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  • Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l'Œuvre d'Orient, interviewé dans l'émission "Internationales" (TV5) le dimanche 5 mars 2017

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    Internationales reçoit Monseigneur Pascal Gollnisch, directeur général de L'Oeuvre d'Orient. Pour les Chrétiens d'Orient, le dilemme est terrible: peut-on rester ou doit-on partir ? Ils sont aujourd'hui 11 millions, dans une région où vivent 320 millions de Musulmans. Pour Daesh, ils sont la cible prioritaire. Quel rôle peut jouer l’Église pour aider ces Chrétiens ?

    Mgr Pascal Gollnisch

    Pascal Gollnisch, né le 17 novembre 1952 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un prélat catholique français, directeur général de L'Œuvre d'Orient depuis 2010, vicaire général de l'ordinariat des catholiques orientaux en France depuis 2014 et chorévêque de l'Église syriaque catholique ainsi qu'archimandrite de l'Église grecque-catholique melkite depuis 2015.

    Pascal Gollnisch entre au séminaire français de Rome en 1978 et est ordonné prêtre du diocèse de Paris le 4 décembre 1982. Il est également titulaire d'une maîtrise de droit des affaires, après ses études à Paris-X-Nanterre et à Paris-V, ainsi que d'un diplôme d'études supérieures en comptabilité.

    Entre 1976 et 1989, il dirige les pèlerinages français en Pologne, où il est saisi par ces voyages à caractère spirituel et ces rencontres avec les communautés locales. Il y ajoute une passion ancienne pour les Églises d’Orient, dont il connaît bien les particularités et l’histoire.

    En 1990, il devient Aumônier du Lycée Lavoisier, et directeur adjoint des Aumôneries de l’enseignement public. Plus tard, il assure également ce rôle d’aumônier auprès des étudiants de plusieurs facultés parisiennes (Paris VI, Paris VII et Paris III) et est nommé vice-président du Conseil presbytéral du diocèse de Paris de 2002 à 2009. Il est l’un des fondateurs de la Maison Saint-Augustin et du Séminaire de Paris.

    En 1995, il devient curé de la paroisse de Saint-Jean-Baptiste de Grenelle (Paris 15e), puis de Saint-François-de-Sales (Paris 17e) en 2004. Il est doyen de la plaine Monceau lorsque le cardinal André Vingt-Trois lui confie la direction générale de L'Œuvre d'Orient à l'automne 2010.

    L'Œuvre est présente dans une vingtaine de pays et Pascal Gollnisch connaît la plupart d'entre eux.La distinction de chapelain de Sa Sainteté, qui lui est accordée en 2012, fait de lui un prélat qui porte le titre de « monseigneur », ce qui « renforce [sa] crédibilité » auprès de ses interlocuteurs civils ou religieux.

    Il est également, depuis le 1er septembre 2014, vicaire général de l'ordinariat des catholiques orientaux en France.

    Le 7 mars 2015, Mgr Pascal Gollnisch est ordonné chorévèque dans l'Église syriaque catholique par le patriarche Ignace Joseph III Younan. Le 14 septembre de la même année, il est élevé à la dignité d’Archimandrite dans l'Église grecque-catholique melkite par le patriarche Grégoire III Laham, en l'église Saint-Julien-le-Pauvre de Paris.

    Ces deux distinctions lui ont été accordées pour saluer l’action et l’implication de l’Œuvre d’Orient auprès des églises d’Orient. Il est chevalier de l’Ordre National du Mérite.
  • Carême à Liège : 6 jeudis soirs de louange et d’adoration dans la chapelle du Carmel de Cornillon

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    « Viens, suis-moi. »

    La Communauté de l’Emmanuel sur Liège (adultes & jeunes) vous invite :

    6 jeudis soirs de louange et d’adoration dans la chapelle du Carmel de Cornillon.

    6 jeudis de 20h00 à 21h15, brève louange et adoration pour vivre à fond ce carême 2017.

    Chaque jeudi, nous méditerons sur l’Evangile du dimanche de carême qui suit :

    • Jeudi 9 mars, 20h00 : « Ne parlez de cette vision à personne, avant que le Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts. » Mt 17, 1-9
    • Jeudi 16 mars, 20h00 : « Une source d’eau jaillissant pour la vie éternelle » Jn 4, 5-42
    • Jeudi 23 mars, 20h00 : « Il s’en alla et se lava ; quand il revint, il voyait » Jn 9, 1-41
    • Jeudi 30 mars, 20h00 : « Je suis la résurrection et la vie » Jn 11, 1-45
    • Jeudi 6 avril, 20h00 : « Allez au village, vous trouverez aussitôt une ânesse » Mt 21, 1-11

    Jeudi 13, jeudi Saint, messe de la dernière Cène à 18h30,
    puis adoration avec les sœurs carmélites jusque 23h00 « sachant que l’heure était venue pour lui, Il les aima jusqu’au bout. » Jn 13, 1-15

    Une Initiative de la Communauté de l’Emmanuel à Liège et de Hands Up Emmanuel Youth Liège

    Lieu : Chapelle du Carmel de Cornillon, Sanctuaire de sainte Julienne, rue de Robermont 2, 4020 Liège
    liege@emmanuelyouth.be ou benoit.nathalie@salee.be | site : http://liege.emmanuelyouth.be

  • Le film "Silence" : une projection du relativisme contemporain ?

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    L'opinion de l'évêque de San Sebastian (Espagne) traduite par S. Seminckx sur didoc.be :

    Silence

    On parle beaucoup de Silence, le film récemment sorti en salle de Martin Scorsese. Nous reprenons ici la recension d’un site généralement bien renseigné (www.almudi.org) qui donne à son tour la parole à Mgr Munilla, évêque de San Sebastian, en Espagne.

    Silence porte sur la persécution de missionnaires catholiques et sur la crise que le protagoniste traverse dans sa foi au Japon du 17ème siècle. Les acteurs sont Andrew Garfield, Adam Driver, Tadanobu Asano, Ciarán Hinds et Liam Neeson, qui ont tourné le film à Taiwan entre janvier et mai 2015.

    Nous reproduisons ici l’essentiel de l’opinion de Mgr Munilla, à laquelle nous souscrivons. (…)

    L’évêque de San Sebastian a expliqué que le film « l’a déçu », parce qu’il n’est pas fidèle au martyre tel qu’il s’est déroulé à cette époque. Selon lui, « les pères jésuites furent en première ligne pour donner témoignage au milieu de cette épreuve du martyre et, bien évidemment, à aucun moment l’apostasie ne fut à l’avant-plan ».

    « La thèse de ce film, c’est que ceux qui allaient au martyre étaient les fidèles les plus simples, sans formation théologique et culturelle. Mais les jésuites, mieux formés, finissaient par apostasier. Comme si la foi adulte des jésuites permettait d’opérer cette distinction : “apostat à l’extérieur mais toujours chrétien à l’intérieur ; mais le peuple moins formé doit foncer tête baissée vers le martyreˮ. Historiquement c’est totalement faux. A l’époque, les évangélisateurs qui avaient prêché au peuple ouvrirent la marche vers le martyre. »

    L’évêque a assuré également que la scène dans laquelle Jésus-Christ lui-même demande au Père Rodrigues d’apostasier et de piétiner son image « est absurde ».

    « Le martyre est une grâce. Au moment voulu, Jésus donne cette grâce pour que nous ne tombions pas dans le péché d’apostasie. Dieu accordera ce don gratuit qui dépasse nos forces dans la mesure où nous sommes fidèles et humbles ».

    Selon le prélat, Silence est un film « erratique » dans lequel, au fond, « on projette le relativisme contemporain ».

    En conclusion, « dire intérieurement “oui, je suis chrétienˮ sans le démontrer dans les œuvres, c’est la projection du relativisme de ceux qui optent pour une vie sans cohérence interne : je fais un pacte avec Jésus-Christ mais aussi avec le monde. Voilà ce qui transparaît dans ce film ».

    Source : https://www.almudi.org/peliculas/silencio. Ce texte a été traduit de l’espagnol par Stéphane Seminckx.

  • La légende noire du pape Pie XII infirmée lors d'un Congrès à Rome

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    Lu sur kerknet.be, à propos de ce Congrès qui s'est déroulé à Rome le 2 mars dernier : 

    Un Congrès infirme la légende noire de Pie XII, le pape de la guerre

    Selon la recherche historique récente au Vatican et à Rome, les deux tiers des juifs de Rome ont été sauvés grâce à l'intervention du pape Pie XII.

    Après sa mort, le pape Pie XII (Eugenio Pacelli, pape de 1939 à sa mort en 1958) a été acclamé par les dirigeants juifs, y compris Golda Meir, pour ses efforts de sauvetage en faveur des Juifs. Mais à partir de 1963, le pape de la guerre, en particulier dans la pièce de théâtre "Le Vicaire" de Rolf Hochhuth, fut dénoncé pour n'avoir presque rien fait pour sauver les juifs des mains des nazis.

    Cette image négative représenta le pontificat de Pie XII durant de longues décennies. A tort fait-on valoir lors d'une conférence sur son pontificat. Deux tiers des juifs sauvés à Rome des mains des criminels nazis le doivent à l'intervention du pape. Plus de 4.000 Juifs ont été accueillis à Rome dans 235 couvents et institutions religieuses. Beaucoup de Juifs trouvèrent aussi refuge dans les structures du Vatican. De plus, 1.600 Juifs furent mis en sécurité grâce à une organisation qui entretenait des rapports de proximité avec le Vatican. D'après les recherches menées par les historiens, il est clair que cette organisation, l'Organisation pour l'assistance aux Emigrants juifs - Delasem -, a été financée en secret par le Vatican.

    Le Cardinal Dominique Mamberti, préfet de la Signature apostolique, a déclaré dans une interview à Radio Vatican: "le Pape a dirigé l'Église dans un contexte très complexe et il a déployé de solides efforts en vue de la paix internationale. Il a surtout conduit l'Eglise à l'ère moderne. Le vrai visage d'Eugenio Pacelli est totalement différent de la légende noire qui a circulé autour de lui. Selon le cardinal Mamberti, la légende noire sur Pie XII et sur le silence du pape, propagée avant sa mort en 1958 et par la pièce de Hochhuth en 1963, fut diffusée par la propagande communiste de l'Union soviétique.

    Lors du congrès à Rome, les documents historiques prouvant que le pape Pie XII a fait appel à l'aide de 48 monastères pour sauver des Juifs ont été exposés. Il a également appelé à ouvrir les portes d'autres monastères aux Juifs persécutés. Au moins 198 interventions directes de Pie XII sur la libération ou d'assistance en faveur des Juifs et déportés ont été documentées. Rien qu'au cours de la terrible vague d'arrestations qui a eu lieu à Rome, 60 personnes ont été ainsi sauvées. Selon le postulateur de la béatification de Pie XII, le jésuite Anton Witwer, sa béatification a franchi une nouvelle étape importante. Mais il y a encore besoin d'un miracle. Il faut donc invoquer ce pape avec force dans nos prières. En tant qu'être humain, il a vécu l'amour du prochain et l'amour de Dieu d'une manière impressionnante.

    Source: I.Media/Radio Vaticana (en allemand)

  • Liège: les jeunes se réveillent! Premier témoignage, vendredi 10 mars, 20h00 à l'église du Saint-Sacrement

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  • Présidentielles françaises : « Sens Commun » devient incontournable à droite

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    Le rassemblement pro-Fillon, organisé le 5 mars au Trocadéro, a dépassé les espoirs des organisateurs. Le peuple de droite est chauffé à blanc derrière son candidat. Mais cette mobilisation saura-t-elle redynamiser une campagne plombée par les affaires ? De Pierre Jova et Hugues Lefèvre sur le site de « Famille Chrétienne »:

    « C’est un signe !  L’exclamation jaillit spontanément de dizaines de bouches. Le soleil se lève sur la Place du Trocadéro, où se masse déjà une foule nombreuse. La pluie annoncée semble éloignée. En ce dimanche 5 mars, le peuple de droite a répondu présent au « rassemblement populaire » soutenant la candidature de François Fillon, et organisé en quatre jours. Une foule plutôt âgée, avec des grappes de jeunes enthousiastes, occupe la Place et déborde vite sur les artères voisines. « C’est la Manif Pour Tous ! », s’écrie un participant. Il devient difficile de se déplacer dans cette masse humaine. « Vous êtes journaliste ? Chez qui ? Famille Chrétienne ? Alors c’est bon ! », interrogent les manifestants suspicieux, mais néanmoins volubiles sur leur adhésion au candidat de droite : « nous sommes très nombreux pour dire à François Fillon qu’il n’y a pas de raison de lâcher au dernier moment », affirme Bertrand, 83 ans, qui dit être présent « pour la France ».

    Lui ne veut pas entendre parler d’un « plan B » avec Alain Juppé. « Ce serait catastrophique ! Ce serait propice à une grande dispersion des votes de droite », rugit-il, en brandissant son drapeau tricolore offert par les organisateurs. En entendant le nom d’Alain Juppé, une jeune femme, Isabelle, se retourne et prend part à la conversation. Pour elle,  l’acharnement contre le vainqueur de la primaire de la droite a été trop loin. « Le coiffeur de François Hollande touchait 10 000 € par mois pour donner un coup de peigne ! Qu’est-ce qu’on va nous [embêter] pour des affaires qui remontent à des années et qui ressortent comme par hasard à trois mois de la présidentielle » fustige cette habitante de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Elle et Bertrand en sont certains : si François Fillon maintient sa candidature, les électeurs de droite n’hésiteront pas un seul instant à voter pour lui.

    « C’est une situation capétienne ! »

    Derrière le podium, se tient à l’abri des médias une petite ruche de parlementaires, attachées de presse et gardes du corps. Des poids lourds du parti Les Républicains (LR) ont fait le déplacement : le patron des députés de droite Christian Jacob, le secrétaire général du parti Bernard Accoyer, le député des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, et même le député de l’Aube François Baroin, que l’on soupçonnait pourtant de soutenir un éventuel « plan B ». Baskets aux pieds et imperméable gris, Pénélope Fillon est en retrait, indifférente à l’agitation environnante. Elle sourit et reste silencieuse.

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  • L’abbé David Gréa pris au piège de son style « new look »

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    D’Aline Lizotte  sur smart reading press :

    "Le dimanche 19 février 2017, les fidèles de la paroisse Sainte-Blandine à Lyon entendent le vicaire général du diocèse, l’abbé Patrick Rollin, lire une lettre de leur curé, le père David Gréa. Ce dernier leur annonce qu’il a rencontré une femme, avec laquelle il songe à se marier.

    Avant cela, le cardinal Barbarin avait longuement écouté cet homme de quarante-six ans lui dire qu’il était «heureux de ce service sacerdotal, mais que la rencontre avec une femme lui procurait une joie insoupçonnée, à laquelle il ne pouvait renoncer». Plus que cela, il pensait que «Dieu l’appelle à vivre avec elle». L’archevêque de Lyon, soucieux de la vocation de son prêtre, lui proposa, en dernier recours, une rencontre avec le pape François. Le pape le reçut avec bienveillance, rapporta l’abbé Gréa, mais celui-ci ne renonçait pas à son projet. Le cardinal lui demanda néanmoins de prendre un temps de réflexion et le retira de tout ministère. Le Père Gréa écrivit alors une lettre à ses paroissiens. C’est cette lettre qui fut lue le 19 février à la messe dominicale. Elle est authentiquement celle que David Gréa a écrite. Il n’y a eu aucune modification de la part de l’archevêché.

    Aussitôt, la nouvelle fuse à la une de tous les journaux. Le Progrès titre : «David Gréa, emblématique curé de Lyon, va se marier » ; Lyon mag.com : «Le père Gréa écarté de l’Église pour se marier avec une femme» ; Avenir.net : «Un prêtre français a décidé d’abandonner sa vocation de curé pour se marier, en accord avec son supérieur et le pape François». Et, dans La Vie, on peut lire : «Le départ du père David Gréa suscite de nombreuses réactions».

    Pourquoi la décision du Père Gréa a-t-elle suscité un tel emballement médiatique ?

    UN PRÊTRE EMBLÉMATIQUE ET QUI SORT DE L’ORDINAIRE

    David Gréa est un prêtre qui sort de l’ordinaire. «David Gréa, l’un des curés les plus emblématiques de Lyon, est notamment connu dans toute la France pour avoir mis en place des messes new look avec le groupe de pop louange Glorious» écrit Le Progrès du 19 février. Mais est-ce vraiment nouveau ? Des messes pop, il y en a eu partout en France dans les années 1970, les années qui suivirent le Concile. Chaque paroisse, ou presque, avait son orchestre pop, et l’on y célébrait des «messes pour jeunes» auxquelles assistaient beaucoup d’aînés. Ce nouveau style inspiré des mouvements évangéliques et pentecôtistes venus des USA devint l’instrument rêvé pour permettre aux adolescents de continuer à venir à l’Église, c’est-à-dire à la messe. C’était attractif, mais était-ce vraiment nouveau ?

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