahison de Judas et rappelle à Pierre qu’il le reniera trois fois, le Pape a partagé avec les personnes présentes sa réflexion sur « deux mots » : la nuit et la douceur du pardon du Christ. Il faisait nuit lorsque Judas sortit du cénacle. Et le Saint-Père a souligné qu’il faisait nuit à l’extérieur et en lui. Mais, a-t-il rappelé, il y a une autre nuit, une nuit « provisoire » que tous connaissent et dans laquelle au-delà de l’obscurité il y a toujours l’espérance. C’est la nuit du pécheur qui rencontre de nouveau Jésus, son pardon, la « caresse du Seigneur ». Le Pape François a invité à ouvrir le cœur et à goûter la « douceur » de ce pardon. La même douceur qui s’est exprimée dans le regard que le Christ pose sur Pierre qui l’avait renié. « Qu’il est beau d’être saints – a-t-il conclu – mais aussi qu’il est beau d’être pardonnés ».

    Source : L'Osservatore Romano

  • Celui qui regarde le doigt qui montre la lune est un imbécile

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    Fausses notes ou fausses infos ? Sur son blog « le Suisse Romain », l’abbé Rimaz donne son point de vue sur les premiers comportements du nouveau pape :

    « Il est très visible que notre Pape est moins sensible aux soins des signes dans la liturgie. Un Pape ne peut pas refléter la totalité de l'Eglise, ni être Jésus Christ en personne.

    Lever les yeux vers le tabernacle

    Il est inutile de comparer les deux Papes [Benoît et François], car leur style et leur personnalité sont différents, avec pourtant la même foi, le même amour pour Dieu. Le Pape est la pointe blanche de la boussole qui indique le Christ. L'Eglise est le doigt de Jean-Baptiste qui désigne Jésus: "voici l'agneau de Dieu". Un proverbe chinois le dit bien: celui qui regarde le doigt qui montre la lune est un imbécile. 

    Deux rumeurs

    Deux rumeurs ont circulé à propos du nouveau Pape:

    - la première, sans doute en provenance des milieux traditionalistes, a prêté à Mgr Guido Marini la phrase suivante, lorsqu'il a voulu revêtir le Pape de la mozette, habit rouge aux bords blancs: " vous le mettez, le carnaval est terminé". Andrea Tornielli (via John Allen) dément ses propos. Le Pape François a simplement dit à l'humble serviteur de la liturgie, le maître des cérémonies: "je ne préfère pas". 

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  • France : gouverner sans écouter ?

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    Sur leur blog, les Padre commentent ce mot de Mgr Podvin selon lequel on ne peut gouverner sans écouter :

    ON NE PEUT GOUVERNER SANS ÉCOUTER !

    Ce sont les mots prononcés par Mgr Podvin, porte-parole des Evêques de France, au soir du dimanche 24 mars. Ces mots résonnent comme un avertissement solennel lancé au gouvernement et au Président de la République. Pourquoi ?

    Comme prêtres, nous ne rêvons pas de mettre le pouvoir en difficulté : l’Eglise a toujours encouragé ses fidèles à reconnaître l’autorité légitime en place et à se comporter en citoyens exemplaires. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait même prier solennellement pour ceux qui nous gouvernent. Mais comme prêtres, avec nos évêques, nous sommes inquiets pour notre pays.

    Inquiétude

    Le débat ne nous fait pas peur. Il est légitime. Nos évêques l’ont demandé à plusieurs reprises. Non pas un débat partisan (parfois de nuit) ou des auditions truquées, mais des Etats Généraux de la Famille qui nous auraient permis d’approfondir tous ensemble, citoyens croyants et non-croyants, ce thème essentiel pour la vie de notre pays.

    Lire la suite sur le padreblog

  • Le portrait de Pierre Chaunu brossé par Philippe Levillain

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    Dans notre civilisation caractérisée par un phénomène d'accélération vertigineux, on risque d'oublier des disparus dont l'oeuvre mériterait pourtant de rester en mémoire et de nourrir notre réflexion. Tel est le cas de celle de l'immense historien que fut Pierre Chaunu. Un hommage en forme de "notice" vient de lui être consacrée par Philippe Levillain à l'Académie des Sciences morales et politiques, le 18 mars 2013 :

    ... Avant de proposer une biographie historique d’un des « Monstres sacrés » de l’Histoire au XXe siècle- j’emprunte à Jean Cocteau l’expression qui désigne les grands acteurs de grandes rôles –, je voudrais esquisser un portrait de l’homme, de l’homme Pierre Chaunu, encore si proche pour sa famille, laquelle partage volontiers sa mémoire avec celle de ses contemporains, attristés encore par cette disparition qui s’appelle la mort. La mort qui fut au cœur vivant de Pierre Chaunu la voix permanente de l’Espérance, la mort qui fut pour lui au commencement. « À 40 ans - a dit Kipling - un homme est responsable de son visage ». A fortiori l’est- il ensuite, quelques effets trahissant le temps qui ne suspend pas son vol. On eût dit que la stature habitée par Pierre Chaunu était taillée dans le noir granit du Sidobre. Elle portait un visage impérial digne de figurer au Palazzo Altemps à Rome, éclairé, si l’on peut dire, par un regard inquisitorial, mystérieusement porteur d’une promesse de douceur. La bouche ne démentait pas une certaine distance, boudeuse parfois : celle d’une certitude acquise, inaccessible et peu discutable. Mais cette prise instantanée du visage fige un orateur immobile qui était dans la vie un acteur aux mains agiles, aux bras expressifs et aux yeux sévères, quelquefois ourlés par la lumière rase de larmes retenues.

    Pierre Chaunu se défendait contre lui-même. Acteur, il l’était dans une étonnante harmonie entre la voix et le geste. Il savait utiliser son grand galop chromatique. Le regard ne démentait jamais ce que la voix affirmait, prétendait, contestait. Mais cette voix s’exprimait sur deux registres : celle de la conscience de l’âme, douce, mélodique, accueillante ; celle du corps, voix des passions irrépressibles, fulgurantes, proches de celle du devin transporté. ...

    A lire sur le site de l'Académie

  • La lettre d'un pape, contemporain de François, à son successeur

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    15-g.jpgNous la découvrons sur le site du diocèse de Lyon (Pierre Durieux) :

    Et sur ces pierres...

    Moi, Lotario di Seni, Innocent III, pape de l’Église catholique et romaine, écris cette lettre à l’attention de mon successeur, et des successeurs de mon successeur.

    En ce moment, je dors mal. Depuis que j’ai vu en rêve François d’Assise soutenant la basilique Saint-Jean de Latran qui menaçait de s’effondrer. Moi qui ai pourtant reçu mission, comme successeur de Pierre, d’être le socle sur lequel le Christ bâtit son Église, j’ai vu ma cathédrale en ruine et celui qui la « sauvait », c’était lui, François Bernadone, le pauvre d’Assise.

    Il faut dire qu’il avait lui-même entendu l’appel de Jésus : « Va reconstruire mon Église ». Il avait d’ailleurs commencé son travail en prenant cet appel au pied de la truelle, comme maçon. Mais il comprit assez vite que cette invitation devait s’offrir les dimensions du monde et de l’histoire.Frappé par ce songe, j’ai validé du bout des lèvres la première règle rédigée par François, régissant sa fraternité naissante.

    Moi, dont les historiens retiendront une papauté forte et centralisée, une curie puissante, les états pontificaux, mon travail pour l’unité des Églises d’Orient et d’Occident, mais aussi la quatrième croisade et le sac de Constantinople, le quatrième Concile de Latran, moi, je veux te dire que tout cela, non, tout cela n’est rien sans l’Évangile.

    Tu es pape ? N’oublie pas le message de François : La paix. L’imitation de la pauvreté du Christ. L’amour des pauvres. La fraternité universelle. L’amour de la création. Le dialogue interreligieux. La louange. La confiance. La joie parfaite !Oui, je veux te le redire, cher ami qui viendra après moi s’installer sur le même siège que moi : des soucis tu en auras. Mais souviens toi qu’un jour, François d’Assise a rencontré le pape. Depuis, je me suis dit que c’est lui, François, qui pourrait être à ma place. Un jour, peut-être, un pape se réclamera de François d’Assise…

    Alors, il cheminera, comme François, l’itinérant. Il édifiera, comme François, le re-bâtisseur. Il confessera Jésus, et Jésus Crucifié, comme François, le stigmatisé.

    Le poverello m’a demandé la permission d’aller sur les chemins. N’oublie pas de mettre tes pas dans les siens.

  • Un groupe pour écouter et aider les infirmie(e)s et les professionnels de la santé confrontés à des questions éthiques

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    N’y a-t-il pas de plus en plus d’infirmières qui sont mises sous pression face à des demandes d’avortement ou d’euthanasie ?

     

    Certaines ne savent pas, en tant que chrétiennes, où et comment en parler.

     

    Un groupe est lancé par une infirmière bruxelloise et par une femme médecin.

     

     

    BIF

     

    Bioéthique (In) Formation

     

     

    FORUM D'ECHANGE ET DE FORMATION ADRESSÉ À DES INFIRMIÈRES ET PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ

     

    RÉFLÉCHIR? PARTAGER? SE FORMER?

     

    Si tu es infirmier(ère)...

     

    Si tu aimes la vie...

     

    Si tu veux la défendre...

     

    Si tu as des difficultés ou des questions éthiques dans ton travail...

     

    Si tu veux approfondir la façon de t'engager pour la vie, avec d'autres infirmiers et soignants...

     

    ALORS... ce groupe s'adresse à toi. Viens nous réjoindre!

     

    Pour toute question ou renseignement pratique:

     

  • Moment crucial pour le mariage et la famille aux Etats-Unis

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    Dans Le Figaro : la Cour suprême est invitée à se prononcer sur ce sujet qui divise en profondeur la société américaine.
    Comme en écho au débat qui déchire la France, la Cour suprême des États-Unis s'empare de la question du mariage gay. Sur deux jours d'affilée, ces mercredi et jeudi, sous le regard attentif de milliers de manifestants, les neuf juges qui tranchent sur la constitutionnalité des lois examineront deux recours relatifs à ce sujet sensible, qui divise toujours profondément la société.

  • Se mobiliser pour l'embryon humain

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    Embryon d’Europe

    Par Tugdual Derville (Alliance Vita)

     

    Utilisant une toute nouvelle procédure de démocratie participative, une pétition internationale lancée dans les 27 pays européens pour défendre l’embryon humain démarre en France.

    C’est une « initiative citoyenne » internationale. Elle est dénommée « One of us » (Un de nous). La Fondation Jérôme Lejeune et Alliance VITA se sont associées pour la porter en France, tout en s’engageant à y impliquer d’autres associations. La pétition demande principalement à l’Union Européenne de ne plus financer la recherche impliquant la destruction d’embryons humains. Elle s’appuie sur un instrument de « démocratie participative » qui vient d’être mis en place pour rapprocher les institutions européennes de ceux que, de plus en plus, elles gouvernent.

    L’enjeu est simple : recueillir avant fin octobre 2013 un million de signatures provenant d’au moins 7 des 27 pays de l’Union Européenne. La procédure de recueil et de validation des voix obéit à des règles contraignantes avec, notamment, un numéro de pièce d’identité pour chaque signataire et la garantie que ses coordonnées ne seront aucunement utilisées à une autre fin. La pétition Un de nous a été déposée très tôt, dès le 11 mai 2012, par un groupe de personnalités, dont le Français Grégor Puppinck, mais il a fallu plusieurs mois aux diverses instances nationales pour préciser ces conditions du recueil des signatures et les décliner pour les deux modes possibles : formulaire à remplir par Internet ou à rassembler par courrier. Une signature s’apparente à un vote et obéit à des règles de confidentialité éprouvées.

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  • 8-12 avril : La Nuit des Témoins (Aide à l'Eglise en Détresse)

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    AED (France) Nuit des Témoins - du 8 au 12 avril 2013 -

    pour les chrétiens persécutés

    Pour la 5ème édition de la Nuit des témoins, l'AED vous invite nombreux à cette grande veillée de prière et témoignages pour les chrétiens persécutés. Cette année la Nuit des témoins se déplace dans cinq villes de France: Nantes, Metz, Caen, Lyon, Paris.

    Nantes, lundi 8 avril 2013
    Metz, mardi 9 avril 2013
    Caen, mercredi 10 avril 2013
    Lyon, jeudi 11 avril 2013
    Paris, vendredi 12 avril 2013