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  • Liège, 31 août-1er septembre : l'Eglise de Liège sera présente au Salon Retrouvailles

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    Communiqué :

    Salon Retrouvailles – Un stand "Eglise Catholique à Liège"

    Il y a peu, le pape François déclarait: « L’Église doit sortir d’elle-même vers les périphéries de l’existence. (…) Allez dehors, sortez! » Dans cet esprit, et pour la première fois, il y aura un stand "Eglise catholique à Liège" au salon Retrouvailles, ce samedi et dimanche au Parc de la Boverie à 4020 Liège, entre 11h et 19h. Ce stand est organisé par le Pastorale Urbaine, qui - sous les responsabilité des deux curé-doyens de Liège (rive-droite et rive-gauche) - a précisément pour objectif d'aller à la rencontre des Liégeois. (C'est dans cet esprit que la Pastorale Urbaine organise entre autre, chaque année, un chemin de croix dans les rues de la Cité Ardente).

    L'objectif du stand sera de présenter le catholicisme liégeois dans toute sa diversité (paroisses, mouvements, activités, etc.). Des bénévoles tenteront de répondre aux questions des visiteurs - qu'elles soient d'ordre philosophique ou très concrètes ( Comment préparer un mariage religieux ou un baptême? Ou trouver un groupe de prière? Qui visite les personnes isolées, etc.?"). Tout visiteur est bienvenu: jeune ou aîné, catholique ou non, croyant ou peu, pratiquant ou pas.

    Situé juste derrière le Musée d'Art Moderne (stand 233), le stand "Eglise catholique à Liège" aura pour voisin deux associations qui - depuis de nombreuses années déjà - promeuvent avec zèle et enthousiasme le patrimoine des églises ("Circuit des collégiales" et "Eglises du pays de Liège, ASBL").

    Si vous passez par le Salon Retrouvailles, venez nous rendre visite.

    Contact : Pour la Pastorale Urbaine – Doyen Eric de Beukelaer, e.debeukelaer@catho.be GSM: +32(0)474.35.90.27

  • Une bienheureuse exécutée par les Rouges espagnols

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    30 août : la Bienheureuse Maria de los Ángeles  Ginard Martí, martyre († 1936) (EAQ)

    María de los Ángeles  (au baptême : Ángela Benita Sebastiana Margarita), naît le 3 avril 1894 dans  la ville de Llucmayor, dans le diocèse de Majorque en Espagne.

    Elle était la troisième de neuf enfants, dans une famille profondément religieuse, de Sebastián Ginard García et Margarita Martí Canals. Son enfance se déroula à Llucmayor, Las Palmas de Gran Canaria et Benisalem, en raison des déplacements de son père qui était « Guardia civil ».

    Durant sa jeunesse à Palma de Majorque, où sa famille s'était installée à la recherche d'une vie digne malgré sa pauvreté, elle commença à travailler dans la broderie et la confection de chapeaux pour dames, se consacrant dans le même temps à une communion intime avec Dieu. Elle s'occupait également de ses frères les plus jeunes, les éduquant dans la religion et les formant à la connaissance de l'Écriture Sainte et de la vie des premiers martyrs de l'Église chrétienne.

    Elle ressentit très tôt la vocation religieuse, mais pour aider ses parents qui avaient besoin de son assistance économique elle retarda son entrée en religion. Ce n'est que quelques temps plus tard, qu'elle entra chez les Sœurs zélatrices du Culte eucharistique, à Palma de Majorque, où elle pratiquait l'adoration de Jésus Sacrement, ainsi que la broderie des vêtements liturgiques. Elle s'occupa ensuite des fournitures et de l'administration de la communauté.

    A l'époque de la persécution religieuse en Espagne elle resta sereine, ayant pour seul désir d'accueillir la volonté de Dieu. Elle fut arrêtée le 25 août 1936 et tuée dans la nuit, ayant consacré toute sa vie à l'adoration du Très Saint Sacrement et donné le témoignage suprême de la foi au prix du sacrifice de sa vie.

    María de los Ángeles Ginard Martí a été déclarée Bienheureuse le 29 octobre 2005 au cours d’une cérémonie, célébrée dans la Basilique de Saint Pierre au Vatican et présidée par le card. José Saraiva Martins, Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le Pape Benoît XVI.

    Selon la demande de Joan Enric Vives Sicilia, évêque d’Urgell, et du card. Antonio María Rouco Varela, archevêque de Madrid, la mémoire a été fixée au 30 août.

  • Quand Benoît XVI inspire la NASA

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    pia08014-AEB1-full-reduced1.jpgLu sur le site de l’hebdomadaire « La Vie » :

    Le latin serait-il la langue de l'année ? Début 2013, le désormais pape émérite Benoît XVI lançait un compte Twitter en latin, depuis repris par son successeur François et fort d'un large succès. Puis en février, c'est dans cette langue que Benoît XVI a choisi d'annoncer sa renonciation, réservant ainsi le scoop de cette annonce aux seuls journalistes dotés d'une solide culture antique. Et voilà que la NASA décide de lui emboiter le pas en lançant à son tour une version latine (on devrait d'ailleurs plutôt parler de thème) de son projet HiRISE (pour High Resolution Imaging Science Experiment – soit Expérience d'images scientifiques en haute résolution).

    HiRISE photographie la planète Mars depuis la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter. Les clichés sont proposés sur internet depuis 2006 en dix langues, parmi lesquelles l'anglais, le russe ou même l'hébreux et l'islandais. Le projet s'est donc enrichi depuis hier d'un Tumblr en latin, ainsi qu'un compte Twitter, dont le tout premier message était sobrement : « Salve ! » (« Bonjour »).

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  • L'athéisme, une religion comme une autre ?

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    Lu sur 'fait religieux.com' :

    Le gouvernement américain assimile l'athéisme à une religion

    Un contribuable qui refuse une exonération et qui va en justice pour dissuader le fisc de lui en faire bénéficier... Telle est la posture originale dans laquelle se retrouve Annie Laurie Gaylor, vice-présidente d'un mouvement athée de Madison (Wisconsin), la Freedom From Religion Foundation (FFRF) - dénomination qui signifie non pas liberté religieuse mais liberté libre de toute religion.

    C'est The Tennessean, le quotidien de Nashville et alentours, qui raconte l'histoire. Motif du bras de fer entre la fondation et les pouvoirs publics : l'« exemption du presbytère », une disposition qui permet à tous les ministres d'un culte de retrancher leurs frais de logement de leur revenu imposable. Une faveur que la FFRF estime inconstitutionnelle et contre laquelle, en bonne militante qui a une douzaine de recours sur le feu, elle poursuit le gouvernement fédéral en justice.

    C'est ici que l'affaire prend un tour insolite. Dans leur réplique, les avocats du ministère de la justice, non seulement plaident le bienfondé du dégrèvement... mais entendent en faire bénéficier les plaignants ! L'athéisme est une position religieuse arguent-ils. Les responsables d'un mouvement athée sont donc éligibles à l'exemption du presbytère. Mme Gaylor et son conjoint, auxquels la FFRF alloue chaque année 15.000 dollars pour mettre un toit sur leur tête, sont donc invités à les défalquer à ce titre de leur revenu.

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  • Un autre Evangile ?

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    Lisez la Bible, vous y trouverez la Parole de Dieu. « Pas le temps ! ». Alors lisez au moins le Nouveau Testament ! « Pas le temps non plus ! » Juste un chapitre ? « Là, d'accord mais lequel ? » 1 Corinthiens 15. Pourquoi ? Parce qu'il contient l'essentiel de la foi chrétienne, le minimum de ce qu'il faut croire pour pouvoir se revendiquer disciple du Christ. Extraits : « Je vous rappelle, frères, l'Evangile que je vous ai annoncé et par lequel vous êtes sauvés si vous le retenez dans les termes où je vous l'ai annoncé. Je vous ai enseigné avant tout que le Christ est mort pour nos péchés, qu'il a été enseveli et qu'il est ressuscité le troisième jour, qu'il est apparu à Céphas puis aux douze... » Tel est le kérygme ; le coeur de la prédication apostolique. « Si les morts ne ressuscitent pas, Christ non plus n'est pas ressuscité et s'il n'est pas ressuscité, votre foi est vaine. Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes », poursuit saint Paul. Dans son épître aux Galates, le même apôtre nous met en garde : « Il y a des gens qui vous troublent et qui veulent altérer l'Evangile de Jésus-Christ. Mais, si nous-mêmes, si un ange du ciel annonçait un évangile s'écartant que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème ! Traduisons. Si un prêtre, un théologien, un évêque, voire même un pape, remettait en doute la rédemption ou considérait la résurrection de Jésus comme un événement non historique, non seulement nous avons le devoir de ne pas l'écouter, mais nous devons le considérer comme un apostat. Si demain quelqu'un vous laisse entendre que la résurrection des morts est symbolique, qu'elle est pour l'ici-bas plutôt que pour l'au-delà, envoyez-le promener avec ses hérésies. Entre saint Paul et ce faux-prophète, aucune compromission n'est possible. L'amour de la vérité et la fidélité au message apostolique sont à ce prix. L'avenir de l'Eglise et notre salut éternel aussi.

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Le pape aux jeunes : "faites du bruit, allez à contre-courant !"

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    Quelque 500 jeunes du diocèse italien de Piacenza-Bobbio ont rencontré le pape François à 16 heures en la basilique Saint-Pierre, ce 28 août 2013. Le pape les a longuement exhortés (source) :

    « Misez sur le grand idéal de faire un monde de bonté, de beauté et de vérité. Ceci, vous pouvez le faire : vous avez le pouvoir de le faire. Si vous ne le faites pas, c'est par paresse. Je voulais vous dire: Courage. Allez de l'avant. Faites du bruit. Là où sont les jeunes il doit y avoir du bruit... Continuez à avancer, dans la vie il y aura toujours des personnes qui vous feront des propositions pour freiner, pour bloquer votre chemin. S’il-vous-plaît, allez à contre-courant. Soyez courageux, courageuses : allez à contre-courant. On peut vous dire : ‘Pas cela, prends un peu d’alcool, prends un peu de drogue …’. Non ! Allez à contre-courant de cette civilisation qui fait tant de mal. Vous avez compris ? Aller à contre-courant, et cela veut dire faire du bruit. Aller de l’avant. Mais avec les valeurs de la beauté, de la bonté et de la vérité ».

  • Syrie : les Occidentaux sont-ils devenus les chiens courants du chasseur saoudien ?

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    Les vrais mobiles d'une intervention imminente des puissances occidentales sur le théâtre syrien ont peu de choses à voir avec les belles déclarations droitsdel'hommistes de nos dirigeants. Ainsi, en ce qui concerne les Etats-Unis, il faut y voir un beau succès de la diplomatie saoudienne, du prince Bandar el Sultan en particulier, comme on pourra le lire ici : http://www.algerie1.com/flash-dactu/bandar-ben-sultan-artisan-de-la-guerre-contre-la-syrie/. Pour ce qui est de la France, c'est aussi (et surtout ?) une question d'intérêt comme on pourra s'en rendre compte ici : http://www.latribune.fr/la-france-signe-un-contrat-de-plus-d-un-milliard-d-euros-avec-l-arabie-saoudite. où il est question d'un contrat d'un milliard d'euros passé avec l'Arabie Saoudite...

  • Syrie : donner une chance à la paix

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    Lu sur AED (Belgique) :

    LE PATRIARCHE MET EN GARDE CONTRE UNE INTERVENTION MILITAIRE EN SYRIE : « DONNEZ UNE CHANCE À LA PAIX ! »

    Par John Pontifex (Königstein, le 28 août 2013)

    Une intervention militaire de l’Occident contre le régime d’Assad en Syrie serait désastreuse, selon le chef de l’Église catholique melkite – qui affirme que personne ne peut connaître avec certitude l’identité des responsables des attaques chimiques de la semaine dernière.

    S’exprimant depuis le Liban après avoir accompli une mission pastorale dans la capitale syrienne ravagée par les combats, Grégoire III, patriarche d’Antioche de l’Église catholique melkite, a souligné qu’en dépit de la poursuite du conflit, les initiatives de réconciliation étaient toujours viables et qu’elles devraient être la priorité numéro un de tous les pays préoccupés par cette crise.

    Dans une interview accordée hier (mardi 27 août) à l’œuvre internationale de bienfaisance catholique « L’Aide à l’Église en détresse », le patriarche Grégoire III a fait part de ses doutes concernant la crédibilité de certains éléments de preuve trouvés dans les principaux foyers du conflit syrien. « Comment pouvons-nous savoir, à ce jour, qui étaient les auteurs de ces attaques chimiques ? », s’est demandé le patriarche.

    Critiquant la politique américaine à l’égard de la Syrie, le patriarche a tenu les propos suivants : « On ne peut pas accuser à tour de rôle le gouvernement et l’opposition. Il n’y a rien de tel pour attiser la violence et la haine. » « Voilà deux ans que les Américains enveniment la situation. »

    Tout en condamnant les attaques chimiques, le patriarche a exprimé ses inquiétudes concernant les combattants étrangers qui se rendent en Syrie – un problème aggravé, selon lui, par les cargaisons d’armes affluant dans le pays. Grégoire III a qualifié ces agissements d’« immoraux ».

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  • Syrie : mesure-t-on bien les risques ? (mise à jour 28/8 14H00)

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    Le cours des choses s’emballe et l’on s’attend à une intervention armée contre le régime syrien. Washington, Londres et même Paris donnent de la voix et il semble que le temps des avertissements soit déjà dépassé. Alors que la mission d’enquête de l’ONU chargée de vérifier si le gouvernement syrien est bien responsable d’actes de guerre où serait impliquée l’utilisation d’armements chimiques n’est pas encore parvenue à son terme, les préparatifs visant à une intervention semblent largement entamés.

    Une telle initiative de la part des nations occidentales est-elle justifiée et vraiment utile ? On peut tout de même se poser la question. Justifiée, on ne le sait pas encore ; il importe effectivement de ne pas se laisser manipuler par les forces d’opposition qui ont évidemment tout avantage à précipiter une telle intervention qui provoquerait la chute du régime de Bachar el Assad et leur ouvrirait toutes grandes les voies du pouvoir. Il importe également de ne pas faire sans sourciller le jeu de la Turquie d’Erdogan. Ce dernier semble en effet bien obéir à des mobiles religieux radicaux, non seulement dans sa politique intérieure mais aussi lorsqu’il invective le grand imam de l’université d’Al Azhar en l’accusant de collusion avec ceux qui ont déposé Morsi; l'affaiblissement définitif de son voisin syrien n'est pas non plus pour lui déplaire.

    Les expériences récentes devraient pourtant inciter le président Obama et le premier ministre Cameron à la prudence. On sait où a mené l’intervention contre le régime de Saddam Hussein en Irak et plus récemment celle qui a provoqué la chute de Kadhafi en Libye. On ne peut évidemment pas dire que la situation de ces pays soit satisfaisante même si les démocraties occidentales peuvent se féliciter béatement d’avoir fait tomber des dictatures. La situation dans d’autres pays où s’est déroulé le fameux « printemps arabe » n’est guère plus rassurante. L’Egypte est en plein chaos et la contestation menace les islamistes au pouvoir en Tunisie.

    Des voix se font pourtant entendre qui incitent à la modération, à commencer par celle du pape et des responsables des communautés chrétiennes du Proche-Orient. Ils savent qu’une intensification de la guerre et son élargissement à des puissances étrangères ne feront qu’accroître les souffrances des populations et ouvrir la porte à des factions qui rêvent d’imposer à la Syrie un ordre islamiste pur et dur. Ils plaident donc à juste titre en faveur de la négociation et du dialogue mais ces appels risquent bien de ne pas être entendus par des Occidentaux qui semblent déterminés à suivre, pour des raisons qui ne sont pas seulement désintéressées, une ligne politique qui les assure des sympathies d’autres états arabes acquis à l’islamisme. On peut craindre pourtant que le prix à payer par les populations concernées et par les minorités chrétiennes en particulier ne soit extrêmement élevé et l’on éprouve un malaise certain à écouter nos dirigeants occidentaux qui feignent l’indignation pour justifier leur stratégie de va-t-en-guerre irresponsables.

    Voir aussi : http://www.levif.be/info/actualite/international/syrie-les-attaques-chimiques-sont-un-coup-monte/article-4000384171801.htm?google_editors_picks=true

  • Quand la Contre-Réforme Catholique se reconnaît dans le pape François

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    IER130.jpgAlors que des esprits chagrins, dans la mouvance "catho tradi", se lamentent sur le style déconcertant du nouveau pape auquel ils préfèraient celui du précédent, un mouvement qui n'a jamais fait mystère de son opposition à la ligne réformatrice adoptée par l'Eglise depuis Vatican II et qui a contesté ouvertement les papes de l'après-Concile (à l'exception de Jean-Paul Ier) manifeste un enthousiasme sans bornes à l'égard du nouveau pape :

    "ON l’a comparé à une tempête : “ Un cyclone  nommé François ”, c’est le titre d’un livre d’Antonio Gaspari, directeur éditorial de Zenit : “ un ciclone di nome Francesco ”.

    Il ne pouvait mieux dire “ François ” est le nom d’un vent de Pentecôte, ouvrant une ère nouvelle :

    « Le 13 mars, un mois après la renonciation de Benoît  XVI, et après à peine deux jours de conclave, se présente au balcon de la basilique Saint-Pierre Jorge Mario Bergoglio. Argentin, fils d’immigrés italiens, premier pape d’Amérique latine, premier Pape jésuite, premier Pape à choisir le nom de François. Il est humble, simple, spirituel. Il parle peu mais ses paroles et ses gestes touchent les cœurs [...].

    « Son élection a été comparée à un cyclone [ comme « le violent coup de vent qui remplit toute la maison où se tenaient » les « frères », il y a deux mille ans à Jérusalem ; Ac 2, 2 ! ]. En cinquante jours de pontificat, il a battu tous les records de popularité. Les gens accourent et viennent de partout pour l’écouter. À l’audience du mercredi et au Regina Cœli, la place Saint-Pierre est bondée : la foule se déploie vers la via della Conciliazione, via di Porta Angelica et via Risorgimento. Les églises catholiques se remplissent. Baptêmes, confessions et conversions se multiplient partout dans le monde. Tous, spécialement les plus tièdes et les plus lointains, sont attirés par ce Pape qui vient “ du bout du monde ”.

    « Personne n’aurait pu imaginer une situation de ce genre. Pourtant, c’est ce qui est en train de se passer. Le pape François est en train d’écrire l’histoire. »

    C’est le monde qui recommence..."

    Les curieux poursuivront leur lecture ICI

  • Quand Benoît Poelvoorde confesse sa foi en Dieu

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    Sur le Salon Beige :

    Benoît Poelvoorde : "J'ai la foi, et je crois que Dieu est amour"

    L'acteur Benoît Poelvoorde est interrogé dans le Figaro. Extrait :

    P"Je me sens chrétien parce que c'est mon éducation, et je ne crois pas qu'on puisse renier les choses qui vous ont fondé. J'ai été élevé par une mère très croyante et par des curés qui ne m'ont pas battu ni traumatisé,contrairement à tous les clichés à la mode, qui m'énervent assez. J'ai la foi, et je crois que Dieu est amour. «Aimez-vous les uns les autres», c'est la phrase la plus culottée du monde, parce que si on se regarde, on n'est pas programmé pour s'aimer. J'ai tourné récemment un film de Xavier Beauvois, un sauvage plein d'amour pour les gens. Cela s'appelle La Rançon de la gloire, l'histoire vraie du vol du cercueil de Charlie Chaplin par deux malfrats. Tout ça sous la protection de sainte Rita, patronne des causes perdues: c'est un film suisse de Rita productions!"