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  • Bruxelles, 2 septembre : cours sur l'avortement et sur l'idéologie du genre par Stéphane Mercier

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  • Comment un cardinal allemand réussit à faire cesser le programme nazi d’extermination des handicapés et des dépressifs

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    Le bienheureux Cardinal Clemens August von Galen, le lion qui s’opposa à Hitler (+1946) (32 mn)

    Comment il réussit à faire cesser le programme Nazi d’extermination des handicapés et des dépressifs, dès 1942, par sa parole forte et publique.

    Comparaison avec l’action courageuse du frère René Stockman, supérieur général des frères de la charité en Belgique, qui réussit la même chose dans sa congrégation en 2017.

    SAINTS ET TÉMOINS DE L’EGLISE CATHOLIQUE

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  • Quand la Libre épingle Belgicatho à tort

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    Ainsi, la Libre de ce jour (p. 9, rubrique "La journée") se croit autorisée à prendre à parti notre blog qui, selon la Rédaction de ce quotidien, s'en serait pris à Herman Van Rompuy. Nous avons publié hier les "utiles précisions" concernant l'affaire des Frères de la Charité autorisant la pratique de l'euthanasie dans leurs murs. A propos d'Herman Van Rompuy, il était seulement signalé ceci :

    "16) Herman van Rompuy, membre donc de ce conseil d’administration a réagi de la façon suivante à une interpellation sur Twitter du canoniste flamand Kurt Martens : « Le temps de "Roma locuta, causa finita" ("Rome a parlé, la cause est entendue") est désormais loin derrière nous. »

    17) Herman van Rompuy n’a pas commenté son tweet. Le Frère Stockman a déclaré le 14 août n’avoir aucune idée de l’intention de van Rompuy mais constater au travers de ce tweet un déclin du respect pour l’autorité du Vatican."

    Cela justifie-t-il que la Rédaction de La Libre, nous assimilant à toute la mouvance des sites qualifiés par elle d'"ultras-cathos", nous accuse de stigmatiser l'homme politique flamand ?

    Mise à jour (11H30) : Il est amusant de constater que, depuis la parution de ce "post", le site de la Libre a modifié l'article en question (sur l'édition en ligne) et qu'il n'est plus question d'"ultra-cathos" mais bien de "catholiques" !

  • La trisomie éradiquée par le recours systématique à l'avortement

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    LA TRISOMIE 21 ÉRADIQUÉE PAR L’AVORTEMENT

     de genethique.org :

    « A mesure que les tests de dépistage prénatal se répandent dans le monde, le nombre d’enfants nés atteints de trisomie 21 ou d’autres pathologies diminue, car lorsque le dépistage révèle une anomalie, beaucoup de parents choisissent de mettre fin à la grossesse », constate CBS news. Certains pays tiennent à jour des statistiques et leurs résultats sont significatifs : « les Etats-Unis ont un taux d’avortement pour la trisomie 21 estimé de 67% (1995-2011), et 6 000 enfants naissent atteints de trisomie 21 chaque année ; en France le taux d’avortement pour la trisomie 21 est de 77% (2015) ; au Danemark de 98% (2015). En Islande, plus de 4 femmes sur cinq ont recours au dépistage prénatal et près de 100% de celles qui reçoivent un résultat positif avortent ». L’Islande est donc proche « d’éradiquer les naissances d’enfants atteints de trisomie 21 ». Avec une population d’environ 330 000 habitants, seul un à deux enfants atteints de trisomie 21 naissent chaque année, « à cause d’une erreur de dépistage ».

    Sources : CBS News, Julian Quinones, Arijeta Lajka (15/08/2017)

  • Quand la barque de l'Eglise est battue par les vagues de la contestation et de l'opposition des nouveaux prophètes de l'idolâtrie d'un faux humanisme

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    Des paroles fortes du Cardinal Sarah qui, lors du 700e anniversaire du diocèse vendéen de Luçon, n'a pas hésité à déclarer :

    « Nous allons supplier ensemble le Seigneur d’accorder aux Vendéens de notre temps la vigueur et le rayonnement de la foi dont leurs ancêtres ont su faire preuve au long des siècles en gardant fidèlement les commandements de Dieu et, si nécessaire, en les défendant avec courage, jusqu’au don de leur vie ; et en témoignant de ce même dynamisme missionnaire qui a lancé tant d’hommes et de femmes de votre province aux quatre coins du monde ».
     
    Voici le texte de l'homélie prononcée par son éminence le Cardinal Robert Sarah lors de la Messe anniversaire des 700 ans de la fondation du diocèse de Luçon en la Cathédrale Notre Dame de l’Assomption, le dimanche 13 août 2017 (source)

    Excellences, Messeigneurs les Evêques,

    Bien chers frères dans le sacerdoce,

    Chers frères et sœurs, dans le Christ

    J'éprouve une joie immense d'être parmi vous, ce soir, au cœur de cette Eucharistie ! Cette messe solennelle du 700ème anniversaire de la création de votre diocèse est célébrée, en cette avant-veille de la grande solennité de l'Assomption de la très sainte Vierge Marie, dans cette cathédrale qui lui est dédiée sous ce vocable. L’Assomption de Notre-Dame nous rappelle la finalité de notre vie ici-bas : comme Elle, nous sommes appelés, par la foi, à accueillir Jésus dans notre vie, à célébrer notre Dieu Tout-Puissant qui élève les humbles et abaisse l'orgueil des puissants de ce monde… La Vierge Marie, que le grand saint vendéen, saint Louis-Marie Grignion de Montfort, appelait « notre seule espérance, notre ancre dans la tempête », nous aide chaque jour à connaître, à aimer et à rencontrer personnellement et en toute vérité Celui qui est son divin Fils, Jésus, notre Sauveur, vrai Dieu est vrai homme. La Sainte Vierge est donc la Mère et l'éducatrice de notre foi, selon une expression de saint Jean Bosco. Oui, en ce jour, et à travers cette célébration solennelle de la très sainte messe, qui est le sacrifice du Christ Sauveur, nous voulons faire mémoire de la bonté que Dieu a manifestée en appelant le peuple vendéen à le connaître, à l'aimer et à le servir jusqu'au martyr et à l'effusion du sang. Nous allons supplier ensemble le Seigneur d'accorder aux Vendéens de notre temps la vigueur et le rayonnement de la foi dont leurs ancêtres ont su faire preuve au long des siècles, en gardant fidèlement les commandements de Dieu et, si nécessaire, en les défendant avec courage jusqu'au don de leur vie, et en témoignant de ce même dynamisme missionnaire, qui a lancé tant d'hommes et de femmes de votre province aux quatre coins du monde, tel le Père Noël Tenaud, l’un des martyrs du Laos, béatifié le 11 décembre de l'an dernier. Ce saint prêtre, dans le souci ardent de sauver les âmes, n'avait pas peur de marcher pieds nus dans la brousse pour porter la Parole de vie et l'amour miséricordieux de Dieu tant aux chrétiens qu'aux non-chrétiens.

    Les lectures de cette Messe dominicale nous donnent l'occasion de méditer sur notre foi, et donc sur la présence de Dieu dans notre vie : la première lecture nous le dit sans ambages : Dieu n'est pas dans l'ouragan, dont la force et la violence fendaient les montagnes et brisaient les rochers, ni dans le tremblement de terre ou le fracas du tonnerre, il n'était pas dans le feu ni dans le bruit, celui dont nos oreilles sont saturées dans notre monde de frénésie médiatique et de discours insipides et trop souvent démagogiques. Mais ce n'est pas seulement le monde qui vit dans la frénésie et les discours insipides et démagogiques. L'Eglise elle-même, dans son enseignement doctrinal et moral, vit aujourd'hui dans la cacophonie, dans la confusion des thèses, dans la duplicité, dans la double ou triple vérité, dans une avalanche d'interprétations et une démagogie pastorale que l'on pourrait considérer comme un grand désordre ecclésial. Il y a comme un obscurcissement, une éclipse de l'apport décisif de la Révélation à la morale. Nous avons tous tendance à oublier par le retour à la casuistique et nos multiples plans pastoraux ou d'accompagnement, que Dieu est présent dans l'intimité de notre âme, dans le murmure de la brise légère, au plus profond de notre cœur. Comme le prophète Élie sur le Mont Carmel, nous sommes appelés à accueillir dans notre vie le mystère de Dieu qui se révèle à nous comme un Dieu silencieux, un « Dieu tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d'amour et de vérité »[1], et cette révélation du Dieu d'Amour et de vérité, un Dieu Un et Trine, est un dévoilement à partir d'une rencontre, celle de Jésus, qui vient vers nous en marchant sur la mer de nos doutes, de nos incertitudes, et même de nos trahisons, de nos démissions et de nos refus de croire et d’aimer.

    La « barque » battue par les vents, dont nous parle l'Évangile de ce jour, a toujours été perçue, par les Pères de l'Eglise, comme une image de l'Eglise qui avance, ici-bas, en ramant à contre-courant, au milieu des difficultés et des épreuves de toutes sortes, en particulier les persécutions. Le jour de notre baptême, nous sommes tous montés dans cette barque qui a pour nom : l'Eglise.

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  • Dégrader la liturgie, c'est détériorer la foi

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    De RCF (Thomas Cauchebrais) :

    "Si nous abîmons la liturgie, nous abîmons la foi" Cardinal R. Sarah

    "Si nous abîmons la liturgie, nous abîmons la foi" Cardinal R. Sarah

    © Cardinal Robert Sarah

    Le cardinal Robert Sarah, préfet de la congrégation du culte divin, célébrait dimanche 13 août en la cathédrale de Luçon la messe anniversaire des 700 ans du diocèse de Vendée. Interview. 

  • Qu'est devenue la prière à Saint Michel Archange autrefois récitée après chaque messe ?

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    De Gelsomino Del Guercio sur le site "Aleteia" (aleteia.org) (traduction d'Isabelle Cousturié) :

    Pourquoi ne récite-t-on plus la prière à saint Michel archange ?

    Voulue par Léon XIII pour repousser les esprits mauvais, la prière a été abolie après le concile, une décision non partagée par saints Jean Paul II et Padre Pio.

    Pourquoi ne récite-t-on plus la prière à saint Michel archange à la fin de la messe ? Pourquoi cette invocation, instituée officiellement en 1886, a-t-elle disparu ?

    Nous l’avons demandé à un grand spécialiste des anges et tout particulièrement de l’archange Michel, le prêtre italien Marcello Stanzione. « Le 20 février 1878, explique Don Marcello, après un conclave qui n’aura duré que trente-six heures, le cardinal Gioacchino Pecci fut élu pape et prit le nom de Léon XIII (1810-1903). Un grand nombre de personnes, aujourd’hui âgées, se souviennent qu’avant la réforme liturgique du concile Vatican II, à la fin de chaque messe, célébrant et fidèles s’agenouillaient pour réciter une prière à la Vierge et une autre au Prince des anges, écrite par le pape Léon XIII. » Voici cette prière :

    Saint Michel Archange,

    Défends-nous dans le combat, sois notre secours contre la Malice et les embûches du démon, Nous le demandons en suppliant : que Dieu lui impose son pouvoir ; et toi, Prince de la milice céleste, par la Puissance divine, repousse en enfer Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde pour la perte des âmes.

    La vision de Léon XIII

    Sur l’origine de cette prière, voici ce qu’un des secrétaires de Léon XIII, le père Domenico Penchenino, écrivait : ...

    Lire la suite sur aleteia.org

  • Euthanasie : le supérieur général des Frères de la Charité met les points sur les "i"

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    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    Euthanasie: mise au point du supérieur général des Frères de la Charité

    « Oui » à la vie, « non » à l’euthanasie

    La vie est une valeur absolue et l’euthanasie ne peut jamais être considérée comme un geste thérapeutique, rappelle, entre autres, le p. René Stockman, supérieur général des Frères de la charité.

    Dans un entretien accordé au quotidien catholique italien Avvenire, il explique que trois frères siègent au Conseil de l’organisation de la quinzaine d’hôpitaux placés sous l’égide de sa communauté et que les autres membres sont des laïcs.

    L’organisation qui gère les hôpitaux psychiatriques pour cette congrégation, en Belgique, s’est dite favorable à l’euthanasie des patients lorsqu’il n’existait pas de “traitement alternatif raisonnable”.

    Un conseil composé en majorité de laïcs

    La décision a été contestée par cette communauté religieuse elle-même et par la Congrégation romaine pour la vie consacrée.

    Le p. Stockman souligne que la congrégation religieuse à laquelle il appartient c’est une chose et le Conseil de l’organisation une autre chose: “Il y a d’une part la Congrégation des Frères de la charité qui se trouve en Belgique et d’autre part, l’organisme qui gère les structures sanitaires. C’est un organisme où sont présents trois de nos frères, mais la majorité est composée de laïcs. Parmi les conseillers, il y a aussi Herman Van Rompuy, qui a été le premier président du Conseil européen.”

    Par conséquent l’ouverture à l’euthanasie vient de cet organisme: “En dépit du fait que ce sont des laïcs catholiques, dans une réalité comme celle de la Belgique, on voit progresser une mentalité sécularisée où la Doctrine de l’Eglise est – injustement – considérée sur certains points comme quasi “dépassée”.”

    Le supérieur de la Congrégation a adressé une lettre à tous : “J’espère que dans la réunion du conseil du 11 septembre on reviendra à la ligne indiquée par le Vatican.”

    Il souligne que selon la loi belge “on peut dire non à l’euthanasie” dans une structure catholique.

    Il explique le choix de l’euthanasie du fait des pressions “culturelles, politiques, et sociales” liées à la sécularisation et “très fortes” aussi en milieu catholique. Il dit avoir insisté dans sa lettre sur “quatre points fermes” sur lesquels “aucun compromis” n’est possible.

    Quatre points fermes

    Le p. Stockman explique ces quatre points fermes: “En premier lieu, rappeler que le respect de la vie est une valeur absolue. Secundo, que l’on ne peut pas indiquer l’euthanasie comme une “solution” à un malade sans perspective de guérison. Tertio: l’euthanasie ne peut être considérée comme un acte médical. Quatrième et dernier point: l’euthanasie ne peut pas être pratiquée dans les hôpitaux qui se disent liés à notre congrégation religieuse. J’en ai parlé aussi avec le Secrétaire d’Etat du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, et il a confirmé que sur ce point, on ne fait pas de compromis.”

    Le supérieur général se dit confiant dans la réponse positive de l’organisme mais si la réponse ne l’était pas, “je crains, dit-il, que ces structures ne puissent plus à l’avenir se dire liées à notre congrégation”: “Ce serait l’unique, et douloureuse, possibilité.”