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  • L'appel aux jeunes apôtres d'aujourd'hui

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    Une école de mission diocésaine à Montpellier, Cap Missio, lance son appel aux jeunes apôtres grâce à un teaser "Et aujourd'hui, qui va répondre ?". Avec la bénédiction du Pape François.

  • Pour le pape François, les missionnaires qui portèrent l’Evangile au Nouveau monde ont défendu les autochtones contre les abus des colonisateurs

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    De Radio Vatican :

    Le Pape coupe court aux polémiques sur Junipero Serra

    (RV) Le Collège pontifical d’Amérique du Nord accueille ce samedi une journée de réflexion consacrée à la figure du missionnaire Junipero Serra, évangélisateur de la Californie. Cette journée est organisée par la Commission pontificale pour l’Amérique latine, sous le patronage du diocèse de Los Angeles.

    Béatifié par Jean-Paul II en 1988, ce franciscain espagnol sera canonisé par le Pape François, en septembre prochain, dans le cadre de son déplacement apostolique aux Etats-Unis. Pour l’Eglise américaine, ce sera la première canonisation d’un saint hispanique. Elle se déroulera au sanctuaire national de l’Immaculée Conception à Washington.

    Junipero Serra dirigea, au 18° siècle, les missions de Basse et Haute-Californie et fonda de nombreuses missions entre San Diego et San Francisco.

    Au cours d’une messe à midi, dans la chapelle du Collège pontifical d’Amérique du Nord, le Saint-Père a fermement coupé court à la polémique sur le rôle des missionnaires dans l’Ouest américain. Il a même affirmé que Junipero Serra avait été un des pères fondateurs des Etats Unis, protecteur des hispaniques.

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  • MANIFESTATION "SENTINELLES" ANTI-GPA CE DIMANCHE 3 MAI DE 9h à 10h PRECISES PLACE ROYALE à BRUXELLES

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    unnamed.pngMANIFESTATION "SENTINELLES" ANTI-GPA CE DIMANCHE 3 MAI DE 9h à 10h PRECISES PLACE ROYALE

    Ce dimanche 3 mai, l’organisation américaine Men Having Babies (par gestation pour autrui GPA)  tient un colloque dans le but de faire de la publicité pour les firmes américaines qui proposent, moyennant paiement, le recours à une mère porteuse dans tous les pays où ce n’est pas interdit, dont la Belgique. 

    Cette mère porteuse peut être indienne, ukrainienne, népalaise, américaine… Selon les firmes, le coût d’un bébé se situe entre 91 000 et 136 000 dollars US. 

    Cet événement a pour nom Devenir homopapa pour les européens et promeut la GPA commerciale, alors qu’en ce moment au Sénat ont lieu des auditions sur l’opportunité ou non d’encadrer la GPA en Belgique. Toutes les propositions de loi déposées veulent interdire la GPA commerciale. 

    Dans ce contexte, il est pour le moins curieux que la Région bruxelloise ait mis la Maison de la région-BIP, située sur la Place royale, à la disposition d’entreprises commerciales américaines (Extraordinary conceptions, Worldwide Surrogacy etc.) 

    Il n’est pas acceptable que la Région bruxelloise avalise implicitement une pratique contraire aux droits fondamentaux des femmes et aussi des enfants, puisque dans le cadre de GPA ces enfants n’auront pas accès à la connaissance de leur origine maternelle.

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw est membre de l’association No Maternity Traffic qui organise la manifestation : soyez tous présents ce dimanche à 9h PRECISES (nous devrons partir à 10h) Place Royale pour vous opposer à la GPA et sa commercialisation par des agences américaines ! 

    Il s'agit d'une action "sentinelles" silencieuse avec un espace entre les manifestants car nous serons en zone neutre. La police a autorisé cette action.

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw
    http://www.actiegezin-actionfamille.be

     

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    Action pour la famille asbl est une association pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucun financement d’institutions publiques ou privées.

  • France : après les crèches, la Libre Pensée s’en prend à une statue de Jean Paul II

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    L'intolérance antichrétienne a encore frappé : la statue du saint Pape à Ploërmel devra quitter le domaine public, a jugé le tribunal administratif de Rennes. Lu sur le site « aleteia » :

    Après les crèches, et les affiches dans les couloirs du métro, les statues... Une statue de Jean-Paul II sur une place de Ploërmel constitue donc un « symbole ostentatoire de la religion ». L'affaire courait depuis des années déjà, mais elle vient d’être tranchée par le tribunal administratif de Rennes. C'est en 2006 que le maire de la ville avait fait ériger sur une place une imposante statue du pape, une statue en bronze de huit mètres de haut offerte par l'artiste russe Zurab Tsereli. Haro sur le symbole ! La Libre Pensée locale et autres défenseurs d’une conception extrême du respect de la laïcité ont d’emblée attaqué le projet. « Délire mégalo papal d’un maire UMP, protestait Vigilance Laïque en 2006. « Après la messe électoraliste de Bertrand Delanoë lors de l'inauguration de la place Jean Paul II à Paris, voici à présent la statue de Jean Paul II chez les Bretons ! » Dressée à Ploermel depuis maintenant trois ans, la statut de jean paul II dérange toujours les défenseurs de la laïcité et les citoyens soucieux de l’utilisation des fonds publics, se plaignent les Libres Penseurs sur leur blog. Elle est érigée sur une place publique. Des fonds publics ont servis à financer son installation, son inauguration... Elle est donc illégale au regard de la loi de 1905 de "séparation de l'église et de l'état ». » En 2009, la Libre pensée du Morbihan avait déjà réussi à faire annuler la subvention accordée par le conseil général du Morbihan pour la construction du socle pour atteinte à la laïcité. La ville avait dû rembourser la somme.73559bc2-7e8f-4a46-93ba-b779edcf7664_d.jpg

    Le tribunal propose d’enlever la croix

    La religion, à commencer par la religion catholique, doit-elle, au nom d’une conception extrême de la la‑incité, demeurer cloîtrée, cachée, voire rejoindre les catacombes ? Le tribunal administratif de Rennes vient de donner raison à la Libre pensée : la statue de Jean-Paul II et la croix qui la surplombe ne doivent pas rester sur le domaine public de la ville. Le rapporteur public avait proposé d’enlever la croix et l’arche, « symboles ostentatoires de la religion ». Le tribunal administratif a suivi sa proposition. Enlever la croix ? Pas question, ni pour le maire ni pour l’artiste. La municipalité a maintenant six mois pour décider ou non de faire appel devant le conseil d’Etat de cette décision d’autant plus inepte que la statue est érigée sur… la place Saint Jean-Paul II. Faudra-t-il demain déménager la statue du saint pape polonais ? Rebaptiser la place ? Ou plus simplement déclasser la place du domaine public ? Quoiqu’il en soit, tant ce recours de la part d’extrémistes laïcs que la décision du tribunal amènent à se demander une fois de plus en ces temps si peu tolérants si, oui ou non, les chrétiens sont encore des citoyens à part entière en France. 

    Ref. après les crèches, la Libre Pensée s’en prend à une statue de Jean Paul II

    JPSC

  • Laïcisme en Afrique : le coup de gueule de l'archevêque de Jos, au Nigéria

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    kagaima.jpgMgr Kaigama, Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, appelle médecins et infirmiers africains à ne pas se laisser phagocyter par les « valeurs » laïcistes occidentales. Lu sur le site « aleteia », sous la signature d’Isabelle Cousturié :

    « On ne saurait se laisser phagocyter par les pressions despotiques  de certains gouvernements ou organisations non gouvernementales qui veulent dicter les tendances morales mondiales en les fondant sur leurs « valeurs » laïcistes », a déclaré  Mgr Ignatius Ayau Kaigama, Archevêque de Jos et Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, aux médecins et infirmiers  catholiques du pays, lors de l’ouverture de leur séminaire au Centre pastoral de Jos.

    S’inspirant du thème de la conférence, « La pratique de l’assistance sanitaire et les enseignements sociaux de l’Eglise catholique », l’archevêque de Jos, est parti des critiques souvent faites à l’Eglise pour ses positions concernant la défense de la vie et la morale sexuelle qui dérivent selon lui de  « positions préjudicielles »,  fruit d’une « connaissance insuffisante des enseignements catholiques », rapporte l’agence Fides. .

    « L’Eglise catholique est fréquemment jugée par des personnes qui ne se soucient pas de savoir ce en quoi elle croit réellement. Ces préjugés, transmis de génération en génération, ont rendu aveugles les critiques de l’Eglise catholique et ainsi, aujourd’hui, beaucoup ne sont pas en mesure d’être objectifs sur ce qui relève de la tradition et des croyances catholiques », déplore l’archevêque de Jos.
     
    En Afrique, lorsqu’il s’agit de contrôle de la population, d’usage du préservatif, d’homosexualité ou autre, « les positions occidentales sont parfois imposées par la force au travers de subsides financiers », faisant croire aux africains que tout ce qui provient de l’Occident est juste, regrette Mgr Kaigama.

    L’archevêque de Jos a conclu son discours en appelant les médecins et infirmiers catholiques à ne pas perdre ce «  discernement culturel ou intellectuel » qui les protège du risque de « perdre » les valeurs auxquelles ils ont toujours tenu, et du risque de «  ne devenir ni africains ni occidentaux ».

     « Ne soyez pas des imitateurs », a-t-il insisté, « restez fidèles à votre héritage religieux même si une partie de ceux qui nous ont introduits au Christianisme sont devenus des critiques véhéments et que certains nourrissent une haine pathologique vis-à-vis des directives ou des analyses morales de l’Eglise ».

    Ref. Laïcisme en Afrique : le coup de gueule de l'archevêque de Jos, au Nigéria

    JPSC

    Légende photo: Mgr Ignatius Ayau Kaigama, Archevêque de Jos (Nigéria)

  • Le catholicisme a-t-il un avenir au Québec?

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    Il n’est pas trop tard ! – Présent et avenir de l’Église d’ici. Normand Provencher ;, ed.Novalis , Montréal, 2015, 108 pages. Commentaire d'un essai  lu sous la plume de Louis Cornellier, dans le grand quotidien québecois « Le Devoir »:

    « Au Québec, c’est une criante évidence, l’Église catholique est en déclin. Le taux de pratique dominicale est passé de 85 %, au début des années 1960, à plus ou moins 5 %, aujourd’hui. Selon un sondage CROP, réalisé pour l’émission Second Regard en 2013, moins de 60 % des Québécois se disent maintenant catholiques et la moitié d’entre eux avouent accorder peu ou pas d’importance à la religion. « L’Église d’ici, constate donc Normand Provencher dans Il n’est pas trop tard !se fait plus discrète, fatiguée, vieillie, un peu triste, comme si elle était menacée de disparaître dans un avenir prochain. »

    Membre des Oblats de Marie Immaculée depuis 1964, le théologien, qui réfléchit sans faux-fuyants à l’avenir de l’Église d’ici depuis des années, est lucide, mais refuse le désespoir. « Nous ne sommes pas, écrit-il, en train de vivre les derniers jours du christianisme et de l’Évangile, nous vivons la fin d’une Église, liée étroitement à notre histoire, avec ses institutions variées, son clergé nombreux, son autorité incontestée. » Ce qui disparaît ici, en fait, c’est la « civilisation paroissiale ». Le choc, pour les catholiques engagés, est dur, mais il peut être l’occasion d’un retour, non pas à l’Église d’avant le concile Vatican II, mais à « la mentalité évangélique ».

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  • Les chrétiens pris en tenaille à Alep

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    D'Agnès Chareton sur le site de La Vie :

    À Alep, les chrétiens pris en tenaille

    Depuis un mois, les missiles pleuvent sur les quartiers chrétiens à l'ouest d'Alep. Victimes collatérales de la guerre qui fait rage entre les rebelles et l'armée syrienne, les chrétiens sont de plus en plus nombreux à fuir. Trois cathédrales ont été touchées par des tirs.

    « J'écris ce journal avec l'odeur de la poudre. Deux explosions ont secoué la ville. L'une est à Jdaydé, à 100 mètres de la résidence, l'autre au vieux souk. Entre les deux, quelques secondes. Ensuite des combats et des obus. » Ce 26 avril est un « dimanche terrible »écrit le Père Sami Halla, « le seul jésuite actuellement à Alep », la deuxième ville de Syrie, au Nord-Ouest du pays. Depuis le début du mois d'avril, les combats se sont intensifiés entre l'est de la ville, aux mains des rebelles islamistes, et l'ouest, sous contrôle de l'armée syrienne. Pris au piège, les chrétiens vivent des heures d'angoisse. « J'ai célébré la messe dominicale en la cathédrale latine à 5h, poursuit le P. Halla. Normalement, 400 à 500 personnes assistent à cette messe, il y en avait 80. Les gens ont peur. »

    Les chrétiens redoutent que les rebelles islamistes, qui ont pris la ville d'Idleb fin mars, fassent à présent tomber Alep. « Depuis un mois, les tirs de missiles de l'est vers l'ouest s'accentuent, affirme Charlène de Vargas, chargée des projets urgence au Moyen-Orient pour le Secours Catholique. Il y a des combats sur la ligne de front qui traverse la ville, les missiles sont plus dangereux et ciblent les quartiers chrétiens ou à majorité chrétienne. Le nombre de mort augmente. » Grâce aux équipes de Caritas d'Alep présentes sur le terrain, elle dispose d'informations régulières. Mais pour la première fois depuis le début du conflit syrien en 2012, une partie d'entre elles est en train de quitter la ville, face à la montée en puissance des islamistes. Nouvelle phase du conflit.

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  • BXL, 14 mai : rencontre des familles chez les Frères de Saint-Jean

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  • A Turin : l'ostension du Saint Suaire

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    De KTO :

    REPORTAGE
    Turin : L'ostension du Saint Suaire

    Reportage sur l'ostension publique du Saint Suaire à Turin, exposé à la vénération des fidèles à partir du dimanche 19 avril et jusqu'au 24 juin 2015. Défi pour la science, il est pour les croyants le signe de la Passion du Christ. L'exposition du Saint Suaire reste un évènement rare. Cette année, elle est liée au 200ème anniversaire de la naissance de Don Bosco, et donc à une attention particulière au monde des jeunes et des personnes qui souffrent. Le Custode pontifical du Saint Suaire, Mgr Cesare Nosiglia, a choisi comme thème " L'amour le plus grand " (Jn 15,13). L'archevêque de Turin entend ainsi souligner le lien profond entre tous les aspects de l'amour : " la vie, la vocation, et l'amour de Dieu, toujours présent dans le don de Jésus-Christ, jusqu'à la mort sur la croix et sa résurrection ". Comme l'ont fait précédemment Jean-Paul II et Benoit XVI ainsi que des millions de pèlerins du monde entier, le pape François viendra prier lui-même devant le Saint Suaire lors d'une visite à Turin le 21 juin prochain.

    Voir également, sur France Catholique :

  • Les croyants confrontés au terrorisme de la bien-pensance

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    De Jean-Michel Castaing sur le site de Liberté Politique :

    Les croyants face au terrorisme de la bien-pensance

     

    Le nihilisme post-moderne est un terrorisme intellectuel très dogmatique : « Le Rien n’a pas son pareil pour nous vendre l’absence d’héritage comme une conquête de l’“autonomie”. » Face à ce terrorisme, grande est la tentation d’adhérer à d’autres fondamentalismes, tout aussi religieux que déraisonnables…

    NOTRE EPOQUE est-elle sortie de la « religion » ? L’horizontalité dans laquelle évoluent nos sociétés sécularisées est-elle le signe d’un affranchissement à la fois de la morale et des soi-disant contraintes du « croire » ? Ou bien n’est-ce là qu’un moment de l’histoire du nihilisme occidental, moment appelé à être dépassé ?

    Il est d’autant plus difficile d’éluder cette question, pour les chrétiens, qu’elle en induit une autre, tout aussi importante : la religion a-t-elle encore ses chances dans notre modernité tardive ? Si le « retour du religieux » est indiscutable, cela ne doit pas masquer toutefois les tendances lourdes qui freinent un retournement de direction en ce domaine. Les « élites avancées » de l’Occident, durant ces dernières décennies, se sont en effet rêvées sans Dieu fixe, sans religion, sans croyances. Ou plutôt, elles se rêvent affranchies du besoin de croire. Pour elles, seuls les êtres aliénés (elles n'osent dire « faibles », ou « demeurés », ce qui serait stigmatisant, discriminatoire...) nourrissent encore le désir de se soutenir avec la « béquille » des croyances.

    Se renvoyant les unes les autres des images très flatteuses d’elles-mêmes, tous bords politiques confondus, les diverses familles de cette oligarchie de la pensée estiment avoir fait table rase de ses vieilles lunes depuis belle lurette. Seules sont tolérées en leur sein les divinités volatiles qu’on ira chercher dans le réservoir symbolique des « cultures du mondes ». De telle sorte que notre individu « branché » se pensera désormais à l’abri de la lourdeur des « dogmes », des oukases du magistère des professionnels des « traditions ».

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  • Vocations sacerdotales : marasme et contrastes

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    Lu ce jour sur le site « Pro Liturgia »:

    "A deux reprises déjà, une statistique diligentée par le Vatican a attiré l’attention du public sur le recul inexorable du nombre de candidats à la prêtrise, et ce, dans le monde entier. 

    Selon les chiffres publiés, ce nombre aurait diminué de 2% entre 2011 et 2013. Le Vatican parle d’une tendance affirmée, d’un virage. Tendance confirmée par un signal très clair : non seulement l’Europe et l’Amérique du Nord sont touchés, mais aussi la très catholique Amérique du Sud. 

    En pourcentage, on constate même que c’est là-bas que la diminution est la plus forte. Entre 2011 et 2013, le nombre de jeunes hommes se destinant au sacerdoce a diminué de 7%. En Europe, ce pourcentage n’est que de 3,6%. Seule l’Afrique reste en dehors du mouvement, avec 1,5% de progression.

    Analyse par pays.

    Le problème se révèle encore plus dramatique lorsqu’on regarde pays par pays. 

    Il faut ainsi parler du Pérou et du Chili (avec une baisse de 11,2% chacun), de la Colombie (-10,5%), et du Brésil (-6,7%). En Europe, ce sont la Tchéquie (-13%), la Grande-Bretagne (-11,5%) et l’Autriche (-10,9%) qui sont le plus durement touchées. L’Allemagne, avec 7,7% de recul se trouve dans la moyenne.
    Pour ce qui est du vieux continent, on trouve certes un regain de l’intérêt pour la prêtrise en Italie (+0,3%), en Ukraine (+4,5%) et en Belgique (+7,5%) ; mais cela ne fait en chiffres bruts qu’une poignée de nouveaux séminaristes. 
    Même en Corée du Sud, qui pourtant passe pour une communauté des plus dynamiques de l’Eglise en Orient, et dans les Philippines, l’attractivité du sacerdoce tend à reculer peu à peu.

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