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Clin d'oeil - Page 8

  • Benoît XVI va "twitter"

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    S. Lemessin commente cette information qui fait actuellement le buzz sur le net : Le pape va twitter, mais…

    Ce que vous voyez sur cette image est le compte Twitter officiel de Benoît XVI, son compte perso, ouvert il y a quelque temps déjà, pour permettre au pape de twitter. Changement radical de conception pour celui qui écrit ses livres au crayon de papier ! J’ose imaginer qu’il ne twittera pas directement… C’est d’ailleurs confirmé par les infos qui nous sont rapportées. Le pape validera un tweet chaque fois qu’il publiera un message. Bon, toute cette info, vous pourrez la trouver directement sur le site de l’Agence I-Média, dont la dépêche a été reprise par de nombreux médias francophones.Ce qui me chagrine quelque peu dans cette histoire, c’est que j’ai l’impression d’un réel coup de pub, sans plus… Je m’explique : j’espère que vous avez déjà lu ou entendu Benoît XVI. On repère vite quand les textes sont de lui : il s’agit des plus denses, tout en restant accessibles. je n’ose imaginer ce qu’il serait capable de produire en 140 caractères. La force de la pensée du pape hyper concise ! Et pourtant, les tweets, selon l’article  seront écrits par la Secrétairie d’Etat :
  • Quand l'écologisme s'oppose à l'immigration...

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    L'écologisme est une curieuse idéologie qui peut prendre de singulières tournures. Ainsi, des écologistes suisses envisagent de limiter l'immigration dans la Confédération Helvétique pour protéger la nature : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/des-ecolos-suisses-veulent-stopper-l-immigration-pour-sauver-la-nature_1182474.html

  • N'importe quoi !

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    Il y a des inepties qui ne nécessitent même pas que l'on se fatigue à développer le moindre argument pour les réfuter tant l'idiotie dont elles procèdent est évidente. La dernière en date est parue sur la Libre :

    Croire au paradis ferait de vous un criminel

    La croyance au paradis «prédit de manière plus forte les taux de criminalité que des variables économiques comme le PIB ou les inégalités de revenus».

    Dieu est amour et miséricorde. La phrase est bien connue chez les chrétiens. Mais si Dieu pardonne tout, pourrions-nous alors tout nous permettre? Non bien sûr, et vous sourirez en lisant cette question bien simpliste et fort caricaturale. Et pourtant... Azim Shariff de l’Université d’Oregon et Mijke Rhemtulla de l’université du Kansas ont voulu en savoir plus, et ont décidé d'analyser le taux de criminalité dans les pays où l'on croit majoritairement au paradis, et dans ceux où l'enfer est une croyance plus partagée.

    Voulez-vous lire la suite : c'est ici

  • Humour franchouillard

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    A mourir de rire; on s'en relèverait la nuit pour en rerire encore! La mésaventure d'un candide couple belge répercutée sur des sites qui devraient avoir mieux à faire...

    Ils voulaient aller à Lourdes, ils se sont retrouvés... à Loudes

    Blague belge authentique

  • En caisses !

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    IMG_5341.JPGJusqu’il y a peu, j’ignorais complètement ce que sont des barlotières.

    Il a fallu qu’une inspection des vitraux de mon église paroissiale constate le déscellement de ces éléments indispensables au maintien des « lumières », comme disent les maîtres verriers, pour que j'en découvre l'existence et le rôle déterminant. Ces barres transversales, scellées dans les montants, assurent la fixation des verrières. Lorsqu’elles se déscellent, les panneaux ne peuvent que se détacher, choir et se briser. Il faut donc les démonter au plus vite, les déposer et les entreposer en espérant pouvoir, qui sait?, les restaurer avant de les remettre à leur emplacement initial. En attendant, le jour pénétrera crûment dans des lieux désenchantés tandis que les vitraux séjourneront « en caisses » dans l’espoir d’une hypothétique résurrection. C’est ce à quoi il a fallu se résoudre et à quoi procèdent en ce moment des mains expertes.

    Ces vitraux de mon église paroissiale, tellement beaux par ailleurs, racontent notamment l’histoire de Julienne, une sainte du XIIIème siècle qui a attiré l’attention sur l’absence, au calendrier liturgique, d’une fête en l’honneur de l’Eucharistie. Grâce à elle, la Fête-Dieu a été instituée au pays de Liège en 1246. En caisses, donc. Cela tombe pile au moment où « le Père Curé » de la paroisse, sans y être contraint d’aucune façon, a décidé d’interrompre les célébrations eucharistiques dominicales dans cette église. Curieuse coïncidence…

    La mise en caisses de ces vitraux devrait soulager également ceux dont les noms y sont inscrits et dont les armoiries scintillaient lorsque l’avare soleil de nos contrées en faisait vibrer les couleurs. Une vraie aubaine, ça ! Plus personne ne découvrira les noms compromettants de ces généreux donateurs, notables locaux, eux aussi « en caisses », et dont la descendance a, au fil du temps, délaissé cette église d’un quartier jadis prospère. Ca, c’est du pot, parce que, quand même, c’était gênant de pouvoir lire sur les vitraux la liste de ces familles aux patronymes illustres et qui ont désormais.. abandonné ?, oublié ? déserté ? apostasié ? (Biffer les mentions inutiles.)

    Les caisses seront donc entreposées dans un bas-côté de l’église, protégées, m’assure-t-on, par une palissade cadenassée, et par un filet métallique par-dessus. C’est plus sûr, on ne sait jamais… Ainsi peut-on se réjouir de voir ces vitraux séjourner dans d’excellentes conditions de sécurité. Bien plus que lorsqu’ils étaient en place et que de joyeux vandales leur lançaient des pierres ! A se demander si l’idéal, pour des vitraux, ne serait pas de sommeiller "en caisses". Une vraie parabole, en somme.

    Sacrées barlotières, va !

  • Une page d'anthologie de Christian Laporte...

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    C'est dans la Libre d'aujourd'hui et cela mérite le détour. Christian Laporte, plutôt que de nous entretenir du grand rassemblement des familles qui a lieu à Milan (50.000 participants) a choisi de faire la pub d'une réunion (autrement importante) convoquée par l'oracle de Malèves Sainte-Marie : "Ce vendredi, Gabriel Ringlet reçoit des maçons au prieuré de Malèves." (Nous annotons en rouge.)

    Il commente : "A n’en pas douter, l’initiative va faire jaser dans certains milieux obtus chrétiens :-) mais aussi maçonniques (car il y en a de part et d’autre !) (étonnant, des cathos obtus, ça on savait, mais des frères obtus, voilà qui a de quoi étonner!). Ce vendredi 1er juin, à 20h, au prieuré de Malèves-Sainte-Marie, l’abbé Gabriel Ringlet, ancien vice-recteur de l’UCL, recevra, en effet, une belle brochette de représentants de la franc-maçonnerie belge pour une soirée de dialogue entre des chrétiens et des maçons forcément ouverts. (c'est nous qui soulignons)

    Sont ainsi annoncés : Christine De Vos, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de Belgique; Jacques François, grand maître adjoint de la Grande Loge régulière de Belgique; Eddy Caekelberghs, premier grand maître adjoint du Grand Orient de Belgique; Jean Somers, ancien vénérable maître de la loge "Les Amis philanthropes no 2 Alpha" et, enfin, Carine Claeys qui se présente comme franc-maçonne. (Une belle brochette en effet...; et du côté "chrétien", l'histoire ne nous dit pas de qui il s'agit.)

    Pour l’organisateur, tout est parti d’une interrogation : "Chrétiens et francs-maçons sont-ils condamnés à se tourner éternellement le dos ou, au contraire, ont-ils bien plus de choses à se dire qu’on ne l’imagine si souvent ? Pourquoi la méfiance ? (Oui, pourquoi, en fait?) Pourquoi les condamnations ? (Bonne question!) Dans un monde en recherche de repères, n’est-il pas urgent que s’approfondisse un dialogue original et stimulant ?"

    Et Ringlet de constater que "les Loges comme les Eglises parlent de lumière. (finement observé! Le Christ, lumière pour les nations, et les prétendues "Lumières" du XVIIIe siècle). Ensuite, les unes comme les autres pratiquent des rites et utilisent des symboles parfois bien proches (quelle superficialité dans cette approche!) Sans oublier que certaines traditions maçonnes se réfèrent beaucoup à la Bible. La fraternité n’est-elle pas une expérience déterminante en maçonnerie ? N’est-elle pas une réalité fondamentale de l’Evangile ?" (Avec de tels amalgames simplistes, on peut déjà imaginer ce qui va se raconter demain...)

    L’animateur (le GO) du prieuré de Malèves ajoute que "né autour de la table (la table de l'Eucharistie?), le christianisme des origines se veut d’abord une fraternité. Qu’est-ce qui empêche dès lors la spiritualité chrétienne et la spiritualité maçonne de mettre certaines de leurs valeurs en commun ?" (Ben oui, entre frères...; on pourrait se demander pourquoi il a fallu attendre Ringlet pour poser d'aussi pertinentes questions; mais non, il n'est pas le premier puisque...) Ces questions, Gabriel Ringlet n’est évidemment pas le premier à se les être posées. On se souvient des réflexions du père Michel Riquet, sj en France ou de l’abbé Hubert de Thier, chez nous, notamment dans son remarquable livre "L’Eglise et le Temple"." (Il n'y a décidément que le cardinal Ratzinger et ses disciples "obtus" pour n'avoir rien compris à cette évidente convergence mise en lumière par ces esprits éclairés...)

    Mais cela fait aussi pas mal d’années que le journaliste-écrivain réfléchit à la question (on imagine!), ayant eu l’occasion de la soumettre à des assemblées chrétiennes et maçonnes (cela ne nous étonne évidemment pas). Mais il reste vrai que l’Art royal qu’est la franc-maçonnerie (mmm! quelle belle appellation, digne d'un vrai maçon!) continue à être vu négativement dans les hautes sphères ecclésiales (les vilains, comment peuvent-ils?). Ce qui n’a jamais empêché le cardinal Danneels (tiens, tiens...) d’entrer en dialogue avec des maçons à l’initiative notamment d’Hervé Hasquin. Dieu merci, dirait Ringlet (on s'attendrait plutôt à ce qu'il invoque le Grand Architecte).

    On peut bien sûr compter sur le journaliste de la Libre pour couvrir l'évènement comme il se doit. (L'utilisation de trois points de suspension de notre part est purement fortuite.)

  • Sur un blog, les dérapages d'un "journaliste chrétien"

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    Nous nous sommes hasardés à déposer un commentaire sur le blog "d'un journaliste chrétien". C'était au sujet des "indignés". Simplement pour faire remarquer que ce mouvement, ou plus exactement ce regroupement circonstanciel, ne rassemble pas que des amis bien disposés à l'égard du christianisme (on a pu le constater lors des JMJ) et qu'il nous paraît illusoire d'y voir un phénomène prophétique auquel il conviendrait de s'associer. Nous n'en avons pas la même perception que notre archevêque à l'égard duquel, tous nos amis le savent, nous éprouvons le plus grand respect. Devons-nous pour autant souscrire à chacune de ses appréciations, qu'il s'agisse de politique, de culture ou de société?

    Notre amie de Benoît-et-moi est allée sur ce blog "d'un journaliste chrétien" et y a découvert avec stupeur la hargne des propos stigmatisant "Alceste" (votre serviteur). Elle relève le fait sur son blog et le commente avec justesse.

    Nous ajouterons que chacun peut, sur notre blog, déposer son commentaire du moment qu'il ne soit pas injurieux. Nous y répondons le cas échéant en nous efforçant de ne pas manquer de respect à l'égard de quiconque. En revanche, sur le blog de ce "journaliste chrétien", les commentaires sont strictement filtrés et exclus dès qu'ils ne rencontrent pas l'assentiment du maître des lieux, ou alors, ils sont publiés avec un titre qui les disqualifie, "contextualisés" et assortis d'un commentaire désapprobateur. C'est ainsi que les épithètes à notre endroit ont volé : sectaire, intégriste, ultralibéral, vaniteux... Et son "fan-club", lui emboîtant le pas, de surenchérir : paranoiaque, tartufe, mal informé qui devrait fermer sa gueule (sic!)... Apparemment, ces appréciations ont agréé au censeur qui les a publiées sans rechigner, feignant de s'étonner ensuite de la virulence de ces propos, avant de nous accuser  de nous "emparer de la visibilité catho sur le Net, pour entraîner les catholiques vers l'ultracisme politico-religieux".

    Nous avons bien tenté de contacter personnellement "le journaliste catholique" dont nous avons l'adresse électronique mais il ne daigne même pas nous répondre.

    Tout cela, à notre sens, ne relève ni de la charité évangélique ni même d'une bonne déontologie. Nous n'en dirons pas plus pour nous en tenir à ce à quoi nous sommes invités, c'est-à-dire à la la correction fraternelle.

  • Le cardinal Dolan superstar ?

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    C'est ce que l'on pourrait penser en voyant le classement effectué par le magazine Time, ainsi que le relate Americatho

    Décidément, les USA, ce n'est pas l'Europe. On y trouve des prélats qui osent brandir l'étendard de la révolte face à des lois ou des décrets injustes, et des gens pour leur emboiter le pas.

  • Un poisson d'avril

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    Lu sur Nephtar et Nephtali : "La municipalité de Saint-Thibaud-en-Valois va organiser un référendum pour changer le nom de la commune pour s'adapter à sa nouvelle population sous couvert de laïcité" ... mais cette information, reprise sur divers sites et blogs, est parue dans "L'Echo Valésien", le premier avril !

    Lu ici : La municipalité de Saint-Thibaud-en-Valois va organiser un référendum pour changer le nom de la commune. Une procédure extrêmement rare qui provoque quelques remous parmi une partie de la population. En cas de victoire du oui, un deuxième référendum ouvert à tous les habitants sans condition de nationalité sera organisé pour choisir le nouveau nom de la commune. Le maire (sans étiquette), Pierre Berger, s’en explique. En quelques décennies, la population de la commune (5300 habitants) a considérablement évolué «sociologiquement et culturellement» précise-t-il. A l’exode rural s’est ajoutée la venue de nouveaux résidents qui ont modifié «les caractéristiques de la population» nous a déclaré le maire.

    Pragmatique, il estime qu’il ne faut pas rester figé dans le passé : «Il est évident qu’un nom de commune à connotation religieuse catholique n’est plus anodin à notre époque de grandes migrations. Il faut tenir compte de la sensibilité des nouveaux habitants». [...] «Beaucoup de mes administrés ne se sentent plus concernés par le patrimoine historique et culturel de la commune. On peut le regretter mais je dois en tenir compte» ajoute-il. Une des deux églises qui n’est plus entretenue sera probablement détruite faute de moyens pour la restaurer. Quant à l’autre, «elle ne se remplit qu’aux grandes fêtes religieuses» affirme-t-il.

    Certains habitants ne comprennent pas l’organisation de ce référendum. «Je ne peux imaginer ma commune avec un autre nom !» s’insurge Bernard, un agriculteur à la retraite installé à une table du bar-tabac de la place. Ses voisins acquiescent. «J’ai beau ne pas être croyant, je suis très étonné par cette proposition» affirme pour sa part Jacques, lui aussi natif du lieu.

    Le maire, lui, n’en démord pas et persiste. «Ce référendum aura lieu. Je ne suis pas un homme du passé. Le devoir d’un maire est d’anticiper, de prévoir et de préparer l’avenir. Pas de s’arc-bouter sur des survivances archaïques qui n’intéressent plus personne».

  • Ah, le pronom indéfini...

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    Il était une fois quatre individus qu'on appelait
    Tout le monde - Quelqu'un - Chacun - et Personne …

    Il y avait un important travail à faire,
    Et on a demandé à Tout le monde de le faire.
    Tout le monde était persuadé que Quelqu'un le ferait.
    Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.
    Quelqu'un se fâcha car c'était le travail de Tout le monde !
    Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire
    Et Personne ne doutait que Quelqu'un le ferait
    En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
    Parce que Personne n'avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire.

    MORALITÉ
    Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
    Il serait bon que Chacun
    Fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir
    Que Quelqu'un le fera à sa place
    Car l'expérience montre que
    Là où on attend Quelqu'un,
    Généralement on ne trouve Personne !

    CONCLUSION
    Je vais le transférer à Tout le monde afin que Chacun puisse l'envoyer à
    Quelqu'un sans oublier
    Personne...

  • Que penser d'un "sans C" censé être sensé ?

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    Un ami nous écrit, à propos de ce "C" qui fait problème, tant aux universités, qu'aux scouts ou à d'autres institutions qui faisaient jadis partie du "pilier chrétien" :

    Un nouvel épisode du feuilleton du 'C' en Belgique. Ou que faut-il penser d'un "sans C" censé être sensé ? http://www.enmarche.be/Actualite/Editos/Editos_2012/20120315_MC_est_ce_sense_ou_sans_C.htm Question : le MOC sera-t-il le dernier à maintenir son 'C', alors qu'il milite pour un droit à l'avortement inscrit dans les droits de l'homme ? De qui se 'moque'-t-on ? "

  • Sainte Catherine de Sienne à la Une sur Wikipedia pour la Journée de la Femme

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    "C'est Sainte Catherine de Sienne qui fait la Une de la page d'accueil de Wikipédia aujourd'hui. Chaque jour, en effet, les contributeurs de l'encyclopédie participative sont invités à voter pour choisir quel article, parmi les nouvelles entrées proposées, sera mis en exergue sur la page d'accueil. Le même contributeur, qui signe du pseudonyme de Babouba, a réussi de même à propulser Saint Jean de la Croix en Une... demain 9 mars.

    Source : Matinale chrétienne (La Vie)