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Patrimoine religieux

  • Vexilla Regis prodeunt

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    Le Vexilla Regis est l’hymne du temps de la Passion et des fêtes de la Sainte Croix. Son texte (comme celui du Pange lingua du Vendredi Saint) fut composé par l’hymnographe saint Venance Fortunant au VIème siècle, à l’occasion de la réception solennelle des reliques de la vraie Croix à Poitiers par la reine de France sainte Radegonde.

    Vexilla regis prodeunt

    fulget crucis mysterium
    quo carne carnis conditor
    suspensus est patibulo.

    Quo, vulneratus insuper
    mucrone diro lanceae
    ut nos lavaret crimine
    manavit unda et sanguine.

    Arbor docora et fulgida,
    ornata regis purpura,
    electa digno stipite
    tam sancta membra tangere !

    Beata, cuius brachiis
    saecli pependit pretium ;
    statera facta est corporis
    praedam tulitque tartari.

    Salve, ara, salve victima,
    de passionis gloria,
    qua vita mortem pertulit
    et morte vitam reddidit !

    O crux, ave, spes unica !
    hoc passionis tempore
    piis adauge gratiam
    reisque dele crimina.

    Te, fons salutis, Trinitas,
    collaudet omnis spiritus ;
    quos per crucis mysterium
    salvas, fove per saecula.

    Les étendards du roi s'avancent
    mystère éclatant de la croix
    au gibet fut pendue la chair
    du créateur de toute chair.

    C'est là qu'il reçut la blessure
    d'un coup de lance très cruel
    et fit jaillir le sang et l'eau
    pour nous laver de nos péchès.

    Arbre dont la beauté rayonne,
    paré de la pourpre du roi,
    d'un bois si beau qu'il fut choisi
    pour toucher ses membres très saints !

    Arbre bienheureux ! À tes branches
    la rançon du monde a pendu !

    Tu devins balance d'un corps
    et ravis leur proie aux enfers !

    Salut, autel ! Salut, victime
    de la glorieuse passion !
    La vie qui supporta la mort,
    par la mort a rendu la vie.

    O croix, salut, espoir unique !
    En ces heures de la passion
    augmente les grâces des saints,
    remets les fautes des pécheurs.

    Trinité, source salutaire,
    que te célèbre tout esprit ;
    ceux que tu sauves par la croix,
    protège-les à tout jamais.

  • Chants grégoriens pour le Vendredi Saint

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    Graduale Graduel
    Phil. 2, 8-9 Phil. 2, 8-9
    ℟. Christus factus est pro nobis obédiens usque ad mortem, mortem autem crucis. ℣. Propter quod et Deus exaltávit illum: et dedit illi nomen, quod est super omne nomen.

    ℟. Le Christ S'est fait pour nous obéissant jusqu'à la mort, et la mort de la croix. . C'est pourquoi Dieu L'a élevé, et Lui a donné le nom qui est au dessus de tout nom.

    Passio Domini nostri J.C. sec. Johannes (Evangelium Passionis et Mortis Domini)

    Impropères

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  • Stabat Mater (Pergolesi)

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    Pergolesi - Stabat Mater

    Nathalie Stutzmann

    STABAT Mater dolorósa iuxta
    Crucem lacrimósa,
    Dum pendébat Fílius.
    Elle était debout, la Mère, malgré sa douleur,
    En larmes, près de la croix ,
    Où son Fils était suspendu.
    Cuius ánimam geméntem
    Contristátam et doléntem,
    Pertransívit gládius.
    Son âme gémissante,
    Contristée et dolente,
    Un glaive la transperça.
    O quam tristis et afflícta
    Fuit illa benedícta
    Mater Unigéniti !
    Qu'elle était triste, anéantie,
    La femme entre toutes bénie,
    La Mère du Fils de Dieu !
    Quae maerébat, et dolébat,
    Pia Mater, dum vidébat
    Nati poenas íncliti.
    Dans le chagrin qui la poignait,
    Cette tendre Mère pleurait
    Son Fils mourant sous ses yeux.
    Quis est homo, qui non fleret,
    Matrem Christi si vidéret
    In tanto supplício ?
    Quel homme sans verser de pleurs
    Verrait la Mère du Seigneur
    Endurer si grand supplice ?
    Quis non posset contristári,
    Christi Matrem contemplári
    Doléntem cum Fílio ?
    Qui pourrait dans l'indifférence
    Contempler en cette souffrance
    La Mère auprès de son Fils ?
    Pro peccátis suae gentis
    Vidit Iesum in torméntis,
    Et flagéllis súbditum.
    Pour toutes les fautes humaines,
    Elle vit Jésus dans la peine
    Et sous les fouets meurtri.
    Vidit suum dulcem natum
    Moriéndo desolátum,
    Dum emísit spíritum.
    Elle vit l'Enfant bien-aimé
    Mourant seul, abandonné,
    Et soudain rendre l'esprit.
    Eia Mater, fons amóris,
    Me sentíre vim dolóris
    Fac, ut tecum lúgeam.
    Ô Mère, source de tendresse,
    Faites-moi sentir grande tristesse
    Pour que je pleure avec toi.
    Fac, ut árdeat cor meum
    In amándo Christum Deum,
    Ut sibi compláceam.
    Faites que mon âme soit de feu
    Dans l'amour du Seigneur mon Dieu :
    Que je Lui plaise avec vous.
    Sancta Mater, istud agas,
    Crucifíxi fige plagas
    Cordi meo válide.
    Mère sainte, daignez imprimer
    Les plaies de Jésus crucifié
    En mon cœur très fortement.
    Tui nati vulneráti,
    Tam dignáti pro me pati,
    Poenas mecum dívide.
    Pour moi, votre Fils voulut mourir,
    Aussi donnez-moi de souffrir
    Une part de Ses tourments.
    Fac me tecum pie flere,
    Crucifíxo condolére,
    Donec ego víxero.
    Donnez-moi de pleurer en toute vérité,
    Comme vous près du Crucifié,
    Tant que je vivrai !
    Iuxta Crucem tecum stare,
    Et me tibi sociáre
    In planctu desídero.
    Je désire auprès de la croix
    Me tenir, debout avec vous,
    Dans votre plainte et votre souffrance.
    Virgo vírginum praeclára,
    Mihi iam non sis amára:
    Fac me tecum plángere.
    Vierge des vierges, toute pure,
    Ne soyez pas envers moi trop dure,
    Fais que je pleure avec vous.
    Fac, ut portem Christi mortem,
    Passiónis fac consórtem,
    Et plagas recólere.
    Du Christ faites-moi porter la mort,
    Revivre le douloureux sort
    Et les plaies, au fond de moi.
    Fac me plagis vulnerári,
    Fac me Cruce inebriári,
    Et cruóre Fílii.
    Faites que Ses propres plaies me blessent,
    Que la croix me donne l'ivresse
    Du Sang versé par votre Fils.
    Flammis ne urar succénsus,
    Per te, Virgo, sim defénsus
    In die iudícii.
    Je crains les flammes éternelles;
    Ô Vierge, assurez ma tutelle
    À l'heure de la justice.
    Christe, cum sit hinc exíre,
    Da per Matrem me veníre
    Ad palmam victóriae.
    Ô Christ, à l'heure de partir,
    Puisse Ta Mère me conduire
    À la palme des vainqueurs.
    Quando corpus moriétur,
    Fac, ut ánimae donétur
    Paradísi glória.
    À l'heure où mon corps va mourir,
    À mon âme, fais obtenir
    La gloire du paradis.
    Amen. Amen.

    Giovanni Battista Pergolesi: Stabat Mater / Nathalie Stutzmann, conductor · Philippe Jaroussky, countertenor / Emöke Barath, soprano / Orfeo 55 /

    Recorded at the Château de Fontainebleau, France, April 2014.

    Video by Ozango / ARTE France.

    Website of Nathalie Stutzmann: http://www.nathaliestutzmann.com

    Facebook page of Nathalie Stutzmann: https://www.facebook.com/Nathalie.Stu...

  • Ubi caritas et amor (à l'offertoire du Jeudi Saint)

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    ℟. Ubi cáritas et amor, Deus ibi est.
    ℣. Congregávit nos in unum Christi amor.
    ℣. Exultémus, et in ipso iucundémur.
    ℣. Timeámus, et amémus Deum vivum.
    ℣. Et ex corde diligámus nos sincéro.

    ℟. Ubi cáritas et amor, Deus ibi est.
    ℣. Simul ergo cum in unum congregámur:
    ℣. Ne nos mente dividámur, caveámus.
    ℣. Cessent iúrgia malígna, cessent lites.
    ℣. Et in médio nostri sit Christus Deus.

    ℟. Ubi cáritas et amor, Deus ibi est.
    ℣. Simul quoque cum beátis videámus,
    ℣. Gloriánter vultum tuum, Christe Deus:
    ℣. Gáudium quod est imménsum, atque probum, Saécula per infiníta saeculórum. Amen.
    ℟. Là où sont la charité et l'amour, Dieu est présent.
    ℣. L'amour du Christ nous a rassemblés et nous sommes un.
    ℣. Exultons et réjouissons-nous en lui.
    ℣. Craignons et aimons le Dieu vivant
    ℣. et aimons-nous les uns les autres d'un cœur sincère.

    ℟. Là où sont la charité et l'amour, Dieu est présent.
    ℣.Ne formons donc tous qu'un seul corps :
    ℣.Ne soyons pas divisés de cœur, prenons garde.
    ℣. Cessent les querelles méchantes, cessent les disputes.
    ℣. Et que le Christ soit au milieu de nous.

    ℟. Là où sont la charité et l'amour, Dieu est présent.
    ℣. Qu'avec les bienheureux, nous voyions
    ℣. Votre glorieux visage, ô Christ Dieu,
    ℣. Joie immense et divine;
    ℣. Pendant la durée infinie des siècles.
  • Nos autem gloriari oportet in cruce Domini nostri Jesu Christi (Palestrina)

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    Introit de la messe du soir du Jeudi Saint

    Nos autem gloriari oportet in cruce Domini nostri Jesu Christi: in quo est salus, vita et resurrectio nostra: per quem salvati et liberati sumus.

    Deus misereatur nostri, et benedicat nobis:

    illuminet vultum suum super nos, et misereatur nostri.

    Pour nous il faut nous glorifier dans la Croix de Notre Seigneur Jésus-Christ, en qui est notre salut, notre vie et notre résurrection, et par qui nous avons été sauvés et délivrés.

    Que Dieu aie pitié de nous et nous bénisse:

    que rayonne son visage sur nous, et qu'Il aie pitié de nous.

  • Jeudi Saint : Pange Lingua

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    Pange lingua - Tantum ergo sacramentum : hymne au Très Saint-Sacrement

    Cete prière écrite par Saint Thomas d'Aquin, est par excellence le chant du Jeudi saint, jour de l'Institution de la Cène. Centrée sur la contemplation du corps et du sang du Christ, sous les espèces du pain et du vin, l'hymne s'achève par le "Tantum ergo sacramentum", qui vient en action de grâce et insiste sur la nouveauté radicale de ce sacrement.

    Pange lingua gloriosi

    Corporis mysterium,

    Sanguinisque pretiosi,

    Quem in mundi pretium

    Fructus ventris generosi,

    Rex effudit gentium.

    Nobis datus, nobis natus

    Ex intacta Virgine

    Et in mundo conversatus,                       

    Sparso verbi semine,

    Sui moras incolatus

    Miro clausit ordine.

    In supremae nocte cenae

    Recum bens cum fratribus,

    Observata lege plene

    Cibis in legalibus,

    Cibum turbae duodenae

    Se dat suis manibus

    Verbum caro, panem verum

    Verbo carnem efficit:

    Fitque sanguis Christi merum,

    Et si sensus deficit,

    Ad firmandum cor sincerum

    Sola fides sufficit.

    Tantum ergo Sacramentum

    Veneremur cernui:

    Et antiquum documentum

    Novo cedat ritui:

    Praestet fides supplementum

    Sensuum defectui.

    Genitori, Genitoque

    Laus et iubilatio,

    Salus, honor, virtus quoque

    Sit et benedictio:

    Procedenti ab utroque

    Compar sit laudatio. Amen.

    Chante, ô ma langue, le mystère

    De ce corps très glorieux

    Et de ce sang si précieux

    Que le Roi de nations

    Issu d'une noble lignée

    Versa pour le prix de ce monde

    Fils d'une mère toujours vierge

    Né pour nous, à nous donné,

    Et dans ce monde ayant vécu,

    Verbe en semence semé,

    Il conclut son temps d'ici-bas

    Par une action incomparable :

    La nuit de la dernière Cène,

    A table avec ses amis,

    Ayant pleinement observé

    La Pâque selon la loi,

    De ses propres mains il s'offrit

    En nourriture aux douze Apôtres.

    Le Verbe fait chair, par son verbe,

    Fait de sa chair le vrai pain;

    Le sang du Christ devient boisson;

    Nos sens étant limités,

    C'est la foi seule qui suffit

    pour affermir les coeurs sincères.

    Il est si grand, ce sacrement !

    Adorons-le, prosternés.

    Que s’effacent les anciens rites

    Devant le culte nouveau !

    Que la foi vienne suppléer

    Aux faiblesses de nos sens !

    Au Père et au Fils qu’il engendre

    Louange et joie débordante,

    Salut, honneur, toute-puissance

    Et toujours bénédiction !

    A l’Esprit qui des deux procède

    soit rendue même louange. Amen.

  • Mercredi saint : l'hymne de Cassienne de Constantinople

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    Lire ici la notice consacrée à Cassienne de Constantinople

    Percevant Ta divinité, ô Seigneur, une femme aux nombreux péchés,

    décida de devenir porteuse de myrrhe ;

    en larmes elle T'apporta les huiles parfumées

    anticipant ta sépulture. Criant :

    "Malheur à moi ! car la nuit est pour moi une frénésie de luxure,

    un amour sombre et sans lune de péché.

    Reçois le flot de mes larmes,

    Toi qui rassembles les eaux des océans dans les nuages.

    Penche-Toi sur les soupirs de mon cœur,

    Toi qui courbes les cieux dans Ton ineffable incarnation.

    J'embrasserai Tes pieds immaculés

    et les essuierai avec les cheveux de ma tête ;

    ces pieds dont Ève entendit le son au crépuscule au paradis

    et qui se cacha par crainte.

    Qui peut compter la multitude de mes péchés,

    et les abîmes de Ton jugement, ô Sauveur de mon âme ?

    N'ignore pas Ta servante,

    ô Toi dont la miséricorde est infinie."

  • Une prière de la liturgie gallicane pour ce lundi saint

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    Une antique et belle prière de la liturgie gallicane, de circonstance en ce début de "peineuse semaine" (source abbaye-saint-benoit.ch/gueranger/anneliturgique/):

    "O Christ! ô Dieu, souverain Seigneur, crucifiez-nous comme vous même à ce monde; que votre vie soit en nous. Mettez sur vous nos péchés, afin qu'ils soient, eux aussi, par vous attachés à la Croix. Vous qui avez été élevé de terre afin de nous soustraire au joug de l'impur tyran, attirez-nous à vous. Nous sommes, il est vrai, exposés aux insultes du diable; à cause de notre chair et de ses convoitises; mais ce n'est pas lui, c'est vous que nous voulons servir. Nous voulons vivre sous vos lois; nous vous prions de nous gouverner, vous qui, par la mort de la Croix, avez daigné nous délivrer, nous mortels et envahis par la mort. Aujourd'hui donc, pour cet immense bienfait, nous vous présentons notre très humble service ; nous vous adorons, nous vous implorons, nous vous supplions de venir promptement vers nous, ô Dieu éternellement puissant ! Que votre Croix, par sa vertu souveraine, triomphe en nous des attraits du monde; que votre bonté rétablisse nos âmes dans leur état primitif de vertu et de grâce. Vous accomplit ce qui jusqu'alors n'était que possible ; vous devant qui le passé et le présent sont unis, faites que votre Passion nous soit salutaire en ce moment, comme si elle avait lieu aujourd'hui; qu'une goutte de votre sang divin épanché un jour sur la terre soit aujourd'hui notre salut; qu'elle lave tous les péchés et notre nature terrestre; qu'elle se mêle à la terre de notre corps; et qu'elle nous rende tout vôtres, étant redevenus votre corps par notre réconciliation avec vous, notre Chef, qui vivez et régnez avec le Père et le Saint-Esprit. Maintenant donc commencez à régner sur nous, Homme-Dieu, Christ Jésus, Roi dans les siècles des siècles!"

  • Pourquoi le Vatican présente-t-il encore des œuvres d'art de Rupnik malgré sa disgrâce ?

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    De Christopher R. Altieri sur le Catholic World Report :

    Pourquoi le Vatican présente-t-il encore des œuvres d'art de Rupnik en disgrâce ?

    Il devient de plus en plus difficile d'imaginer comment les gens du Vatican, du pape François jusqu'au bas de l'échelle, pourraient être sincères lorsqu'ils affirment se soucier des victimes ou de la justice pour elles dans l'Église.

    19 mars 2024 

    Page d'information du Vatican pour la solennité de Saint Joseph. (Image : Capture d'écran/https://www.vaticannews.va/en/liturgical-holidays/solemnity-of-saint-joseph--the-spouse-of-the-blessed-virgin-mary.html)

    Vatican Media a illustré son billet sur le calendrier liturgique de la fête de Saint-Joseph avec une image du studio Rupnik.

    Qu'est-ce que cela signifie ?

    Eh bien, le Père Marko Ivan Rupnik (jadis Père Marko Ivan Rupnik SJ) est un prêtre-artiste célèbre en disgrâce et parfois animateur de retraites, accusé de manière crédible d'avoir abusé spirituellement, psychologiquement et sexuellement de plus de deux douzaines de victimes - la plupart d'entre elles étant des religieuses - au cours de trois décennies, dont la majeure partie s'est déroulée à Rome même.

    Voilà ce qu'il en est.

    Officiellement, le 19 mars est le jour où l'Église célèbre le patronage universel du père nourricier terrestre de Notre Seigneur. Dans de nombreux pays catholiques, la solennité du 19 mars est donc également célébrée comme la fête des pères.

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  • Iudica me (Introit du dimanche de la Passion)

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    Introitus Introït
    Ps. 42, 1-2  
    IÚDICA me, Deus, et discérne causam meam de gente non sancta: ab hómine iníquo, et dolóso éripe me: quia tu es Deus meus, et fortitúdo mea. Ps. ibid., 3 Emítte lucem tuam, et veritátem tuam: ipsa me deduxérunt, et adduxérunt in montem sanctum tuum, et in tabernácula tua. Iúdica me. Juge-moi, ô Dieu, et sépare ma cause de celle d'une nation qui n'est pas sainte; délivre-moi de l'homme méchant et trompeur. Car Tu es mon Dieu et ma force. ℣. Envoie Ta lumière et Ta vérité: elles me conduiront et m'amèneront à Ta montagne sainte et à Tes tabernacles.
  • À Liège, Semaine sainte et pascale 2024 : à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    À Liège, Semaine sainte et pascale 2024 :

    à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

    Tous renseignements: 

    sursumcorda@skynet.be  Tel. 04 344 10 89

  • À Verviers : glorieuse musique de Contre-Réforme le dimanche 24 mars prochain à 16h00, en l’église Saint-Martin de Petit-Rechain :

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    Pour la première fois à Verviers, l'orchestre baroque Le Concert Bourgeois (Mons) se produira avec Les Solistes Baroques de Liège (chœur et soli) (**) dans une oeuvre exceptionnelle :

    Le TE DEUM de Lully

    pour double choeur, solistes et orchestre.

    Il s'agit en effet d'une musique riche tant rythmiquement qu'harmoniquement écrite d'un bout à l'autre sous la forme d'un double choeur à 9 voix !

    Ce sera également l'occasion d'entendre un autre double choeur de Pachelbel et l'ouverture de l'opéra Armide de Lully.

    Au plaisir de vous y rencontrer nombreux

    infos et réservation : https://www.verviers.be/evenements/2024/new-baroque-festival

    (**) Les Solistes Baroques de Liège sont créés autour d’un noyau d’une dizaine de chanteurs de l’Opéra royal de Wallonie. Chœur mixte de 18 chanteurs, mêlant de façon heureuse des chanteurs professionnels issus du chœur de l’opéra et d’autres chanteurs professionnels ou futurs professionnels issus du Conservatoire de Liège ou des meilleures académies de musique de la région liégeoise, ils se revendiquent –en version vocale- de l’héritage des Solistes de Liège, véritables pionniers ayant contribué à faire renaître la musique baroque dans l’ancienne Principauté de Liège, dès les années 50.

    Jean-Michel Allepaerts