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  • Fin de vie : la dérive utilitariste de nos sociétés modernes

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    Sur FIGAROVOX, alors qu'une manifestation réunit, ce dimanche à Paris, les opposants à l'euthanasie, le philosophe Thibaud Collin s'interroge sur la dérive utilitariste de nos sociétés modernes.

    Fin de vie: société de la performance et « culture du déchet »

    Thibaud Collin est un philosophe et écrivain français. Agrégé de philosophie, il travaille sur des questions de philosophie morale et politique. Il enseigne en classes préparatoires à Paris, au Collège Stanislas. Il est notamment l'auteur de «Divorcés remariés, l'Église va-t-elle (enfin) évoluer?» (Desclée De Brouwer).

    Quarante ans jour pour jour après la promulgation de la loi Veil, le Parlement s'empare de la question de «la fin de vie». Ce rapprochement pourrait paraître incongru à certains tant ces thèmes semblent poser des problèmes différents, l'un le «droit des femmes», l'autre le «droit de mourir dans la dignité». Il n'en est rien. L'euthanasie existe déjà en droit français, précisément depuis 40 ans. Certes le mot ne se trouve pas dans la loi Veil mais la chose, sans nul doute. En effet, celle-ci dépénalise l'avortement jusqu'à dix semaines mais en cas de malformations graves du fœtus l'autorise jusqu'au terme de la grossesse. Quel est l'argument justifiant une telle différence de traitement? La logique euthanasique. Il s'agit de supprimer l'enfant pour «son bien» ; par «compassion». Comment infliger à un enfant une vie handicapée? Mieux vaut le libérer d'emblée de souffrances futures. Ainsi au commencement et au terme de la vie humaine, le même raisonnement légitime le fait de donner la mort. La mort n'est plus ce qu'il faut éviter à tout prix, la vie étant un bien à sauvegarder quelqu'en soit le coût. A la mort se substitue désormais la souffrance, physique et/ou psychique. En quoi tout cela nous révèle-t-il la manière dont notre société se représente l'homme? Et quelle vision de l'homme de telles pratiques impliquent-elles et favorisent-elles?

    Leur présupposé commun est que la vie n'est pleinement humaine que si elle est prise dans un projet lui donnant un sens. La valeur d'une vie dépend de la construction dont elle est l'objet. Il faut que le matériau à partir duquel réaliser cette œuvre soit adéquat au but recherché. Mais le matériau, quel est-il si ce n'est la personne dans son corps et ses diverses potentialités? Et à certains moments, le matériau disponible peut apparaître comme incapable de réaliser le projet de vie. Lorsque la personne subit des maux qui oblitèrent ses forces d'action et de création, la vie peut apparaître comme un fardeau insupportable et désormais insensé. Le handicap, la souffrance, la grande dépendance remettent en cause le projet de vie incapable d'assumer cette passivité envahissante. A l'aune d'un tel critère, de telles conditions de vie peuvent même sembler violer la dignité de la personne. La mort est alors envisagée comme une libération et devient l'objet d'un appel à la bienveillance d'autrui. C'est ici que se met en place le cercle des dispositions sociales influençant les mentalités et par là les attitudes, et réciproquement.

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  • Rapport Tarabella: 2/3 de la Commission parlementaire européenne ignorent 40 000 citoyens... la mobilisation continue!

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    Bruxelles, le 24 janvier 2015

    Alors que plus de 40 000 citoyens avaient exprimé leur opposition à l'inclusion d'un soutien de l'UE à l'avortement, un sujet hors de la compétence de l'UE, le Rapport Tarabella du Parlement européen a été adopté par la Commission des Droits des Femmes et l'Egalité des Genres du Parlement européen

     

    (FEMM) le 20 janvier. La Fédération des Associations Catholiques en Europe (FAFCE) avait signalé la présence d'un paragraphe qui vise à promouvoir un "droit à l'avortement" et invité des citoyens à signer la  pétition "Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela!" pour défendre la dignité humaine et le principe de subsidiarité. 

    Le rapport adopté comporte des points positifs mais inclut également le paragraphe même que des dizaines de milliers de citoyens ont demandé aux membres de la Commission FEMM de retirer, avec un accent accru sur le "droit à l'avortement" et une extension aux "santé et droits sexuels et génésiques". 

    La mobilisation des associations oeuvrant en faveur de la dignité humaine et des citoyens continue, appelant les eurodéputés à réaffirmer la position adoptée par le Parlement européen en décembre 2013 lorsque le rapport Estrela sur « la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) a été rejeté. A sa place, les eurodéputés ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et déclare clairement que «la définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres».

    Le message est clair: l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement, il s’agit de décisions nationales qui en aucun cas peuvent être prises à Bruxelles. 

    En moins d'une semaine la pétition citoyenne lancée par la FAFCE a réuni plus de 50 000 signatures de citoyens qui demandent au Parlement européen de ne pas soutenir un "droit à l'avortement". Le Président de la FAFCE, Antoine Renard, souligne que "ces citoyens s'attendent à ce que les députés européens respectent le principe de subsidiarité et ne dépassent pas les compétences de l'UE. Les nombreuses signatures montrent le besoin d'une double subsidiarité au sujet de l'avortement." 

    La FAFCE invite les citoyens à continuer à se faire entendre et envoyer un signal fort et uni en faveur de la vie et la dignité humaine en vue du vote qui aura lieu en séance plénière du Parlement européen en mars - la mobilisation continue! 

  • N'importe quoi

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    Lu sur Sud-Presse.be :

    Liège: la Province abonne ses 56 conseillers à Charlie Hebdo sans leur avis

    Ils n’avaient rien demandé, ils le recevront pourtant tous durant un an. Les 56 conseillers qui forment le conseil provincial de Liège ont appris, jeudi, qu’ils allaient recevoir, gratuitement, durant un an, l’hebdomadaire Charlie Hebdo dans leur boîte aux lettres.

    C’est une idée du premier député en personne, André Gilles (PS) : « Effectivement, expliquait-il, jeudi soir, aux vœux de la Maison de la Presse. J’ai trouvé que c’était une bonne idée en guise de solidarité avec vos confrères. »

    De prime abord, l’idée paraît louable bien sûr.

    Mais au-delà de la question du prix (56 fois 116 = 6.496 euros tout de même), il y a l’abonnement « forcé » à une publication qui, certes, symbolise aujourd’hui mondialement la liberté d’expression, mais qui n’était guère appréciée par une bonne frange de la population avant les fameux événements.

    Ainsi, la même initiative avait été prise il y a une semaine en France par le président du conseil régional du Pays de la Loire, Jacques Auxiette (PS). Il avait abonné ses 93 conseillers régionaux à Charlie sans leur demander leur avis.

    Et la réaction ne s’était pas fait attendre.

  • Wallons, je vous ai compris !

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    Stéphane Steeman, humoriste et chantre de notre belgitude, nous a quittés. En hommage à sa mémoire, nous mettons en ligne cette video où il imitait le grand Charles :

  • Le plus progressiste des évêques américains...

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    Henri Hude, sur Liberté Politique, relève un propos de Jean-Marie Guénois dans le Figaro concernant la nomination, sur le siège de Chicago, du "plus progressiste des évêques américains" et apporte quelques précisions concernant cet évêque, Mgr Blase Cupich.

    (...) Le pape, écrit Jean-Marie Guénois, vient de nommer « au prestigieux siège de Chicago, le plus progressiste des évêques américains, relégué [jusqu’] alors dans un minuscule diocèse ».

    Progressiste ? On en jugera.

    Il y a exactement un an, le 21 janvier 2013, « le plus progressiste des évêques américains », alors évêque de la « minuscule » ville de Spokane (210.328 habitants), a prononcé le sermon d'une messe pour le respect de la vie. C’était peu de temps après la tuerie de Newton, où un déséquilibré avait massacré vingt enfants.

    Ce grand progressiste a donc déclaré, ce jour-là : « La vérité finira par l’emporter et nous devons croire qu’une nation dont le cœur peut collectivement se briser de douleur à la pensée des bébés massacrés à Newton, a la capacité et la grâce de Dieu pour éprouver un jour la même douleur, à la pensée des bébés tués dans le sein maternel [1]. »  

    Un évêque choisi par Jean Paul II

    Parlons un peu de sa carrière. Chacun comprend que, dans l’esprit parisien de notre chroniqueur, Mgr Cupich vient de ce que le cardinal de Richelieu appelait un « évêché crotté ». C’est donc une sorte d’intrus à Chicago (6 millions d’habitants, 2,3 millions de catholiques, soit 28,57 fois plus qu’à Spokane-Ville). Mgr Cupich fut en effet nommé par Jean-Paul II évêque de Rapid City, 68.000 habitants, 83 paroisses, Dakota du Sud. À côté, en effet, et vu de Paris, Luçon (10.000 habitants), c’est Broadway. Il a ensuite été transféré par Benoît XVI à Spokane, État de Washington, 210.000 habitants, autant de paroisses (qu’à Rapid Ciy), mais avec en prime une université (jésuite). En somme, une promotion. En plus, un très joli coin de l’Ouest (comme Luçon).

    Allez faire un tour sur le website du diocèse de Spokane. Mgr Cupich y est encore indiqué comme l’Ordinaire du lieu. Vous n’aurez pas précisément l’impression de débarquer à Evreux dans la grande époque Gaillot.

    Ce n’était pas jusque-là une carrière fulgurante, mais chacun a compris que la performance carriériste n’est pas exactement au nombre des qualités que recherche le redoutable François.

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  • Le face à face entre archaïsme religieux et religion laïciste

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    Un article d'Emmanuel Tranchant sur Liberté Politique :

    Charlie-Kouachi : le choc des décivilisations

    Les « balles tragiques à Charlie Hebdo » ont entraîné une émotion à la démesure de l’évènement. Si l’on suit René Girard, la belle unanimité républicaine issue du meurtre des héros de la libre pensée par des rétrogrades obscurantistes doit culminer dans la déification des victimes : « Nous sommes Charlie, communiellement ».

    Le laïcisme intégriste prétend en être le catalyseur ; il apparaît ainsi comme un ersatz de religion archaïque. L’unanimité célébrée autour de Charlie établit un nouveau laps de paix, avant la prochaine crise mimétique porteuse d’un bouc émissaire pré-désigné : le religieux.

    Car c’est au religieux que la pensée dominante a déclaré la guerre, cette pensée porteuse du « changement de civilisation » cher à Mme Taubira. Charlie Hebdo en est l’idole caricaturale ; la dérision son arme de destruction massive de toute autorité et de toute verticalité. Et il faudrait maintenant que la mort de ses feus journalistes sanctifie le retour à cette autorité républicaine qu’ils se sont appliqués à dissoudre : pathétique !

    Deux décivilisations sont face à face : une religion archaïque, l’islam, qui peut évoluer vers sa maturité rationnelle, et certaines de ses élites s’y appliquent. Long processus.

    Ne comptons pas sur le laïcisme — deuxième décivilisation — pour l’y aider (les juifs et les chrétiens le pourraient mais, au nez laïcard, ça sent le Zemmour) : il est une religion civique régressive, inapte à toute intelligence religieuse, et stérilement incapable de la conversation, caractéristique de l’esprit français des Grands Siècles, effacée par les médias et l’école dévoyée de la République. Religion civique qui prétend en remontrer au monde entier : « Éduquons au blasphème ces masses musulmanes incultes et que brûlent ici ou là drapeaux français et églises chrétiennes, peu nous chaut ! Merci Charlie. »

    Arrogance et irresponsabilité. Cette deuxième décivilisation est la plus grave : en devenant religion idéologique, elle a exténué l’esprit des Grandes Lumières et déconstruit l’élégante civilité qu’il faisait fleurir. 

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  • Saint François de Sales (24 janvier)

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    saint François de Sales (24 janvier) : BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../temp-7b57f58e5bb162b27a0d92b06fc89f5...
     
    24 janv. 2014 - Lors de l'audience générale du mercredi 2 mars 2011, Benoît XVI évoquait la figure de François de Sales que l'on fête aujourd'hui : Chers...
     

    24 janvier, fête de saint François de Sales, patron des ...

    belgicatho.hautetfort.com/.../24-janvier-fete-de-saint-francois-de-sales-pa...
     
    24 janv. 2011 - "Dans le contexte de la post-modernité dans lequel nous vivons, un des défis culturels les plus important concerne la manière d'entendre la...
     

    François de Sales, un champion de la Contre-Réforme ...

    belgicatho.hautetfort.com/.../francois-de-sales-un-champion-de-la-contre...
     
    24 janv. 2012 - Source : Hérodote.net Fêté le 24 janvier, François de Sales naît en... ... siècle, le «Siècle des Saints» (qui est aussi le siècle du libertinage !).

  • Nouveaux décrets relatifs à des serviteurs de Dieu tués en haine de la foi

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    (VIS) A la suite de l'audience accordée hier après-midi au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a notamment ordonné la promulgation des décrets relatifs à plusieurs martyrs dont 21 ont été tués en haine de la foi lors de la Guerre civile espagnole :

    • la servante de Dieu Fidelia (Dolores Oller Angelats) et ses deux compagnes, religieuses espagnoles (Soeurs de St.Joseph de Girona), tuées en haine de la foi en août 1936.
    • le serviteur de Dieu Pio Heredia et ses dix sept compagnons et compagnes, cisterciens et cisterciennes espagnoles, tués en haine de la foi en 1936.
    • le serviteur de Dieu Tshimangadzo Samuel Benedict Daswa (Bakali), laïc sudafricain, tué en haine de la foi le 2 fevrier 1990.
  • Portugal : le parlement refuse le droit à l'adoption pour les couples homosexuels

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    Du site de la RTBF :

    Le Portugal refuse le droit à l'adoption pour les couples homosexuels

    Les trois propositions de loi, présentées par le Parti socialiste, le Bloc de gauche et les Verts, ont été rejetées avec une trentaine de voix d'écart (Belga)

    Le Parlement portugais a une nouvelle fois rejeté jeudi plusieurs textes autorisant les couples homosexuels à adopter des enfants, en dépit des voix favorables de l'ensemble de l'opposition de gauche.

    Les trois propositions de loi, présentées par le Parti socialiste, le Bloc de gauche et les Verts, ont été rejetées avec une trentaine de voix d'écart et une dizaine d'abstentions, sur 220 députés présents. La majorité de droite au pouvoir avait déjà refusé de voter des textes similaires en février 2012 puis en mai 2013. La vote de jeudi a toutefois été plus serré qu'auparavant car les 16 élus du Parti communiste, qui s'étaient opposés à l'élargissement du droit à l'adoption en 2012 avant de s'abstenir en 2013, se sont prononcés en faveur des textes soumis au Parlement. En mars 2014, les députés portugais avaient rejeté à une courte majorité une proposition de loi présentée par des élus socialistes, qui aurait accordé aux homosexuels le droit d'adopter les enfants de leur conjoint. Au Portugal, l'adoption à titre individuel est ouverte à tous mais la loi autorisant le mariage entre homosexuels votée en février 2010, alors que les socialistes étaient encore au gouvernement, exclut explicitement le droit à l'adoption pour les couples de même sexe.

  • Serait-il bon que l’Église catholique donne une forme de reconnaissance aux liaisons sexuelles entre personnes chrétiennes de même sexe ?

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    Lu sur le site de l'abbé Christophe Cossement :

    Reconnaître dans l’Église des liaisons homosexuelles ? — quelques éléments de discernement

    Dans la perspective du prochain synode 2015 sur la famille, des débats tournent autour de la question de la reconnaissance possible par l’Église catholique des liaisons homosexuelles. Par exemple, il y a le cas de grands-parents qui aimeraient accueillir leur petite-fille avec sa compagne lesbienne sans que cela fasse problème dans la famille. Il y a plus généralement le cas de toute personne qui a une attirance homosexuelle et qui voudrait sentir qu’elle a une place dans l’Église. Pour cela, serait-il bon que l’Église catholique donne une forme de reconnaissance aux liaisons sexuelles entre personnes chrétiennes de même sexe ? J’ai voulu dans cette page réconcilier doctrine et pastorale pour présenter quelle reconnaissance est possible, quelle reconnaissance est problématique et surtout, comment dire l’amour de Dieu qui rejoint chaque personne dans la réalité concrète.

    Lire la suite sur donchristophe.be

  • Plusieurs centaines de milliers de participants à la Marche pour la Vie à Washington

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    (Radio Vatican

    « Chaque vie est un don. #marchforlife » Par ces quelques mots relayés sur les comptes Twitter du Pape en anglais et en espagnol, François apporte son soutien à la Marche et à la veillée de prière pour la vie à Washington, aux Etats-Unis, jeudi et vendredi. Une neuvaine de prière se déroule également du 17 au 25 janvier pour accompagner cette Journée de la vie naissante, célébrée le 22 janvier.

    Des dizaines de milliers de personnes aux États-Unis – certaines estimations estiment le nombre de participants à un demi-million – ont convergé vers la capitale, Washington, DC, jeudi, pour participer à la marche annuelle pour la vie, qui s'est tenue comme chaque année à la date anniversaire du vote de l'arrêt Roe v. Wade de la Cour Suprême (1973), décision qui a légalisé l'avortement dans les cinquante États.

    Dans son homélie, lors de la messe célébrée la veille, mercredi soir, dans la Basilique du Sanctuaire National de l'Immaculée Conception à Washington, l'archevêque de Boston et Président du Comité de l'épiscopat américain pour les activités pro-vie, le Cardinal Sean O'Malley a appelé toutes les personnes qui se consacrent à la cause de la vie de renouveler leur engagement à servir les plus faibles et les plus vulnérables, de rendre l'Evangile crédible par le témoignage de la joie qu'il apporte à ceux qui confessent et vivent la Bonne Nouvelle. "Ce qui doit caractériser le mouvement pro-vie," dit le Cardinal O'Malley, "est un amour particulier pour les pauvres, pour ceux qui sont marginalisés, pour ceux qui souffrent et tout spécialement pour la vie humaine en  danger d'être sacrifiée. »

    Le cardinal O'Malley a ajouté, « nous devons travailler sans relâche pour changer les lois injustes, mais nous devons travailler encore plus fort pour changer les cœurs, pour bâtir une civilisation d'amour. »

    par ailleurs :

    (LeSoir.be) Aux Etats-Unis, la Chambre vote une loi anti-avortement, mais le Sénat risque de la bloquer

    La Chambre américaine des représentants, dominée par les républicains, a adopté jeudi une proposition de loi qui pérenniserait l’interdiction de l’utilisation de fonds publics fédéraux pour des avortements ou des assurances incluant l’avortement, au jour anniversaire de la légalisation de l’IVG.

    Depuis plus de 35 ans, le Congrès a interdit par des mesures régulièrement reconduites l’usage de fonds fédéraux pour subventionner des procédures d’avortement, mais la proposition de loi adoptée jeudi, par 242 voix contre 179, rendrait ces interdictions permanentes.

    Le texte a peu de chance d’être adopté par le Sénat, où les démocrates ont une minorité de blocage, et la Maison Blanche a brandi la menace d’un veto présidentiel.

  • Le Président égyptien Al-Sissi à Al-Azhar le 28 décembre 2014 : "nous devons changer radicalement notre religion"

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    Vidéo historique (sous-titrée en français) du Président égyptien Al-SISSI durant son allocution aux Ulémas musulmans de l’Université d’AL-Azhar en Égypte. C’est important d’écouter ce message explosif venant d’un chef d’état musulman. C’est la première fois dans l’histoire du monde qu’un chef musulman, et à Al-Azhar même, ose formuler avec un brillant courage cette critique. Dans ce discours prononcé à Al-Azhar, le 28 Décembre 2014, le Président Égyptien Abd Al-Fattah Al-Sisi appelle à lutter contre l'idéologie extrémiste et dit: "Nous devons changer radicalement notre religion." Appelant à un "discours religieux qui soit en accord avec son temps". Al-Sisi a averti que "la nation Islamique est déchirée par l'extrémisme et court à sa perte".