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  • Témoignage d'une fondatrice d'un planning familial ayant pratiqué plusieurs centaines d'avortements, opposée au projet de loi

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    Témoignage d'une fondatrice d'un planning familial ayant pratiqué plusieurs centaines d'avortements, opposée au projet de loi

    Gynécologue-obstétricienne, créatrice de planning familial et militante dans les années fin 80/début 90, j'ai pratiqué des centaines d'IVG non thérapeutiques alors que c'était encore interdit, et ensuite, après l'adoption de la loi, en planning familial et à l'hôpital. 

    En conclusion, une petite histoire : à la naissance des centres de planning familiaux pratiquant des IVGs, notre motivation et credo en tant que jeunes médecins était : 'Nous sommes actifs.ves dans les centres de planning en espérant que la pratique de l'IVG disparaîtra rapidement grâce à une meilleure éducation sexuelle et un accès plus généralisé à la contraception'. 30 ans après... voilà où nous en sommes !

    Alors SVP. Mettons nos énergies à éduquer et prévenir plutôt que interrompre une grossesse à mi-parcours !

    Lisez son témoignage complet ici

    Dr. Arielle Nuchowicz, Gynécologue-obstétricienne

    Je consulte les 30+ autres témoignages

  • Ni messes, ni mariages, ni enterrements...

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    La peste de l'avortement fait bien plus de morts que le coronavirus. Nous suggérions sur ce blog que nos seigneurs les évêques frappent d'interdit un pays comme le nôtre pour protester contre cette peste tueuse d'enfants qu'est la pratique de l'IVG, au moment où nos mandataires politiques se proposent de la porter bientôt jusqu'à 18 semaines de gestation. Ainsi, il n'y aurait plus de célébrations dans nos églises, ni messes, ni mariages, ni enterrements... Une telle suggestion a paru totalement déraisonnable à certains de nos visiteurs qui ne se sont pas privés de l'exprimer dans leurs commentaires. Mais voilà que l'épidémie actuelle du covid-19 a conduit les évêques d'Italie à suspendre messes et célébrations dans toute la Péninsule, et cela pour plusieurs semaines. Une mesure d'interdit que personne n'aurait jamais imaginée dans ce pays où se trouve enclavée la résidence du pape. La preuve, s'il en fallait une, qu'une mesure suspendant toutes les célébrations peut bel et bien être envisagée, a fortiori lorsqu'il s'agit de la vie de milliers de petits d'hommes détruits chaque jour dans le sein maternel...

  • Coronavirus, du jamais vu : les messes et les funérailles sont suspendues dans toute l'Italie jusqu'au 3 avril

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    Coronavirus. "Messes et funérailles suspendues dans toute l'Italie", selon le communiqué de la CEI

    SOURCE Dimanche 8 mars 2020

    La reconnaissance du décret gouvernemental qui limite les cérémonies religieuses dans toute l'Italie, y compris les rites funéraires, jusqu'au 3 avril. "Souffrance, mais l'Église prend sa part pour la protection de la santé"

    Le communiqué de presse de la Coférence des Evêques d'Italie (CEI) suite aux nouvelles dispositions :

    L'Église qui vit en Italie et, à travers les diocèses et les paroisses, se rapproche de chaque homme, partage la préoccupation commune face à l'urgence sanitaire qui affecte le pays. Par rapport à cette situation, la CEI (...) a fait siennes, en les relançant, les mesures par lesquelles le gouvernement s'est engagé à lutter contre la propagation du "coronavirus".

    Le décret de la présidence du Conseil des ministres, entré en vigueur aujourd'hui, suspend "les cérémonies civiles et religieuses, y compris les funérailles" dans tout le pays jusqu'au vendredi 3 avril.

    L'interprétation fournie par le gouvernement inclut strictement les messes et les rites funéraires parmi les "cérémonies religieuses". C'est un passage très contraignant, dont l'accueil rencontre des souffrances et des difficultés pour les pasteurs, les prêtres et les fidèles.

    L'acceptation du décret est assumée uniquement par la volonté de prendre sa part, dans cette situation, pour contribuer à la protection de la santé publique.

    Le commentaire de Riccardo Cascioli sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    Stop aux messes dans toute l'Italie, comme un air de Chine

    09-03-2020

    La Conférence épiscopale italienne, à la suite du décret du gouvernement, a décidé de suspendre les messes avec participation populaire dans toute l'Italie jusqu'au 3 avril. Une décision sérieuse, sans précédent dans l'histoire, qui est un message clair de la non-pertinence de la foi pour la vie des hommes. La hiérarchie ecclésiastique est de plus en plus perçue comme dépendante du gouvernement, sur le modèle de l'Association patriotique des catholiques chinois. En fait, des prêtres "clandestins" surgissent également pour célébrer dans une église ou dans des maisons avec quelques fidèles de confiance, risquant ainsi les plaintes des fonctionnaires de l'État et d'autres prêtres.

    "Dieu n'est pas en mesure de répondre à nos besoins." Ainsi, dans l'éditorial publié hier, sœur Rosalina Ravasio a défini le message qui passe avec la décision de suspendre les messes avec assemblée, en raison du coronavirus. Et la question concernait encore les trois régions les plus touchées. Aujourd'hui, après la déclaration de la Conférence épiscopale italienne (CEI) dans laquelle la suspension des messes avec assemblées à travers l'Italie est annoncée, cet arrêt donne la mesure de la gravité de la décision prise.

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  • Alerte Fake News RTBF : Le délai légal moyen d’IVG est inférieur à 12 semaines dans les pays de l’UE (et non 18)

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    Alerte Fake News RTBF : Le délai légal moyen d’IVG est inférieur à 12 semaines dans les pays de l’UE (et non 18)

     

    La Belgique s'alignerait-elle sur les autres pays avec cette loi?
    Fake news! Bien au contraire, cette proposition de loi ne s’aligne pas sur les pays voisins, elle s’en écarte.

    Pourriez-vous s'il vous plaît liker et relayer ce visuel sur notre page facebook ?

    Le délai moyen pour l’IVG n’est pas de 18 semaines comme le proposent certains députés ! En effet, le délai légal moyen d’avortement est inférieur à 12 semaines. Seulement 6% des femmes des pays de l’UE ont un délai supérieur à 14 semaines.
    Pourquoi induire la population en erreur alors que la loi actuelle permet déjà 12 semaines ?

    Selon les données Eurostat: la presque totalité des habitants européens ont un délai d'avortements limité à 12 semaines de gestation. Les Pays-Bas font figure d’exception alors que 25 pays sur 27 limitent le délai à moins de 14 semaines. Les porteurs du projet de loi pour la libéralisation de l’avortement expliquent que la Belgique « doit s’aligner sur les pays voisins ». Il conviendrait alors de garder le délai des 12 semaines et non pas l’augmenter à 18 pour éviter une exception supplémentaire en Europe.

    Pourquoi Philippe Walkowiak, journaliste RTBF, relaie-t’il de fausses informations, répétant sans vérifier, sur la base de propos erronés de certaines politiciennes idéologues ? « Pourtant, il existe une majorité politique pour aligner en la matière la Belgique sur les pays voisins : fin de toutes les sanctions pénales, IVG jusqu’à 18 semaines, délai de réflexion ramené à 48h. » Publié le vendredi 06 mars 2020 à 10h11. Source de l’article de la RTBF : https://www.rtbf.be/info/article/detail_quand-la-formation-d-un-gouvernement-menace-les-droits-des-femmes?id=10448498

    Lisez tout l'article ici.
  • AbortusAvortement - Pourquoi ce professeur de gynécologie est-il contre ce texte ?

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    AbortusAvortement - Pourquoi ce professeur de gynécologie est-il contre ce texte ?

     

    Le professeur Bernard explique pourquoi il pense que ce projet de loi IVG va trop loin

    "Le dossier n’est vraiment pas bien complet de la part de ceux qui proposent cette loi, sur le plan des conséquences, qu'elles soient maternelles pour les grossesses suivantes et du côté technique des interruptions tardives. Peu de gens se rendent compte de l’avortement tel qu'il est pratiqué au-delà de 16 semaines en Hollande. Il consiste à dilater le col de l'utérus mécaniquement puis sortir le foetus en morceaux puisqu'à la taille qu'il a, il ne sait pas passer. On a du mal à avoir des précisions sur comment ils s’assurent avant le curetage que le fœtus ne vit plus. On n'a pas la réponse non plus sur ce que perçoit un fœtus à cet âge-là."

    Retrouvez sur la plateforme Abortus-Avortement des dizaines de témoignages de soignants et les lettres qu’ils ont envoyées aux députés depuis des semaines détaillant les raisons de leur profonde et légitime opposition à ce texte !

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