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  • Un bébé de 19 semaines dont les photos changent le débat sur l'avortement

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    Alors que les milieux belges "pro choice" se désespèrent de ne pas trouver suffisamment de praticiens pour procéder aux avortements et que l'on voudrait repousser le terme légal des 12 semaines, la réalité d'un petit d'homme né à 19 semaines de grossesse devrait faire réfléchir :

    Le bébé dont les photos changent le débat sur l'avortement               (source : aleteia.org)

    Né à 19 semaines après une fausse couche, Walter n'a vécu que peu de temps hors du ventre de sa mère. Mais suffisamment pour susciter l'émoi et marquer des vies. 

    « Un amas de cellules »« un simple tissu »« juste un fœtus » : autant d'expressions couramment utilisées par les personnes en faveur de l'avortement pour décrire l'enfant à naître dans le but de diminuer l'humanité de ces nouvelles vies. Cependant, cette façon d'étiqueter le fœtus n'est pas ce qui le définit. En témoigne la vie de ce petit bébé.

    Né à seulement 19 semaines

    À l'été 2013, Walter Joshua Fretz naît après seulement 19 semaines de grossesse. Il ne va vivre que quelques minutes, mais sa si brève vie aura pourtant un impact durable. Les parents de Walter, Lexi et Joshua Fretz, déjà parents de deux filles, attendent avec impatience l'arrivée de leur nouveau bébé quand, peut-on lire sur le blog de Lexi, la future mère commence à souffrir de saignements, ce qui n'est pas nouveau pour elle durant une grossesse. Tout de même inquiète, elle finit par appeler une sage-femme qui lui conseille de se rendre aux urgences. La mère de famille est alors directement conduite à l'infirmerie.

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  • La radicalité du cardinal Sarah

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    Le cardinal guinéen, préfet de la Congrégation pour le culte divin, assume pleinement ses positions au risque de l’intransigeance, par fidélité au Christ qui nourrit sa profonde vie intérieure. Le correspondant du  journal « La Croix » à Rome a commenté hier son livre :

    DIEU OU RIEN.
    Entretien sur la foi
    Cardinal Robert Sarah avec Nicolas Diat,
    Éditions Fayard, 415 p., 21,90 €

    Pour ceux qui craindraient qu’un vide spirituel régnât au sein de la Curie romaine, le livre d’entretien avec le cardinal Robert Sarah les rassurera. Les plus de 400 pages d’interview menée par le spécialiste du Vatican, Nicolas Diat, permettent d’écouter un sage, pétri d’heures d’oraison, façonné par des jours de jeûne absolu et d’adoration, tout entier voué au Christ et à son Église. D’où le titre de l’ouvrage, tranchant comme l’épée :Dieu ou rien.

    Il résume la radicalité, qui habite tant le propos que le personnage de Robert Sarah. Celle d’abord qui ressort du parcours édifiant d’«un petit garçon d’un village pauvre», par lequel s’ouvre le livre. Le cardinal africain provient du fin fond de la Guinée, «du bout du monde» ou «des périphéries» pour reprendre une image bergoglienne. Il a été très marqué par des missionnaires français, les spiritains, qui ont évangélisé cette contrée reculée par le témoignage d’une foi que la croix du Christ n’effraie pas. Cet héritage sert de référence à travers tout le livre.

    Les parents de Robert Sarah aussi : «Ils sont vraiment le signe le plus profond de la présence de Dieu dans ma vie.» Ces cultivateurs n’ont pas hésité à laisser leur fils unique suivre sa vocation sacerdotale qui le conduisit loin de la case natale pour un séminaire en Côte d’Ivoire puis jusqu’à Nancy et au Sénégal.

    Ni l’éloignement familial, ni les heures au fond d’une cale d’un bateau pour Bingerville, ni les années lorraines sans pouvoir communiquer avec ses parents, ni encore les soubresauts politiques dans une Guinée se libérant de son colonisateur, n’auront raison de la vocation du jeune homme. Au bout de ce parcours du combattant, il sera le seul de ses compagnons de route à parvenir jusqu’à l’ordination, dans la cathédrale de Conakry, le 20 juillet 1969.

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  • Famille : déléguer des décisions aux conférences épiscopales est « anticatholique », selon le cardinal Müller

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    Le préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi affirme que si les conférences épiscopales ont une autorité sur certains sujets, elles ne constituent pas un magistère sans le pape et sans la communion avec tous les évêques. Bref, pas d’échappatoire pour le pape François. Lu sur le site de « La Croix » :

    « Déléguer certaines décisions doctrinales ou disciplinaires sur le mariage ou la famille aux conférences épiscopales « est une idée absolument anticatholique », affirme le cardinal allemand Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF).

    Dans un entretien à paraître dans l’hebdomadaire français Famille chrétienne du 26 mars, le cardinal revient sur les débats houleux du Synode des évêques sur la famille en octobre dernier, et réaffirme l’indissolubilité du mariage chrétien.

    À la question de savoir si certaines décisions doctrinales ou disciplinaires sur le mariage et la famille pourraient être déléguées aux conférences épiscopales, le cardinal allemand répond que « c’est une idée absolument anticatholique qui ne respecte pas la catholicité de l’Église ».

    « Les conférences épiscopales ont une autorité sur certains sujets, reconnaît-il, mais ne constituent pas un magistère à côté du Magistère, sans le pape et sans la communion avec tous les évêques ».

    Au mois de décembre, la Conférence épiscopale allemande avait adopté « à une large majorité », le rapport final de leur groupe de travail sur l’accompagnement des divorcés remariés prévoyant leur accès « sous conditions » aux sacrements de l’Eucharistie et de la réconciliation.

    Les propos du cardinal Müller évoquent également la tentative du diocèse de Fribourg-en-Brisgau en Allemagne, avant le Synode d’octobre 2014, de prendre ses propres mesures concernant notamment l’accès à la communion des divorcés remariés. Le Vatican avait aussitôt demandé de ne pas lancer d’initiatives à même de créer la « confusion ».

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  • BXL, La Viale, vendredi 27 mars : Chemin de Croix avec le Groupe Alleluia

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  • Bruxelles, 3 mai : "devenir homopapa pour les Européens"

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    stacks_image_3886.pngLe 3 mai à Bruxelles : "l’évènement le plus important dédié aux homosexuels désireux d’avoir des enfants ouvre ses portes au coeur de la capitale de l’Europe!"  (source)

    Pour la première fois à Bruxelles, les homosexuels (célibataires ou en couple) désireux d’avoir des enfants auront ainsi l’occasion de rencontrer lors de sessions collectives ou d’entretiens privés, et cela en un même lieu, un très large éventail d’organisations, d’associations locales et internationales [FR • BE • NL • US], des couples ayant réalisé leur projet d’adoption, des mères-porteuses, des experts, des centres médicaux, des activistes, etc. en vue de répondre à tous leurs questionnements et/ou recevoir un soutien dans leurs démarches.

    Cet évènement exceptionnel - qui a déjà été mis en place dans plusieurs villes, dont New York, San Francisco, Barcelone et Tel Aviv - est une initiative de l’association sans but lucratif MenHavingBabies (MHB) qui accompagne et soutient financièrement les homosexuels sur le chemin de la parentalité. Plus de 2.000 couples et célibataires à travers le monde, dont 500 européens, ont ainsi déjà pu bénéficier de leurs services et expertise. Les bénéfices de la journée seront reversés au Programme d’Assistance des Parents Gay (Gay Parenting Assistance Program / GPAP) en vue de soutenir et d’aider les candidats potentiels à l’adoption ou à la GPA en Europe. 

  • A l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy (Liège), le vendredi 27 mars à 20h : Projection du film « M et le 3e secret »

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    « M et le 3e secret » est une enquête originale sur les apparitions attribuées à la Vierge Marie au cours des deux derniers siècles. Ce film documentaire est l’œuvre du journaliste d’investigation Pierre Barnérias (RTL, France2, France3) qui cherche à dégager le fil conducteur du message délivré par la Mère de Dieu. Il montre de très belles images et des témoignages émouvants. Deux artistes célèbres, André Dussollier et Hélène Segara, prêtent le concours de leurs voix aux commentaires. C’est un film à découvrir avec discernement, mais à découvrir certainement. Il sera présenté, en avant-première, sur grand écran le vendredi 27 mars prochain, à l’église du Saint-Sacrement, Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Entrée libre. Renseignements : tel 04.344.10.89. email : sursumcorda@skynet.be

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    La bande-annonce :

  • Les vingt ans d'Evangelium Vitae

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    Jean_Paul_II_-_1(1).jpgDe zenit.org :

    Evangelium Vitae, une feuille de route, claire, forte, concrète

    Entretien avec le P. Lelièvre pour les 20 ans de la publication de l'encyclique 

    « Une Lettre lumineuse, prophétique », « une feuille de route, claire, forte, concrète » : c'est en ces termes que le prêtre français Hubert Lelièvre salue l'encyclique Evangelium Vitae, du pape Jean Paul, 20 ans après sa publication (25 mars 1995).

    Le P. Lelièvre, fondateur de la Famille Missionnaire l'Evangile de la Vie est aussi délégué épiscopal à la famille, dans le diocèse d'Avignon. Il répond aux questions de Zenit, sur son engagement au service de la vie et de la famille.

    Zenit - L'encyclique Evangelium Vitae de saint Jean Paul II, souffle ses 20 bougies. Quels sentiments vous habitent à l'occasion de cet anniversaire ?

    P. Hubert Lelièvre - D'abord un sentiment d'une immense reconnaissance pour ce document dont Jean Paul II lui-même dira qu'il est le cœur du magistère de son pontificat (14.2.2000). Une Lettre lumineuse, prophétique. Saint Jean Paul II a vu de l'intérieur que le combat de la vie et de la famille était central pour l'Humanité d’aujourd’hui, avec une force particulière pour nos générations confrontées à la méta-tentation. Une tentation supérieure à celle du péché originel, autour des questions de la vie et de la famille. Jean Paul II, visionnaire au sens propre du terme, voyait bien le combat entre la Vérité et le nihilisme qui allait se dévoiler, se déchaîner de plus en plus, exprimée par l'apostasie silencieuse de la foi et le relativisme. Avec Humanae Vitae et l’Évangile de la Vie, nous avons les deux poumons pour la formation et l'engagement au service de la Vie. La colonne vertébrale étant la loi naturelle, donnée au Matin du monde, et inscrite dans la conscience de chaque personne humaine. Oui, immense reconnaissance à l’Église, ma Mère, de nous donner une feuille de route, claire, forte, concrète.

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  • Synode : 500 prêtres de Grande-Bretagne incitent à la fermeté

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    Lu sur la Matinale de La Vie :

    500 prêtres anglais et gallois appellent à la fermeté sur la question des divorcés remariés

    Près de 500 prêtres d'Angleterre et des Pays de Galles exhortent les participants au synode sur la famille de rester fermes sur l'accès des divorcés remariés aux sacrements. Dans une lettre publiée ce mardi 24 mars par le Catholic Herald (en anglais), les 461 prêtres signataires estiment que la doctrine et la pratique doivent « rester fermement et inséparablement en harmonie ». Ils exhortent les participants au synode d'octobre prochain sur la famille d'émettre une « proclamation claire et ferme » confirmant l'enseignement de l'Église sur le mariage : « Nous souhaitons, en tant que prêtres catholiques, ré-affirmer notre fidélité indéfectible aux doctrines traditionnelles concernant le mariage et le vrai sens de la sexualité humaine, fondée sur la Parole de Dieu et enseignée par le Magistère de l'Église depuis deux millénaires ».

  • « Celui qui fait la Vérité vient à la Lumière » (Jn 3, 21)

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    abbelepivain-203x300.jpgLu dans « Famille chrétienne » :

     Voici la méditation du vendredi 20 mars de la Neuvaine pour la France, écrite par l’Abbé Le Pivain.

    À l’entrée de la quinzaine de la Passion, nous nous préparons à méditer cette phrase de Jésus devant Pilate interloqué, qui dit tout sur le sens de sa mission, laquelle culmine dans l’offrande de sa vie : « Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la Vérité. » (Jn 18, 37) L’on pourrait multiplier les citations où Jésus soit se présente lui-même comme la Vérité, soit exhorte ses auditeurs à la vérité.

    Dans une vie humaine, dans celle d’une communauté humaine, la perte du sens de la Vérité est un handicap terrible, qui précède aussi bien la décadence morale que l’aveuglement spirituel. Ce qui signifie qu’il ne suffit pas de « moraliser » – à force de slogans – ou de « spiritualiser » – à coup de sentiments – pour endiguer ce mouvement. « Plein de grâce et de vérité » (Jn 1, 14) : c’est la mise en valeur du primat de la grâce comme de la vérité qui seule peut (re)donner accès au sens de Dieu, comme à celui de l’homme, révélé sur le visage du Verbe incarné. De là peut jaillir une culture chrétienne authentique, avec cette paisible joie missionnaire qui en est la marque caractéristique.

    Voici le dilemme auquel est aujourd’hui confronté l’Occident en général, notre pays, la France, en particulier, qui de ce point de vue garde une vocation particulière. Saint Jean-Paul II remarquait, dans sa Lettre aux familles, en 1994 : « Qui pourrait nier que notre époque est une époque de grave crise qui se manifeste en premier lieu sous la forme d’une profonde ‘crise de la vérité’ ? »

    Dans un petit livre lumineux, intitulé Scandaleuse vérité, le Cardinal Daniélou analysait les causes de cette désaffection pour la vérité – nous sommes en 1961, mais un demi-siècle plus tard, ce diagnostic n’a rien perdu de sa valeur, bien au contraire. Aujourd’hui, ce n’est pas seulement la vérité, mais l’existence même du concept de vérité qui dérange ; parler de vérité, ce serait aller contre la tolérance ou la liberté de conscience.

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  • Ecologie : le projet d’encyclique papale en relecture

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    Lu sur le site de « La Vie » :

    « À la veille de la Semaine sainte, traditionnellement chargée, le pape François allège son agenda. Il profitera de cette semaine pour mettre la dernière touche à son encyclique sur l’écologie humaine qui sera publiée au début de l’été, a indiqué ce lundi 23 mars le bureau de presse du Saint-Siège.

    Si la traditionnelle audience générale du mercredi est maintenue ainsi que la messe quotidienne à la maison Sainte-Marthe, ses autres rendez-vous de travail sont suspendus, détaille le bureau de presse du Saint-Siège.

    Une semaine consacrée aux corrections

    Comme le pape l’avait lui-même indiqué dans l’avion qui le menait du Sri Lanka aux Philippines le 15 janvier dernier, il consacre ainsi « une semaine entière » aux dernières corrections de son encyclique, dont la traduction a récemment commencé. Cette traduction nécessite encore du temps et des retouches proposées par divers relecteurs, a indiqué le bureau de presse du Saint-Siège.

    Durant son vol Colombo-Manille, le pape avait confié qu’il souhaitait que ce document magistériel sorte avant le Sommet mondial sur le climat prévu à Paris en décembre prochain, afin qu’il contribue aux travaux préparatoires. Constatant l’échec du dernier sommet de Lima, le chef de l’Eglise catholique avait ainsi espéré « qu’à Paris les représentants soient plus courageux ».

    Néanmoins, de l’avis de certains observateurs, une publication de l’encyclique fin juin ou début juillet prochain reste tardive, les travaux effectués en vue du sommet mondial étant déjà entamés à ce jour.

    « Écologie intégrale »

    Le pape a envoyé une copie de son encyclique à la Congrégation pour la doctrine de la foi, à la deuxième section de la secrétairerie d’Etat et au théologien de la Maison pontificale « afin qu’ils vérifient bien que je n’ai pas dit de sottises », avait-il souligné en janvier.

    Lors d’un déplacement récent en Irlande, le cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical Justice et Paix, qui a contribué à la première ébauche de l’encyclique, a aussi précisé que le pape abordait dans ce document une « écologie intégrale prenant en compte le développement de la personne humaine » et qu’il n’écrivait pas dans le but de rendre l’Eglise plus « verte », relatait (en anglais) le National Catholic Reporter.

    Ref. Le pape François potasse son encyclique 

    JPSC

  • Famille, mariage, synode : un entretien exclusif avec le cardinal Burke

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Le cardinal Raymond Burke nous a fait l'honneur de répondre longuement à une interview à propos de la famille, du mariage et du synode. Moments intenses où nous avons perçu aussi bien la préoccupation de ce prince de l'Eglise devant une situation de confusion et d'imprécision doctrinale qu'il a lui-même qualifiée d'« absurde », que la sérénité et la confiance d'un homme de foi, fort, comme l'est toute l'Eglise, de la promesse que les portes de l'enfer ne prévaudront pas.

    Une partie de l'interview – à peu près la moitié, vous la reconnaîtrez par sa justification plus large – a été accordée à la revue Monde & Vie, qui l'a publiée début février. Le reste est inédit, et vous est spécialement destiné, chers lecteurs de ce blog. N'hésitez pas à la diffuser en invitant vos contacts à suivre ce lien :

    http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/2015/03/exclusif-un-entretien-inedit-avec-le.html

    que vous pouvez copier et coller. Merci à Jean-Marie Molitor, directeur de Monde & Vie, de m'avoir autorisée à mettre en ligne la partie de l'interview parue dans ses colonnes. Monde & Vie, c'est par , aussi bien pour s'abonner que pour acheter un numéro.

    L'entretien a été conduit en anglais, puis traduit en français par mes soins. Il est publié simultanément en langue anglaise sur LifeSiteNews. Les deux textes ont été « visés » par le cardinal Burke et reflètent donc exactement sa pensée dans sa langue maternelle comme en français, qu'il maîtrise parfaitement.

    Au cours des échanges en vue de cette double révision je me suis fait confirmer que le cardinal Burke n'a pas du tout annoncé, lors d'un entretien avec France 2 diffusé il y a plusieurs semaines, qu'il « résisterait face au pape François » si la règle sur le refus de la communion aux divorcés « remariés » devait être abandonnée, comme l'ont écrit de nombreux médias et blogs francophones. Le cardinal avait dit : « Je résisterai, je ne peux rien faire d'autre. » Le sens de son propos n'annonçait pas une quelconque désobéissance mais indiquait qu'il prendrait le seul chemin qu'il lui serait alors possible de prendre. Au demeurant, il terminait son propos en rappelant que « les forces du mal ne prévaudront pas ». – J.S.

    Lire l'entretien sur le blog de J. Smits