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Bien-être animal : des revendications excessives ?

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LES EXCÈS DES PARTISANS DU « BIEN-ÊTRE ANIMAL »

24 octobre 2019

Depuis 2015, les animaux sont reconnus dans le code civil comme des « êtres vivants doués de sensibilité »[1]. Cette modification obtenue par les défenseurs des animaux a été suivie d’un foisonnement d’initiatives et de prises de position « pour faire de l’animal un sujet central du droit » : les considérer comme « personnalité juridique », ne plus les rattacher au régime des biens, tel est le combat d’associations et protecteurs de la cause. Une éventualité qui séduirait 7 personnes sur 10 selon un récent sondage Ifop pour la Fondation 30 millions d’amis. Et protègerait les bêtes en fonction de leur niveau de conscience et de leur capacité à ressentir la douleur. A l’étranger, le Brésil et l’Argentine ont déjà franchi le pas, déclarant pour le premier l’orang-outan et pour le second la guenon « sujet non humain ayant droit à la liberté ». En Colombie, c’est l’ours qui bénéficie d’une personnalité juridique.

Des propositions auxquelles s’ajoutent « un panel de convictions plus ou moins contestées » : « prohiber toute manipulation génétique » des animaux, supprimer «tout ce qui peut entraver la liberté des espèces (élevage industriel, zoos) », stopper les expérimentations animales, et même, « éliminer les prédateurs dans la nature ».

Pour aller plus loin :


[1] Ce qui « permet à des organismes comme la Fondation 30 millions d’amis de se porter partie civile dans pas moins de 250 affaires par an »

Sources: Le Figaro, Etienne Jacob (23/10/2019)

Commentaires

  • on croit rêver: on refuse de considérer les embryons humains comme des personnes mais les animaux ont des droits. Maranatha ! Viens Seigneur Jésus !

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