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Solidarité - Page 8

  • RDC : Réflexion en marge de la prochaine visite du Roi au Congo

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    george-Forrest-690x450.jpgCongo, Zaïre, RDC : le nom du pays change et rechange, les chefs d’État passent, George Forrest reste et pour lui “La Belgique ne protège pas ses entrepreneurs au Congo”.  Entretien avec Olivier Le Bussy à Lubumbashi, lu sur le site de la Libre Afrique :

    « Même s’il est d’origine néo-zélandaise et possède un passeport belge depuis le mitan des années 1990, le nom de Georges Forest est indissociable du Congo et plus encore de la province du Katanga, au sud-est du pays, où il a vu le jour en 1940. C’est à partir de là qu’il a fait prospérer le groupe familial – créé par son père, Malta, et aujourd’hui dirigé par son fils également prénommé Malta – actif dans le bâtiment et les travaux publics, la construction, l’énergie, les mines, l’agroalimentaire… Étant l’une des plus grosses fortunes du continent africain, George Forrest reste un acteur économique important et un homme d’influence. Jadis dans le collimateur de la presse et des ONG, sans jamais qu’au final il ait été jugé coupable des faits qui lui étaient reprochés, l’homme met volontiers en avant ses nombreuses activités philanthropiques. Il est notamment à l’origine de la visite à l’Université de Lubumbashi du Dr Mukwege, dont il a tôt soutenu l’action, début mars dernier. Il avait à cette occasion accordé un entretien à La Libre dans son vaste bureau, décoré d’objets d’art et de souvenirs dévoilant des bribes d’une vie longue de 82 ans, pour discuter de l’évolution du Congo et de ses divers projets.

    Le pouvoir actuel a signé des accords pour récupérer des avoirs qui étaient entre les mains du businessman Dan Gertler, proche de l’ancien président. Que pensez-vous de ces accords ? Dan Gertler est-il toujours quelqu’un de très puissant en RDC ?

    ll a perdu beaucoup avec le départ de Kabila, mais je ne peux pas commenter des accords que je ne connais pas. Je pense que s’ils les ont faits, c’est qu’ils sont bons.

    Il y a actuellement de fortes tensions entre les Kasaïens et les Katangais. A quoi est-ce dû ? Comment éviter que cela dérape ?

    Ces tensions existent depuis toujours parce qu’il y a toujours eu beaucoup de Kasaïens aux positions clés, même au temps de la colonisation. Maintenant, ils débarquent au Katanga en raison des problèmes actuels au Kasaï. Cela irrite la population qui juge qu’ils viennent prendre la place des Katangais. Le gouvernement essaie de faire quelque chose pour développer le Kasaï et faire en sorte que les Kasaïens y restent mais il a peu de moyens et sa tâche n’est pas facilitée par tous les conflits et par les Chinois…

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  • Liège, 28 mai : Grande soirée de prière pour les malades

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    Communiqué

    Grande soirée de prière pour les malades à Liège

    Liège, le 23 mai 2022.

    Charis, le nouveau service unique pour le renouveau charismatique catholique voulu par le pape François, propose une grande soirée de prière pour les malades avec la participation de Damian Stayne.

    Elle aura lieu ce samedi 28 mai dès 19h00 au Country Hall de Liège, allée du Bol d’Air, 19 à 4031 Liège-Angleur.

    L’entrée et le parking sont gratuits.

    « Chaque fois que nous sortons pour prêcher ou nous former, Dieu joint son témoignage par des signes, des prodiges, toutes sortes de miracles, et le partage des dons de l’Esprit Saint, selon sa volonté. » (Hé, 2:4). Des centaines de personnes dans le monde entier ont témoigné de guérisons physiques et autres lors de soirées de prière pour les malades.

    Cette soirée a lieu au coeur de "l'Ecole des Charismes" qui va rassembler environ 800 personnes pour un séminaire de formation au cours du week-end de l'Ascension. Le séminaire, soutenu par le livre « Renouvelle tes Merveilles », propose d’abord sur ce sujet un magnifique enseignement fondé sur les Écritures, la tradition de l’Église, l’expérience des Pères et des saints. Puis elle donne des conseils clairs et pratiques, accompagnés de nombreux témoignages, pour exercer les charismes. Cette formation est animée par Damian Stayne et la Communauté Cor Lumen Christi. Elle sera renforcée par le belge Jean-Luc Moens, exmodérateur de Charis International.

    Cor et Lumen Christi est une communauté catholique, charismatique et contemplative au cœur eucharistique qui allie une vie de prière profonde avec un apostolat actif. Damian Stayne, et sa communauté ont un puissant ministère de prière de guérison, principalement physique et immédiate, de prophétie, de paroles de connaissance et de délivrance.

    Charis est le service voulu par le pape François pour la communion du Renouveau Charismatique Catholique. En Belgique, Charis sert toutes les réalités du courant de grâce charismatique du pays, parmi lesquelles le Renouveau et les groupes de prière, les communautés du Verbe de Vie, de l’Emmanuel, des Béatitudes, du Chemin Neuf, le couvent franciscain saint Antoine, Marie-Kefas, Fondacio, Cara Nova, etc.

    Les conditions sanitaires sont favorables et le Comité de Concertation du Gouvernement vient de décider de désactiver le baromètre corona à partir du 23 mai, ce qui signifie : pas de CST ou Covid Pass, pas de limitations de capacité en intérieur, même si le masque est conseillé pour les personnes vulnérables sur le plan médical. La salle est assez spacieuse avec une bonne aération.

    Contact : schoolofcharisms.belgium@gmail.com

  • Le pape demande de prier pour les catholiques chinois

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    De Nico Spuntoni sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    Le pape demande de prier pour les catholiques chinois

    23-05-2022

    À la veille de la comparution du cardinal Zen devant le tribunal, le Pape, lors du Regina Coeli, évoque la complexité des événements qui affectent l'Église en Chine et prie pour qu'"elle puisse vivre en communion effective avec l'Église universelle".

    Quarante-huit heures avant la comparution du cardinal Joseph Zen devant le tribunal de Hong Kong, le pape François a évoqué la situation des catholiques chinois après le Regina Coeli récité sur la place Saint-Pierre. Il l'a fait pour dire qu'il suit "avec attention et participation la vie et les vicissitudes des fidèles et des pasteurs, souvent complexes" en Chine et a appelé les fidèles à s'unir à sa prière "afin que l'Église en Chine, dans la liberté et la tranquillité, puisse vivre en communion effective avec l'Église universelle et exercer sa mission d'annoncer l'Évangile à tous, offrant ainsi également une contribution positive au progrès spirituel et matériel de la société". Le Souverain Pontife a rappelé que dans deux jours sera célébré le mémorial liturgique de Marie Auxiliatrice, "particulièrement ressenti par les catholiques de Chine". Et c'est précisément le 24 mai que le cardinal Zen, arrêté le 11 mai et libéré sous caution, devrait répondre aux autorités de Hong Kong des accusations de collusion avec des forces étrangères. 

    Jusqu'à présent, publiquement, le Saint-Siège s'est limité à exprimer sa "préoccupation" concernant l'arrestation de l'archevêque émérite de Hong Kong et à faire savoir qu'il suit "avec une extrême attention l'évolution de la situation". Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'État et souvent critiqué par Zen pour ses actions, a ensuite publié quelques déclarations sur l'affaire dans lesquelles il a nié que l'arrestation puisse représenter une défaite de l'accord provisoire avec la République populaire de Chine, tout en admettant que "des initiatives comme celles-ci peuvent compliquer le chemin déjà complexe et pas simple du dialogue".

    La politique étrangère a marqué l'agenda dominical du Saint-Siège : sur la question du conflit russo-ukrainien, en effet, l'hypothèse d'un rôle direct du Pape dans une éventuelle négociation de paix a refait surface. Monseigneur Paul Richard Gallagher, qui vient de rentrer de sa mission en Ukraine, en a parlé : le secrétaire pour les relations avec les Etats de la Secrétairerie d'Etat a déclaré à Vatican News que Kiev "doit se défendre et pour ce faire, elle doit recevoir une aide, y compris militaire". Une position qui, jusqu'à présent, n'avait pas été soutenue publiquement par le Saint-Père lorsqu'il était interrogé sur le sujet. Le prélat britannique, qui a mis en cause le début d'une nouvelle course aux armements en Europe, a ensuite évoqué le "rôle stratégique" que le pape pourrait jouer dans la résolution du conflit, affirmant qu'"il y a des espaces" pour que cela se produise.

    Hier, cependant, après la récitation de la prière mariale depuis la fenêtre du Palais apostolique, François a tenu à saluer et à remercier les participants à la manifestation pro-vie "Choisissons la vie" qui a défilé dans les rues du centre de Rome samedi après-midi, en partant de l'ancienne Piazza Esedra et en remplissant ensuite la Piazza San Giovanni in Laterano. "Je vous remercie pour votre engagement en faveur de la vie et pour la défense de l'objection de conscience, dont on tente souvent de limiter l'exercice", a déclaré le Saint-Père. Le Souverain Pontife a également tenu des propos sans équivoque, ajoutant que "malheureusement, ces dernières années, la mentalité commune a changé, et aujourd'hui nous sommes de plus en plus enclins à penser que la vie est un bien à notre entière disposition, que nous pouvons choisir de manipuler, de faire naître ou mourir à notre guise, comme le résultat exclusif d'un choix individuel". Bergoglio est parti de ce constat pour rappeler que "la vie est un don de Dieu ! Elle est toujours sacrée et inviolable, et nous ne pouvons pas faire taire la voix de la conscience". 

  • Les chrétiens d’Orient vivent une tragédie dans l’indifférence générale

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    De Jeanne Emmanuelle HUTIN sur Ouest France :

    ÉDITORIAL. Chrétiens d’Orient, ils risquent de disparaître !

    « Les chrétiens d’Orient vivent une tragédie dans l’indifférence générale. » Par Jeanne Emmanuelle Hutin, directrice de la Recherche éditoriale du journal Ouest-France.

    22/05/2022

    Les chrétiens d’Orient vivent une tragédie dans l’indifférence générale. Contraints à l’exil, chassés de leur terre par millions, réduits à être des citoyens de seconde zone, emprisonnés, torturés, assassinés, victimes de génocides. Ils subissent tous les types de persécutions au point qu’ils risquent de disparaître du Moyen Orient où ils vivent depuis des millénaires !

    « La liberté religieuse est un droit de l’homme fondamental »

    À une époque qui se soucie tant des droits de l’homme, des femmes et des minorités, le silence assourdissant qui entoure ces persécutions est incompréhensible, observe Mgr Pascal Gollnish, Directeur général de L’Œuvre d’Orient : « La liberté religieuse est un droit de l’homme fondamental et l’on se résigne comme si ces atteintes étaient normales. » Il interroge.

    Condamner les persécutions ne suffit pas

    Où sont les protestations contre l’interdiction faite aux femmes musulmanes d’épouser des chrétiens ? Contre la Turquie quand elle bombarde des villages en Syrie ? Contre les États qui persécutent les minorités au nom du « blasphème » ou de la « purification du pays » comme en Inde ? Pourquoi en France, les complices de Daech ne sont-ils pas accusés de crimes de génocide comme en Allemagne ?

    En cette Journée des Chrétiens d’Orient, condamner ces persécutions ne suffit pas. Il faut aussi soutenir ceux qui restent sur leur terre où ils jouent un rôle primordial : « Dans les pays où ils sont très minoritaires, les chrétiens sont agents de paix, de progrès des droits humains et de progrès social. Ils aident leur pays à se relever et nous les aidons à rester » ​, explique Mgr Gollnisch.

    « Ils prennent soin de tous sans discrimination »

    Dans leur pays pétri de larmes et de haine, ils éduquent les enfants, soignent les malades, nourrissent les affamés, abritent les déplacés, reconstruisent les maisons, réconcilient les cœurs et les sociétés. Ils prennent soin de tous sans discrimination. Ils frayent les chemins du respect mutuel et de l’amour du prochain.

    Mais l’avenir est sombre. Guerres et guerres civiles ravagent leurs pays. Intolérance et persécutions s’accroissent. La hausse du prix du blé heurte de plein fouet ces sociétés déchirées : faim, émeutes, déstabilisations s’annoncent.

    « Établir un pont spirituel »

    Mais leur avenir « dépend aussi des chrétiens et des gouvernements occidentaux » ​. Il passe par la fraternité des chrétiens d’Occident envers les chrétiens d’Orient, par l’action des chefs d’État des pays démocratiques, par l’engagement sans discrimination religieuse des associations qui défendent les droits de l’homme.

    Mgr Gollnish appelle à « établir un pont spirituel, à faire le lien entre le Nord et le Sud, l’Est et l’Ouest » ​et à relancer d’urgence l’Union pour la Méditerranée : « Si nous n’agissons pas pour la paix, nous n’en sortirons pas indemnes en Europe et en France en particulier. »

    La présence des chrétiens d’Orient fait obstacle à ceux qui veulent détruire la liberté religieuse parce qu’elle est intimement liée à la liberté de conscience qui irrigue toutes les autres libertés. Sentinelles de la liberté et acteurs de la fraternité, ils montrent qu’un chemin de vie est possible pour l’humanité et que le monde n’est pas condamné au chaos.

  • Le glaçant bilan de la guerre en Ukraine dressé par Caritas

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    D'I.Media via Aleteia.org :

    Guerre en Ukraine : le glaçant bilan dressé par Caritas

    20/05/22

    Afin de répondre aux divers enjeux de l'exode de masse des réfugiés Ukrainiens, l'organisme Caritas est mobilisé en Ukraine mais aussi dans les pays limitrophes.

    « La guerre ne va pas se terminer avec un simple accord de paix », mais il faudra « guérir les âmes et la mémoire », dans un contexte de traumatisme qui marquera à vie des millions d’Ukrainiens, ont expliqué les responsables des antennes locales de Caritas le 16 mai 2022 lors d’une conférence de presse organisée au siège de Radio Vatican. Les responsables de Caritas Ukraine et de Caritas Spes, des organismes respectivement liés à l’Église gréco-catholique et à l’Église catholique latine, ont détaillé les opérations menées depuis le début de l’offensive russe, le 24 février dernier.

    1,8 millions de réfugiés sont des enfants

    Cette guerre a provoqué des mouvements de population d’une ampleur inédite en Europe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Plus de 14 millions de personnes ont dû quitter leur maison, soit un tiers de la population ukrainienne. 1,8 millions de réfugiés sont des enfants, a précisé Aloysius John, le secrétaire général de Caritas Internationalis. L’Ukraine vit un « cauchemar », a-t-il expliqué, précisant que le coût de la reconstruction est actuellement évalué à 600 milliards de dollars, et que 116 églises ont été détruites.

    Le réseau Caritas est mobilisé en Ukraine mais aussi dans les pays limitrophes, où « les femmes et les enfants deviennent facilement victimes du trafic humain », s’est-il alarmé. Il a aussi souligné que le monde entier commençait à souffrir des conséquences de cette guerre, avec des difficultés d’approvisionnement alimentaire, la crise de l’énergie, et le risque de récession mondiale.

    Par ailleurs, la hausse des investissements militaires se fera au détriment des dépenses sociales et de l’attention à d’autres situations de crise dans le monde. « Les pauvres vont payer le plus lourd tribut », a averti le secrétaire général de Caritas Internationalis. 

    Guérir les blessures et prendre soin de l’avenir

    Le père Vyacheslav Grynevych, président de Caritas Spes, organisme lié à l’Église catholique latine et dont le siège se trouve à Kiev, a reconnu qu’il est « difficile de partager la vérité, tous les faits », dans ce contexte de guerre sur le terrain qui est aussi une guerre de communication.

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  • Les chrétiens d'Orient à l'honneur ce dimanche 22 mai

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    De Jean-Marie Dumont sur le site de Famille Chrétienne :

    Les chrétiens d’Orient partout mis à l’honneur ce dimanche

    21/05/2022

    Faire connaître les chrétiens d’Orient, prier avec eux et pour eux : c’est le but de la Journée internationale des chrétiens d’Orient organisée en France et dans le monde ce dimanche 22 mai. C’est la 5e édition d’une initiative lancée en mars 2018 afin de « prier pour la paix avec les chrétiens d’Orient ». Une proposition née des drames vécus par les chrétiens d’Orient en Syrie et en Irak, et du succès rencontré par l’exposition « Chrétiens d’Orient. 2000 ans d’histoire » organisée à l’Institut du monde arabe en 2017-2018. « Nous nous étions demandé comment continuer à faire vivre cet intérêt pour les chrétiens d’Orient », a expliqué Armelle Milcent, Directrice de la communication de Œuvre d’Orient, lors d’une conférence de presse présentant l’événement. « Il nous appartient de vivre cette journée avant tout comme un temps de communions spirituelle, vécue sous le mode de l’échange », a affirmé de son côté Mgr Pascal Gollnisch, Directeur général de l’Œuvre d’Orient « Il s’agit moins de prier pour les chrétiens d’Orient que de prier avec eux. »

    En pratique, comment s’y associer ?

    Concrètement, en Paris, en province ou à l’étranger, les catholiques sont tous invités ce jour-là à « partir à la rencontre des chrétiens issus des différentes Eglises catholiques orientales ». Outre la visite des églises orientales, l’Œuvre d’Orient a fourni une liste variée de moyens concrets permettant de s’associer à cette journée. Une intention de prière particulière peut ainsi être lue à la messe du dimanche (« Seigneur, en cette journée des chrétiens d’Orient, regarde tous les pays en conflit, et tout particulièrement l’Ukraine, la Syrie et l’Ethiopie. Suscite au milieu de nos frères et sœurs d’Orient des artisans de paix et d’espérance. Nous T’en prions. »), un chant venu de la tradition orientale peut être employé à la messe, une quête pour les chrétiens d’Orient peut être organisée. De même, les catholiques sont invités à se renseigner sur la présence de communautés catholiques orientales dans leur diocèse et à participer à une liturgie catholique dans un rite oriental : syriaque, chaldéen, copte, grec-melkite, gréco-catholique, arménien… Les chrétiens d’Orient eux-mêmes sont invités à se joindre à cette journée.

    Un sondage sur les chrétiens d’Orient

    A l’occasion de cette cinquième édition, l’Œuvre d’Orient a aussi rendu public les résultat d’un sondage qu’elle a commandité et qui a été réalisé au mois de mars. Il avait pour objectif de mesurer la connaissance et la perception qu’ont les Français des chrétiens d’Orient. Selon les résultats de ce sondage réalisé auprès de mille personnes, l’existence des chrétiens d’Orient est « largement connue » des Français, même si cette connaissance augmente avec l’âge, puisque près d’un jeune sur deux dit ne jamais en avoir entendu parler. La majorité des personnes interrogées a une vision positive de leur rôle dans les sociétés dans lesquelles ils vivent et sont conscients des difficultés qu’ils rencontrent. Parmi les pays évoqués comme les plus difficiles pour eux, la Syrie et l’Irak.

    « Si cette journée des chrétiens d’Orient existe, c’est aussi pour rappeler les atteintes dont ils sont l’objet », a aussi souligné Mgr Pascal Gollnisch. De retour du Liban, et d’Ukraine – pays où il comme l’a rappelé vivent plusieurs millions de chrétiens orientaux –, le Directeur de l’Œuvre d’Orient s’est longuement attardé sur leur situation dans ces deux pays, mais aussi en Ethiopie, en Irak, en Syrie, en Arménie ou encore en Inde « Cette journée des chrétiens d’Orient a son utilité, sa nécessité, à l’égard ces situations dures », a-t-il affirmé. C’est d’autant plus important que les chrétiens, même s’ils sont souvent minoritaires, sont, selon ses mots, des « agents de paix » dans les pays, traversés de fortes tensions, où ils se trouvent. D’où l’idée que s’impliquer dans cette journée est aussi une manière d’« agir pour la paix ».

  • A Liège, le dimanche 15 mai 2022 à 16h00 en l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy 132): "Foliamusica" entre musiciens ukrainiens et musiciens du monde

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    Le dimanche 15 mai 2022 à 16h00, en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) : la musique d’Ukraine et du monde fait la force

    Programme

    Chant, clarinette, accordéon, piano, flûte, violon et alto

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    Liège

    Katia Novikova : Volodymyr Vermenych words by Mykola Singaivsky- Chornobryvtsi

    Conservatoire Royal de Mons, les chanteurs de la classe de Thierry Migliorini :

    Gong Li Peng : A.Scarlatti - Le Violette/ Forlanne

    Clarisse Magalhães : WA Mozart-Un moto di gioia ./ J.Turina - Nunca Olvida

    Coune Raphaël : Gluck - O del moi dolce ardor/John Dowland - Come again

    Yanting Zhou : A.Scarlatti - Gia il sole sel Gange. / Jin Se Shang Yin Li

    Conservatoire Royaux de Gand et de Liège 

    Duo de clarinettes Daryna Bachynska & Ostap Bachynska :

    1 Duo Macolm Arnold – Fantasy & 2 Muczynski Robert – Duo n°2

    Actuellement à l’IMEP

    Matvii Merimerin violon : Bach – Adagio et fugue sol mineur

    Mykhailo Bozhenko alto : Bach - Prélude suite n°2

    Matvii Merimerin violon : Wieniawski - Caprice « la vélocité »

    Oleksandr Kushnarev violon : Skorik - Caprice

     Conservatoire Royal de Mons

    Aurélien Mangwa : W.A.Mozart - Haï Gia vin to la causa ./ Mariu - Parla mi d’amore

    Violette Schloessing : J.S.Bach - Buse und Reu/ R.Schumann - Abschied von Frankreich

    Haendel - Extrait du Messiah O thou that tell est good tidings to Zion

    Li Yong Peng : J’ai perdu mon Eurydice.Gluck/ Ch.Gounod - Le Soir

    Mozart – La flûte enchantée Duo Papageno/Papagena

    Actuellement à l’IMEP

    Oleksandr Kushnarev- Violon solo - Bach - Siciliana et Presto

    Duo : Oleksandr Kushnarev- Violon & Mykhailo Bozhenko – Alto

    Haendel - Halvorsen - Passacaglia pour violon et alto

    Conservatoire Royal de Mons

    Duo accordéons : Vladimir Avdeychev et Stefan Fangurel

    Rondo Capriccioso – Zolotarev

    PAUSE 

    Conservatoire Royal de Mons

    Tang Yongqi : Haendel (Berenice) Si tra I Ceppi /

    W.A.Mozart - Der vogelfanger bon ich Ja/ Donne mie la fate à tanti.

    Florence Susan : J.S.Bach - zerfliesse mein herz & J.Jongen - Bal de Fleur

    Strozzi Amante lucuoce.

    Liège

    Anna Vahylevych clarinette :1 Poulenc Francis - Sonata & 2 Olenchik – Caprice

    Conservatoire Royal de Mons

    Duo accordéons : Vladimir Avdeychev et Stefan Fangurel

    Rondo Capriccioso -- Zolotarev

    1 J'entends pas le bruit de la ville - Shalaev

    2 Airs espiègles - Viktor Gridin

    Conservatoire Royal de Liège et Gand

    Daryna Bachynska flûte solo : Poulenc Francis – Joueur de flûte & Berce les ruines -

    Duo flûte clarinette Daryna Bachynska & Ostap Bachynska

    Villa Lobos Heitor – Choros n°2

    Liège

    Katia Novikova : Deux chansons ukrainiennes (Himn  Ukrayiny)

    Conservatoire Royal de Mons

    Rosenbaha Baiba : Bellini - Norma - Sgombra e la sacra selva/

    W.A.Mozart - Clemens do Titus - Parto Parto

    C Saint Saëns – Amour, viens aider ma faiblesse.

    Pianiste accompagnatrice et répétitrice de l’ORW : Hilary Caine.

    P.A.F. libre

    La recette sera offerte intégralement après le concert aux musiciens ukrainiens réfugiés. 

    Merci à tous les participants, les professeurs et la pianiste pour leur dévouement. En partenariat avec les conservatoires royaux de Mons, Gand, IMEP et Liège, l’asbl Sursum Corda de l’église du Saint Sacrement et Michel Coes - consul de France (rendez-vous suivant à la Villa Gallery, parc de la Boverie, le dimanche 29 mai à 17h)

    Cécile Leleux, directrice artistique de Foliamusica France Belgique

    www.foliamusica.be

    Rens. 0499259930 ou 04 2531262 

  • Quelle solidarité européenne avec la Pologne dans l'accueil des réfugiés ukrainiens ?

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    D'Olivier Bault sur  le Visegrad Post :

    Réfugiés ukrainiens en Pologne : quid de la fameuse «solidarité européenne»?

    30 AVRIL 2022

    Pologne – Le nombre d’habitants de la Pologne atteint désormais 41,5 millions de personnes, et la barre des 40 millions a été dépassée cette année pour la première fois de l’histoire du pays ! Mais attention, ce n’est pas dû à la natalité. Au contraire, entre mars 2020 (début de la pandémie de Covid) et février 2022, il y a eu 1,16 millions de décès en Pologne contre seulement 674 000 naissances, soit un déficit démographique de 342 000 personnes. De mars 2021 à février 2022, la Pologne n’a enregistré que 328 000 naissances, le chiffre le plus bas depuis la Deuxième guerre mondiale malgré la politique nataliste des gouvernements du PiS.

    En réalité, ce qui a gonflé les statistiques démographiques, c’est, comme on s’en doute, l’afflux soudain de réfugiés ukrainiens. Entre le 24 février, date du début de l’offensive russe contre l’Ukraine, et le 26 avril, 2,984 millions de personnes sont passées d’Ukraine en Pologne, tandis que 886 000 Ukrainiens ont franchi la frontière dans le sens inverse, rentrant au pays. Selon un rapport de l’organisation réunissant les grandes villes polonaises, 3,2 millions d’Ukrainiens sont aujourd’hui en Pologne. Avant la guerre, il y en avait environ 1,5 millions et c’était principalement une immigration économique. Ainsi, si les Ukrainiens vivant en Pologne étaient auparavant principalement des hommes jeunes, dont beaucoup sont rentrés chez eux pour défendre leur pays, il s’agit aujourd’hui en majorité de femmes et d’enfants.

    À Rzeszów, dans le sud-est, la communauté ukrainienne, forte de près de 105 000 personnes dont plus de 30 000 enfants, représente aujourd’hui un tiers de la population. Mais en nombre absolu, c’est dans l’agglomération de Varsovie que les Ukrainiens sont aujourd’hui les plus nombreux, avec près de 470 000 personnes. L’agglomération silésienne de Katowice-Gliwice est en deuxième position avec 303 000 Ukrainiens, presque à égalité avec l’agglomération de Wrocław (302 000), en basse Silésie, suivie de celles de Cracovie (230 000) et Gdańsk (224 000).

    Selon des chiffres donnés le 6 avril par le ministère polonais de l’Éducation et des Sciences, il y avait à ce moment-là en Pologne environ 700-800 000 enfants qui avaient fui l’Ukraine, dont 166 000 étaient scolarisés dans des écoles primaires et secondaires polonaises et 36 000 dans les écoles maternelles. Le 25 avril, le ministre de l’Éducation Przemysław Czarnek évoquait « plus de 190 000 personnes originaires d’Ukraine » qui se trouvaient dans des écoles en Pologne, avec une croissance de 2 à 3000 élèves par jour. À côté de ces enfants ukrainiens provisoirement scolarisés dans des établissements scolaires polonais, un grand nombre d’enfants ukrainiens en Pologne suivent l’école ukrainienne à distance, notamment en raison des différences de programmes et surtout de la barrière de la langue, même si les langues ukrainienne et polonaise sont suffisamment proches l’une de l’autre (plus que du russe) pour faciliter une communication de base. Pour pallier au problème de la langue, les écoles polonaises embauchent un nombre croissant d’assistants ukrainiens afin de seconder les enseignants polonais.

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  • RDC : Tristes fêtes de Pâques au Nord Kivu

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    Tristes Pâques au pied de la chaîne des Virunga et ailleurs. Lu sur le site de la Libre Afrique :

    « Quand le pape viendra, nous lui dirons nos douleurs et nos misères… » En ce week-end de Pâques, dans un site de déplacés de Rutshuru, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), Stéphanie Aziza, 25 ans, n’a pas le coeur à la fête. Depuis les récents combats entre l’armée et les rebelles du Mouvement du 23 mai (M23) dans la province du Nord-Kivu, elle est sans nouvelles d’un de ses trois enfants, perdu dans le chaos de la fuite.

    Comment célébrer Pâques, « quand en plus on n’a pas à manger? », ajoute tristement la mère de famille, un petit enfant à la main, dans la cour de l’école Rugabo, où sont réfugiés plusieurs centaines de villageois.

    Non loin de là, une autre famille trie des haricots, pour le repas du dimanche de Pâques.

    L’est de la RDC est en proie depuis plus d’un quart de siècle aux violences de multiples groupes armés. La venue du pape François début juillet à Goma, le chef-lieu du Nord-Kivu, est présentée par l’Eglise catholique comme « un signe de réconfort et de paix ».

    « C’est la première fois qu’il foule notre terre, c’est une bénédiction divine », veut croire Heri Byiringiro, un autre déplacé.

    Fin mars, dans la région de Rutshuru, le « Mouvement du 23 mars », une ancienne rébellion tutsi réapparue en fin d’année dernière, s’est emparé de plusieurs collines, dont les habitants se sont enfuis vers l’Ouganda tout proche et vers le centre du chef-lieu du territoire.

    Les combats violents ont duré deux jours, se sont arrêtés une semaine et ont repris. Depuis quelques jours, c’est de nouveau l’accalmie, mais la tension est palpable, les militaires sont sur les dents.

    Samedi, à environ 6 km de Rutshuru-centre, quelques fidèles catholiques ont fêté Pâques dans la chapelle du village de Rangira, assistant à la seule messe pascale organisée dans toute la paroisse de Jomba, très affectée par les combats.

    Près du bâtiment de briques, un camp militaire a été installé, pour contrer l’avancée rebelle. Des camions remplis de soldats passent sur la route, des jeeps sont en patrouille.

    « Nous remercions le Seigneur qui vient de permettre l’arrivée de notre curé. Nous pensions qu’il était mort », déclare Dusera Nyirangorengore, tout juste revenue de Rutshuru où elle s’était enfuie.

    « Nous avons vécu le pire. Je priais, avec mon chapelet, pour que les bombes ne nous tombent pas dessus en brousse », raconte-t-elle.

    Leur curé, l’abbé Juvénal Ndimubanzi, pris dans les affrontements entre l’armée et le M23, a eu la vie sauve lorsque la force de l’ONU en RDC, la Monusco, l’a évacué, le 28 mars. Sa paroisse de Jomba est encore sous le contrôle du M23, inaccessible.

    « Prions pour les régions du monde qui souffrent de la guerre; et que la paix revienne ici chez nous, afin que les déplacés regagnent leurs villages! », déclare à l’assistance un servant, debout près de l’abbé.

    A l’heure à laquelle se déroule généralement le Chemin de Croix, une grand-messe a eu lieu vendredi à Rutshuru-centre dans l’église Saint-Aloys, à laquelle ont assisté des centaines de fidèles, recueillis et silencieux.

    Ailleurs dans le territoire, les célébrations ont été réduites. Les fidèles ont dû renoncer aux traditionnelles veillées du samedi soir, à cause de l’insécurité et de l’état de siège en vigueur depuis près d’un an dans le Nord-Kivu et la province voisine d’Ituri, qui a instauré un couvre-feu.

    Dans la modeste chapelle de Rangira, Jean-Pierre Sebaganzi, un fidèle de 45 ans, se réjouit tout de même d’avoir pu fêter Pâques, « malgré la peur »

    Ref. RDC: tristes fêtes de Pâques pour les déplacés du conflit avec le M23

    Que pensez-vous de cet article et que fait entretemps l’ancienne métropole tutélaire ?

  • Dire la vérité sur la façon dont Pie XII et le diocèse d'Assise ont contribué à sauver des Juifs

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    De Sabrina Ferrisi sur le National Catholic Register :

    Dire la vérité sur la façon dont Pie XII et le diocèse d'Assise ont contribué à sauver des Juifs

    19 avil 2022

    Lors d'une récente manifestation organisée à New Rochelle par la fondation Pave the Way, des dirigeants juifs et ecclésiastiques bien informés ont raconté les efforts qui ont permis d'épargner la vie de tous les Juifs se trouvant dans les limites du diocèse pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Jewish babies were born amid safe shelter during World War II. Above, Jewish refugees, including infants, were photographed in Castel Gandolfo.
    Des bébés juifs sont nés dans un abri sûr pendant la Seconde Guerre mondiale. Ci-dessus, des réfugiés juifs, dont des nourrissons, ont été photographiés à Castel Gandolfo. (photo : avec l'aimable autorisation de Gary Krupp)

    NEW ROCHELLE, N.Y. - Peu de gens savent à quel point l'Église catholique, sous les ordres du pape Pie XII, a œuvré pour sauver des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Afin de souligner ces actions héroïques, la fondation Pave the Way a organisé un événement au Temple Israël de New Rochelle le 5 avril pour présenter "Musée de la mémoire, Assise 1943-1944".

    L'événement avait pour but de présenter et de discuter de la manière dont le diocèse d'Assise a sauvé tous les Juifs se trouvant sur son territoire pendant la Seconde Guerre mondiale grâce à un réseau de clergé et de citoyens. Parmi les intervenants figuraient le rabbin Jay Rosenbaum du Temple d'Israël, l'archevêque d'Assise Domenico Sorrentino, Gary Krupp, président de la fondation Pave the Way, Johan Ickx, archiviste du Vatican de longue date et éminent spécialiste des archives du Vatican pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale, Elizabeth Bettina, auteur de It Happened in Italy, et Stefania Proietti, maire d'Assise.

    Ce qui s'est passé à Assise

    En 1943, des milliers de réfugiés se réfugient à Assise, dont 300 Juifs. Immédiatement, l'évêque Giuseppe Nicolini d'Assise a formé un comité de travail pour sauvegarder les Juifs en les plaçant dans des couvents et des monastères. Tout a été fait pour les aider, y compris la fourniture de nourriture, de vêtements et la dissimulation d'objets religieux juifs. En fait, l'évêque Nicolini a placé ces objets sacrés dans le sous-sol de sa propre résidence et l'a muré de ses propres mains. 

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  • Un char russe prend pour cible le centre Caritas de Marioupol : 7 morts

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    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    Ukraine: un centre de la Caritas attaqué à Marioupol, sept morts

    « Cette nouvelle dramatique laisse la famille Caritas horrifiée et choquée »

    Selon les sources locales de Caritas, le 15 mars 2022, un char russe a tiré sur le centre Caritas de Marioupol, tuant deux employés et cinq membres de leurs familles réfugiés dans le bâtiment. La nouvelle a été connue à Rome lundi dernier, 11 avril.

    « Nous avons besoin de votre solidarité et de vos prières pour les familles des victimes », a déclaré pour sa part la présidente de Caritas Ukraine, Tetiana Stawnychy.

    Le cardinal Tagle a voulu exprimer sa « tristesse » et son « choc » au micro de Radio Vatican (Alessandro Gisotti): « Je ressens une profonde tristesse et un choc à l’annonce de l’attaque qui a entraîné la perte de vies humaines. Caritas internationalis exprime sa plus profonde sympathie et sa proximité aux familles de ceux qui ont perdu la vie et de ceux qui ont été blessés. Notre tristesse se transforme en un appel à la communauté internationale pour qu’elle mette tout en œuvre afin de mettre fin à cette violence, de renouer le dialogue et de reconnaître chaque personne comme un frère et une sœur. »

    Il a dit sa « gratitude aux bénévoles: « Aux femmes et aux hommes qui risquent leur vie, nous adressons un mot de sincère gratitude. Vous faites une action sainte, une œuvre sainte ! Pour chaque bonne action accomplie de manière désintéressée, vous semez des graines de vérité, de justice, d’amour et de paix qui changeront le monde. Dieu veillera à ce que vos efforts ne soient pas vains. Vos efforts porteront leurs fruits. »

    Le cardinal philippin a invité à la prière: « Nous honorons le sacrifice des travailleurs humanitaires en priant pour eux et pour leurs familles. Nous croyons que Dieu entend le cri des pauvres et des justes. Nous leur rendons hommage en affirmant la valeur du service rendu par les organisations humanitaires, qui doit être respecté. Nous les honorons en priant Dieu et en appelant les personnes de bonne volonté à penser et à travailler pour la paix. »

  • Caritas Belgique ouvre un Point d'Info Ukraine

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    Caritas International
    Point d'info Ukraine : 0800 2 41 41

    POINT D'INFO UKRAINE : 0800 2 41 41

    En plus de la réponse humanitaire déployée en Ukraine et dans les pays voisins, Caritas a ouvert son Point d'info Ukraine pour répondre aux questions des Ukrainien-ne-s et des Belges qui les hébergent. L’idée ? Vous aider à aider !

    « L’enjeu est de pouvoir apporter rapidement et facilement une information de qualité, croisée et mise à jour de sorte à pouvoir aiguiller les personnes désorientées ou en difficulté vers les instances ou les ressources adéquates », indique Pieter Van Roeyen, juriste et coordinateur du Point d’info Ukraine de Caritas International.

    > JE DECOUVRE LE POINT D'INFO UKRAINE