Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • La cause du cardinal Pell sera portée devant la Haute Cour d'Australie

    IMPRIMER

    Du site "Riposte catholique" :

    Des sources proches du cardinal George Pell, ont annoncé hier 26 août que le cardinal allait faire appel de sa condamnation auprès de la Haute cour d’Australie, la plus haute juridiction du pays, dont le siège est à Canberra. Les conseils du cardinal sont, en effet, convaincus que même si l’autorisation d’interjeter appel devant cette Haute cour est très rarement accordée dans des affaires judiciaires, la probabilité d’acceptation est très forte en raison de la controverse déclenchée par la décision non unanime – deux juges sur trois – de la Cour d’appel de Victoria. Le jugement de la Cour d’appel ayant été rendu le 21 août, les avocats du cardinal disposent de trois semaines pour interjeter appel auprès de la Haute cour.

  • Ceux qui ne voient que répression et déviances sexuelles dans l’Eglise passent à côté de leur sujet

    IMPRIMER

    Un entretien avec Bertrand Vergely paru sur Atlantico.fr :

    Qui sont vraiment les obsédés ? Pourquoi ceux qui ne voient que répression et déviances sexuelles dans l’Eglise passent à côté de leur sujet.

    Atlantico : Dans une récente édition d'un"Que sais-je?" (PUF) consacrée à l'Homophobie, les auteurs se posent à un moment la question de savoir  si l'Eglise aurait passé "sous silence les relations intenses - signe d'une homophilie latente - des figures bibliques, telles que Jésus et Jean, son disciple bien-aimé". Ce genre de déclarations - au-delà de l'aspect très insultant et bêtement provocateur qu'elles ont tendance à prendre - ne montrent-elles pas qu'il existe une réelle obsession des adversaires de l'Eglise et de la chrétienté pour la question de la sexualité chez les chrétiens ? Comment l'expliquer ? 

    Bertrand Vergely : La question de la sexualité et du christianisme est une question qui ne cesse de revenir sur la scène. Afin d’y voir clair, sérions les problèmes.

    S’agissant des relations entre le christianisme  et la sexualité, il importe de dire deux choses. En premier lieu, c’est vrai, en diabolisant la sexualité, le christianisme a raté celle-ci. Pire, il a fait peser sur elle une culpabilité qui a opprimé des générations d’hommes et de femmes.  La sexualité a été un péché qualifié le péché de chair.

    Toutefois, on l’oublie trop. Quand le christianisme envisage la relation entre l’homme et Dieu, à l’image du judaïsme, il l’envisage comme une noce et non comme une relation asexuée et dés-érotisée.  Témoin Le cantique des cantiques. Avant de parvenir à cette noce, l’homme est éveillé à la présence divine par un désir ardent, l’éros qu’il sent vivre en lui. Attiré par la plénitude, dans l’intime de lui-même, comme un amoureux l’est de l’être aimé, c’est ce désir ardent, cet éros, qui va le conduire aux plus hautes cimes de la contemplation. C’est dans ce contexte qu’il importe de lire aussi la relation du christianisme à la sexualité.

    Cette dernière est une énergie colossale, sa puissance étant capable, non seulement de procurer un plaisir paradisiaque, mais la vie et sa reproduction.  Quand cette énergie est rassemblée dans l’union d’un couple, elle donne l’extraordinaire relation de l’amour et, à travers elle, la relation inouïe du masculin et du féminin.  Quand cette énergie n’est pas rassemblée, explosive, elle fait des ravages en provoquant les plus grandes souffrances qui soient.

    On ne peut pas faire n’importe quoi avec la sexualité. Quand on rn fait, un simple produit de consommation totalement dépersonnalisé, non seulement on la gâche mais on se gâche. En 2017, 240 000 femmes ont été victimes ont été victimes  soit de tentatives de viol soit de viols, 155 000 enfants ont été violé, 4 millions de Français disent avoir été victimes d’inceste. Le christianisme a raté la sexualité. Mais la libération sexuelle ne l’a-t-elle pas également ratée ? Et ne l’a-t-elle pas raté dans des proportions bien plus fortes ? On  critique le christianisme qui n’a pas su penser la sexualité. Et on a raison. Mais, nous, savons nous la penser ? Savons nous initier les jeunes à l’amour ? N’y a-t-il pas, en cette matière, un vide accablant ?

    Lire la suite

  • Pérou : des archéologues découvrent le plus grand site de sacrifices rituels d'enfants

    IMPRIMER

    Du site de la RTBF :

    Archéologie: découverte du plus grand site de sacrifice rituel d'enfants au Pérou

    Une équipe d'archéologues a mis au jour les restes de 227 enfants sacrifiés selon un rituel de la culture précolombienne Chimu, présente sur la côte nord du Pérou actuel jusqu'à la fin du XVe siècle, a indiqué mardi à l'AFP l'archéologue Feren Castillo, une découverte d'une ampleur sans équivalent dans le monde.

     

    "Il s'agit du plus grand site de sacrifice d'enfants," a expliqué l'archéologue depuis la ville de Trujillo (nord ouest), précisant que les fouilles commencées en 2018 se situaient sur le site de Pampa la Cruz, dans la station balnéaire de Huanchaco, à quelque 700 kilomètres au nord de Lima.

    Les enfants, âgés entre 4 et 14 ans, ont été tués selon un rituel offert aux dieux de la civilisation Chimu censé apaiser leur colère, supposée responsable des catastrophes naturelles liées au phénomène climatique El Niño.

    Les archéologues ont d'ailleurs trouvé des preuves d'un épisode de pluies abondantes au moment du sacrifice.

    "Partout où nous creusons nous en trouvons un autre (enfant)", inhumé le visage tourné vers l'océan, a poursuivi le responsable des fouilles. Certains ont encore de la peau, des cheveux, et portent aux oreilles des bijoux en argent.

    Huanchaco a été le théâtre de plusieurs sacrifices massifs d'enfants sous l'empire Chimu. Un charnier de 56 enfants avait été exhumé en juin 2018 sur le même site de Pampa la Cruz et un autre de 140 enfants et 200 jeunes lamas avait été découvert en avril de la même année à proximité, sur le site de Huanchaquito.

    Le magazine National Geographic avait alors souligné le caractère exceptionnel de la découverte. "Huanchaco est définitivement le lieu choisi (par les chimus) pour perpétrer ces sacrifices," a conclu M. Castillo.

    L'empire Chimu a connu son apogée entre 900 et 1450 sur la côte nord du Pérou, jusqu'à l'actuel Equateur. Il prend fin en 1475, renversé par l'empire Inca, un cinquantaine d'années avant l'arrivée des premiers conquistadors dans la région.

  • Syrie : Mhardeh, ville chrétienne, libérée des djihadistes

    IMPRIMER

    D'Alix sur tvlibertes.com :

    Syrie : la ville chrétienne de Mhardeh libérée des djihadistes (vidéo)

     

    Les cloches sonnent à nouveau à Mhardeh ! Bombardée par les terroristes basés dans la région d’Idleb depuis 2012, la ville chrétienne de Mhardeh, symbole de la résistance contre le terrorisme, a été libérée des bombardements hier. Des scènes de liesse ont envahi les rues. SOS Chrétiens d’Orient est sur place.

    À la faveur d’une offensive menée depuis quelques jours dans la région d’Idleb, au nord de la Syrie, contre le groupe djihadiste Hayat Tharir Al-Cham (HTC), la ville chrétienne de Mhardeh a été libérée. Bombardée sans répit depuis 7 années et comptabilisant plus de 160 morts, civils et militaires, cette petite ville sur la ligne de front de la poche d’Idllib, était devenue le symbole de la résistance syrienne contre le terrorisme.

    Ce vendredi, des scènes de joie ont envahi la ville : les habitants de Mhardeh se sont rassemblés dans les rues pour fêter la fin d’un épisode terrible pour ces populations chrétiennes. Une messe d’action de grâce sera célébrée ce dimanche à Mhardeh, en présence des équipes de SOS Chrétiens d’Orient.
    Depuis 2013, les Forces de la Défense Nationale de Mhardeh ont vaillamment résisté aux assauts et bombardements. Jour après jour, des tirs de roquettes et des bombes sont tombés au hasard sur ce village et les environs, terrorisant ses 20 000 habitants.

    SOS Chrétiens d’Orient est intervenue auprès des habitants de Mhardeh tout au long de leurs épreuves, leur apportant du matériel de secours médical, des équipements pour la reconstruction,  des denrées alimentaires, des colis vestimentaires et le soutien moral et spirituel indispensable.

    L’association s’associe à la joie des habitants de Mhardeh et salue leur courage et leur foi inébranlables.

    SOS Chrétiens d’Orient via l’Observatoire de la Christianophobie

  • Abus sexuels : Benoît XVI répond à ses détracteurs

    IMPRIMER

    De Michel Janva, sur le site web « Salon beige »

    Benoît XVI calendrier-benoit4-610x630.jpg« Le Pape émérite a répondu dans la revue théologique Herder Korrispondenz aux critiques de ses notes sur la crise des abus sexuels dans l’Eglise. Benoît-et-moi a traduit 2 articles sur ce sujet :

    Le 11 avril 2019, Benoît XVI publiait ses Notes sur « L’Église et le scandale des abus sexuels » [cf. dossier sur Benoit-et-moi]. Il le faisait peu après la rencontre de tous les Présidents des Conférences épiscopales du monde convoquée par le Pape François. Les réflexions de Benoît XVI se situait sur un plan très différent de celles qui avaient émergé de la rencontre du Vatican. Il remontait dans le temps, au moment où, dans les années soixante, l’Église catholique assista à l’ »effondrement » de sa propre théologie morale. C’était un effondrement interne à l’Église, et non provoqué par des acteurs extérieurs, et c’était un effondrement théologique, dû à une nouvelle façon de faire la théologie que lui jugeait désastreuse.

    Le 27 août, Benoît XVI est revenu sur l’argument. Il l’a fait par le biais d’une courte note publiée dans la revue allemande Herder Korrespondenz, qui avait accueilli plusieurs contributions commentant ses Notes sur l’Église et les abus sexuels. Benoît XVI en a demandé la publication pour dire que dans un grand nombre d’écrits commentant son intervention, et en particulier dans ceux publiés dans la revue allemande, il n’est jamais fait mention de Dieu et donc le point central de ses observations de l’époque, qui voulait en fait mettre l’oubli de Dieu au centre de la crise, n’a pas été saisi.

    Dans ses Notes sur les abus, Benoît XVI avait écrit que la nouvelle théologie, contrairement à ce qui a été écrit dans Veritatis splendor de Jean-Paul II, affirmait que la morale se joue uniquement sur la balance des biens et qu’il n’existe pas de biens intouchables, de valeurs qu’il n’est jamais permis de sacrifier et qui dépassent la vie physique, comme les martyrs en ont témoigné. Et il conclut : « Dieu est plus grand que la survie physique. Une vie qui a été achetée au prix du déni de Dieu, une vie basée sur un mensonge final, est une non-vie« .
    Dans la pratique, la nouvelle théologie morale proche de l’ »effondrement », qui désormais nie l’existence d’actions devant toujours et en toutes circonstances être considérées comme mauvaises (comme l’avortement ou l’adultère), renie Dieu, c’est une morale a-théologique, au point d’arriver à la thèse selon laquelle l’Église n’a et ne peut avoir une morale propre. Dieu a disparu de l’horizon de la moralité, et la moralité aussi.

    « Un monde sans Dieu est un monde dénué de sens » où « il n’y aurait plus de critères du bien et du mal ». « Une société dans laquelle Dieu est absent – une société qui ne le reconnaît plus et le traite comme s’il n’existait pas – est une société qui perd son critère », « La société occidentale est une société dans laquelle Dieu est absent dans la sphère publique et pour laquelle il n’a plus rien à dire ». Et c’est pourquoi c’est une société dans laquelle le critère et la mesure de l’humain se sont perdus ». « Nous préférons ne pas parler de Dieu » et « Dieu est devenu le fait privé d’une minorité ».

    Des phrases telles que celles que nous venons de rappeler ne pouvaient laisser aucun doute sur le sens de cette intervention de Benoît XVI et sur la façon dont elle allait à contre-courant de la sécularisation de la théologie qui prévaut actuellement. D’où son regret, qui est aussi la confirmation d’un diagnostic négatif: les théologiens ne parlent plus de Dieu, ils professent une a-théologie. La mort de Dieu est évidente sur la scène publique, un fait qui doit être considéré comme dramatique mais au fond pas si nouveau. Que la mort de Dieu soit dans la théologie catholique suscite encore plus de douleur.

    Dans l’Instrumentum laboris du Synode sur l’Amazonie, il est très peu question de Dieu. La récente et fameuse interview du pape François à La Stampa parle de mille problèmes politiques mais ne fait jamais référence à Jésus-Christ. Dans la lettre des présidents des conférences épiscopales continentales pour le sommet de l’ONU à Katowice en octobre dernier, il était fait référence à la « Mère Terre » mais pas à Dieu. La doctrine sociale de l’Église, qui sert justement à parler de Dieu en public, est mise de côté et la pastorale sociale est un instrument pour résoudre de manière partagée les problèmes sociaux assumés uniquement sur le plan horizontal.

    Le point fondamental est théologique. Dans sa note sur Herder KorrespondenzBenedict dit que « le fait que la contribution d’Aschmann néglige le passage central de mon argument tout comme la plupart des réactions dont j’ai pris conscience me montrent la gravité d’une situation dans laquelle le mot Dieu semble souvent marginalisé dans la théologie ».

    C’est le fruit mûr et amer d’une longue saison théologique qui a choisi de ne plus parler de Dieu mais seulement de l’homme, pensant que Dieu aussi ne nous parle que dans l’homme. Qu’il parle indirectement à l’humanité et pas directement à son Église. Pour la théologie moderniste d’aujourd’hui, le premier à pratiquer une a-théologie serait Dieu lui-même. Il s’ensuit, par la force des choses, que l’Église aussi ne doit plus parler de Dieu, mais de biodiversité ou d’une société multi-religieuse, c’est-à-dire de l’homme et de ses problèmes.

    […]

    Dans sa réponse à Aschmann, Benoît définit sa critique comme « typique du déficit général dans la réception de mon texte ».

    « Je remarque que sur les quatre pages de l’article de Mme Aschmann, écrit Benoît XVI, le mot Dieu – dont j’ai fait l’aspect central de la question – n’apparaît pas une seule fois.

    […] Dans les réponses à sa lettre d’avril 2019, de nombreux théologiens allemands ont été particulièrement indignés que le pape Benoît XVI ait critiqué la révolution sexuelle des années 1960, qu’ils tiennent en haute estime. C’est donc aussi le cas du professeur Aschmann, qui rejette la critique du pape Benoît XVI de la révolution de 1968 et affirme que c’est plutôt l’encyclique papale Humanae Vitae qui est en cause. En refusant la contraception artificielle, Humanae Vitae a porté atteinte à la liberté de conscience de l’homme. Pour elle, la « vraie souffrance catholique » a commencé avec Humanae Vitae, car les gens n’aimaient pas que l’Église « s’immisce dans les pratiques sexuelles des époux ». Aschmann regrette l’attitude doctrinale « restrictive » qui est « éloignée de…la vie réelle ». Par conséquent, affirme-t-elle, l’Église a été incapable de répondre de manière juste aux « besoins sexuels » de certains de ses prêtres.

    Selon le professeur Aschmann, la crise des abus sexuels est donc « home made » par l’Eglise à cause de son enseignement restrictif sur la sexualité. D’après elle, beaucoup de couples ont pris leurs « distances » avec l’Église après Humanae Vitae. Dans son point de vue, c’est l’ « impossibilité de parler » de la sexualité, et la frustration conséquente qui ont poussé les prêtres à « chercher des contacts sexuels avec d’autres hommes et femmes, et aussi avec des enfants ».

    Aschmann est membre du Comité central des catholiques allemands, une importante organisation laïque qui réclame des femmes-prêtres, des prêtres mariés et un changement dans l’enseignement de l’Église sur la sexualité.

    Le Pape Benoît XVI, dans sa réponse à la critique d’Aschmann, lui rappelle qu’elle ne mentionne pas une seule fois Dieu, alors qu’il écrit qu’ »un monde sans Dieu ne peut être qu’un monde privé de sens ». Il cite aussi ses propres mots de la lettre d’avril, selon lesquels la société occidentale oublie Dieu et de cette façon, perd sa « mesure pour l’humanité ».

     » Pour autant que je puisse voir, dans la plupart des réactions à ma contribution, Dieu n’apparaît pas du tout, et donc ce que je voulais précisément souligner comme le point clé de la question n’est pas abordé ».

    Ce fait, poursuit le Pape retraité, « me montre la gravité d’une situation dans laquelle le mot Dieu, même en théologie, semble souvent marginal ».

    Ref. Abus sexuels : Benoît XVI répond à ses détracteurs

    Il est vrai que, dans sa  « Lettre au peuple de Dieu » du 20 août 2018, le pape François attribue les abus sexuels ecclésiastiques au « cléricalisme », qualifiant ainsi, sans autre précision, un abus de pouvoir dont, étrangement, il ne souffle mot de la cause première dénoncée par Benoît XVI : le  relativisme moral actuel de nos sociétés depuis les années 1960. 

     JPSC

  • KTO : le Sens de la vie, enseigner la religion en Belgique

    IMPRIMER

    L´enseignement de la religion occupe une place toute particulière dans les écoles belges, qu´elles soient publiques (réseau officiel) ou privées (réseau libre). Malgré les attaques dont il a été l´objet au fil de l´histoire, le cours de religion a gardé toute sa place dans le réseau libre et l´enseignement catholique n´a cessé de se développer partout sur le territoire belge. Il totalise à ce jour plus d´un millier d´écoles et une cinquantaine d´internats- Fait exceptionnel en Europe, L´enseignement catholique en Belgique représente environ 50% des écoles et scolarise la moitié des élèves belges appartenant à des profils sociaux, culturels et religieux différents. Comment l´enseignement de la religion catholique se vit-il au sein des écoles, en Belgique francophone ? Quels en sont les enjeux dans un monde en plein bouleversement, une société en quête de valeur et de sens ? Telle sont les questions auxquelles le documentaire se propose de répondre en allant, sur le terrain, à la rencontre d´enseignants et d´élèves de tous âges. UNE COPRODUCTION KTO/GRAND ANGLE PRODUCTION 2017 - Réalisé par Christine Stromboni

    JPSC

  • messe pour le dimanche de la rentrée: le 1er septembre 2019 à 10 heures, en l'église du Saint-Sacrement à Liège. Plain-chant, orgue et violons en trio.

    IMPRIMER

    L’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) offre chaque premier dimanche du mois une messe particulièrement soignée sur le plan musical.

    affiche_premier dimanche du mois.jpg

    Le dimanche 1er septembre à 10h00, pour la rentrée après les vacances d’étél’organiste Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers et les violoncellistes de l’Ensemble instrumental Darius interpréteront des extraits de sonates à trois du XVIIIe siècle illustrant l’œuvre religieuse d’Arcangelo Corelli (1653-1713).

    Le propre grégorien de la messe « Deus in adjutorium » du 12e dimanche après la Pentecôte est chanté par la Schola du Saint-Sacrement : il décline le thème de la supplication adressée au Seigneur pour obtenir son secours au milieu des dangers et des épreuves de cette vie. L’offertoire, tiré du livre de l’Exode, est exceptionnel par son intensité dramatique centrée sur la prière de Moïse en faveur de son peuple infidèle qui s’est éloigné de Dieu pour adorer le Veau d’Or. Le texte et la mélodie s’apaisent enfin dans la communion qui énumère avec reconnaissance  toutes les splendeurs de la création. Se chante également au cours de la liturgie du jour le Kyriale XI « Orbis factor » (XIVe s.) et le  célèbre « Salve Regina » » dédié à la Vierge Marie depuis le XIIe siècle.

    Extraits musicaux, ici :

    messe pour le dimanche de la rentrée: le 1er septembre 2019 à 10 heures, en l'église du Saint-Sacrement à Liège.  Plain-chant, orgue et violons en trio.

    Plus de renseignements : tel 344 10 89   ou email : sursumcorda@skynet.be

    ________________________________

    Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.

    Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    Restauration_depliant - Copie.jpgFaire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ?  Pour contribuer à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire un don fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.  

    Pour en savoir plus sur les enjeux de cette importante opération, cliquez ici : Restauration de l'église du Saint-Sacrement à Liège . L'évêque s'implique. Et vous?  

    Tous renseignements : Tel. 04 344 10 89.

    mag_juillet 2019-page-024.jpg

    JPSC

  • RDC : un pouvoir politique construit sur la fraude, la trahison et le mensonge avec l’accord tacite de l’Eglise et de la Communauté internationale

    IMPRIMER

    Lu sur le site de « La Libre Afrique » : 

    Fayulu 000_1ef1py_0.jpg« L’opposant Martin Fayulu, qui revendique la victoire à l’élection présidentielle en République démocratique du Congo, a dénoncé mardi l’omniprésence de l’ex-président Joseph Kabila dans le gouvernement de coalition annoncé mardi, sept mois après l’investiture de Félix Tshisekedi. « C’est Kabila qui a plus de 65% (des ministères) dans ce gouvernement. Et même ceux qui se disent du Cach (Cap pour le changement, coalition du président Tshisekedi), ne pourront rien faire parce qu’on leurs a mis des doublons », a-t-il déploré devant la presse.

    « C’est Kabila qui continue, c’est un affront au peuple congolais (…) Donc, nous devons refaire la lutte pour chasser Kabila. Mais, Kabila partira et je vous le dit », a-t-il affirmé à l’issue d’une convention de son regroupement politique, « Dynamique de l’opposition ».

    Fayulu revendique la victoire à l’élection présidentielle du 30 décembre et accuse MM. Kabila et Tshisekedi d’avoir « fabriqué » des résultats à ses dépens avec la complicité de la Commission électorale et de la Cour constitutionnelle.

    Son regroupement politique a d’ailleurs décidé de s’appeler « Dynamique pour la vérité des urnes (DVU) », estimant que le président Tshisekedi a été illégalement installé par l’ex-président Kabila, après ce « hold-up électoral ».

    Le Premier ministre a présenté lundi un gouvernement de coalition Tshisekedi-Kabila. La majorité des 66 ministères reviennent à des partisans de Joseph Kabila (Justice, Défense, Finances, Mines). Certains ministères sont doublonnés (Affaires étrangères et Coopération internationale).

    Les partisans de M. Fayulu ont appelé à l’organisation de manifestations populaires comme au Soudan et en Algérie, en vue de « réhabiliter le choix du peuple qui avait voté à plus de 62%, le président élu Martin Fayulu ».

    Les Etats-unis et la puissante Eglise catholique ont salué l’avènement de ce gouvernement ».​

    Ref. RDC: « C’est Kabila qui continue, c’est un affront », tempête Fayulu

    En 1960, les Congolais se posaient déjà la question de savoir si l’indépendance et la démocratie étaient un homme ou une femme. Y voient-ils beaucoup plus clair près de soixante ans plus tard ?

    La première visite officielle du Président Tshisekedi en Belgique est prévue du 17 au 20 septembre prochains.

    JPSC